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Event - Attaque au casino des Forzalli
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Habitation : Son Food Truck dort dans un entrepôt de Jackson Heights. Lorsque Diego se réveille, il a une vue imprenable sur son outil de travail puisqu'il a aménagé un appartement en duplex de ce vieux hangar
Infos diverses : ❧ Il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol.
❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.
❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père. C'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.
❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.
❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.
❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !
❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !
❧ Très bon cuisinier, même en dehors de son Food/Drugs-Truck
❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.
❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père. C'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.
❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.
❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.
❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !
❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !
❧ Très bon cuisinier, même en dehors de son Food/Drugs-Truck
Célébrité : Alejandro Speitzer
Crédits : Avatars : Eden Memories
DC : Matt Roja - Enzo Forzalli - Billie Davis - Elena Flores - Jackson Blake - Liam Keller
HRP
RP
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attaque au casino des forzalli
L'homme qui vient de s'installer à côté d'elle la défie. Il trouve parfaitement les bons mots pour lui donner envie de jouer plus gros, mais Maeve n'est pas du genre à se laisser manipuler facilement. Elle lui offre un doux sourire. Oui, elle est jeune, ça peut donner l'impression qu'elle est facile à battre, mais en réalité ça ne veut rien dire du tout.
— Je vous suis, je suis joueuse.
Miser gros ne lui fait pas peur. C'est la suite qui est intéressante. Elle observe la jeune femme qui accompagne son nouveau rival et qui essaye de l'intimider. Alors ils s'y mettent à deux ? Bien. Elle n'est toujours pas effrayée pour autant. De nouveaux joueurs s'installent à la table, un nouveau duo : un homme et une femme. Le croupier annonce la fin de l'arrivée des nouveaux joueurs. Il est temps de débuter cette partie. Maeve ne se laisse pas déconcentrer, elle est focalisée sur les cartes que le croupier vient lui poser devant elle.
Ils ont à peine le temps de faire un tour dans la partie que des cris se font entendre ainsi que des coups de feu. Maeve sursaute et se retourne vers la source du bruit tout en se recroquevillant un peu sur elle-même. Ses yeux tombent sur des hommes cagoulés, elle n'a pas vraiment le temps de voir combien ils sont. Son réflexe est de se jeter sur le sol. Elle continue cependant d'observer ce qui se passe. La voix de celui qui la défié quelques minutes plus tôt se fait entendre. Elle tourne la tête vers lui et lance :
— Ils sont minimum quatre... ils ont balancé des sacs à deux personnes... Je crois que... merde.. il y en a un qui approche... Attention ! alerte-t-elle ses rivaux de poker.
code by EXORDIUM.
@Liam Keller + @Onyx Ashana + @Heaven Baxter + @Leonardo Baxter
RP
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Attaque au casino des Forzalli
La blonde s'était éclipsée pour ce qu'elle pensait être seulement quelques minutes, laissant le mexicain avec Aaron en tête à tête. Elle en profita pour aller saluer un de ses meilleurs amis, un jeune homme qu'elle connaissait depuis l'adolescence et qu'elle avait entrainé, à l'époque, dans tout un tas de connerie. Au vu de l'état de santé du jeune homme à ce moment là, ce n'était pas la chose la plus intelligente qu'elle ait faite mais au vu de ses problèmes, ne valait-il mieux pas vivre sa vie à fond étant donné que ses jours semblaient comptés ? Finalement, un de ces miracles de la médecine eurent lieu et il se rétablit, devenant à son tour un de ces hommes qui faisaient tout pour sauver des vies. Cat l'avait enlacé naturellement, saluant le reste de la tablée.
Je suis la meilleure patte de lapin qui soit ! Répliqua t-elle à la remarque de son ami sur le fait qu'elle soit là pour lui porter bonheur. Mais cet instant des plus légers fut rapidement interrompu par l'irruption de plusieurs hommes cagoulés qui tirèrent dans les airs pour signaler leur présence. Cat était restée inerte tant la surprise fut grande et c'est la réaction de Liam qui lui fit reprendre ses esprits. Elle sentit sa main la tirer vers le bas alors qu'il la protégeait d'éventuels débris tombant du plafond. Sa curiosité légendaire était titillée mais la peur lui sommait de rester tranquille et la blonde alla entourer ses bras autour du buste de son ami, s'y agrippant comme à une bouée de sauvetage. Il lui sommait de ne pas bouger et, pour une fois, Cat se fit obéissante. Son cœur battait à tout rompre, elle se demandait bien ce qui allait arriver car le but de ces hommes, ça, elle l'avait vite compris. La voix d'une des voisines de table s'éleva, annonçant qu'il y avait au moins quatre hommes et que l'un d'eux venait dans leur direction. C'était l'argent du casino qu'ils voulaient, s'ils se tenaient tranquilles, ils pouvaient espérer s'en sortir...
