Le Deal du moment :
Cdiscount : -30€ dès 300€ ...
Voir le deal


Event - Attaque au casino des Forzalli

avatar
   
RP
HRP
Invité
Invité
Gif
Attaque au casino des Forzalli
Ft. @Diego Arriaga & Everyone
- Ce dont tu parlais? répète-t-il en haussant un sourcil.

Avait-il zappé quelque chose le hacker? Parce que si le sujet ne se rattachait pas à la liasse de billets colorés que le mexicain se trimballe dans l’une de ses poches, Aaron n’avait franchement aucune idée de ce à quoi son compagnon faisait allusion. Il s’accorde un instant afin de passer en revue les précédents moments, mais son flux de souvenirs se voit interrompu par le questionnement réitéré de Diego. À ce moment, il le sent, le brun, qu’il n’y échappera pas. Alors que ce dernier tente de trouver une formulation, un coup de feu retentissant dans l’établissement laisse en suspens l’interrogatoire.

Bon timing? Absolument pour le grand soulagement d’éviter d’émettre une réponse!
Aurait-il préféré autre chose pour dévier la position dans laquelle il se situait? C’était si peu dire!
Mais le destin avait vraisemblablement choisi d’envoyer de malheureux imbéciles braquer le casino des Forzalli en guise d’échappatoire.

Tout s’enchaîne à une vitesse folle. Trop même pour laisser la chance à Aaron d’élaborer le moindre plan qui ne risquait point -ni à lui ni au jeune homme- de se retrouver avec une si jolie balle logée à travers leur chair. Et si l’américain avait forcé Diego à s’accroupir pour éviter un malencontreux accident, il voulait saisir l’agitation chaotique des premières secondes dans le but d’éloigner le cuisinier de ce pur merdier à venir.

- Vraiment, Diego?! dit-il avec une pointe flagrante d’agacement au fond de sa voix. Bordel, c’est pas le moment de répliquer!

Le hacker regarde, complètement déconfit, celui qui croyait si bon de rester à ses côtés. Glissant le bout de ses doigts inlassablement sur sa tempe tandis que son poignet se trouvait prisonnier de l’étreinte tremblante de son compère, il n’avait guère besoin qu’on lui rappelle la présence de la blondinette qui se retrouvait il ne sait où à présent.

- Je le sais! Sauf comme tu refuses d'obtempérer, je ne peux pas m’occuper d’elle en même temps que toi. Et pour le moment tu es ma priorité…

Pourquoi ne les avait-elle pas suivis bon sang?! Ça relevait de l’urgence nationale d’aller faire coucou à je ne sais quel débile?
Avoir les deux idiots près de sa personne lui aurait évité de se prendre autant la tête. Mais avant qu’Aaron puisse davantage maudire les agissements de ses amis, voilà que le mexicain lui souffle à l’oreille une bien mauvaise nouvelle.
Ah bah génial! Les bouffons de service viennent de nous repérer… Time is over!
Il devait par conséquent dire adieu à l’espoir de voir Diego se faufiler hors de danger. Tout allait à merveille dis donc! Imitant le mexicain, il se redresse sur ses jambes tout en plongeant sa main dans sa poche, cherchant à y retirer la carte SIM en premier lieu.

- Je ne donne franchement pas cher de vos têtes, dit-il avec un soupçon de malice tout en balançant nonchalamment son téléphone portable dans le sac tendu. Dis-moi -en fait rassure-moi- ce « Jed » s’est minimalement renseigné avant de vous envoyer dans la gueule du loup comme ça? Tu sais, sur qui appartient ce casino.

Aaron adressa un infortuné sourire -et tantinet moqueur- à celui qui subissait les ordres du chef en herbe. Si son auditoire n’avait pas le même sens d’humour que lui, qu’y pouvait-il? Et ce n’était pas de faire “le crétin”. Seulement de faire son oiseau de malheur augurant un mauvais et triste présage pour les malfrats. Et accessoirement semer le doute dans l’esprit du sbire, le pousser à hésiter et peut-être -en outre- faire une bêtise.
Néanmoins, les pauvres aventuriers du soir devaient se regrouper et hors de question de laisser le mexicain, donc le hacker le suivit. Le son détonnant du fusil les arrête à nouveau. Un homme -employé- s’abattant au sol, le sang gisant…
Restant impassible -oppressant une grimace de surgir-, ce n’était pas le cas de Diego…

-  Oh, ils ont franchi vraiment le cap du non-retour ces idiots… souffle-t-il en tentant de se positionner de manière à faire obstacle entre le mexicain et les imbéciles braqueurs.
by Nathie
avatar
   
RP
HRP
Invité
Invité
EVENTft tous les participants



Option 2 pouvant aller à 3. Je suis joueur gâtez vous.

