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Diego Arriaga - Il est bon mon burrito, il est bon !!!

Diego Arriaga
   https://growupforum.forumactif.com/t465-diego-arriaga-il-est-bon-mon-burrito-il-est-bon#14095  
RP
Habitation : Son Food Truck dort dans un entrepôt de Jackson Heights. Lorsque Diego se réveille, il a une vue imprenable sur son outil de travail puisqu'il a aménagé un appartement en duplex de ce vieux hangar
Infos diverses : ❧ Il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol.

❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.

❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père. C'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.

❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.

❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.

❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !

❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !

❧ Très bon cuisinier, même en dehors de son Food/Drugs-Truck



Diego Arriaga - Il est bon mon burrito, il est bon !!! B2v4

Célébrité : Alejandro Speitzer
Crédits : Avatars : Eden Memories
DC : Matt Roja - Enzo Forzalli - Billie Davis - Elena Flores - Jackson Blake - Liam Keller
HRP
Diego Arriaga
Le cartel de Las Chiapas
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Diego E. Arriaga
Prénom & Nom • • Diego Esteban Arriaga
Age • • 27 ans
Date/lieu de naissance • • 31 mai 1995 à Guadalajara, Mexique
Métier • • Dealer de drogues pour Las Chiapas et directeur - aka chef cuisto - du Food Truck « Burrito Ambulant et Cie »
Phobie • • Diego a peur de l'eau. Pas de la pluie ou de la simple vision d'une étendue d'eau, non, ce qui l'inquiète ce sont les prodondeurs. Ne sachant pas nager, il évite d'avoir de la flotte au dessus des genous !
Sexualité • •  Il n'a connu que des femmes, pourtant, et même s'il ne se l'avoue pas, il a clairement une attirance pour la gent masculine
Situation maritale • • C'est un cœur à prendre
Particularités • •  Malgré les années qui ont passé et qui ont atténué les dégâts, Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père. C'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On peut également trouver quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez également une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit, sans doute penserez-vous que cela est dû à une chute de vélo, après tout, beaucoup de gamins turbulents en ont.
Caractère Sur cette terre, il y a différents types de personnes : ceux qui ont le cul bordé de nouilles et à qui la vie sourit, ceux qui ne savent pas saisir leur chance ou ceux qui la prennent à bras-le-corps dès qu’elle s’approche ne serait-ce qu’un peu et ceux pour qui l’existence n’est qu’une accumulation de merde en tout genre et qui se créent leurs propres opportunités. Diego était définitivement de cette dernière catégorie. Là où beaucoup auraient vu de la fatalité, il essayait autant que possible d’en faire sa force, et même si pour lui, grimper dans l’échelle sociale n’avait jamais été sa priorité, il fallait surtout avouer qu’il s’était toujours battu pour sortir du bourbier dans lequel se trouvait les siens. Car oui, s’il mettait autant de hargne dans tout ce qu’il entreprenait, ce n’était pas vraiment pour lui, mais bel et bien pour les plus jeunes de sa famille. Il espérait leur offrir le meilleur, du moins, le meilleur qu’il pouvait prétendre à leur décrocher avec ses propres moyens, tout aussi dérisoire que ces derniers puissent être.

Débrouillard par nécessité, il avait dû apprendre très jeune l’autonomie. Se retrouver à devoir s’occuper de sa fratrie ainsi que de sa mère défaillante l’obligea à devoir faire preuve d’imagination dans le quotidien pour utiliser ses dix doigts à bon escient. Diego n’avait pu compter que sur lui-même, et pour être tout à fait honnête, il trouvait ne pas s’en être trop mal sorti ! Il avait emprunté les chemins qui lui semblaient être les bons, les plus en adéquation avec ses compétences et ses savoirs. Le mexicain était fier de pouvoir dire que sa vie, il se l’était construite lui-même et qu’il avait participé à simplifier celles des siens, leur donnant la possibilité de bâtir leurs propres existences avec autant de chances que n’importe qui et ce, peu importe d’où ils venaient, Diego avait fait en sorte qu’aucune porte ne se ferme face à eux. Cependant, il avait cette tendance à ne jamais trouver cela suffisant. Non pas qu'il est particulièrement ambitieux, mais plutôt qu'il passe son temps à se rabaisser et ne pas trouver être assez. Assez bien. Assez intelligent. Assez drôle ou que sais-je. Juste, pas assez...

