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Event - Murder party au Paradise !

Liberty Apple
   
RP
Habitation : New-York
Célébrité : Liberty
DC : Je suis unique
HRP
Liberty Apple
Admin

Murder party



Lieu du rendez-vous : Le Paradise.
Date et heure : Le 7 novembre 2022 1892 à 20 h
Tenue d'époque exigée.

La douceur des fauteuils en velours qui harmonisent la salle de leurs couleurs variées vous offriront du confort pendant votre dégustation de tapas. Si vous préférez plus d'intimité, afin d'apprécier les tonalités en solitaire ou bien parler sans indiscrétions, des alcôves sont faites pour cela, protégées par des rideaux occultant. Mais gare à vous si vous décidez de satisfaire certains désirs, de violence comme de chair, une caméra muette se chargera d'avertir la sécurité. De 20 h à 21h, vous pourrez commander vos repas et boissons avant que la lumière ne commence à se tamiser.

Et enfin le moment tant attendu ! Ouvrez grand vos mirettes, fermez vos petites bouches et appréciez le spectacle. Les lumières tamisées se fanent, pour laisser éclore les projecteurs et néons sur la grande scène où des représentations auront lieu. Plongez au cœur de cette fin du 19eme siècle, une représentation aura lieu de 21 h à 22 h 30, vous laissant le loisir de voir nos acteurs qui feront tout pour vous immerger dans cet univers. Pour le reste de la soirée, laissez-vous porter par la musique, profitant de la salle pour effectuer quelques pas de danse. L'ambiance victorienne de la soirée permettra peut-être des rencontres lors d'une soirée différente de ce que vous avez l'habitude de voir ! Amusez-vous, discuter, dansez, découvrez votre voisin...Mais attention, il se pourrait bien qu'un évènement funeste ne vienne gâcher cette charmante soirée.

HRP : Attention, dans cet évent, votre personnage risque d'être blessé, cela se jouera aux dés.
Nous vous invitons à poster votre arrivée, à vous installer et papoter... Vivez la soirée et n'hésitez pas à avancer jusqu'à la représentation, nous interviendrons ensuite !
Aucune inscription n'est nécessaire. Plongez directement dans le bain !

Halloween


♫ New-York ♪

Joachim Alvarez
   https://growupforum.forumactif.com/t321-etre-un-traitre-envers-sa-famille-ou-envers-soi-meme-un-choix-a-faire  https://growupforum.forumactif.com/t323-joalvrz-go-as-far-as-you-can-see  
RP
Habitation : Un petit appartement dans Midtown
Infos diverses : ❧ Il a grandi au sein d'un cartel, il est le fils du chef et doit un jour prendre la relève. Il en a le symbole tatoué sur l'épaule droite, un bothrops asper, un serpent extrêmement venimeux que l'on trouve en Amérique Latine.

❧ Il ne se plait pas dans cet univers et espère le quitter, avoir une vie normale.

❧ Il craint la réaction de son père, mais il craint encore plus de le voir se faire tuer à cause de ses affaires...Il décide alors de tout faire pour que cela s'arrête, s'alliant avec les forces de l'ordre et notamment Elena qu'il a aidée à infiltrer le cartel.

❧ Il n'a que peu connu sa mère qui est morte quand il était enfant.

❧ Il a une belle-mère à peine plus âgée que lui, et il faut avouer que ça lui fait bizarre, étant donné leur peu d'écart d'age.

❧ Il a un fils, prénommé Jarod, qu'il ne voit que trop rarement. Son existence est restée secrète, Joachim ayant la volonté de le tenir loin des "affaires familiales". Il est resté en bons termes avec la mère, il l'a aidée dès les premiers jours même s'il n'est pas assez présent pour son fils.

❧ Il avait un frère ainé qui était censé reprendre les affaires mais il s'est fait tuer en 2018, il avait seulement 2 ans de plus que Joachim.

❧ Il a fait un doctorat de pharmacologie. Si au début, ces études avaient pour but d'aider le cartel, avec le temps, c'est devenu un moyen de s'en éloigner.



Event - Murder party au Paradise !  L66z

Célébrité : Zayn Malik
DC : Daryl-Alexis-Max-Rafaele-Erik-Evelyn
HRP
Joachim Alvarez
Le cartel de Las Chiapas




I am a criminal but I regret this I just want to be myself y’know
feat.  plein de gens


Joachim n'avait pas remis les pieds au Paradise depuis son inauguration. En cette soirée, personne ne verrait celle pour qui cet endroit avait été créé : Mariana Alvarez. La belle avait disparu corps et biens lorsque son époux, qui n'était autre que le père de Joachim, avait découvert qu'elle avait une liaison. Le mexicain s'était fermé encore plus qu'il ne l'était déjà - oui, c'est possible - et son fils ne lui avait pas posé de questions. Non seulement, il ne souhaitait pas se montrer indiscret ni remuer le couteau dans la plaie, mais en plus, il n'était pas "présent" à ce moment-là. En effet, cet évènement était survenu alors que Joachim faisait un petit tour entre quatre murs munis de barreaux... Il avait fini en prison après la descente au laboratoire qui était arrivée au mois de juin, et il était resté enfermé pendant plus de quatre mois. Son avocate avait fini par réussir à trouver l'argument pour le faire sortir, sans doute appuyée par le procureur qui était à la solde du cartel.