RP
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EVENTft tous les participants
Option 2 pouvant aller à 3. Je suis joueur gâtez vous.
Sincèrement, je ne comprenais pas cette jeune femme. Belle, mais dotée d’un langage et d’une attitude si déplorable qu’elle ressemblait à une rombière portant une robe hors de prix, elle me critiquait pour des perches qu’elle me lançait à tour de bras. De toute évidence, sa langue disait non, mais tout dans son attitude clamait le contraire. C’était une petite salace, c’était l’évidence même. Mon excitation monta d’un cran lorsqu’elle me frappa de toutes ses forces et encore plus lorsque mes longues mains blanches se perdirent dans ses cheveux pour lui tirer violemment la crinière. Je n’avais qu’une envie, c’était de la projeter contre le mur violemment pour qu’elle ferme sa grande gueule. Si j’étais en plein travail, je pourrais être tenté de l’auditionner pour le réseau, mais quelque chose me dérangeait chez elle…cette certitude d’être quelqu’un d’important alors qu’elle n’avait aucun masque, même dans une telle situation. Par chance, des hommes armés entrèrent et tirèrent partout, tout en m’ordonnant de me diriger vers les caisses pour les vider. Sauver par la cloche! Sauf qu’ils firent quelque chose de complètement idiot: demander la jeune femme à la robe rouge et au nom qui m’était encore inconnue de m’accompagner dans ce travail.
"Vous voyez, incapable de se taire. Je songeais à lui arracher la langue avant de la baiser" Fis-je remarquer en buvant une seconde rasade de vodka, préférant collaborer avec eux plutôt que contre eux.
Lâche? Non, surtout désespéré d’écouter cette femme pépiter encore et encore.
"En passant, je suis Russe et non pas un fromage" Informais-je celle qui ne devait pas avoir été à l’école très longtemps pour avoir ce genre de remarque.
En même temps, même si ça faisait presque trente ans que j’étais en Amérique, j’avais encore quelques difficultés avec l’anglais. Cette langue était tyrannique. Tapotant la caisse devant moi avec la tête du caissier qui tremblait comme un idiot, j’écoutais la folle à la robe rouge ne pas comprendre l’urgence de la situation puisqu’elle jacassa encore et encore pour se vanter. Sérieusement, cette fille était complètement déplorable. Menacée d’un flingue, elle s’amusait à les menacer. C’était une blague ou quoi? Devant le comptoir, je pouvais voir certains mouvements subtiles des clients, mais rien de trop dangereux. Est-ce qu’un autre allait encore jouer aux crétins ou en avait-elle l’exclusivité?
"Vous savez, la plupart des billets de casino sont marqués afin d’être facile à repérer en cas de vol. Numéro d’identité, capteur gps, teinture si la banque qui fournit l’endroit est old school" Détaillais-je sur un ton de conversation tout en chatouillant mon menton avec une liasse de billet tout en tapotant le numéro de série.
Est-ce que je jouais les héros ? Pas du tout, il n’y avait que ma peau qui m’intéressait, mais comme j’ai grandi un peu en Russie là où il y a des mitraillettes à tous les coins de rues pour vous menacer ainsi que dans le réseau de mon père où ils étaient approvisionnés par des contacts russes. Ce n'étaient pas ces joujoux tous mignons qui allaient me faire disjoncter. Le pire qui pouvait m’arriver c’était quoi? Une balle entre les deux yeux? Au moins, ça serait une mort propre et rapide.
"Tandis que les jetons de casino sont facile à échanger dans n’importe quel casino et beaucoup plus subtiles. Vous payez plusieurs putes de cabaret, serveuses et concierge pour les changer à votre place en quelques reprises et vous les butez ensuite. Simple, efficace et surtout, moins dangereux pour vous de vous faire repérer " Conseillais-je en lançant un jeton de mille à mon assiégeant.