Les difficultés rencontrées ne l'avaient pour autant rendu dur, le Mexicain était d'un naturel bienveillant et un brin naif par moment. S’il parvenait parfaitement à se montrer avenant dans sa vie professionnelle, cela n'était que façade et il était nettement plus compliqué pour lui de l'être dans sa vie quotidienne. Pudique et timide, il se montre doux dans l’intimité. Avenant par obligation dû à son métier, Diego est en réalité un jeune homme plutôt timide et ne faisant pas preuve d'une confiance en lui énorme. Il peut d'ailleurs avoir bien du mal à comprendre l'intérêt que les autres peuvent lui porter, et il peut cacher ce trait de caractère sous une légère arrogance lorsqu'il n'est pas à l'aise avec son vis-à-vis. Lorsque les relations deviennent plus intimes, le brun perd de sa superbe et laisse apparaître les fragilités qui se trouvent en lui.

Son envie de bien faire et son passé difficile peut le mener à être brutale par moments. Il a tendance à se laisser porter par la colère qui l’envahit, mais il s’en mord systématiquement les doigts et cela reste toujours très fugace. La violence, il l’a connue de trop près pour accepter d’en être l’auteur, néanmoins, quand on a grandi avec aucune règle, quand on a dû se construire seul et se battre pour s’en sortir, il est parfois difficile de faire la part des choses et de prendre sur soi. Alors il arrive à Diego d’exploser, de s’emporter, de devenir brutal avant de se rendre compte de son geste. Tremblant, il aura du mal à avouer son erreur, il y a plus de chance de le voir se fermer que de s’expliquer dans ces moments-là. Les gènes ont la vie dure…
Anecdotes
1/ Il vit sur le sol américain depuis onze ans, mais il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol lorsqu’il se laisse submerger par ses émotions.

2/ Si vous lui posez la question, Diego vous répondra qu’il n’aime pas l’eau. Si vous lui proposez une baignade rafraîchissante alors que la canicule s’est abattue sur la ville, il vous dira qu’il ne craint pas la chaleur. En réalité, il n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !

3/ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel - noter l'ironie -, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.

4/ Parler lui de ce qui se trouve au-dessus de nos têtes et il pourra vous énumérer l’intégralité des constellations qui parsèment le ciel. D’ailleurs, les seuls bouquins (remplis de photographies) que vous trouverez chez lui traitent de ces magnifiques corps célestes. Son petit plaisir à lui, c’est de quitter l’air pollué de New York afin de pouvoir admirer la voie lactée et de s’endormir devant ce spectacle en s’imaginant pouvoir, un jour, toucher du doigt les étoiles.

5/ Diego n’a jamais franchi les portes d’une école aux États-Unis et franchement, il n’avait pas été particulièrement assidu durant sa petite scolarité dans son pays d’origine. Ses études à lui, ça avait été la rue, l’école de la vie comme on dit ! Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. Ce n’est pas quelqu’un de cultivé. Il se moque pas mal des actualités et encore plus de la politique.

6/ Alors oui, Diego fait des mélanges détonants, énergisants et euphorisants. Oui, il fait les meilleurs – en toute modestie bien sûre ! - burritos, guacamoles, tacos, tamales, enchiladas et autres capirotadas de la ville, mais il n’est pas bon qu’à cuisiner du Mexicain ! Il se peut même qu’un jour prochain, il diversifie son activité avec des Food-Truck italien, asiatique ou polonais !

7/ Il ne croit pas en Dieu, pourtant, on peut lire sur son omoplate gauche une citation tirée de la bible : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Tous ses tatouages ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est ni comment il en est arrivé là.

8/ On le traite régulièrement de petit con sans qu'il ne comprenne pourquoi ! Sans doute que le fait qu'il puisse se mélanger les pinceaux facilement en parlant en est la raison...

9/ En juin 2022 lui a été dérobé une grosse quantité de sa came. Depuis, il à une dette énorme à rembourser à Las Chiapas ce qui le pousse à devoir prendre des petits boulots supplémentaires pour subvenir à ses propres besoins mais également, et surtout, à ceux de ses proches.
Lien avec le contexte

Il deal pour Las Chiapas. A-t-on réellement d'en dire plus ? Ah oui, il a une sacrée dette envers ces derniers !
Stats

Agilité  • •   6 / 10
(acrobatie, escalade, souplesse…)

Coordination  • •   6 / 10
(crochetage, lancer, sport de précision comme tir à l’arc ou arme a feu…)