Cela faisait peu de temps qu'il avait retrouvé sa liberté et il avait compris qu'il avait des ennemis bien plus puissants qu'il ne se l'était imaginé, assez puissants pour pouvoir jouer avec les rouages des administrations judiciaires et l'envoyer dans une prison emplie de meurtriers qui n'avaient qu'une envie : avoir sa peau. S'il s'attendait bien à un comité d'accueil en arrivant en taule, il ne pensait pas qu'ils auraient mis autant de moyens pour se débarrasser de lui. Il gênait quelqu'un, la question était de savoir qui, le trouver, et l'éliminer. Tuer ou être tué, c'était ça la vie au cartel, et c'était devenu encore plus vrai pour lui depuis quelques temps. S'il avait toujours été relativement vigilant, les choses s'étaient accentuées, mais cette soirée elle était faite pour une chose indispensable à présent : décompresser.


Il était donc allé dans une boutique pour louer une tenue. Redingote, cravate en cascade, chapeau haut de forme, il fallait avouer qu'il se sentait un peu engoncé là dedans, lui qui était habitué aux jeans troués et à de simples sweats ou tee-shirts. Presque tous ces tatouages étaient dissimulés sous les couches de vêtements mais le brun n'avait pas su se résoudre à raser sa barbe qui aurait dû parfaire le look. Il ne fallait pas exagérer ! Le jour J, il avait été retenu et il avait envoyé un sms à Elena pour l'informer qu'il serait là avec une vingtaine de minutes de retard. Il y avait déjà pas mal de monde lorsqu'il arriva et le brun mit un petit temps avant de repérer la jolie brune qu'il recherchait. Il arriva enfin à sa table et il ne put s'empêcher de l'observer de la tête aux pieds avant de déposer un baiser à la commissure de ses lèvres, murmurant quelques mots :



Tu es magnifique.


Il prit alors place auprès d'elle, reprenant la parole :

Tu as déjà commandé ?



KoalaVolant


☾  Don't judge a book by its cover ☽

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RP
HRP
Invité
Invité
Si tu veux venir, tu peux m'accompagner, je scrute Fantine. En ce début d'après midi, le sujet est revenu plusieurs fois sur la table entre elle et moi, et je sens à sa curiosité qu'elle a bien envie de savoir où je me rends. Je devrais pouvoir trouver une robe à ta taille, que j'ajoute en haussant les épaules : Ou tu peux en trouver une toute seule, ça va sans le dire. Même si des modèles du genre demandent un certain investissement, et notamment de pouvoir préparer une coiffure et un maquillage adéquat. Au pire, tu me retrouveras là-bas, que j'ajoute.

Le soir venu, je parviens à me faire une place dans cet endroit. Le paradise n'est pas un endroit que je fréquente régulièrement, mais j'en apprécie néanmoins l'ambiance. L'ancien entrepot a été rénové pour coller à un thème qui étrangement me parle. Il parait qu'il n'est pas rare d'y entendre du jazz. Peut-être qu'à l'avenir, je tâcherais de m'y rendre plus régulièrement. J'ajuste mon chignon une dernière fois en dégageant quelques mèches de cheveux bouclés qui se mêlent à ma tenue.

Je porte une robe cintrée à la taille, serrée par un corset ajusté pour ça. Mon col remonte jusqu'à mon cou, fait de soie, les manches de ma robe sont bouffantes. Comme à l'époque, hors de question de dévoiler un centimètre de peau pour trahir une impudeur qui n'est pas la mienne. Même mes bottines sont vintages, ou le collant que je porte sous le bouffant de ma robe trop longue. Des talons auraient été appréciés dans doute pour me jucher sur une poignée de centimètres de plus, mais je vais pour l'instant me contenter de ça.