Après, comment ils réagiraient? Ils me feraient taire violemment ou m’écouterait? C’était une prise d’otage, il y avait beaucoup trop d’inconnus dans cette situation pour tout planifier. Nous n’étions pas à l'abri de quelques actes héroïques complètement égoïstes. Parce que c’était ça que ça serait, si quelqu’un agissait: égoïste. Sous le prétexte de vouloir 5 minutes de gloire, celui qui s'interposerait prendrait le risque que quelqu’un se fasse tuer ou blesser. Comme l’humain était profondément stupide, c’était pratiquement sûr que ça arriverait. Il ne fallait que voir la sermonneuse pour comprendre.
RP
HRP
Attaque au casino des Forzalli
Aaron qui n’utilise jamais sa cuisine? Ce mexicain ignore à quel point il misait juste! Si le hacker devait s’engager derrière les fourneaux, ça relèverait du miracle si un quelconque plat en jaillissait non calciné -et encore, si lui-même ne prenait pas feu comme dans ce jeu de simulation de vie où tu avais une chance sur deux que ton personnage se retrouve dans les flammes brûlantes à paniquer au lieu d’user une once d’intelligence pour éviter de rencontrer la faucheuse-. Mieux valait un détour à cette pépite d’or que de se torturer à trancher et à apprêter des aliments. Et il était bien plus agréable d'observer un professionnel à l'œuvre.
La désinvolture de la blonde animait toujours leurs sorties et c’était une part que l’américain appréciait chez cette folle excentrique. Mais devant Diego, le trentenaire espérait qu’elle se calme un peu. Qu’elle n’en dise pas trop. Qu’elle ne dévoile pas la véritable raison de sa présence à ses côtés. Car elle était bien celle qui pouvait glisser une information de trop à propos d’Aaron ou même du propriétaire du Food-Truck.
Maugréant intérieurement sur le fait qu’il aurait été plus astucieux de choisir une autre date pour s’aventurer dans cet établissement où les jetons changeaient de détenteur chaque seconde, le client le plus fidèle du cuistot ne capte aucune tournure dérangeante dans ses propos. Ébahi quelque peu que la gardienne des secrets s’éloigne. Le brun se résigne donc à guider le mexicain à l’endroit souhaité, profitant au passage d’un moment seul à seul avec lui. Et même si une énième ânerie avait pu franchir ses lippes, c’est plutôt une plaisanterie déguisée qu’il prononce -cherchant à dénicher le pourquoi de sa présence dans ce casino-.
Ironie, bonjour!
Comment pouvait-il penser deux secondes faire fructifier son argent dans un tel lieu -à moins d’être plus que veinard-? Faire un placement à la banque. Spéculer avec la bourse. Investir dans les cryptomonnaies. En voilà des options plus judicieuses pour voir son compte se bomber -même si ça pouvait toujours inclure sa part de risque, mais jamais autant que les jeux de hasard-.
- Non, ce n’est pas vraiment l’idée du siècle, Diego, lance-t-il sans reproche. Si ton but est réellement de fructifier ton argent, garde-le. Ne l’échange pas contre ses jetons qui t’échapperont d’entre les doigts. Ils auront tôt fait de disparaître en un claquement de doigts.
Car il n’avait aucun désir, Aaron, de voir le mexicain repartir avec les poches plus que vides.
Mais même s’il le lui disait, au final, le mexicain restait seul maître de ses propres décisions. Et si l’envie d’emmener l’aîné des Arriaga ailleurs le démangeait, il y avait Caitlyn qui anticipait son retour de jetons contre le cent dollars qu’elle avait fourré dans la main du visiteur perdu. Si sa pensée frôlait l’identité de la blondinette, le hacker ne s’attendait pas à ce qu’une question soit répétée la concernant… ainsi que lui. Croyant alors que Diego en avait simplement fait abstraction du silence à cette interrogation un peu plus tôt.
Alors qu’ils étaient si près d'arriver à destination, ses pieds avaient cessé de se mouvoir, jetant un œil derrière son épaule pour apercevoir le cuistot plus loin. Il ne se sentait pas en mesure de faire volte-face. Son rythme cardiaque s’affole un instant, assimilant le fait qu’il ne pourra pas échapper à cet interrogatoire. Que le premier intéressé la répétera sans cesse jusqu’à ce que sa curiosité soit satisfaite.