Vigueur  • •   6 / 10
(course, endurance, sport de puissance comme le rugby…)

Combat  • •   4 / 10
(tout type art martial…)

Savoir  • •   2 / 10
(business, culture générale, discipline universitaire…)

Perception  • •   5 / 10
(enquête, jeux, camouflage, pratique artistique, recherche…)

Charisme  • •   6 / 10
(Charme, comédie, persuasion, manipulation, intimidation, volonté…)
Histoire
Un père toxico et violent, une mère internée en hôpital psychiatrique... Voilà ce qui avait conduit Diego à New York en compagnie de son petit frère et de ses deux petites sœurs. À quinze ans, il avait été propulsé du bidonville de El Tapatio, en périphérie de Guadalajara au Queens, dans le quartier de South Jamaica où vivait l’une de ses tantes mariées à un Américain. Ils avaient fait le voyage depuis le Mexique avec un simple baluchon chacun, la plus jeune de la fratrie blottie dans les bras de Diego durant la quasi-totalité du trajet, pleurant doucement contre le torse de son frère alors qu'elle ne comprenait pas pourquoi elle avait dû quitter sa mère. Il avait fait du mieux qu'il avait pu pour rassurer tout ce petit monde, mais en réalité, lui non plus ne savait pas vraiment ce qui les attendait. Diego avait simplement reçu un appel, une voix douce s'était échappée du combiné de l'établissement dans lequel ils avaient tous les quatre été placés depuis qu'un voisin les avait dénoncés aux services sociaux de l'état de Jalisco et la proposition qu'il reçut lui avait semblé alléchante.

« Si tu crois que les morveux de ta sœur vont vivre à mes crochets, tu te mets le doigt dans l’œil jusqu’au coude ma pauvre ! », c’est en entendant cette phrase et la conversation qui suivit que le jeune Mexicain comprit que la venue de quatre enfants au sein de ce foyer n’était le souhait que d’une seule personne. Tania n’en avait fait qu’à sa tête en cassant sa tirelire pour les faire venir afin de s’occuper d’eux et de les faire sortir de leur misère. Elle ne s’était pas imaginé que son époux réagirait ainsi, quoique, si elle avait agi dans son dos, c’était certainement qu’elle devait s’attendre à ce qu’il ne saute pas de joie au plafond en apprenant la nouvelle ! Il avait passé de longues minutes à écouter les deux adultes parler – bien que se hurler dessus soit plus le terme adéquat – et l’adolescent commençait à se demander si ce voyage était une bonne chose… La vie au Mexique n’avait jamais été simple, Diego avait eu plus d’une fois le ventre vide, il avait régulièrement été incapable de dormir tellement ce qui lui servait alors de maison était froid et humide, il avait ressenti la peur de ne pas voir sa mère se relever après les coups de son géniteur puis, il avait eu mal à son tour en recevant les corrections de ce dernier. Il se souvenait parfaitement des claquements de ceinture sur son dos, des brûlures de cigarette sur sa peau, de son estomac se tordant lorsqu’un poing s’abattait dessus… Ne supportant plus d’endurer cela, sa mère avait fini par perdre pied, son esprit érigeant entre elle et les autres un monde où plus rien ne pouvait l’atteindre, la plongeant dans un mutisme que ses enfants avaient du mal à comprendre. Elle semblait refaire surface uniquement à de rares moments, il arrivait à Diego de voir au fond de ses prunelles une lueur d’espoir qui pourtant avait disparu depuis longtemps, mais l’instant était si fugace que bien souvent, il pensait l’avoir rêvé. Ils étaient quatre gosses livrés à eux-mêmes au milieu de maisons délabrées et de rues en piteux état, rues de bidonville jonchées de débris et fourmillantes de dealer auprès desquels il achetait les doses nécessaires à son père. Le jeune homme avait rapidement appris à différencier la merde de la bonne, parce qu’à chaque fois qu’il était rentré avec de la « marchandise pour amateur » comme disait son père, il se prenait une gifle si puissante qu’il finissait à terre, alors désormais, il avait l’œil. Si on lui avait dit que son enfoiré de paternel lui inculquerait quelque chose d’utile, il ne l’aurait jamais cru, et pourtant…

Alors qu’il était plongé dans ses souvenirs, Diego n’avait pas remarqué que les voix de la pièce d’à côté avaient cessé et il se retrouva le nez plaqué contre le torse de l’homme qui les accueillait chez lui tandis que la porte s’ouvrait, le déséquilibrant pour le faire plonger en avant.