Cette soirée était riche en rebondissements. Bon, je n’avais pas eu le loisir de gagner gros ou de perdre tout l’argent que j’avais décidé d’amener pour la soirée, mais je devais avouer que ces bandits étaient désopilants. Il fallait espérer qu’ils étaient tous un peu plus brillants que celui qui tentait de me tenir en joue. Était-ce rassurant de voir que cet imbécile tenait son arme du bon côté? Peut-être pas…il était assez idiot pour me flinguer sans même le vouloir, j’en était sûr. Toujours aussi calme et détendus, je terminais ma vodka tonique - hors de question que je gaspille ce précieux nectar!- tout en commençant à mettre des jetons dans le sac qu’on m’avait balancé à la gueule. Ma proposition, en plus d’être plus intelligente que le plan initial de ces voleurs, permettait de voler beaucoup plus d’argent. Des jetons prenaient beaucoup moins de place que des billets. Un long soupire sortit d’entre mes lèvres lorsque l’idiot qui devait me menacer interrogea son collègue en l’interpellant par son nom…ou son surnom plutôt. Qui s’appelait Jed, de nos jours, hein?


"Voilà ce que je te propose, bute cet idiot et je le remplace le temps du vol" Dis-je sur un ton de conversation au dénommé Jed qui semblait être le chef…ou du moins, le cerveau de la bande.


Est-ce qu’on m’arrêterait en même temps que ces connards, une fois les flics sur place? Sans doute, mais la légitime défense, la volonté de survivre et la peur de mourir seraient de solides arguments pour me disculpés. Mes avocats me sortiraient rapidement d’affaires et moi…je cesserais de m’ennuyer. Avouons-le, cette soirée s’annonçait carrément merdique avant que ces mecs interviennent.


"Tu y gagnes au change, d’après moi cet imbécile révèle l’identité de tous tes hommes d’ici dix minutes" Rajoutais-je en continuant ma besogne évasivement, regardant les clients retirer leurs bijoux et sortir leurs portefeuilles.


Un casino n’était pas un endroit à voler, souvent ils étaient mieux protégés que les banques! Les policiers risquaient d’arriver plus rapidement qu’une envie de chier après avoir mangé mexicain. J’dis ça, j’dis rien. Il y eut plusieurs coups de feu et un corps s’effondra au sol. Un otage en moins. Ces mecs étaient maintenant des meurtriers et des complices de meurtres, ils n’arrangeaient pas leur cas. Les policiers auraient pu leur laisser une possibilité de fuir en échange des otages, maintenant ces cons allaient être la cible de sniper supers entraînés. Il était sûr que la soirée se terminerait dans le sang et qu’il y aurait plus d’un mort…il ne restait qu’à savoir qui allait crever; eux ou les otages?


"J’ai terminé, je peux retourner me bourrer la gueule?" Demandais-je à Simplet en lui balançant le sac pleins de jetons à la gueule.


avatar
   
RP
HRP
Invité
Invité

   
attaque au casino des forzalli

Tout est en train de se passer trop vite. Beaucoup trop vite. Maeve n'a pas le temps de jeter des regards partout pout observer tout ce qui se passe. Elle suit du regard les braqueurs, elle n'a pas envie de les contrarier, mais elle tente d'analyser leur comportement pour essayer d'y voir un moyen de se sortir de cette situation. Maé aperçoit alors @Diego Arriaga, son ancien ami auprès de qui elle tente de se racheter. Son coeur rate un battement quand elle voit les braqueurs lui tendre un sac à lui et son ami. Même si elle a foiré, Diego a compté à un moment donné dans sa vie et elle commence à flipper à l'idée qu'il lui arrive quelque chose. Son regard reste fixé sur lui, elle réfléchi à un plan pour le rejoindre sans se faire remarquer, mais un coup de feu retenti près d'elle, ce qui la fait sursauter une nouvelle fois. Ses yeux pivotent vers le croupier qui a tenté de s'enfuir. Elle était tellement focalisée sur Diego qu'elle n'a pas suivi la conversation, mais elle comprend qu'il vient littéralement de se faire tuer sous leurs yeux. Le cri d'une des filles de la table retentit et du sang s'écoule alors de son bras.

Les braqueurs ne blaguent pas. Maeve le comprend et elle a soudainement peur de ce qui pourrait arriver ensuite. Elle n'a pas envie de contrarier quiconque. Elle n'a pas envie de mourir ici.

Désemparée, Maeve est bien incapable d'aider la jeune femme, elle n'a aucune compétence en médecine ou en premier secours. Sa tête pivote dans tous les sens, elle cherche une issue à cette situation, un indice, quelque chose, n'importe quoi. Elle qui voulait vivre de nouveau cette adrénaline... Elle y fait face puissance 10 000... Mais elle n'est pas sûre d'apprécier l'expérience. Bien au contraire. Même si elle tremble un peu à cause de tout ce qui se passe, elle ne veut pas ciller. Maé doit garder son sang froid. Elle doit se montrer utile.

Au lieu d'écouter le pompier (@Liam Keller) et de suivre les deux autres filles, elle se rapproche de lui et de la blessée (@Heaven Baxter).

Dit moi comment je peux t'aider. lance-t-elle au pompier.