- Cat et moi…? rabâche-t-il avant de laisser un nouveau silence s’installer -car s’il employait ce diminutif pour Caitlyn, c’est que le mexicain la connaissait personnellement et non pas par le biais d’une escorte-. On se co-
Un coup de feu l’interrompt, le tétanisant l’espace d’une seconde sur place. Ses sombres pralines se détachent de la grande silhouette derrière lui pour balayer les environs -en quête de la source de ce son alarmant qui n'augure rien de bon-. Ses prunelles brunes s’attardent sur ces hommes armés qui ne souhaitaient étrangement pas que leur identité soit à la vue de tous.
Ces imbéciles…
Parce que soyons honnête, même si les intentions étaient plus que claires et que ces malfrats arrivaient à leur fin, Aaron doutait sincèrement que le dinosaure Forzalli laisse passer un tel affront. Il fallait être complètement taré pour venir braquer ce casino en particulier.
Mais si la sentence finissait bien par s’abattre sur leurs têtes tôt ou tard, à l’instant présent, rien ne garantissait sa sécurité -et encore moins celui qui avait tôt fait de le rejoindre et de lui balancer des mots incompréhensibles pour lui, car ils ont été prononcés à travers la langue maternelle du mexicain-. Le hacker ne pouvait rien faire. Il n’avait aucun clavier à sa disposition -malgré que dans les faits, il ignorait ce qu’il pourrait réellement accomplir en pianotant sur les touches dans une telle situation-.
Il sent une étreinte autour de son coude. Il empoigne le col de Diego, le forçant à s’accroupir à ses côtés -diminuant les risques de se prendre bêtement une balle perdue-. La panique de certains engendre un similichaos. Chaos dans laquelle les deux hommes pourraient en tirer profit?
- Écoute, chuchote-t-il, on va tenter d’exploiter l’agitation du moment. Tu pourras certainement te faufiler à travers les machines à sous qui sont juste au tournant là-bas. Ça m’étonnerait qu'ils s'attardent auprès de ces machines. Reste à un niveau bas. Si jamais je vois que leur intérêt se hâte sur toi, je leur taperai la discute!
Aaron n’était pas convaincu de son propre plan qui lui semblait… bancal. Mais son but premier était d’éloigner Diego. Et si son impertinence pouvait focaliser l’attention de ceux souhaitant se remplir les poches sur lui pour laisser la chance au mexicain d’être hors de danger.
Et puis, il était bien reconnu que cet oiseau de malheur poussait toujours sa chance.
La désinvolture de la blonde animait toujours leurs sorties et c’était une part que l’américain appréciait chez cette folle excentrique. Mais devant Diego, le trentenaire espérait qu’elle se calme un peu. Qu’elle n’en dise pas trop. Qu’elle ne dévoile pas la véritable raison de sa présence à ses côtés. Car elle était bien celle qui pouvait glisser une information de trop à propos d’Aaron ou même du propriétaire du Food-Truck.
Maugréant intérieurement sur le fait qu’il aurait été plus astucieux de choisir une autre date pour s’aventurer dans cet établissement où les jetons changeaient de détenteur chaque seconde, le client le plus fidèle du cuistot ne capte aucune tournure dérangeante dans ses propos. Ébahi quelque peu que la gardienne des secrets s’éloigne. Le brun se résigne donc à guider le mexicain à l’endroit souhaité, profitant au passage d’un moment seul à seul avec lui. Et même si une énième ânerie avait pu franchir ses lippes, c’est plutôt une plaisanterie déguisée qu’il prononce -cherchant à dénicher le pourquoi de sa présence dans ce casino-.
Ironie, bonjour!
Comment pouvait-il penser deux secondes faire fructifier son argent dans un tel lieu -à moins d’être plus que veinard-? Faire un placement à la banque. Spéculer avec la bourse. Investir dans les cryptomonnaies. En voilà des options plus judicieuses pour voir son compte se bomber -même si ça pouvait toujours inclure sa part de risque, mais jamais autant que les jeux de hasard-.
- Non, ce n’est pas vraiment l’idée du siècle, Diego, lance-t-il sans reproche. Si ton but est réellement de fructifier ton argent, garde-le. Ne l’échange pas contre ses jetons qui t’échapperont d’entre les doigts. Ils auront tôt fait de disparaître en un claquement de doigts.
Car il n’avait aucun désir, Aaron, de voir le mexicain repartir avec les poches plus que vides.
Mais même s’il le lui disait, au final, le mexicain restait seul maître de ses propres décisions. Et si l’envie d’emmener l’aîné des Arriaga ailleurs le démangeait, il y avait Caitlyn qui anticipait son retour de jetons contre le cent dollars qu’elle avait fourré dans la main du visiteur perdu. Si sa pensée frôlait l’identité de la blondinette, le hacker ne s’attendait pas à ce qu’une question soit répétée la concernant… ainsi que lui. Croyant alors que Diego en avait simplement fait abstraction du silence à cette interrogation un peu plus tôt.
