-28%
Le deal à ne pas rater :
Précommande : Smartphone Google Pixel 8a 5G Double Sim 128Go ...
389 € 539 €
Voir le deal


Dafydd Lloyd's contacts

Dafydd Lloyd
   https://growupforum.forumactif.com/t1533-dafydd-lloyd-heb-ei-eni-heb-eni-fai  
RP
Habitation : Une petite chambre en coloc dans le Lower East Side
Infos diverses : - Tu mesures 1m75 pour 67 kg. Tu es très mince et a une silhouette très délicate.
- Tu as une très belle voix, grave et douce. Tu parles avec l'accent british officiel mais dès que tu es un peu fatigué, ton accent nasillard du Nord du Pays de Galles ressort. Ta langue maternelle est le gallois.
- Tu as un grand chat noir perpétuellement perché sur ton épaule. Il s'appelle Mister Thackery Binx et a déjà deux ans.
- Sans être complètement efféminé, tu as des manières raffinées et tu ne cache pas être gay.
- Tu mens sans cesse sur ton âge et prétends avoir 29 ans. Parfois 30, parfois 33, parfois 27. Ça dépend de ton interlocuteur et de ton intérêt à passer une nuit avec. Tu prétends être né le soir de l'Halloween.

Célébrité : Ben Whishaw
Crédits : Raton
DC : N/A
HRP
Dafydd Lloyd
Les autres
Dafydd Owen Lloyd
ft. Ben Whishaw
Prénom(s) : écrire ici Nom : Dafydd Owen Lloyd surnom : Daveâge : 35 ans date et lieux de naissance : Colwyn Bay, Pays de Galles, 1er novembre 1988Nationalité : Britannique Métier : Guide touristique et acteur raté Groupe : Les autres Signes particuliers : Des marques de piqures sur les bras
Lien recherché 1❧ BFF : tu es la confidente de Dave. Vous vous partagez tous vos secrets, vos coups. foireux et vos victoires. Tu es aussi fêtarde que Dafydd ou presque Lien recherché 2 Lien recherché 3 Lien recherché 4
Caractère
Distrait et rêveur, tu n'as pas le sens pratique des choses. Oubliez le 9 à 5, ce n'est pas pour toi! Tu es un artiste, tu es excentrique. Hier ne ressemble pas à demain et ça te va. Est-ce une déformation professionnelle? On te dit un peu mythomane. Ok, tu admets être très impulsif. Mais au delà de toutes tes peines, de toutes tes mésaventures, de tes hauts et tes bas, tu es doux et tu as bon coeur
Histoire

Croeso • Ton grand-père maternel était un pilote allemand, lors de la IIe Guerre Mondiale. La tradition familiale prétend que, son avion touché par un missile, il s'écrase au Pays de Galles et tombe amoureux dès le premier regard de la Galloise qui le soigne et décide de ne plus jamais la quitter. Tu y crois dur comme fer et rêve d'un pareil scénario... Même si la réalité est beaucoup, beaucoup plus grise. Atteint d'un syndrome post-traumatique évident et probablement de bipolarité, le soldat tombe dans l'alcoolisme et meurt jeune, sans même apprendre un seul mot du langage de la femme qu'il aime. Ta mère voit son propre père au travers de toi mais ne dit rien. Tu es le petit dernier d'une fratrie de trois garçons. Tes parents sont des gens simples et modestes qui travaillaient à la sueur de leur front. Comme tes deux frères, tu devais prendre le relais de l'entreprise familiale, une petite boucherie de quartier, à Colwyn Bay, Wales, Royaume-Uni.  

Plentyndod • Tu ne ressembles pas à ses frères. Ni à ton père et tu le sais. Tu le sens. Alors que tes deux frères sont des armoires à glace, toi, tu as le physique délicat et frêle de ta mère. Sa chevelure sombre et épaisse. Sans être cruel ni violent, ton père est quelqu'un de rigide et de froid qui maintient sa maisonnée d'une main de fer. Tu détestes ça et passes ton temps à rêvasser et à lire tes bouquins de fantômes au lieu de s'occuper de tes corvées. Alors que tes parents pensent que tu aimes te faire peur, comme les garçons de ton âge, toi, tu découvres ta sexualité au travers de la sensualité des personnages d'Anne Rice.  Bon nombre de livraisons à vélo sont perdues avant d'arriver à bon port, tant tu rêvasses, en te cachant dans les herbes hautes entourant la ville. Ta mère, elle, te surprotège, toi et ton caractère fantasque, ce qui génère son lot de disputes. Les cris étouffés derrière la porte de tes parents, à ton sujet se répercutent encore dans ta tête. Tu te sens à part. Tu te sens de trop. Ton frère ainé, Siarl te dira, lorsque tu feras enfin ton coming-out que tu n'as été qu'un fauteur de troubles, depuis ta conception. Ce n'est que bien plus tard que tu comprendras l'étendue de cette révélation.