Elle ne veut pas s'enfuir pour protéger sa peau. Si elle peut aider, elle le fera. Tant pis si elle entend son coeur tambouriner à toute vitesse jusque dans son crâne. Tant pis si elle est complètement flippée au fond. Elle ne restera pas sans rien faire. Maeve n'a même pas conscience du courage dont elle fait preuve. Elle agit spontanément pour une fois. Dans un coin d sa tête, Maé pense toujours à Diego, elle espère qu'il ira bien et que rien ne lui arrivera.

   
code by EXORDIUM.


   
Leonardo Baxter
   
RP
Habitation : New York
Célébrité : Alex Pettyfer
Crédits : Moi
DC : Camille Evergreen
HRP
Leonardo Baxter
Le 911

Attaque au casino des Forzalli

Léo jeta un regard lourd de sens à Heaven quand celle-ci parla de ce qu'elle pourrait faire s'il n'était pas son cousin. C’était le genre de bêtises dont elle était coutumière et il avait tendance à lever les yeux au ciel quand elle en faisait preuve. Ce n'était pas spécialement qu'il se vexe de ce qu'elle pouvait bien dire, mais l'inceste n'était pas vraiment un sujet de plaisanterie de son point de vue. De toute façon, son compliment ne changeait rien au fait qu'il avait l'impression de ressembler un véritable pingouin et d'être engoncé dans ce costume. Mais il s'agissait d'une soirée officielle, il y avait quelques efforts à faire.

Puisqu'il l'avait laissé choisir le jeu, il se dirigea docilement on direction de la table qu'elle avait choisie. Il n'était pas convaincu par sa propre capacité à l'emporter mais peu importerait si Heaven s'amusait. Il commençait même à se détendre un peu, malgré le fait qu'il continuait de ne pas se sentir franchement à sa place. Au moins, il faisait autre chose que travaillait ou plonger le nez dans un bouquin. Il en était là de ses pensées quand quelque chose l’en sortit brusquement. Des braqueurs venaient d'arriver dans le casino. Léo porta la main à son pantalon pour vérifier que son arme de service était là, mais il ne serait pas prudent de jouer au héros et de tenter d'intervenir seul.

« Je suis officier de police », murmura-t-il à l'égard du croupier. « Sauriez vous me dire s'il y a un moyen d'alerter les autorités et s'il y en a un pour sortir discrètement ? »

Même s'il lui paraissait important d'arrêter les criminels, sa priorité était tout de même de mettre sa cousine à l'abri. Le croupier réagit aussitôt en voulant les entraîner en direction de la fameuse sortie, ce qui lui valut d'être abattu dans la seconde. Il aurait dû donner les informations à Léo au lieu d'essayer d'agir seul comme un idiot. Mets le jeune inspecteur eut soudain le regard focalisé sur sa cousine qui avait été touchée. Aussitôt, la panique commença à s'emparer de lui alors qu'il ne se rendait même pas compte à quel point elle était blessée.

« Heaven, Heaven réponds-moi ! »

Mais avant qu'il ne puisse paniquer, un jeune homme surgit que Léo connaissait pour avoir sympathisé avec lui. Il fut ravi de constater la présence de Liam en qui il avait confiance pour faire correctement son boulot. Sa cousine n'aurait pu tomber en de meilleures mains, et il était rassuré d'entendre qu'elle n'avait rien de grave et que ce n'était que superficiel. Il fallait qu'il lui parle, mais il devait reconnaître qu'il avait la voix un peu éraillée en pensant que cela aurait pu être elle dont le corps se serait retrouvé par terre et dépourvu de vie. La simple idée que cela aurait pu arriver serra le cœur de l'officier de police.

« Ca va aller, Heaven, je suis là. Tu ne risques plus rien. Mon ami est pompier, on peut lui faire confiance. »

Il releva la tête vers Liam. Apparemment, la blessure de sa cousine était superficielle et il suffirait de la désinfecter pour que tout aille bien. Léo ne doutait pas de son ami, mais il doutait plus que sérieusement qu'on lui offre l'opportunité de désinfecter ses plaies dans l'immédiat. Si Liam avait vu juste et il était presque sûr que c'était le cas, ce ne serait pas si grave, mais il fallait arrêter les dégâts avant qu'il ne soit trop tard. Léo se redressa et s'adressa aux imbéciles qui avaient décidé d'ouvrir le feu, rendant improbable qu'ils se sortent de là en toute sécurité.

« Vous voilà maintenant passible de meurtre et non plus simplement de braquage », leur lança-t-il, alors qu’une jeun femme s’accroupissait auprès de sa cousine. « Vous feriez mieux de vous rendre avant d'aggraver encore votre cas. »

C'était sa nature de policier qui parlait, mais aussi son envie d'en finir au plus vite pour que sa cousine puisse recevoir les soins nécessaires, quel que soit le degré d'importance de ses blessures.