« Dégage de là pique-assiette ! », l’homme l'avait attrapé par le col de son tee-shirt pour le plaquer au mur. Son haleine puait la vinasse, « Super, on a troqué un camé pour un ivrogne... ». Le regard du jeune homme s’était fait dur, tout autant que son ton arrogant, et il n’avait pas baissé les yeux quand les phalanges de son vis-à-vis lui caressèrent fort peu délicatement la joue. « Tu as intérêt à apprendre à fermer ta grande gueule, sinon je me chargerai de faire ton éducation. », non, décidément, ce voyage en avion n’était peut-être vraiment pas une bonne idée…

Dans les semaines qui suivirent, les prises de bec avec leur oncle furent nombreuses et alors que Tania venait d’annoncer aux enfants qu’elle avait réussi à leur trouver une école à chacun, Diego annonça qu’il n’y mettrait pas les pieds. Quelques heures plus tôt, il avait eu une grande et belle conversation avec le mari de sa tante qui lui avait gentiment fait comprendre que sa famille et lui dérangeaient, et ce, parce qu’ils coûtaient cher. « Je vais trouver un travail ! », ça, c’était le plan de départ afin que ce type ne les jette pas à la porte. Mais, il est évident qu’à son âge, alors qu’il ne parlait que très mal l’anglais et qu’il était un tantinet impulsif, trouver un emploi ne s’avéra pas aussi facile que ce qu’il s’était imaginé. Il avait fait le tour des commerces du quartier, avec l'aide d'une de ses cadettes il avait même essayé de répondre aux petites annonces se trouvant dans le journal et au bout de quelques jours, il avait abandonné. S’installant sur un banc en regardant les passants déambuler, il remarqua un manège qui lui était familier. Des allées et venues, des échanges de billets, des sachets glissants d’une poche à une autre, des sourires figés, des regards absents, des mains tremblantes… South Jamaica était réputé pour être le quartier le plus pourri de New York, celui où le trafic de drogue avait la belle vie et Diego le comprit en prenant seulement cinq minutes de son temps pour observer, il connaissait ça par cœur. Et si… Ses lèvres s’étaient étendues dans une risette mélangeant fierté et satisfaction quand une idée germa dans son esprit. Il ne lui restait plus qu’à trouver sa came ! Cependant, s’il voulait parvenir à faire des bénéfices, il lui faudrait un fournisseur raisonnable et des clients friqués !

Le problème du fournisseur avait été réglé rapidement, il avait trouvé une faille dans un dispensaire non loin de là où il habitait et c’était devenu sa réserve. Il piochait discrètement dans les médicaments pour faire ses propres mélanges et bon dieu, il était doué pour créer de bons stimulants ! Pour ce qui était de la clientèle… Il lui avait suffi de traverser un pont pour se retrouver totalement subjugué par les buildings de Manhattan et… ses gosses de riches ! S’accoquinant avec une élève qui cherchait à vivre le grand frisson de l’illégalité, Diego mis en place un stratagème qui allait devenir nettement plus lucratif que ses petites ventes à la sortie des écoles huppées. Pour ça, il avait passé des heures à écumer les tas de ferraille d’une casse, et il avait trouvé un ancien food truck à l’abandon. Après quelques travaux sur le moteur, la bête roulait à nouveau. Un bon rafraîchissement de la carrosserie plus tard et l’engin était prêt à faire sa première sortie. Il ne restait plus qu’au Mexicain à apprendre comment cuisiner des burritos ! C’était de la pure démerde, il n’avait aucune idée quant à l’avenir de son commerce, mais ce qui était sûr, c’est que la couverture était parfaite !