De mes mains, je soulève légèrement ma robe pour qu'elle ne traine pas sur le sol, et parviens à me faire une place à l'intérieur. Je reconnais par ailleurs le jeune homme que j'ai déjà croisé à la galerie, à qui j'adresse un sourire bref avant de passer à autre chose. Parmi ces gens, je cherche un visage connu, sans en discerner. Le temps de pianoter sur mon téléphone, voir si Fantine s'est laissée convaincre finalement, ou si une autre personne que j'aimerais voir se joindra à moi. C'est peut-être pour ça que je me permets un message à Sebastian. Un SMS discret sous la forme d'une énigme d'Arthur Conan Doyle. Je le crois assez intelligent pour comprendre et même dénicher l'adresse sans mon indice.
Charlie Cooper
   
RP
Habitation : Une petite location dans le Queens sur catalpa Avenue non loin de l'Eglise St Matthias. On y trouve rapidement deux stations de métro, mais aussi de nombreux bars et restaurants ainsi qu'une salle de fitness
Infos diverses : Elle aime la photographie et joue du piano. Maeva a toujours été une tête brûlée et faisait tout le contraire de ce qu'on attendait d'elle. Elle est croyante et même si sa foi vacille parfois, il s'agit d'une branche à laquelle elle aime se rattraper.
Maeva est à la recherche du trésor du Queen Anne's Revenge, et son métier de journaliste lui permet d'avoir de bonnes informations.
Son tatouage représente son amour des jeux (l'As de Pique) avec son côté fétard (une bouteille de Jack Daniel's)
Son surnom est Whisky

Célébrité : Madelyn Cline
DC : Aucun
HRP
Charlie Cooper
La Bella Muerte

Gif
Murder Party au Paradise
Ft. @"Everyone"


- Que je couvre une soirée au Paradise ? Mais c’est quoi le Paradise ? Un endroit où le propriétaire se prend pour Dieu ? Sérieusement ?

Eh oui, son patron était bel et bien sérieux lorsqu’il lui avait ordonné de suivre la soirée prévue au Paradise, dans de beaux costumes d’époques. Non mais qui était l’illuminé qui pensait que se promener dans les rues de New-York, habillé en tenue d’époque était une partie de plaisir ? Charlie avait été sifflé et raillé en se rapprochant des lieux, et elle avait été très classe : un beau doigt d’honneur avec une invitation à aller voir une personne qui voudrait s’occuper de son postérieur.

Brooklyn … et un ancien entrepôt. Charlie se détestait d’avoir accepté mais il le fallait pour que sa carrière de journaliste décolle un peu. Alors elle avait montré son badge de la presse, vêtue d’un chapeau, déposant son très long manteau pour montrer sa tenue d’époque aux manches bouffantes sur un corset crème. Pour l’occasion, elle avait réussi à dégoter un tour de cou en velours qui allait parfaitement avec son bracelet. Oui, autant dire qu’elle avait fait quelques magasins d’époques et avait plutôt l’impression de sortir de chez le brocanteur que d’être une égérie de la mode et de la beauté.

Son œil glissa sur la foule, elle était dans les premières a être arrivé, aussi elle observa les lieux avec attention. Les fauteuils en velours donnaient une impression de chaleur, l’odeur de la cuisine lui venait au nez, elle entendait un peu plus loin tinter quelques verres que le personnel s’affairait à servir à la masse qui arrivait petit à petit.

La salle présentait quelques coins et recoins, un atout pour qui ne voulait pas se faire entendre des autres ou pour qui voulait entendre sans se faire voir, mais qui était également un désavantage pour une personne à la curiosité maladive qui voudrait savoir où se trouvait chaque personne. La jeune femme flanait, il ne fallait pas qu’elle reste trop statique, et se dirigea vers le bar pour commander un verre de vin rouge – oui, elle avait bien apprécié celui de Daryl lorsqu’elle l’avait croisé, alors autant ne pas reprendre un Sex on the Beach dégueulasse !

Il y avait déjà quelques personnes, mais encore personne qu’elle ne connaissait, alors elle se mit à prendre quelques petites gorgées. Charlie avait espéré voir un visage de la Bella Muerte, même si elle doutait que ce soit un lieu qui était fréquenté par son groupe, elle-même n’était ici que pour son emploi de journaliste. Bon, quelques informations ne seraient pas du luxe non plus il fallait l’avouer.

Alors elle prit quelques notes sur son calepin « … et l’ambiance chaleureuse aux bonnes odeurs d’épices vous transporte immédiatement dans un passé si lointain mais si proche également …. Tandis que le maitre des lieux met tout à l’œuvre pour que vous vous sentiez dépaysé … » Lorsqu’elle releva les yeux de ses notes, bien d’autres personnes avaient fait leur entrée, Charlie prit donc son verre à la main, avant de laisser ses pas la porter.