Alors qu’ils étaient si près d'arriver à destination, ses pieds avaient cessé de se mouvoir, jetant un œil derrière son épaule pour apercevoir le cuistot plus loin. Il ne se sentait pas en mesure de faire volte-face. Son rythme cardiaque s’affole un instant, assimilant le fait qu’il ne pourra pas échapper à cet interrogatoire. Que le premier intéressé la répétera sans cesse jusqu’à ce que sa curiosité soit satisfaite.
- Cat et moi…? rabâche-t-il avant de laisser un nouveau silence s’installer -car s’il employait ce diminutif pour Caitlyn, c’est que le mexicain la connaissait personnellement et non pas par le biais d’une escorte-. On se co-
Un coup de feu l’interrompt, le tétanisant l’espace d’une seconde sur place. Ses sombres pralines se détachent de la grande silhouette derrière lui pour balayer les environs -en quête de la source de ce son alarmant qui n'augure rien de bon-. Ses prunelles brunes s’attardent sur ces hommes armés qui ne souhaitaient étrangement pas que leur identité soit à la vue de tous.
Ces imbéciles…
Parce que soyons honnête, même si les intentions étaient plus que claires et que ces malfrats arrivaient à leur fin, Aaron doutait sincèrement que le dinosaure Forzalli laisse passer un tel affront. Il fallait être complètement taré pour venir braquer ce casino en particulier.
Mais si la sentence finissait bien par s’abattre sur leurs têtes tôt ou tard, à l’instant présent, rien ne garantissait sa sécurité -et encore moins celui qui avait tôt fait de le rejoindre et de lui balancer des mots incompréhensibles pour lui, car ils ont été prononcés à travers la langue maternelle du mexicain-. Le hacker ne pouvait rien faire. Il n’avait aucun clavier à sa disposition -malgré que dans les faits, il ignorait ce qu’il pourrait réellement accomplir en pianotant sur les touches dans une telle situation-.
Il sent une étreinte autour de son coude. Il empoigne le col de Diego, le forçant à s’accroupir à ses côtés -diminuant les risques de se prendre bêtement une balle perdue-. La panique de certains engendre un similichaos. Chaos dans laquelle les deux hommes pourraient en tirer profit?
- Écoute, chuchote-t-il, on va tenter d’exploiter l’agitation du moment. Tu pourras certainement te faufiler à travers les machines à sous qui sont juste au tournant là-bas. Ça m’étonnerait qu'ils s'attardent auprès de ces machines. Reste à un niveau bas. Si jamais je vois que leur intérêt se hâte sur toi, je leur taperai la discute!
Aaron n’était pas convaincu de son propre plan qui lui semblait… bancal. Mais son but premier était d’éloigner Diego. Et si son impertinence pouvait focaliser l’attention de ceux souhaitant se remplir les poches sur lui pour laisser la chance au mexicain d’être hors de danger.
Et puis, il était bien reconnu que cet oiseau de malheur poussait toujours sa chance.
by Nathie
RP
Habitation : New-York
Célébrité : Liberty
DC : Je suis unique
HRP
Event
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Et moi je te dis que tu vas fermer ta gueule, pétasse, si tu ne veux pas que je te l’éclate contre le comptoir, répondit-il à la réflexion de la brune qu’il entrainait vers les caisses en compagnie d’un homme à l’accent des pays de l’Est. Il avait réussi à arracher un léger rire à l’homme alors qu’il évoquait l’idée de couper la langue de cette idiote. Il leur avait donné deux sacs, s’avançant jusqu’aux caisses et le russe surenchérit en parlant des jetons. Ce n’était pas con du tout comme remarque mais lui, il fallait bien l’avouer, il ne savait pas vraiment ce qu’il devait faire , ce n’était pas lui le chef de ce groupe et il craignait les répercussions si une prise d’initiative était mauvaise.
Jed ? On prend les jetons aussi ?