@Liam Keller @Heaven Baxter @Maeve Parker

Halloween


Event - Attaque au casino des Forzalli  - Page 5 D0c3544913dc93c440d99b50ab1c31788c4667e4 Event - Attaque au casino des Forzalli  - Page 5 Original
avatar
   
RP
HRP
Invité
Invité

Event au Casino




Choix de blessures : no 2

Loin des festivités tout en étant collé à elle, j’observais la centaine d'écrans qui me renvoyait les images de la soirée. Beaucoup était venu tenter leur chance ce soir, très peu d'entre eux repartiront avec les poches plus pleines qu’à leur arrivée. Il était bien connu que la chance était beaucoup plus souvent du côté de la maison que des joueurs, mais ça n’empêcheraient pas certains de dépenser beaucoup trop aux tables de blackjack et autres plaisirs hasardeux. Je savais que je devais faire acte de présence, m’efforcer de me montrer en société afin de perpétrer l’image forte et politisé des Forzalli, mais le fait est que je déteste ça, même si c’était un mal  nécessaire. Surtout que ce soir, Andromaque serait présente et mon devoir d’époux était de rester près d’elle et de la présenter comme étant ma femme afin d’étendre un peu plus le rayonnement de la famille. Qu’est-ce que ça voulait dire? Aucune idée, allez donc le demander à Vittorio.


Il me fallait descendre jusque dans l’immense salle des jeux, mais l’envie d’y aller disparaissait de plus en plus, au fil des secondes qui s’écoulaient. Quelque chose d’étrange se déroulait sous mon regard, mais j’étais incapable de dire quoi. Ce malaise augmentait de minutes en minutes. Vêtu de mon classique costume noir en soie italienne, et d’un noeud papillon tout aussi ténébreux, je me suis levé au premier coup de détonation. Quoi? Plutôt que de me diriger vers les écrans de surveillance, je me suis précipité silencieusement vers la terrasse de mon bureau qui surplombait la salle de jeu. Quand on est un grand claustrophobe, on s’arrange pour avoir beaucoup de voies de sortie et le moins de murs possibles.


Cinq hommes. Cinq putains de connards osent venir foutre le bordel dans mon casino. Sont-ils complètement stupides? Ne savent-ils pas à qui ils osaient s’attaquer? La colère monta brutalement en moi et mes poings se serrèrent. Mais pourquoi mes hommes n'interviennent-ils pas? En plus des gardiens de sécurité, il y avait certains membres de la famille en civil, chargés de surveiller les lieux? Retournant dans mon bureau afin de ne pas dévoiler ma présence, j’ai activé mon oreillette afin de contacter Pettroli qui était de garde près des croupiers.


“Non, mais tu m'expliques qu’est-ce que vous foutez? Ils sont seulement cinq! Abattez-les!” Lui sifflais-je en italien tout en ouvrant furieusement l’armoire la plus près de mon bureau.

“Mais patron…ils vont tuer des otages si…” Commença à répondre dans un murmure Pettroli.


Quelques secondes plus tard, une détonation retentit et un croupier s’effondra au sol, comme pour prouver les paroles de Pettroli. Mon regard glacial observant la multitude d’armes que je gardais toujours près de moi, je me suis saisi d’un fusil FR-F2 calibre 7,62. tout en répondant:


“Je me moque des otages Petrolli. Seuls les membres de la Famille élargie comptent. Est-ce que tes putains d’otages vont me rembourser ce que ces connards sont en train de me dérober? NON, alors si tu ne veux pas être personnellement tenu responsable de cet échec, bouge ton cul et dit aux autres d’intervenir. J’arrive dans quelques minutes!” Ordonnais-je tout aussi brusquement avant de mettre fin à la communication et de retourner à la mezzanine.


De toute façon, si des otages mouraient, ce serait ces voleurs qui en seraient accusés, certainement pas nous. Pourtant, je devais tout de même intervenir avant de rejoindre la salle des jeux. Je ne sais pas comment, mais Andromaque s’était retrouvée dans une position fâcheuse et selon le non=verbal de ceux qui l’entouraient, elle était en danger. Me couchant sur le sol glacial en marbre de la terrasse qui surplombait la salle de jeu, j’ai installé mon fusil de précision digne des plus redoutables sniper et j’ai regardé à l’intérieur du télescope. C’était le chaos, plusieurs personnes bougeaient, d’autres paniquaient. Plusieurs visages connus défilèrent dans mon champ de vision; des clients, des membres de la mafia, des politiciens biens connus et même quelques ennemis. Finalement, mon objectif fut dans ma ligne de mire. La gorge de l’homme qui retenait Andromaque contre sa volonté. Je ne pouvais pas laisser ma femme en danger avant d’intervenir, pour quel genre d’homme passerais-je? Il ne me restait qu’à espérer ensuite qu’elle serait assez maligne pour se cacher jusqu’à la fin de l’attaque.


Me concentrant sur mon objectif, j’ai lentement inspiré et j’ai tiré, le silencieux posé sur le canon de mon fusil venant étouffer le bruit de la détonation. La balle siffla à travers la salle avant de se loger dans la gorge du voleur le plus près de la femme à la robe rouge. Rapidement, sans même regarder la suite des événements, je me suis redressé et j’ai foncé dans mon bureau.


Je vous l’ai dit; tout claustrophobe qui se respecte possède plusieurs portes de sortie. Je me suis précipité vers la porte d’un vieux monte-plat hors d’usage et je l’ai ouvert brusquement. Deux gros câbles d’acier traversaient le vide. Si je descendais par-là, j'arriverais au sous-sol, dans les cuisines et je pourrais remonter par un couloir secret dans la salle de jeu, en utilisant la trappe sous le bar. Une attaque surprise. Ces mecs étaient mieux d’abandonner immédiatement, sinon je ne donnais pas cher de leur peau. Mes flingues bien accrochés, j’ai commencé à descendre lentement, malgré la morsure douloureuse de l’acier qui lacérait mes mains.