Ne jamais baisser les brasLe Queen Anne’s Revenge a sombré au large de l’actuelle Caroline du Nord voilà bien des années, et si son épave a été retrouvé, son trésor reste introuvable. Mais comme dirait les écrits : Ne perds jamais espoir, tu seras surpris de voir ce que Dieu te réserve pour demain.  
KoalaVolant
Fantine Lebret
   https://growupforum.forumactif.com/t1542-fantine-lebret  
RP
Habitation : Chambre de bonne miteuse dans le bronx
Célébrité : Elizabeth lail
DC : Emma et Elric
HRP
Fantine Lebret
Le 911
Ne pas retrouver la trace de mon frère me déprime un peu, voir plus que cela. Qu’il soit parti sans laisser de trace est un vrai sujet d’inquiétude, surtout que s’il tente de me joindre, la dernière adresse qu’il connait est celle de la maison du Montana abritant « mon bonheur conjugal » avec Frederich. Je l’imagine mal essayer de contacter papa et encore plus mal celui-ci ne pas courir auprès de mon « tendre époux » pour lui en parler. A côté de ça, je ne suis pas du genre a me laisser aller, bien au contraire. Je me force a continuer a explorer ma vie de « liberté » et a savourer toutes les petites joies qu’elle peut m’offrir. Je dois avouer qu’il y en a pas mal et que je les savoure toutes comme une petite fille avec des bonbons acidulés. Parfois je grimace, parfois j’adore, mais quoiqu’il arrive, je remets toujours la main dans le paquet pour en prendre un autre.

Mon nouveau travail me plait, impossible de s’ennuyer avec Amber comme patronne, ca change du coroner, certes, mais c’est une bonne expérience. On s’entend bien elle et moi et je ne me lasse pas de suivre les épisodes avec son banquier, qui n’est pas le sien. C’est moins cher que d’acheter un roman de gare et plus palpitant. A coté de ca, je croise souvent Max quand je sors, ce n’est pas désagréable de m’être fait un si charmant ami au point que j’ai même commencé a parler a ma « patronne » de lui. Ce qui je ne lui dis pas, par contre, c’est ce léger frisson que j’ai souvent quand je sors, celui de sentir un regard sur moi sans savoir lequel. Ça ne s’arrange pas avec les soirées de plus en plus sombre et c’est difficile de ne pas imaginer Frederich me guettant dans l’ombre.

Dans tous les cas, l’invitation de ce jour d’Amber ne tombe pas dans l’oreille d’une sourde et même si je me dis que ce n’est pas raisonnable, au final, je craque. Je trouve dans mes affaires une petite robe noire signée Channel, même si c’est une ancienne collection, je l’adore et je ne jamais pu me résigner a partir sans elle, je chausse mes éternelles louboutins avant de faire un maquillage léger, sauf sur les lèvres. J’adore le rouge qui se voit ! Un chignon vaporeux et me voila prête pour rejoindre Amber.

J’attends qu’une voiture de luxe se garer, colle discrètement les occupants comme si je sortais du même véhicule sous couvert de leur demander l’heure avant d’enchainer la discussion avec eux comme si nous étions de vieux amis. La ruse est grosse, mais elle fonctionne bien. A peine arrivée, je me sens comme un poisson dans l’eau, a saluer et échanger quelque banalité avec tout le monde comme si j’étais « quelqu’un » avant de trouver celle que je cherche. Prenant la pose pour qu’elle puisse juger de ma tenue.

« Tadaaaa ! J’avais gardé quelques robes comme tu le vois… j’espère que je n’ai rien loupé et qu’il y aura du champagne. »

Je tends un peu le cou, m’attendant presque a voir Max dans le personnel de sécurité. Le hasard de ces derniers jours m’a donné de mauvaises habitudes. Avec enthousiasme je demande a Amber.

« Je ne vois pas leur service de sécurité. Peut importe! Dis moi que ton banquier va venir !! J’aimerais trop le voir en vrai. »

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Les soirées à thèmes n'étaient pas forcément les préférées de Will. L'esthétique du XIXe siècle n'était pas forcément sa favorite. Mais c'était un événement qui avait l'air sympathique, pas trop loin de chez lui, et surtout, qui représentait une opportunité en or de décompresser un peu.

Ces dernières semaines avaient été des plus chargées pour la jeune rock star. Il travaillait d'arrache-pied sur son EP, multipliait les démos, les sessions d'écriture, les réunions pour trouver la direction générale que devrait prendre le disque. C'était aussi exaltant qu'épuisant. Will avait beau être très fier du travail qu'il accomplissait, prendre une soirée off ne serait pas de refus.

Alors Will s'était mis à la recherche d'une tenue adéquate. Il avait jeté son dévolu sur un beau costume d'époque, très chic. Une veste rouge, aux lisérés noirs sur les manches, porté ouvert sur un veston noir, lui-même masquant une chemise blanche et dans lequel plongeait une sorte de cravate noire. Pour accompagner le tout, un pantalon beige et des bottes. Lorsqu'il avait fini de s'habiller, Will s'était senti… à l'étroit. On était bien loin de ses habituels sneakers, jeans troués et t-shirt achetés à des concerts ou sur les sites internet de ses groupes favoris. Il n'avait pas l'habitude d'être aussi apprêté. Le chapeau haut-de-forme qu'il posa sur son crâne avant de sortir venait parachever ce déguisement qu'il trouvait légèrement ridicule, mais suffisamment élégant pour être porté.