Il s’était finalement fait sortir à coups de pied dans le derrière de la maison de South Jamaica, il avait continué à envoyer de l’argent pour subvenir aux besoins de ses frères et sœurs et leur rendait visite régulièrement quand l’autre idiot était absent, profitant d'un délicieux gâteau préparé par sa tante. Son « Burrito Ambulant et Cie » tournait à merveille, les étudiants des différents campus universitaires de la Grosse Pomme étant particulièrement friands de la nourriture mexicaine et des petits accompagnements qu’il pouvait glisser dans leur commande. Comme quoi, avec de l’imagination, une bonne dose de culot, un sourire ravageur et un sens du commerce inné, on pouvait aller loin dans la vie ! Et on pouvait surtout se faire repérer par les mauvaises personnes...
Pseudo • • Lily-Gre
Age • • 32 ans
D'où nous venez-vous • • De Lyon, France
Un petit mot en plus • • Choubidoubidou whaaaaaa
Avatar • • Alejandro Speitzer
Crédits • • Eden Memories et All-souls
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Diego Arriaga
   https://growupforum.forumactif.com/t465-diego-arriaga-il-est-bon-mon-burrito-il-est-bon#14095  
RP
Habitation : Son Food Truck dort dans un entrepôt de Jackson Heights. Lorsque Diego se réveille, il a une vue imprenable sur son outil de travail puisqu'il a aménagé un appartement en duplex de ce vieux hangar
Infos diverses : ❧ Il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol.

❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.

❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père. C'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.

❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.

❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.

❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !

❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !

❧ Très bon cuisinier, même en dehors de son Food/Drugs-Truck



Diego Arriaga - Il est bon mon burrito, il est bon !!! B2v4

Célébrité : Alejandro Speitzer
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DC : Matt Roja - Enzo Forzalli - Billie Davis - Elena Flores - Jackson Blake - Liam Keller
HRP
Diego Arriaga
Le cartel de Las Chiapas
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Mon histoire


Un père toxico et violent, une mère internée en hôpital psychiatrique... Voilà ce qui avait conduit Diego à New York en compagnie de son petit frère et de ses deux petites sœurs. À quinze ans, il avait été propulsé du bidonville de El Tapatio, en périphérie de Guadalajara au Queens, dans le quartier de South Jamaica où vivait l’une de ses tantes mariées à un Américain. Ils avaient fait le voyage depuis le Mexique avec un simple baluchon chacun, la plus jeune de la fratrie blottie dans les bras de Diego durant la quasi-totalité du trajet, pleurant doucement contre le torse de son frère alors qu'elle ne comprenait pas pourquoi elle avait dû quitter sa mère. Il avait fait du mieux qu'il avait pu pour rassurer tout ce petit monde, mais en réalité, lui non plus ne savait pas vraiment ce qui les attendait. Diego avait simplement reçu un appel, une voix douce s'était échappée du combiné de l'établissement dans lequel ils avaient tous les quatre été placés depuis qu'un voisin les avait dénoncés aux services sociaux de l'état de Jalisco et la proposition qu'il reçut lui avait semblé alléchante.

« Si tu crois que les morveux de ta sœur vont vivre à mes crochets, tu te mets le doigt dans l’œil jusqu’au coude ma pauvre ! », c’est en entendant cette phrase et la conversation qui suivit que le jeune Mexicain comprit que la venue de quatre enfants au sein de ce foyer n’était le souhait que d’une seule personne. Tania n’en avait fait qu’à sa tête en cassant sa tirelire pour les faire venir afin de s’occuper d’eux et de les faire sortir de leur misère. Elle ne s’était pas imaginé que son époux réagirait ainsi, quoique, si elle avait agi dans son dos, c’était certainement qu’elle devait s’attendre à ce qu’il ne saute pas de joie au plafond en apprenant la nouvelle ! Il avait passé de longues minutes à écouter les deux adultes parler – bien que se hurler dessus soit plus le terme adéquat – et l’adolescent commençait à se demander si ce voyage était une bonne chose… La vie au Mexique n’avait jamais été simple, Diego avait eu plus d’une fois le ventre vide, il avait régulièrement été incapable de dormir tellement ce qui lui servait alors de maison était froid et humide, il avait ressenti la peur de ne pas voir sa mère se relever après les coups de son géniteur puis, il avait eu mal à son tour en recevant les corrections de ce dernier. Il se souvenait parfaitement des claquements de ceinture sur son dos, des brûlures de cigarette sur sa peau, de son estomac se tordant lorsqu’un poing s’abattait dessus… Ne supportant plus d’endurer cela, sa mère avait fini par perdre pied, son esprit érigeant entre elle et les autres un monde où plus rien ne pouvait l’atteindre, la plongeant dans un mutisme que ses enfants avaient du mal à comprendre. Elle semblait refaire surface uniquement à de rares moments, il arrivait à Diego de voir au fond de ses prunelles une lueur d’espoir qui pourtant avait disparu depuis longtemps, mais l’instant était si fugace que bien souvent, il pensait l’avoir rêvé. Ils étaient quatre gosses livrés à eux-mêmes au milieu de maisons délabrées et de rues en piteux état, rues de bidonville jonchées de débris et fourmillantes de dealer auprès desquels il achetait les doses nécessaires à son père. Le jeune homme avait rapidement appris à différencier la merde de la bonne, parce qu’à chaque fois qu’il était rentré avec de la « marchandise pour amateur » comme disait son père, il se prenait une gifle si puissante qu’il finissait à terre, alors désormais, il avait l’œil. Si on lui avait dit que son enfoiré de paternel lui inculquerait quelque chose d’utile, il ne l’aurait jamais cru, et pourtant…