Y bwystfil • Ça s'est passé au Victoria Pier. Après un show où ton grand frère Ianto devait te garder à l’oeil. Tu avais quatorze ans et Ianto t’avait acheté de la bière, histoire de vaquer avec ses potes et ne pas t'avoir dans les pattes. Tu ne sais pas trop ce qu'il t'a pris. Peut-être ton premier baiser, volé à un jeune touriste. Ou l'envie de rejoindre la mer. Ou de voler comme ton grand-père.  Ou le désespoir de savoir que Mister Jones, ton prof d'anglais, ne t'aimerait jamais de la même manière que toi... Étais-tu si triste que ça? Probablement pas. Tu n'as pas réfléchi, en fait. Tu ne réfléchis jamais. On te retrouve en bas du quai avec deux côtes brisées. Ta mère pleure pendant des jours et Ianto s'emmure dans son silence. On te bourre d'anti-douleurs et de médicaments et quand vient le temps du sevrage... c'est le plus naturellement du monde que tu te tournes vers l'herbe.

Gorweddion a gollyngiadau • C'est à dix-neuf ans que tu te décides enfin à faire ton coming-out, alors que tu as fréquenté plusieurs garçons déjà. Tu as raté ta toute dernière audition au RADA. Tu étais trop saoûl. Trop gelé.  C'est un échec total alors qe tu as pourtant travaillé dur.  Alors que tes profs t'adulaient déjà. Tes profs sont déçus. Tu es recalé. Peut-être l'année prochaine. Et encore. C'est un coup dur pour ton père qui déjà, a accepté de peine et de misère de financer ce choix d'études en arts dramatiques et ta part de loyer à Londres alors qu'il aurait souhaité te voir prendre des cours de métier, pour aider tes frères à la boucherie. Tu dévoiles tout avant le pudding : ton refus du RADA et le fait que tu adores faire des pipes. Ton père te menace. Il te donne un ultimatum. Tu seras boucher, Dafydd. Tu seras un bon père de famille ou tu ne seras rien. Tout y passe. Ton père ne veut pas d'un gamin stone chez lui. Le soir même, tu vole 3118 livres de la caisse de dépot de la boucherie et tu t'envoles pour Los Angeles.

Los Angeles • Tu espère la gloire, Dave. Tu étais vraiment bon acteur. Tous tes profs te l'ont dit, au RADA. Alors pourquoi ces producteurs te demandent-ils de te déshabiller? Pourquoi te demande-t-on de te mettre à genoux? Faute de contrat, tu atterri dans l'industrie porno, qui raffole de corps sveltes et jeunes comme toi. Et puis, tu tombes dans l’héroïne, Dave. Parce que l'héroïne te fait sentir bien, non? Et bientôt, même les studios pornos ne veulent plus de toi. Il n'y a que la rue. Et les clients qui vont avec. Ta dignité est perdue. Et ton échine se courbe.

Tom • Tom. Lui aussi vend son corps, en échange de cette poudre de rêve qui fait tout oublier. Tom. Il est plus expérimenté que toi et te prend sous son aile. C'est lui qui t'apprend à survivre. À éviter les psychopathes. Celui qui t'apprend à piquer, dans les pharmacies et les supermarchés. Tom. Tu t'accroche à lui comme un naufragé s'accroche à la lumière vacillante du phare, dans l'obscurité. Tom. Quatre ans d'échanges de fluides, d'échange de seringues. Quatre ans à l'entendre jouer de son violon, à tous les soirs, jusqu'à ce que les bouteilles de bières des gens du quartier éclatent contre la fenêtre de la petite chambre miteuse que vous partagiez. Quatre ans de fusion. Quatre ans à croire dur comme fer que vous seriez ensemble jusqu’à la mort. Tu savais que son nom n'était pas vraiment Tom. Mais tu t'en foutais. Et puis, un soir, Tom disparait, pour de bon. Tom part en te laissant tout ce qui reste de came. Alors tu la prends, Dafydd. Tu la prends toute pour vous deux. Et tu fais une overdose.