Le prénommé Jed s’avança avec deux autres sacs, observant les gens qui, pour la plupart, évitaient de jouer aux héros et se planquaient sous les tables. Il lança alors ses ordres à la volée :
Fais ce qu’il dit et évite de balancer nos noms, imbécile ! Lança t-il avant de lui balancer deux sacs de plus au visage, lui signalant deux hommes accroupis un peu plus loin. @Diego Arriaga & @Aaron Owens
Il se retourna vers un des hommes : Toi ! Regroupe les gens et fais leur vider leurs poches, récupère les portefeuilles, les bijoux, les téléphones, tout ce qui a de la valeur ! ON SE DÉPÊCHE !
Il n’était pas sans savoir que ce genre d’endroits avait un système de surveillance et que, peut-être, l’alerte avait déjà été donnée. Mais alors que le troisième homme commençait à rassembler les gens, un des croupiers crut y voir une porte de sortie et tenta de fuir. « Jed » n’hésita pas longtemps et lui tira dessus, l’abattant sans le moindre remord, blessant au passage une jeune femme, une balle l’éraflant. (Blessure légère pour @Heaven Baxter )
Halloween
RP
HRP
Attaque au casino des Forzallis
Heaven Baxter & others
Heaven Baxter & others
La musique typique de casino nous envoûtant en fond, le brouhaha des joueurs de chance nous encerclant et le bruit étouffé des cartes battantes pour se mélanger, le croupier maniait ces dernières avec dextérité et parlait d'un ton clair afin de se faire bien comprendre sur le déroulement d'une partie. Alors qu'il nous distribuait les cartes et que je regardais les miennes avec un soupçon d'engouement, toute la magie des jeux se transforma en horreur. Personne n'aurait pu prédire ce qui allait se passer ce soir, hormis nos braqueurs. La panique s'entendit dans nos cris et se répercuta sur nos visages lorsque les coups de feu résonnèrent dans la grande salle. M'agrippant à ma chaise, me faisant toute petite en entendant les débris du plafond frappant le sol, je tournais ma tête vers l'agitation. Sainte Marie Joseph, que se passe-t-il ? La majorité des clients s'étaient accroupis pour se couvrir la tête aux sons stridents des balles de fusil d'assaut. J'en vis d'autres partis se planquer dans les salles adjacentes, toilettes ou salle du personnel sans doute … mais surtout .. Je vis ces hommes cagoulés, habillés de noirs, armés d'armes à feu et de kevlar.
Je sentais mon visage blêmir en comprenant la situation, ils venaient braquer le casino, et nous étions leurs otages, leur porte de sortie. Cherchant à me rassurer, j'agrippe la manche de Léo en guettant nos bourreaux qui donnent des ordres à deux des clients. Leur échange semble endiablé et je prie fort Dieu que tout se passe sans blessé … Mais bordel .. Où est donc la sécurité que nous avons vu tout à l'heure ? Je regarde aux alentours nerveusement, et ma gorge se serre mon regard se pose sur les agents sécurités menottés les uns aux autres afin qu'ils ne soient plus des menaces pour les malfaiteurs. Logiquement, les forces de l'ordre ont dû être mis au courant de leur irruption soudaine dans les lieux .. Il ne reste plus qu'à rester calme et ne pas faire d'esclandre avant leur arrivée, ou le départ de ces gens. J'échange un regard avec mon cousin, qui tente de me rassurer, sans doute a-t-il remarqué ma respiration haletante. C'est la première fois que je me retrouve dans une situation pareille, mais je sais comment calmer mon stress, j'ai passé toutes mes années d'études à le travailler. Je prends donc de longues inspirations afin de me calmer.
- Psss ! Fit une voix dans mon dos, il s'agit du croupier, dont seule la tête ressort de sa place. Je sais par où aller pour nous en sortir, si vous voulez vous avez qu'à me suivre.
Nous dit-il en nous montrant une direction. Je jette un regard aux preneurs d'otage avant de le retourner sur l'employé en secouant de la tête, mes mots peinant à sortir, la peur de parler trop fort m'obstruant littéralement la voix. Alors que les autres tentaient de l'en dissuader, il commença à se reculer en insistant pour qu'on le suive. Ce n'est pas vraiment le moment de jouer les courageux … Au moment où je pense à ça, un homme derrière nous se mit à crier avant que des balles fusent et transpercent le thorax du croupier sous nos yeux médusés. Au même instant, la peau de mon bras se mit à me brûler, un cri autant de peur que de douleur s'extirpa de ma gorge et un liquide chaud glissa sur ma chaire de poule. Par la surprise et la terreur qui envahit mon corps, je glisse sur mes genoux en plaquant une main sur ma peau par instinct.