Il ne comptait pas se presser, le spectacle, principale raison de sa venue, ne commencerait pas avant 21h. Quelques notes de jazz pourraient bien l'inspirer pour finir un morceau, un jour ou l'autre. Ce léger retard fut toutefois problématique pour Will, lorsqu'il parvint devant les portes du Paradise. Le bar était déjà bien rempli, il serait difficile de se frayer un chemin dans cette foule. Préférant ne pas se précipiter au bar, la jeune rock star resta quelques minutes devant l'établissement, le temps d'une cigarette. Personne ne l'attendait à l'intérieur de toutes manières.
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Tu viendras ce soir au Paradise, amigo. J'aurais peut-être besoin de toi.

Ta soirée de riches à Brooklyn ? Comment tu t'es fait invité là-dedans ?

Je te l'ai déjà dis, j'ai des connaissances là-bas. Allez, on se retrouve chez moi à 19h. Et costume d'époque, oublie pas !

Alors qu'ils quittaient le chantier sur lequel ils étaient affectés, Sean avait laissé échapper un juron. Il avait une tête à connaître les codes vestimentaires du XIXe siècle ? Bien sûr que non. Pour le coup, Javier abusait de le traîner jusqu'à Brooklyn, un soir ou l'irlandais aurait pu espérer se faire quelques billets en jouant les gardes du corps pour un dealer du cartel.

Dans le doute, le rouquin avait opté pour un déguisement type Peaky Blinders. Ça devait être à peu près dans le thème et si ça ne suffisait pas, ce serait une bonne excuse pour se barrer de cette soirée. N'ayant en plus pas les moyens de se payer un costume qui s'annonçait hors de prix, Sean avait fait avec les moyens du bord. Un pantalon de costume noir, le seul qu'il avait. Des bretelles. Un marcel blanc et un long manteau en daim. Pour compléter l'attirail, un béret, cadeau d'un de ses frères quand il avait quitté l'Irlande.

Comme prévu, il avait retrouvé Javier chez lui à 19h tapantes, et ils s'étaient rendus ensemble jusqu'à Brooklyn. C'est là que son ami mexicain lui avait révélé la vraie raison de son invitation.

Il y aura plusieurs grosses têtes du cartel à cette fête. Toi, moi et quelques autres, on ne sera pas de la sécurité "officielle", mais on sera là pour s'assurer que tout se déroule comme prévu.

Sean ne fit le lien qu'à cet instant. Le cartel était originaire du Mexique. Le Paradise se situait juste à côté d'un restaurant mexicain, et les deux établissements avaient le même propriétaire. Il était donc possible d'envisager qu'il y avait un lien avec le cartel. Ou était-ce une assomption raciste ? En tout cas, maintenant que Javier l'avait indiqué à Sean, c'était simplement un fait.

Les deux ouvriers étaient arrivés quelques minutes avant vingt heures, horaire prévu pour donner le coup d'envoi des festivités. Ils n'étaient pas entrés par la grande porte, mais par une porte de service à l'arrière. Ils attendraient que le bar se remplisse de gens déguiser pour mieux se fondre dans la foule et ne pas alerter qui que ce soit. D'un œil morne, Sean regardait les invités costumés s'amasser, discuter et se restaurer. Au bout de quelques minutes qui lui parurent une éternité, Javier finit par lui administrer une tape sur l'épaule.

Tu vois le mec là-bas, avec le haut de forme ? Personne ne vient l'emmerder, c'est à nous de s'en assurer. T'es prêt amigo ?

Yep. Rétorqua Sean sans enthousiasme.

Les deux ouvriers firent enfin leur entrée dans la salle principale du Paradise. Finalement, cette soirée ressemblerait à celles que le boxeur vivait auprès des dealers du cartel. Le "Billy" à protéger serait simplement beaucoup plus important.
Elena Flores
   https://growupforum.forumactif.com/t358-elena-flores-le-destin-fait-bien-les-choses-alors-suit-le-chemin-qu-il-te-montre  
RP
Habitation : Un bel appartement dans Flatiron District, à deux pas de Madison Square Park. Son salaire ne lui permettrait pas de vivre dans un tel immeuble, elle a refusé pendant longtemps d'emménager avec Zac, préférant ne pas vivre aux crochets de sa "belle famille". Elle céda à la demande de son petit ami suite à une de leurs nombreuses réconciliations et depuis, elle participe aux frais inhérents à la vie d'adultes indépendants, payant une partie des factures et des dépenses courantes alors que la somme correspondant à un loyer raisonnable était envoyée à ses parents.
Infos diverses : ❧ Elena travaille actuellement sous couverture au sein du cartel de Las Chiapas. Afin d'infiltrer cette organisation et de la faire tomber, elle a dû se créer une nouvelle identité. Pour cela, elle est devenue Manuela Sanchez, une étudiante en pharmacologie de 25 ans dont le cœur appartient à Joachim Alvarez, fils héritier du chef de ce cartel.