On ne s’attaquait JAMAIS au Forzalli.


KoalaVolant
Liberty Apple
   
RP
Habitation : New-York
Célébrité : Liberty
DC : Je suis unique
HRP
Liberty Apple
Admin

Event

Event - Attaque au casino des Forzalli  - Page 5 L5vhEvent - Attaque au casino des Forzalli  - Page 5 Kk6nEvent - Attaque au casino des Forzalli  - Page 5 Vg5a


Le Casino Forzalli

Le boulet de service (C'est un petit surnom mignon, n'est ce pas, pour nommer ce type qui se tape la discute avec Nikolai) ne semblait pas savoir quoi faire, il était clairement novice et n'avait pas la lumière à tous les étages. Il avait interpellé son chef et un autre de ses compagnons se trouvait non loin, rameutant les dénommés Diego et Aaron. Se retrouvant tous deux, poussant leurs otages à remplir les caisses, l'idiot de service avait glissé quelques mots à son comparse sur la brune en robe rouge qui s'était dite importante. Voilà qui fit tilt dans l'esprit du gaillard qui s'approcha d'elle.  @Andromaque Forzalli

Il parait que t'es importante ? T'es qui ?


Pendant ce temps, le chef de la bande se débarrassa d'un croupier un peu trop zélé, blessant légèrement une jeune femme au passage. C'est alors qu'un homme vint lui faire face, s'amusant à jouer les héros. Un autre de ses gars se trouvait derrière le dénommé  @Leonardo Baxter et remarqua rapidement l'arme qu'il portait. Décidément, la sécurité de ce casino était à revoir !

Il a une arme !
S'écria le comparse numéro 3 tout en s'avançant pour la récupérer tandis que Jed réagit très vite à cette annonce, pointant son arme sur lui. Mais alors que n°3 récupérait le pistolet, annonçant que c'était une arme de flic, ce qui tendit encore plus l'atmosphère, rien ne semblait vouloir aller correctement pour nos braqueurs. Une balle siffla et, quelques secondes plus tard, l'idiot du groupe tomba au sol, inerte, dans une mare de sang.

Putain ! Hurla Jed tout en cherchant autour de lui qui avait pu faire ça, lui faisant perdre le peu de patience qu'il avait encore.

Vous voulez jouer aux plus malins ? On va jouer ! Toi ! Occupe toi du flic ! On va leur montrer qu'on ne rigole pas. Et toi fouille les !


Le second homme s'était approché de son chef après avoir empoigné Andromaque par les cheveux et l'avoir ramenée au centre de la pièce, là où se trouvait également Léo. Il lui murmura quelques mots et l'homme acquiesça avant de lui dire de choisir une autre personne pour remplir les sacs, et c'est sur  @Liam Keller  que cela tomba.

Le reste du groupe était entassé face au chef et aux deux otages qu'il surplombait, menaçant. Il commença par s'attaquer au flic qui avait un peu trop ouvert sa bouche, lui donnant un coup de crosse en plein visage. La suite du spectacle ne fut pas moins violente, les coups pleuvaient sur l'homme tandis que numéro 3 s'en prit à la femme.

Ils ne devaient pas trop se disperser, et lorsque numéro 2 eut choisit sa cible, il le ramena auprès de Nikolai, Aaron et Diego afin qu'il remplisse les sacs à son tour.

On entendit les sirènes de la police arriver et peu de temps après, le téléphone sonna mais personne n'y répondit. On entendit quelques instants plus tard une voix dans un mégaphone, celle d'un policier qui leur sommait de se rendre...Ils étaient piégés.

(Pour  @Leonardo Baxter et  @Andromaque Forzalli vous avez eu le résultat le plus élevé au dés avec blessures graves mais pas mortelles, je vous laisse voir par vous mêmes quelles sont ces blessures qui pourraient vous correspondre pour la suite de vos rps)
Halloween


♫ New-York ♪

avatar
   
RP
HRP
Invité
Invité
Attaque au casino des ForzalliAndromaque & autres
Apparemment que la première idée est toujours la bonne, du moins, c'est ce que l'on m'a souvent répété, et j'aurais forcément du écouter cette première idée. Là au lieu de cela, je me retrouvais plutôt à aider de mauvaises personnes à piller le casino avec l'homme arrogant qui m'a surement prise pour une femme de petite vertue sans réellement savoir qui j'étais, et c'était en même temps, tant mieux pour moi, comme ça j'évitais encore plus de problèmes. Quand je me regardais dans certains reflets, probablement que j'aurais penser pareil. L'homme le plus proche de moi ne semblait pas trop sur de savoir ce qu'il faisait, mais il ne fallait jamais se fier aux apparences. Je n'étais pas assez proche pour entendre tout ce qui se passait autour de moi,  je préférais me concentré sur l'homme qui se tenait près de l'homme et moi. Je décidai de jeter un coup d'oeil rapide derrière moi, juste un court instant, deux hommes semblaient avoir les même problème que moi. Je n'ai pas eut le temps de voir quoi que se soit parce que je me retournai aussitôt que l'homme qui m'avait insulté avec son verre me traite de salope et que l'homme avec le fusil fit de même. Je bouillait de rage par en dedans et préférais ne pas l'extériosé parce que c'était quand même ma vie qui était en jeu en ce moment et même si vu de l'extérieur, je semblait être d'un calme olympien, à l'intérieur, je tremblais littéralement. Pas que l'envie de pleurer me prenait, moi qui pleurais pratiquement jamais sans raison.