Bywyd ar ôl • C'est le propriétaire de cette chambre miteuse qui te retrouve, agonisant. Lorsque tu te réveilles enfin, trois jours plus tard, tu retrouves ta vieille mère, complètement démolie, à ton chevet. Après plus de trois cures de desintox inefficaces à Los Angeles et tout autant de rechutes qui ruinent ce qui reste des économies de tes parents, on te renvoie de force dans ta ville natale, à Colwyn Bay, où un centre est prêt à t'acceuillir. C'est à la sortie du Dawn Centre qu'on t'apprend enfin que ton père a fait un sévère AVC. Le vieux est cloué à un fauteuil roulant, à demi paralysé et ne peut plus vraiment parler. Il ne peut plus s'occuper de lui-même, de son hygiène... de rien. Et on te charge de le faire, chose que tu fais avec toute la répugnance du monde. C'est toi qui aurait dû être dans cet état. Pas lui. Combien de temps avales-tu ton amertume ainsi? Deux ans, peut-être? Trois? Trois ans de sobriété assidue que tu gâches sur un coup de tête, avec un de tes amants, Ronnie. Lorsque tu reviens de Liverpool, après plusieurs jours sans donner de nouvelles, ce soir-là, une grosse dispute éclate entre Siarl, ton frère ainé et toi. Tout y passe. Tout. Ton irresponsabilité. Ta sexualité. Le vol des 3000 livres de la boucherie. Le coût de ton hospitalisation, sans avoir d'assurances. Le cout de tes putain de desintox qui a complètement ruiné la retraite de tes parents.... et le fait que tu n'es qu'un sale petit bâtard. C'est là que tu apprends d'où tu viens, sous les suppliques désespérées de ta mère qui demande à son fils ainé de se taire. Les difficultés financières qu'éprouvait ton père. Les difficultés conjugales qu'ils avaient, ta mère et lui. La séparation à cause d'un autre homme. Ce foutu américain de l'Oregon. Il l'a vu, ton vrai père. T'as l'même air de fouine vicieuse que lui. Les mêmes yeux. Ce foutu étranger qui avait littéralement ensorcelé ta mère et l'a laissée là comme une co...., enceinte d'un gosse dont personne n'avait besoin. C'en est trop. Tu te barres une fois de plus à Liverpool et tu plonges une fois de plus l'aiguille au creux de ton bras.


Robert • Parfois, quand tu y repenses, tu es presque certain que tous les hommes gays de Liverpool te sont passé dessus. Presque. Tu tentes, pour la énième fois d'être sobre. Tu prends plaisir à jouer dans cette troupe amateure lorsque cet énergumène débarque, comme une furie vraiment pour t'engueuler comme du poisson pourri sur cette ligne improvisée. C'est là que tu tombe éperduement amoureux de Robert. Un stagiaire du département de littérature de l'Université de Liverpool. Sa poésie, surtout. Oh mon dieu, sa poésie. Combien de poèmes t'écrit-il, rien que pour toi? Il est aussi dépendant à l'alcool que toi, de l'héro. Vous conjuguez vos vices et vos forces, c'est tout. Tu t'es mis à la méthadone. Et puis, un jour, sans que tu n'y prennes garde, l'ennui s'empare de ses prunelles. L'ennui et la lassitude. Tu n'es plus rien. Plus rien pour lui. Et entre tous ses poèmes éparpillés autour de toi, tu prends le téléphone et tu appelle ta mère.


Tad • Et tu as appelé ta mère. Tu as appelé ta mère, avec cette petite voix d'enfant, perdu dans ses propres méandres. Perdu au travers de cette poésie qui ne voulait plus rien dire. Tu as lui a demandé de te parler de ton père. De ton père biologique. Tu n'as obtenu qu'un silence révélateur. Un reniflement. Un avertissement. Une promesse que ton vrai père, celui qui t'avait élevé du mieux qu'il le pouvait, ici, à Colwyn Bay, t'aimait de tout son coeur, malgré sa carapace. Et qu'il valait mieux ne pas fouiller plus loin.

Et le nom d'une des plus grandes villes au monde. New York.