❧ Elle est née et a vécu durant ses sept premières années au Mexique ce qui induit qu'elle parle parfaitement Espagnol. À son arrivée sur le sol américain, sa mère s'est acharnée à lui faire comprendre que, désormais, elle devait communiquer en anglais.

❧ Elena est très croyante, la croix qu'elle porte autour du cou et qui ne la quitte jamais en est la preuve. Cependant, elle ne va que très rarement à l'Eglise, ces lieux lui rappellent l'enterrement de son grand frère et ont tendance à la rendre maussade et un tantinet à fleur de peau.

❧ La demoiselle est très coquette. Ses looks légèrement excentriques par moments dénotent totalement du reste de ses collègues de travail, mais pour rien au monde elle n'abandonnait ses tenues acidulées. Ces dernières représentent à merveille ce qu'elle est : colorée et pleine de vie.

❧ Sa taille peut être qualifiée de microscopique. Son petit mètre cinquante-trois l'amuse beaucoup et elle aime dire qu'elle est parfaitement adaptée à une vie dans un laboratoire, après tout, elle pourrait presque se faufiler sous la lentille d'un microscope !

❧ Ses amis aiment dire qu'Elena est une femme-enfant, pourtant sous son air d'éternel poupon se cache quelqu'un qui ne se laisse pas facilement marcher sur les pieds et qui a des idées bien arrêtées !

❧ Une partie de son salaire fait l'objet d'un virement immédiat sur le compte de ses parents afin de les aider à joindre les deux bouts.

❧ Elena croit en l'amour, au pardon et à la communication. Ce n'est pas pour rien qu'elle est en couple avec le même homme depuis ses quinze ans ! Zac vient d'une famille à qui tout sourit, et lui-même est quelqu'un de formidable. Il s'évertue à traiter la demoiselle comme une reine et malgré plusieurs séparations à leur actif, les tourtereaux se sont toujours retrouvés, plus amoureux que jamais.

❧ Les scènes ouvertes, ça la connaît ! Vous ne la verrez pas y chanter, mais faire de l'improvisation. Elle adore se glisser dans la peau de quelqu'un d'autre le temps de plusieurs minutes et, soyons honnête, jouer un pivert à la recherche d'une couronne de coquelicots, c'est à la fois déroutant et particulièrement amusant !

❧ Dans le cadre de son infiltration, elle a subit le passage obligé pour tout membre du cartel de Las Chiapas. Elle a relevé la séance initiatique composée de différentes tortures dans le but de soutirer des plausibles secrets en faisant preuve d'une ténacité impressionnant jusqu'à Julian Alvarez lui-même. Depuis, elle arbore le tatouage du cartel, un bothrops. Elle a pu choisir l'emplacement, et elle décidé de laisser l'encre s'installer sur son aine, l'endroit le plus discret qu'elle ait trouvé.

Célébrité : Ariana Grande
Crédits : Avatars : Morning Rose
DC : Matt Roja - Enzo Forzalli - Billie Davis - Diego Arriaga - Jackson Blake - Liam Keller
HRP
Elena Flores
Le cartel de Las Chiapas

Event - Murder party au Paradise !
Le Paradise. Ce n’est pas le lieu favori d’Elena Flores. Pourtant, il a tout pour lui plaire. La décoration est superbe, les spectacles toujours agréables à voir et à entendre, la nourriture est délicieuse, le personnel est serviable. Mais ici, elle n’est pas elle-même, elle n’a pas le droit au moindre faux pas. La scientifique doit rester dans les bottes de Manuela Sanchez, future Manuela Alvarez, la jeune femme ayant capturé le cœur du fils du patron, du fils héritier du cartel de drogues nommé Las Chiapas. Entre ces murs, elle se sent épiée en permanence, que ce soit par les autres membres de l’organisation, par les personnes chargées de la protection des grosses têtes, par les employés « lambdas », elle a même parfois l’impression qu’on la surveille quand elle va se rafraîchir aux commodités. Il n’y que dans ce cabaret qu’elle se sent autant à l’étroit, car même dans la villa Alvarez à l’extérieur de la ville ou dans les laboratoires clandestins dans lesquels elle fabrique la came, elle parvient à trouver quelques échappatoires pour souffler.

Bien que son infiltration soit un succès depuis plus d’un an maintenant, bien qu’elle ait réussi à chasser les doutes présents dans l’esprit de Julian, et ce, même durant l’emprisonnement de plusieurs mois de son fils, Elena continue à attirer les regards. Du moins, c’est la désagréable sensation qui la poursuit constamment. À se sentir surveillée de la sorte, elle craint de finir par éveiller des soupçons, par faire un geste qu’elle ne devrait, par dire un mot qu’il lui est défendu, et cette peur est éreintante. C’est pourquoi elle a tendance à essayer d’esquiver ses venues dans cet établissement, mais ce soir, elle n’a pas eu d’autre choix que de faire acte de présence. L’événement était trop important pour trouver une excuse, alors Joachim et elle s’étaient donnés rendez-vous aux alentours des 19h30 afin d’être sûr de ne pas louper le début des festivités.