Alors qu’il était plongé dans ses souvenirs, Diego n’avait pas remarqué que les voix de la pièce d’à côté avaient cessé et il se retrouva le nez plaqué contre le torse de l’homme qui les accueillait chez lui tandis que la porte s’ouvrait, le déséquilibrant pour le faire plonger en avant.

« Dégage de là pique-assiette ! », l’homme l'avait attrapé par le col de son tee-shirt pour le plaquer au mur. Son haleine puait la vinasse, « Super, on a troqué un camé pour un ivrogne... ». Le regard du jeune homme s’était fait dur, tout autant que son ton arrogant, et il n’avait pas baissé les yeux quand les phalanges de son vis-à-vis lui caressèrent fort peu délicatement la joue. « Tu as intérêt à apprendre à fermer ta grande gueule, sinon je me chargerai de faire ton éducation. », non, décidément, ce voyage en avion n’était peut-être vraiment pas une bonne idée…

Dans les semaines qui suivirent, les prises de bec avec leur oncle furent nombreuses et alors que Tania venait d’annoncer aux enfants qu’elle avait réussi à leur trouver une école à chacun, Diego annonça qu’il n’y mettrait pas les pieds. Quelques heures plus tôt, il avait eu une grande et belle conversation avec le mari de sa tante qui lui avait gentiment fait comprendre que sa famille et lui dérangeaient, et ce, parce qu’ils coûtaient cher. « Je vais trouver un travail ! », ça, c’était le plan de départ afin que ce type ne les jette pas à la porte. Mais, il est évident qu’à son âge, alors qu’il ne parlait que très mal l’anglais et qu’il était un tantinet impulsif, trouver un emploi ne s’avéra pas aussi facile que ce qu’il s’était imaginé. Il avait fait le tour des commerces du quartier, il avait même essayé de répondre aux petites annonces se trouvant dans le journal et au bout de quelques jours, il avait abandonné. S’installant sur un banc en regardant les passants déambuler, il remarqua un manège qui lui était familier. Des allées et venues, des échanges de billets, des sachets glissants d’une poche à une autre, des sourires figés, des regards absents, des mains tremblantes… South Jamaica était réputé pour être le quartier le plus pourri de New York, celui où le trafic de drogue avait la belle vie et Diego le comprit en prenant seulement cinq minutes de son temps pour observer, il connaissait ça par cœur. Et si… Ses lèvres s’étaient étendues dans une risette mélangeant fierté et satisfaction quand une idée germa dans son esprit. Il ne lui restait plus qu’à trouver sa came ! Cependant, s’il voulait parvenir à faire des bénéfices, il lui faudrait un fournisseur raisonnable et des clients friqués !

Le problème du fournisseur avait été réglé, il avait trouvé une faille dans un dispensaire non loin de là où il habitait et c’était devenu sa réserve. Il piochait dans les médicaments pour faire ses propres mélanges et bon dieu, il était doué pour créer de bons stimulants ! Pour ce qui était de la clientèle… Il lui avait suffi de traverser un pont pour se retrouver totalement subjugué par les buildings de Manhattan et… ses gosses de riches ! S’accoquinant avec une élève qui cherchait à vivre le grand frisson de l’illégalité, Diego mis en place un stratagème qui allait devenir nettement plus lucratif que ses petites ventes à la sortie des écoles huppées. Pour ça, il avait passé des heures à écumer les tas de ferraille d’une casse, et il avait trouvé un ancien food truck à l’abandon. Après quelques travaux sur le moteur, la bête roulait à nouveau. Un bon rafraîchissement de la carrosserie plus tard et l’engin était prêt à faire sa première sortie. Il ne restait plus qu’au Mexicain à apprendre comment cuisiner des burritos ! C’était de la pure démerde, il n’avait aucune idée quant à l’avenir de son commerce, mais ce qui était sûr, c’est que la couverture était parfaite !