On m'a tiré dessus ? Je relève lentement le regard vers le croupier, dont le sang s'écoule abondamment sur le sol et un sanglot me prend. J'ai déjà été témoin de scènes violentes, notamment au centre pénitentiaire où je travaillais, mais je n'avais jamais vu quelqu'un perdre la vie. Je sais déjà que je ne peux lui venir en aide, au vue de la violence des impacts et de la quantité de sang perdu, et pourtant je sens mon cœur se serrer et un autre sanglot éclata lorsque je tournais mon regard vers l'homme armé. C'est là que je sentis que je ne pourrais pas me calmer, sentant l'oppression m'atteindre, la sensation que mon corps manque d'oxygène puisque ma cage thoracique semble se refermer sur moi.
- Léo ..
Couinais-je en un murmure, je ne suis même pas sûre qu'il ait pu l'entendre. Les larmes inonde mes joues, et l'air me manque de plus en plus. Respire. Inspire. Expire. Non .. Je suffoque. A l'aide !
RP
HRP
« On va commencer plus doucement si vous le voulez »
Dit-elle, avec un sourire en coin,
« Tant qu'à passer un bon moment ensemble... Je m'appelle Onyx »
Se présenta-t-elle. Le croupier fini par distribuer les cartes et la partie allait enfin pouvoir commencer. Onyx ne savait pas si la deuxième blonde allait se joindre à eux. Au moment où la partie commença et où elle allait lui poser la question, des cris de paniques et des coups de feu se firent entendre. Ce n'était pas bon signe, vraiment pas bon signe. Quelques trucs tombèrent du plafond et leur petit groupe se retrouva en dessous de la table. Honnêtement, ce n'était pas forcément la meilleure endroit mais ils devraient faire avec. Une question se fit poser à laquelle on demanda si quelqu'un voyait quelque chose. Au moment où elle était presque debout, la première demoiselle leur dit qu'il était quatre et que deux personnes tenaient des sac dans leur main. Ils allaient vraiment cambrioler le casino.
« Malheureusement, ils doivent être plus que quatre »
Murmura-t-elle, assez fort pour que les autres proches d'elle l'entende. Même s'ils n'étaient que quatre, il devait surement y avoir quelqu'un qui doit les attendre dehors avec un véhicule pour se sauver. La question reste à savoir, combien de personnes armés au total il y avait dans et dehors du casino. Une chose est sur, Onyx confirma bel et bien qu'un homme s'approchait d'eux. Elle jura dans sa langue et resta immobile. Malgré qu'elle était capable de se battre et de se défendre, la brunette n'était pas assez folle pour se battre contre quelqu'un d'armer alors qu'elle en était démuni. Même si elle paraissait très calme à l'extérieur, à l'intérieur, elle était paniqué et le coeur battait énormément vite. Malgré tout, elle entendit une voix derrière elle, qui indiqua qu'ils pouvaient sortir. Sauf qui ne leur disait pas que toutes les sorties possible étaient bloqués. Tout en gardant l'homme approché dans son champs de vision, Onyx tourna à peine la tête en voulant leur dire de ne pas bouger quand des coups de feu retentit de nouveau et elle entendit le bruit d'un corps qui s'écroule.
« Mais... Quelqu'un a été touché ? Qui vient de s'écrouler ? »
Demanda-t-elle, nerveusement, ne sachant pas lequel d'entre eux allait être le prochain.
️ 2981 12289 0@Liam Keller @Maeve Parker @Heaven Baxter @Leonardo Baxter
RP
Habitation : Un appartement à Greenwich Village avec deux chambres, l'une étant aménagée spécialement pour ta fille. Décoration de princesse, peluches en pagaille et photo ci et là, tu as particulièrement heureux de voir la petite s’émerveiller devant tes choix. Depuis quelques semaines, tu partages ton appartement avec les deux femmes de ta vie, ce qui te comble de joie malgré l’aspect « collocation » que revêt votre cohabitation.
Infos diverses : - Williamson Junior Keller est l'identité complète notée sur son ID, mais il a horreur de ce prénom et se fait appeler Liam.
- Vous retrouverez son nom sur différents bouquins présents dans les librairies du pays et au-delà. Il s'agit de grandes envolées métapsychologiques ennuyantes écrites par ses parents pour crier au monde leur fierté quant à leur fils aîné et leur déception pour le second.