Heddiw • New York. Ça fait trois ans que tu y vis, maintenant. Tu t'es trouvé une petite chambre décente, dans un grand appart vieillot, avec quelques colocs. Tu t'es dégoté un job de guide touristique. Ce n'est pas parfait, non. Ce n'est pas le Royal Albert Hall. Ce n'est pas Broadway, encore. Ni un plateau de cinéma à Hollywood. Tu fumes encore un paquet et boit au moins 2L de lait au chocolat par jour, à défaut de bien manger, par jour, malgré tes tentatives d'arrêter. Mais ce n'est pas mal non plus. Ça pourrait être pire, non? Tu appelle religieusement ta mère tous les dimanches vers 15h. Pour lui dire que tu es bien sobre. Pour lui dire que tu attends encore que ce producteur à Broadway va avoir sa subvention pour te donner le premier rôle. Elle passe toujours le combiné à son mari qui pleure au téléphone, parfois, incapable de s'exprimer. Tu n'es pas prêt encore à lui pardonner. Non, c'est pas vrai, Dave. Un peu d'honnêteté, bordel. Tu n'es pas prêt à te pardonner.

Tu peux discourir tant que tu veux sur tes précieux fantômes. Plus personne ne te juge, maintenant. Mieux, on te paie pour ça. Tes envies d’héro se sont un peu calmées. Parfois, seulement parfois tu succombes. Tu te laisse aller en rêve à cette énergie qui te vrille tout le corps. À cette fluidité qui s'empare de toi. À la chaleur dans tes veines, quand l'héro se dissout. Tu es né le jour des Morts. Tu aimerais trouver enfin tes origines. Et ton futur aux bras de ce coup de foudre dans lequel on t'a bercé.

Pour l'heure, tu survis. Et c'est déjà bien.
Pseudo : Prénom P² Nom
Nom du lien : Amitié/amour/autre
description : description du lien 1 ici
Pseudo : Prénom P² Nom
Nom du lien : Amitié/amour/autre
description : Description du lien 2 ici

Pseudo : Prénom P² Nom
Nom du lien : Amitié/amour/autre
description : description du lien 1 ici
Pseudo : Prénom P² Nom
Nom du lien : Amitié/amour/autre
description : Description du lien 2 ici

par Moses. sur Bazzart
Luna-Sophia Cunningham
   https://growupforum.forumactif.com/t1376-luna-sophia-guerir-sa-solitude  https://growupforum.forumactif.com/t1393-luna-sophia-c-lsc-s-world  
RP
Habitation : Chelsea, New York. Dans un appartement avec vue sur la High Line
Infos diverses : 1/ Tu te mets beaucoup de pression, et ça ressort dans de violentes crises d'angoisse. Tu commences par bégayer légèrement, puis tu suffoques, ton coeur s'emballe, tu pleurs. Tu perds le contrôle de tes émotions.

2/ Tu es une artiste dans l'âme. Tu dessines merveilleusement bien, cet art te porte et tu le combines à la perfection avec les nouvelles technologie, créant des œuvres parfaites mêlant classicisme et modernité grâce à des logiciels perfectionnés. En dehors de ton coup de crayon, tu pratiques également la musique. Violon, piano et harpe ont ta préférence, mais tu apprécies de te défouler sur les tambours d'une batterie quand l'occasion se présente.

3/ Tu es Néerlandaise par ta mère. Elle n'a pas beaucoup participé à ton éducation, mais elle t'a tout de même inculqué le savoir-vivre d’Amsterdam, ville où elle a grandi avant de venir s'installer à New York ; c'est pourquoi, dans ta vie de tous les jours, tu préfères la marche à pied ou le vélo aux longs trajets en taxi. La circulation dans la Grande Pomme est dense, mais cela ne t'inquiète pas et tu slalomes entre les voitures au rythme des tours de pédales de ton vélo électrique avec l'insouciance de ton âge.