« Je suis aussi importante que n'importe quelle personne normale qui souhaite simplement dépensé une tonne d'argent pour le plaisir »

J'étais jeune et riche mais cela ne faisait pas de moi une femme hautaine, bien au contraire, la plupart du temps j'utilisais mes moyens pour aider les causes pour enfants, même si à tout bien considéré, pour beaucoup de gens, j'étais une enfant. L'homme près de moi n'était pas seul. J'allais ajouté quelques chose lorsque l'homme près de moi s'écroula soudain. Un soupir de soulagement me traversa et par reflexe, j'otai mes talons haut histoire de courir. Au moment ou j'ai trouvé un endroit ou me mettre à l'abri, je sentis alors une poigne me prendre par les cheveux, m'arrachant un cri. Bordel, c'est clair, dans ma tête ça sonnait comme "je vais creuver ici se soir". Je vis un homme répéter les mêmes mouvements, bon sang, il s'acharnait sur quelqu'un ou quoi ? Sauf que moi, malgré qu'un homme était tombé mort, j'étais toujours dans une mauvaise passe. Je n'aurais jamais pensé qu'il s'en prendrai à un femme : j'ai été rué de coups, ma lèvres et ma joue fendues peuvent en témoigné, et même si tous les os peuvent subir une fracture, mais qu'apparemment les fractures plus fréquentes sont sur les os longs des membres (jambes, bras, doigts), donc avec une très bonne pression,  je me suis retrouvé avec un poignet et une cheville brisés, me faisant hurler. Je n'ai aucune fractures à mon actif donc il faut dire qu'en ce moment, les larmes coulaient sur mes joues, dû a la douleur. Puis, je ne sais comment, mais une douleur a l'abdoment se fit ressentir : je baissai le regard et vit le manche d'un dague. J'étais une jeune femme qui se mêlait rarement des choses des autres donc me faire poignarder, c'était une premier. Le goût ferreux du sang me monta à la bouche. Toute la douleur ressentie, je sentie ma conscience vouloir sombrer dans l'ombre, mon corps me disait presque qu'il n'en pouvait plus. Je sentais mes yeux se fermer tranquillement et ma vision devenir flou. J'eus une pensée pour Tomas et espérait qu'il soit près de moi. La dernière chose que j'entendis avant de perdre connaissance était la boucle d'une ceinture que l'on défaisait.
©️ 2981 12289 0
avatar
   
RP
HRP
Invité
Invité

Event au Casino




Choix de blessures : no 2

Il fallait que je me dépêche, il fallait que je sauve mes hommes et le plus de gens possibles. Pas pour avoir le sentiment du héros qui a accompli sa mission en sauvant le plus de vies possibles, mais bien parce que des morts seraient mauvais pour les affaires, autant pour le casino que pour la famille. Alors oui, j’ai précipité les éclats de colère des braqueurs en fusillant l’un d’entre eux -celui le plus près d’Andromaque- avant de décider d’intervenir directement sur les lieux. Comme tout risquait d’être fermé à double tour s’ils étaient le moindrement intelligent, je devais passer par les réseaux souterrains afin de gagner la salle de jeu. Croire qu’une famille ayant tant profiter de la prohibition ne possédait pas de tels passages secrets était idiots. Il ne me restait qu’à espérer que ces connards n’en profite pas pour massacrer plus de gens. Descendre par le passe-plat alors qu’on était un violent claustrophobe était écoeurant. Non seulement l’acier des câbles que je descendais mangeait la chair de mes mains, mais en plus, je pouvais sentir une peur tétanisante s’éprendre de moi. Mes yeux se fermèrent alors que des tremblements incontrôlables commencèrent à faire spasmer chacun de mes muscles.

“Merde” Grognais-je, alors que je tentais de me tenir avec force aux câbles d’acier, incapable de faire le moindre mouvement.

L’endroit était petit…beaucoup trop petit. Je devais sortir. Je devais absolument sortir avant de mourir, mais mon corps ne m’obéissait plus. Ma tête tournait, le vertige me percuta de plein fouet alors que normalement, je n’étais pas sujet à être victime de ce genre de peur. Merde….merde! Les muscles de mes bras étaient tendus à l’extrême et je pouvais sentir mes forces diminuer de plus en plus. Il fallait dire que d’un point de vue physique, maintenir son corps au-dessus du vide en se tenant à un câble d’acier était demandant. Très demandant. J’étais sur le point de perdre connaissance tant ma peur irrévérencieuse était incontrôlable.