Il s’était finalement fait sortir à coups de pied dans le derrière de la maison de South Jamaica, il avait continué à envoyer de l’argent pour subvenir aux besoins de ses frères et sœurs et leur rendait visite régulièrement quand l’autre idiot était absent, profitant d'un délicieux gâteau préparé par sa tante. Son « Burrito Ambulant et Cie » tournait à merveille, les étudiants des différents campus universitaires de la Grosse Pomme étant particulièrement friands de la nourriture mexicaine et des petits accompagnements qu’il pouvait glisser dans leur commande. Comme quoi, avec de l’imagination, une bonne dose de culot, un sourire ravageur et un sens du commerce inné, on pouvait aller loin dans la vie !

© Moses. sur Bazzart
Joachim Alvarez
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Habitation : Un petit appartement dans Midtown
Infos diverses : ❧ Il a grandi au sein d'un cartel, il est le fils du chef et doit un jour prendre la relève. Il en a le symbole tatoué sur l'épaule droite, un bothrops asper, un serpent extrêmement venimeux que l'on trouve en Amérique Latine.

❧ Il ne se plait pas dans cet univers et espère le quitter, avoir une vie normale.

❧ Il craint la réaction de son père, mais il craint encore plus de le voir se faire tuer à cause de ses affaires...Il décide alors de tout faire pour que cela s'arrête, s'alliant avec les forces de l'ordre et notamment Elena qu'il a aidée à infiltrer le cartel.

❧ Il n'a que peu connu sa mère qui est morte quand il était enfant.

❧ Il a une belle-mère à peine plus âgée que lui, et il faut avouer que ça lui fait bizarre, étant donné leur peu d'écart d'age.

❧ Il a un fils, prénommé Jarod, qu'il ne voit que trop rarement. Son existence est restée secrète, Joachim ayant la volonté de le tenir loin des "affaires familiales". Il est resté en bons termes avec la mère, il l'a aidée dès les premiers jours même s'il n'est pas assez présent pour son fils.

❧ Il avait un frère ainé qui était censé reprendre les affaires mais il s'est fait tuer en 2018, il avait seulement 2 ans de plus que Joachim.

❧ Il a fait un doctorat de pharmacologie. Si au début, ces études avaient pour but d'aider le cartel, avec le temps, c'est devenu un moyen de s'en éloigner.



Diego Arriaga - Il est bon mon burrito, il est bon !!! L66z

Célébrité : Zayn Malik
DC : Daryl-Alexis-Max-Rafaele-Erik-Evelyn
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Joachim Alvarez
Le cartel de Las Chiapas
Bienvenue mon...Ami ? On est amis ? *a un doute* dehors


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Diego Arriaga
   https://growupforum.forumactif.com/t465-diego-arriaga-il-est-bon-mon-burrito-il-est-bon#14095  
RP
Habitation : Son Food Truck dort dans un entrepôt de Jackson Heights. Lorsque Diego se réveille, il a une vue imprenable sur son outil de travail puisqu'il a aménagé un appartement en duplex de ce vieux hangar
Infos diverses : ❧ Il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol.

❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.

❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père. C'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.

❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.

❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.

❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !

❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !

❧ Très bon cuisinier, même en dehors de son Food/Drugs-Truck



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Diego Arriaga
Le cartel de Las Chiapas
Bien sûr qu’on est ami ! Surtout que tu adores les burritos !



   
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Habitation : Un petit appartement dans Midtown
Infos diverses : ❧ Il a grandi au sein d'un cartel, il est le fils du chef et doit un jour prendre la relève. Il en a le symbole tatoué sur l'épaule droite, un bothrops asper, un serpent extrêmement venimeux que l'on trouve en Amérique Latine.

❧ Il ne se plait pas dans cet univers et espère le quitter, avoir une vie normale.

❧ Il craint la réaction de son père, mais il craint encore plus de le voir se faire tuer à cause de ses affaires...Il décide alors de tout faire pour que cela s'arrête, s'alliant avec les forces de l'ordre et notamment Elena qu'il a aidée à infiltrer le cartel.

❧ Il n'a que peu connu sa mère qui est morte quand il était enfant.

❧ Il a une belle-mère à peine plus âgée que lui, et il faut avouer que ça lui fait bizarre, étant donné leur peu d'écart d'age.