- De ses 17 à 21 ans, il a lutté contre un cancer virulent, mais il a refusé de se laisser abattre, prenant les traitements sans sourciller et gardant sa bonne humeur. Seules les douleurs ont finalement eu raison de lui, et les anti-douleurs devinrent ses meilleurs amis. De cette épreuve il lui reste une belle cicatrice sur le crâne, endroit précis où les chirurgiens sont passés pour essayer de retirer la tumeur, mais qui est à présent parfaitement camouflée par sa tignasse. Les migraines récurrentes qui l'accompagnent sont également un malheureux souvenir dont il ne peut se défaire, il essaie néanmoins de les combattre par le port de lunettes de temps à autre.
- Flanqué à la porte par ses parents quelques temps seulement après sa rémission, ces derniers souhaitaient provoquer chez lui un électrochoc afin de le pousser à reprendre le chemin de l'université. Cependant, Liam préféra partir profiter de sa seconde chance en parcourant l'Amérique du Sud. C'est au Brésil qu'il se prit de passion pour le surf et c'est au Mexique qu'il fit une overdose l'expédiant immédiatement dans une cure de désintoxication. La contrainte n'étant pas un moteur de guérison, ce fut un échec cuisant.
- C'est en 2018 qu'il retourna de lui-même dans cet établissement après avoir découvert sa paternité. Il avait une fille de deux ans, désormais, l'adorable Théa en a 5 et, bien qu'il ne la voie pas autant qu'il le souhaiterait, elle est la prunelle de ses yeux, la force lui hurlant de ne pas flancher face à ses vieux démons.
- Il est végétarien.
- Vous retrouverez son nom sur différents bouquins présents dans les librairies du pays et au-delà. Il s'agit de grandes envolées métapsychologiques ennuyantes écrites par ses parents pour crier au monde leur fierté quant à leur fils aîné et leur déception pour le second.
- De ses 17 à 21 ans, il a lutté contre un cancer virulent, mais il a refusé de se laisser abattre, prenant les traitements sans sourciller et gardant sa bonne humeur. Seules les douleurs ont finalement eu raison de lui, et les anti-douleurs devinrent ses meilleurs amis. De cette épreuve il lui reste une belle cicatrice sur le crâne, endroit précis où les chirurgiens sont passés pour essayer de retirer la tumeur, mais qui est à présent parfaitement camouflée par sa tignasse. Les migraines récurrentes qui l'accompagnent sont également un malheureux souvenir dont il ne peut se défaire, il essaie néanmoins de les combattre par le port de lunettes de temps à autre.
- Flanqué à la porte par ses parents quelques temps seulement après sa rémission, ces derniers souhaitaient provoquer chez lui un électrochoc afin de le pousser à reprendre le chemin de l'université. Cependant, Liam préféra partir profiter de sa seconde chance en parcourant l'Amérique du Sud. C'est au Brésil qu'il se prit de passion pour le surf et c'est au Mexique qu'il fit une overdose l'expédiant immédiatement dans une cure de désintoxication. La contrainte n'étant pas un moteur de guérison, ce fut un échec cuisant.
- C'est en 2018 qu'il retourna de lui-même dans cet établissement après avoir découvert sa paternité. Il avait une fille de deux ans, désormais, l'adorable Théa en a 5 et, bien qu'il ne la voie pas autant qu'il le souhaiterait, elle est la prunelle de ses yeux, la force lui hurlant de ne pas flancher face à ses vieux démons.
- Il est végétarien.
Célébrité : Will Higginson
Crédits : avatars : CHEEKEYFIRE
DC : Matt Roja - Enzo Forzalli - Billie Davis - Elena Flores - Diego Arriaga - Jackson Blake - Nathanaël Wellington
HRP
RP
Habitation : Son Food Truck dort dans un entrepôt de Jackson Heights. Lorsque Diego se réveille, il a une vue imprenable sur son outil de travail puisqu'il a aménagé un appartement en duplex de ce vieux hangar
Infos diverses : ❧ Il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol.
❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.
❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père. C'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.
❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.
❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.
❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !
❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !
❧ Très bon cuisinier, même en dehors de son Food/Drugs-Truck
❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.
❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père. C'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.
❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.
❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.
❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !
❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !
❧ Très bon cuisinier, même en dehors de son Food/Drugs-Truck
Célébrité : Alejandro Speitzer
Crédits : Avatars : Eden Memories
DC : Matt Roja - Enzo Forzalli - Billie Davis - Elena Flores - Jackson Blake - Liam Keller
HRP
RP
HRP