Suite à la réception du message du brun pour lui annoncer son retard, elle avait soufflé doucement en observant les alentours, ses mains gantées venant lisser sa longue robe d’époque. Il a fallu respecter le dress code, sa tenue est donc nettement moins haut en couleur qu’habituellement. Sa toilette verte émeraude cintre joliment sa taille grâce à un nœud en satin noir noué dans le dos, les manches gigot donnent de l’ampleur à son buste et le col montant délicatement sur sa nuque est agrémenté d’un imposant bijou. Pour ce qui est des échasses qu’elle ne quitte que très rarement, elles ont été troquées pour des richelieus à talons invisibles sous l’étole de la jupe tombant en cascade jusqu’au sol. Ses cheveux, eux, sont remontés dans un chignon tressé à la perfection et son maquillage est léger.

Avec ce costume, elle se fond dans la masse, l’ensemble des convives ayant joué le jeu. Ce constat ne l’empêche pas de sentir des paires d’yeux se poser sur elle, et lorsqu’elle tourne le visage pour observer l’observateur, ses prunelles tombent sur Joachim. Soulagée de ne plus être seule à sa table, elle se lève pour l’accueillir, acceptant sans doute trop timidement le tendre baiser qu’il lui offre, ses joues se teintant malgré elle comme si elle avait perdu l’habitude de ce geste depuis son incarcération. Des baisers, elle en a eu d’autres, et des beaucoup moins chastes… Cependant, les deux jeunes gens ne se sont pas réellement retrouvés seuls depuis le coup de filet ayant eu lieu quelques mois plus tôt, les séparant avant qu’elle ne puisse avouer à Joachim que son autre vie – sa vraie vie – rend leur situation plus compliquée encore qu’elle ne l’est déjà. Compliquée ? Est-ce le bon mot ? Elle n’en sait rien, le fait est que ce rapprochement fait tambouriner son cœur.

« Merci, cette tenue te va très bien également. », ses yeux s’attardent un instant sur le jeune homme avant de remarquer un grand rouquin non loin qui semble – tout comme l’ami qui l’accompagne - autant fasciner qu’elle part son faux fiancé. Sans doute est-ce des membres du cartel heureux de voir leur futur chef sorti de derrière les barreaux.

« J’espère ne pas avoir oublié tes préférences, je t’ai commandé une pinte de blonde. », faisant abstraction des deux curieux, elle se concentre à nouveau sur le tatoué en se penchant vers lui pour le questionner discrètement, « Qu’est-ce qui t’a mis en retard ? ». La dernière chose qu’elle souhaite, c’est qu’il ait rencontré des problèmes, or, avec son passage en prison, il semble désormais évident que quelqu’un de puissant est capable – et veut – mettre des bâtons dans les roues des Alvarez, et ses patrons n’apprécient pas qu’à cause de cela, la mission traîne en longueur.




( Pando )



Fate is chasing me

ANAPHORE
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Murder Party au Paradise
ft. les Las Chiapas.

Les soirées a thèmes. C'était quelque chose qui t'étais familier. Tu aimes ça. Jouer un rôle. Même si ce n'était que visuel.
Tu rajustes tes boutons de manchettes, ton chapeau, ta veste, prenant même une canne. Le thème était la fin du 19ème siècle. Tu ne t'es pas gêné en revanche pour mettre un collier de perle. Tendance a cette époque après tout...
Tu vérifies une dernière fois ton apparence, petit crayon dans la muqueuse, ta légère barbe entretenue. Bien. Tu étais prêt a partir.

Tu prend le chemin de l'endroit avec ta voiture, te gares et te pose pour fumer une dernière cigarette. Ou du moins, si tu n'avais pas oublier ton feu. Aussi, tu te met en quête d'un briquet. Et quoi de mieux que de demander un briquet a une personne qui semble elle aussi de la fête?

Tu peux sentir toute l'ambiance de la soirée qui s'échappe de chaque coin du bâtiment. Tu n'affectionnes que peu les bars. Les gens qui ne connaissent pas leur limite au niveau de l'alcool, en grande majorité.

Tu ne connaissais pas encore grand monde. Tu n'étais que le récent nettoyeur et hacker de l'endroit. Et on ne peux pas dire que tu étais celui qui allait généralement vers les autres a moins qu'ils ne puissent t'être utiles...
Et actuellement c'est celui qui tout comme toi avait voulu s'empoisonner a la nicotine qui attirais ton attention.

"Salut, t'aurais du feu? J'ai eu la super bonne idée d'oublier le mien chez moi. Et je me suis dis qu'entre fumeurs, il y aurait une petite solidarité."