❧ Il a un fils, prénommé Jarod, qu'il ne voit que trop rarement. Son existence est restée secrète, Joachim ayant la volonté de le tenir loin des "affaires familiales". Il est resté en bons termes avec la mère, il l'a aidée dès les premiers jours même s'il n'est pas assez présent pour son fils.

❧ Il avait un frère ainé qui était censé reprendre les affaires mais il s'est fait tuer en 2018, il avait seulement 2 ans de plus que Joachim.

❧ Il a fait un doctorat de pharmacologie. Si au début, ces études avaient pour but d'aider le cartel, avec le temps, c'est devenu un moyen de s'en éloigner.



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Juste le tien, nuance ! dehors


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Diego Arriaga
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Habitation : Son Food Truck dort dans un entrepôt de Jackson Heights. Lorsque Diego se réveille, il a une vue imprenable sur son outil de travail puisqu'il a aménagé un appartement en duplex de ce vieux hangar
Infos diverses : ❧ Il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol.

❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.

❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père. C'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.

❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.

❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.

❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !

❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !

❧ Très bon cuisinier, même en dehors de son Food/Drugs-Truck



Diego Arriaga - Il est bon mon burrito, il est bon !!! B2v4

Célébrité : Alejandro Speitzer
Crédits : Avatars : Eden Memories
DC : Matt Roja - Enzo Forzalli - Billie Davis - Elena Flores - Jackson Blake - Liam Keller
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Le cartel de Las Chiapas
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Daryl Roja
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Habitation : Il possède une villa dans Long Island Sands Point
Infos diverses : ❧ Daryl est orphelin depuis tout jeune et a été élevé par sa grand mère jusqu'à son adolescence

❧ Les deux frères ont commencé les conneries bien jeunes, en réalité, entrer dans un gang leur semblait être la seule solution pour payer les frais médicaux de leur Abuelita.

❧ Il a pris la tête de son propre gang en 2017 et l'a nommé la Bella Muerte, entrainant avec lui son meilleur ami depuis plus de dix ans. C'est un véritable frère pour lui au même titre que Matt. Il connait Enzo depuis ses 22 ans.

❧ Il a fait des combats de rue dans sa jeunesse et des courses de moto, il n'en fait à présent plus et a axé ses activités sur le trafic et la contrefaçon d’œuvres d'art même s'il lui arrive d'aller regarder une course de voiture, et même d'y participer pour le plaisir ou le défi.

❧ Il s'est offert depuis peu le rêve de sa vie : une magnifique Lamborghini rouge qui est "tombée du camion".

❧ Son frère est un idiot mais il est tout de même la personne qui lui importe le plus, c'est con l'amour !

❧ Parlant de ça, il n'a été réellement amoureux qu'une fois avant Billie...De la copine de son frère. Autant dire qu'il a la poisse. Car la seule fois précédente où ça aurait pu arriver, la miss avait filé avant qu'il ne s'attache de trop. Elle avait préféré fuir les embrouilles qu'il trainait partout avec lui.

❧ Il possède un club de strip-tease qu'il nomma le Blue Moon, il se trouve dans le quartier de Brooklyn Heights et il vient de créer une agence d'escort-girls à Astoria avec un associé. Ces entreprises lui permettent de blanchir l'argent qu'il gagne avec ses trafics.

❧ Il a deux tatouages : La Bella Muerte sur le pectoral gauche, un clin d’œil à ses origines hispaniques mais également au nom de son gang, et une phrase sur les côtes, à droite : "Vis pour ce que demain a à t'offrir et non pour ce que hier t'a enlevé."

Célébrité : Marlon Teixeira
Crédits : Lara623
DC : Alexis McKinney - Joachim Alvarez - Max Cardinale - Rafaele DiTomasso - Erik Lebenstraum - Evelyn Holland
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Daryl Roja
La Bella Muerte

Validation

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Félicitations, tu es validé(e) !

Tu vas à présent pouvoir t'enregistrer dans le bottin des avatars [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Tu pourras aller également t'ajouter dans la liste des métiers [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Et afin qu'il n'y ait pas de doublons (hors cas de liens familiaux bien sûr), nous t'invitons à enregistrer le prénom et le nom de ton personnage [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Tu peux également demander un rang personnalisé [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Tu vas pouvoir créer ta fiche de liens [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et pourquoi pas ton téléphone pour appeler tes amis, leur envoyer des sms ou t'afficher sur Instagram [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

A toi de jouer ! Amuse toi bien parmi nous !

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All the past is haunting me
Dans les silences se télescopent les échos du passé. by Wiise
   
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