“Si je tombe, je crève” Râlais-je dans un murmure terrifié.

Seule ma volonté de ne pas mourir me fit lentement descendre vers le sol, même si cet acte blessa mes mains beaucoup plus que prévu. Une fois mes pieds bien au sol, j’ai dû me pencher afin de vomir brusquement. Plus jamais….plus jamais!

J’entendis les sirènes de policiers au loin et ça me convainquit de continuer d’avancer. Arrachant les manches de mon veston de costume, j’en ai déchiré le tissu avec mes dents afin d’entourer mes paumes qui saignaient abondamment. Pas le temps d’en regarder les dommages même si la douleur était vraiment forte.

Le plus rapidement possible, mais en silence, je me suis dirigé dans les souterrains jusqu’à la fameuse trappe sous le bar. Le bar était éloigné des comptoirs caisses, mais me permettrait d’agir plus subtilement avant que les policiers se décident à bouger leurs gros culs! Très doucement, j’ai poussé la trappe et je me suis hissé dans la salle de jeux. La voix d’un flic se fit entendre, mentionnant aux braqueurs qu’ils étaient pris au piège. Bande d’idiot.

Lentement, j’ai sorti mon flingue en mordant violemment mes lèvres pour ne pas gémir de douleur et j’ai rampé sur le sol afin d’observer la situation. D’ici, je pouvais voir Aaron. Merde. J’avais espéré que le gamin se serait mis à l’abris afin de pouvoir agir dans l’ombre! Il était de loin le membre du clan présent le plus intelligent, son aide aurait été la bienvenue! Bordel, qu’est-ce que j’allais faire? Et Andromaque? Pourquoi n’était-elle plus là? Impossible que mon tir l’ai touché…enfin, je crois.

D’un geste subtile de la main, j’ai esquissé un signe vers l’informaticien avant de me tourner vers certains de mes mecs en civils afin d’esquisser le même geste. Des gestes militaires. Des gestes qui signifiaient qu’ils devraient attraper tout ce qui pourrait être considéré comme une arme afin d’attaquer l’ennemi. Nous étions plus nombreux. Nous possédions un nombre incalculable de bouclier humain qui pourrait nous servir en cas de besoin.

Au premier geste contre l’un des nôtres, il nous faudrait agir avec force afin de passer le message qu’on ne s’attaquait pas à nous.


KoalaVolant
Diego Arriaga
   https://growupforum.forumactif.com/t465-diego-arriaga-il-est-bon-mon-burrito-il-est-bon#14095  
RP
Habitation : Son Food Truck dort dans un entrepôt de Jackson Heights. Lorsque Diego se réveille, il a une vue imprenable sur son outil de travail puisqu'il a aménagé un appartement en duplex de ce vieux hangar
Infos diverses : ❧ Il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol.

❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.

❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père. C'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.

❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.

❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.

❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !

❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !

❧ Très bon cuisinier, même en dehors de son Food/Drugs-Truck



Event - Attaque au casino des Forzalli  - Page 5 B2v4

Célébrité : Alejandro Speitzer
Crédits : Avatars : Eden Memories
DC : Matt Roja - Enzo Forzalli - Billie Davis - Elena Flores - Jackson Blake - Liam Keller
HRP
Diego Arriaga
Le cartel de Las Chiapas

Attaque au casino des Forzalli
Diego Arriaga & Others



Il s’était fait houspiller comme un gamin ayant mangé toute la boîte de chocolats de Noël, mais avant qu’il ne puisse répliquer et dire à Aaron d’arrêter de vouloir jouer les héros, le Mexicain repéra un des hommes cagoulés s’approcher d’eux. La voix tremblante, il demanda à son ami de ne pas faire l’imbécile, que tout ce que les braqueurs voulaient, c’était l’argent et que tout pouvait bien se terminer. C’était utopiste ? Peut-être… Aucun d’eux n’avait d’intérêt à faire des blessés, s’ils voulaient avoir une chance de sortir de là sans casse, les malfrats se devaient de ne pas faire de victime, la police n’en serait que plus clémente et plus à leur écoute. Du moins cela, Diego l’espérait. Après avoir dû refiler l’intégralité de leurs biens, dont son précieux argent, les deux compères se faisaient à présent conduire en direction de caisses. C’était ironique puisque c’était l’endroit exact où ils se rendaient avant que tout ce merdier ne commence.