Tu lui offres un clin d'œil complice et moqueur.

Doctor
Loic Nottet

ANAPHORE
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Murder party

Everybody

D’ordinaire tu n’étais pas le genre d’homme à fréquenter cette foule d’hypocrites pour une prétendue bonne occasion. Pourtant ça semblait bien partie, une soirée au Paradis, d’habitude tu aurais été le premier à y courir, à t’engouffrer et te perdre dans l’aura du cabaret. Entre délice et abysse de l’âme. Transpiration et chanson auront eu suffisamment de toi, tes propres démons tu aurais embrassé. Et le lendemain, tu en aurais redemandé. Sauf que ce soir, ils sont là, parés de leurs plus beaux habits la sainte cour des Las Chiapas. Les abeilles s’agitent devant leur Reine, éclatante qui n’a pas l’affront d’attendre trop longtemps avec son Roi ne l’atteignent. Qu’ils sont beaux, tu l’avoues, peut-être un brin envieux. Les courbettes se feraient presque à leur passage. Et très vite le même schéma se dessine, l’ennuie revient et tes iris coulent sur d’autres êtres qui peuplent les lieux, certains méritent ton attention plus que d’autre, parfois même tu lèves la main pour les saluer un faux sourire paré sur ton visage. Dans ta quête du pouvoir, il est nécessaire que tu tisses des liens, que tu sortes des vapeurs du laboratoire pour lequel tu bosses. Et oui, mon p’tit gars tu n’as rien de plus que ces gens, toi aussi, tu as les poings liés par le devoir que tu crois pouvoir. Une foutue dette a payé comme si tes géniteurs n’avaient pas assez niqué ta vie. Assez pathétique pour avoir jour le jeu également, ça serait con d’être la brebis galeuse de ce petit monde, déjà que ce n’est pas un secret que tu es entré dans le gang par obligation. D’un coin ténébreux tu observes la triste symphonie qui se joue devant toi, est-ce qu’on devrait les remercier en plus de nous tenir par les couilles ? Te demandes-tu un sourire en coin amusé florissant sur tes lèvres insolentes, tu les noies dans ton verre de rhum espérant faire taire le petit démon sur ton épaule. Allez Wolf, c’est une meurder party organisé par le Paradise, quoi d’autre ?

T’es une petite merde impatiente, tu le sais ?! Puisque tu as fini par sortir pour t’en griller une, avant que le spectacle commence, quelle idée aussi d’arriver en avance. Tu l’avais pourtant sentie que cette soirée était merdique. Ils n'auraient pas pu être normaux et faire ça dans un club de strip-tease comme les autres gangs ? Ridicule, c’est le sentiment que tu as dans cette tenue et le pire c’est que tu as tellement le sens des détails que tu as rasé ta barbe mais tu as laissé ta moustache. Tu as même plaqué tes cheveux indiscipline en arrière ! Et ça, c’est un bel effort de ta part. Pourtant tu es illusionniste et tu t’excuses d’avance mais les tenues pour homme de cette époque, on était pas mal détourné par cette profession. D’habitude tu es sur scène à faire des tours, pas à boire des cocktails et à danser des danses qu’aujourd’hui tous ont oubliés. Posé contre un mur ente le parking et l’entrée, tu t’allumes un joint qui t’aidera au moins à supporter un peu plus cette soirée. Ton téléphone attire ton attention avec Tinder qui annonce que tu as un match, ça te fait marrer au moins tu sais déjà que la soirée se finira bien. Son parfum te chatouille les narines et c’est d’abord ceci qui te pousse à te tourner ton visage vers lui pour quitter des yeux l’écran de ton téléphone. Expirant la fumée de ton joint, tu le regardes quelques instants avant de lever ton briquet vers lui pour allumer sa clope.

"- Tu parles d’une solidarité, on est le premier à se voler nos briquets."

Ne peux-tu pas t’empêcher de lui répondre un brin moqueur, tu ranges ton téléphone, profitant du silence et de sa présence sans savoir vraiment pourquoi. L’effet coin fumeur sûrement, comme les contres soirée qu’ils créaient inconsciemment, c’est ta théorie. Honnêtement, ça fait longtemps que tu bosses pour les Alvarez, quatre ans ce n’est pas rien. Néanmoins, tu ne connais pas tous les membres sur le bout des doigts, dans ton laboratoire vous êtes un peu plus isolé des autres membres.

"- Wolfgang. Et toi ?"

Questionnes-tu en lui tendant le joint fumant l’air de rien, tu jettes un coup d’œil à la montre à gousset que tu as glissé dans ton Gillet court noir recouvrant une chemise rigide à col haut crème. Il est bientôt l’heure du début des festivités vous feriez mieux de rentrer si vous ne voulez pas rater le début. Est-ce si grave ? Tu dirais que non. Plus maintenant du moins.

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