Tout en marchant, il essayait d’apercevoir Caitlyn au milieu du groupe d’otage installé au centre de la pièce, il s’inquiétait pour elle et espérait que rien ne lui était arrivé. Avec un peu de chance, la blonde aurait réussi à se mettre à l’abri, à se sauver avant que les choses ne dégénèrent autant. Et oui, c’était plus fort que lui, il préférait voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide, et même si cela pouvait le faire passer pour un éternel optimiste, c’était là l’un de ses traits de caractère qui lui avait permis de survivre à toutes les difficultés que la vie avait fourbement glissées sur son chemin… La peur et la surprise venaient de prendre le pas sur tout le reste au moment où l’un des employés tenta de s’échapper, ce dernier recevant comme unique récompense une mort immédiate et sans sommation. Le Mexicain ne put retenir un petit cri de sortir d’entre ses lèvres tandis que ses paupières s’étaient fermées pour ne pas avoir à assister à la chute du corps et au sang s’écoulant de la blessure. Lorsque ses prunelles se rouvrir, elles tombèrent sur la silhouette d’Aaron qui venait de se positionner entre lui et les braqueurs tout en assenant une vérité factuelle. « On… On reste ensemble, ok ? », sa voix était chevrotante, sa main empoignant pour la seconde fois en quelques minutes le bras du brun, il planta ses yeux dans ceux de son ami pour continuer sur un ton doux et suppliant, « Ne joue pas au plus malin, s’il te plaît, et arrête de les chercher... ». Il avait parfaitement entendu le semblant de conversation qu’il avait initié avec celui étant venu les chercher, mais bien qu’il n’ait pas fait attention à la réponse quant au propriétaire des lieux, il lui semblait plus prudent de ne pas tenter quoi que ce soit.

Voilà qu’ils se retrouvaient à présent en compagnie d’un autre homme et d’une jeune femme derrière le comptoir à remplir les sacs en jute de jetons. Le blond qu’ils avaient rejoint jouait les durs à cuire voulant copiner avec les braqueurs sous le regard médusé de Diego. La scène était invraisemblable, à croire que personne ne savait fermer sa grande bouche dans ce casino ! La brune qui était occupée avec eux à remplir les sacs se retrouva alpaguée par l’un des cagoulés lui demandant en quoi elle était importante. Qui se vantait d’une telle chose dans une circonstance pareille ? Le Mexicain se serait volontiers frappé le front, mais, une fois encore, un corps s’échoua au sol. Le preneur d’otages se trouvant auprès d’eux venait de se prendre une balle venant d’on ne sait où, son sang éclaboussant les personnes les plus proches de lui. Contrairement à quelques minutes auparavant, aucun son ne s’échappa de la gorge de Diego qui se contenta de détourner le regard en déposant son front sur l’épaule d’Aaron. Sa respiration était saccadée sous l’inquiétude qui grimpait et un sentiment de dégoût lui prenait les tripes alors qu’il sentait la chaleur de l’hémoglobine glissant sur l’une de ses joues. Il était comme paralysé, ses yeux refusaient de s’ouvrir si c’était pour assister encore une fois à l’écroulement de quelqu’un alors il se limita à essayer de retrouver un rythme cardiaque normal en marmonnant, son visage toujours au contact du brun, « C’est un cauchemar, faites que ça s’arrête. ».


En espagnol dans le texte.

code by bat'phanie



   
Drugs in Food
avatar
   
RP
HRP
Invité
Invité

Attaque au casino des Forzalli
Event - Attaque au casino des Forzalli  - Page 5 Ec72393391f4d096e1d0b839b3f40ab796b57630Event - Attaque au casino des Forzalli  - Page 5 4bccff8011cee6fbf84df2e8b4e13f7833fc9d16


Cat n'en menait pas large. Quand Liam s'était éloigné en lui disant de ne pas regarder ce qu'il se passait, un frisson la parcourut mais elle ne moufta pas, chose rare. Elle resta droite, avançant comme on le lui avait demandé alors que la panique commençait à se faire sentir. Si les flics arrivaient avant que ces types ne s'enfuient, il y avait des chances pour que ce soit un véritable bain de sang étant donné ce qu'il se passait. On disait souvent de la blonde qu'elle était "folle" mais elle ne l'était pas au point d'ouvrir sa bouche en un tel instant. Elle suivit le mouvement et lorsque le type passa devant chacun d'eux, elle se dépêcha de lui donner son sac à main, son téléphone et ses bijoux. Rien de ce qu'elle portait ne pouvait valoir qu'elle risque sa vie. Elle resta silencieuse, s'asseyant là où on le lui avait ordonné. C'était, pour elle, la seule façon de survivre : se faire discrète. Elle jeta un oeil vers l'endroit où ses deux comparses s'étaient dirigés et elle crut percevoir furtivement Diego qui se dirigeait vers les caisses pour remplir les sacs des voleurs. Mais son attention fut déviée par un homme s'écroulant soudainement au sol, dans une mare de sang, ce qui lui valut un cri de surprise - et sans doute de peur également -

Le groupe commença à s'agiter, quelques personnes s'osèrent à prendre la parole et Cat posa ses mains sur sa bouche en voyant la femme de son cousin et un jeune homme se faire tabasser pour avoir trop osé l'ouvrir. Elle avait relevé les yeux vers Liam, espérant qu'il ne joue pas aux héros, lui qui ne supportait pas de voir un homme à terre sans intervenir pour tenter de le soigner. Machinalement, elle attrapa la main de son voisin, une personne qu'elle ne connaissait absolument pas, mais elle avait besoin d'un contact, à la fois pour se rassurer et pour rester ancrée dans la réalité, chose que les sirènes de police ne manquèrent pas de faire également.

Moses.

   
RP
HRP
Contenu sponsorisé