4/ Durant l’été de tes 15 ans, tu as fait la connaissance d’un homme. Grand, avec de la prestance et un sourire à tomber à la renverse. Il s’est installé debout à côté de toi tandis que tu observais attentivement une sculpture de l’exposition temporaire du Guggenheim. Vous avez parlé, longuement. Vous avez ri, beaucoup. Tu as senti ton cœur s’emballer tant vous partagiez d’avis similaires. La conversation s’est éternisée sans que tu ne t’en rendes compte, l’un des vigiles du musée avait dû venir vous dire qu’il était temps de partir, que la fermeture avait sonné. Une fois à l’extérieur, vous vous étiez quittés en vous saluant poliment, mais tu ne pus te résoudre à le laisser s’évaporer dans la nature alors tu rebroussas chemin pour lui confier ton numéro de téléphone, puis tu le regardas dans les yeux pour lui dire de te contacter rapidement. Tes mains devenues moites, tu peinais à respirer calmement. Luna, tu n’avais jamais ressentie cela auparavant, et tu rentras bouleversée par ces émotions. La porte de ton appartement n’avait pas été ouverte, tu n’eus pas l’envie de te retrouver seule et c’est tout naturellement que tu avais rejoint ta meilleure amie et sa famille. Ton étrange silence au cours de la soirée ne passa pas inaperçu, ton retrait dans la bibliothèque non plus. Erik, que tu considérais alors comme le père que tu n’as jamais eus, vint te voir. Tu lui expliquas ton après-midi, tu lui parlas de cet homme, de cette voix, de ces yeux si perturbant. C’est en évoquant ce détail que l’évidence te frappa. Cette couleur, tu la connaissais. C’était la même que celle que tu pouvais voir dans le miroir. Tu venais de rencontrer ton géniteur, tu en étais persuadée. La dure réalité de cette histoire, c’est que tu ne reçus jamais aucun appel, ni aucun message, cette rencontre fut unique. Elle resta gravée dans ta mémoire.

5/ Tu as toujours mis un point d'honneur à ne pas t'offrir à n'importe qui, après tout, tu es le fruit d'une histoire sans lendemain, une enfant surprise, non désirée, et tu préfères ne pas réitérer les erreurs de tes parents. Ta virginité était précieuse à tes yeux, et tu ne voulais pas que le premier venu puisse venir la cueillir. Il te fallait quelqu'un de spécial. Ton professeur de piano, ce fut sur lui que tu jetas ton dévolu. Il était beau et talentueux. Il avait le double de ton âge, soit 34 ans tandis que toi, tu en avais 17. Cet homme, il parvenait à provoquer en toi un sentiment particulier. Lorsqu'il déposait ses yeux sur toi, tu les sentais te brûler la peau. Quand ses larges mains prenaient place sur tes épaules, son torse contre ton dos, tu frémissais systématiquement. Il ne faisait que te féliciter pour le passage délicat que tu avais réussi à jouer, et toi, tu lui répondais que c'était grâce à lui, uniquement grâce à lui. Pourtant, tu t'étais acharnée à pianoter ces notes durant des heures, juste pour le voir sourire et être fier de toi. Tu l'avais désiré, et tu l'avais eu. C'eut été doux, tendre. Au début. Car rapidement, ses gestes s'étaient faits plus fermes, sa voix plus tranchante alors qu'il t'avoua avoir envie de te goûter depuis des mois. Tu n'étais pas dupe, tu le savais parfaitement et tu n'avais fait qu'attiser sa convoitise depuis que vos regards s'étaient croisés pour la première fois.

6/ Fut une époque où tu pouvais prétendre avoir accès à tout. Ta mère avait une belle carrière dans le mannequinat et le nombre incroyable de beaux-pères s'étant succédé les uns après les autres lui avait permis de s'offrir un joli train de vie. Elle t'en faisait bénéficier en remplissant généreusement ton compte en banque. Si ton porte-monnaie ne manquait pas de son soutien, pour toi par contre, elle restait un fantôme beaucoup trop absent. Cependant, c'est une époque révolue. Son énième fiancé est parti, s'essoufflant sous ses caprices et un nouveau a débarqué. Ce dernier est sans le sou, ce qui est une grande première pour ta matérialiste de mère. Peut-être a-t-elle trouvé le grand amour cette fois-ci... Tu pourrais être heureuse pour elle si seulement elle n'était pas allée s'installer à Los Angeles, te laissant seule - encore - alors que des huissiers viennent frapper à la porte de votre appartement new-yorkais. Ta mère ne paie plus le loyer depuis des mois, et il t'est demandé de quitter les lieux d'ici quelques semaines si aucun règlement n'est effectué. Tu as accumulé un petit pécule, ne dépensant pas l'intégralité de ton argent de poche, mais celui-ci risque de rapidement s'émietter.

7/ Tu adores la mode. Ton style soigné s'en ressent, et tu agrémentes souvent tes tenues de pièces fortes. Tu accessoirises, tu découds, tu recouds, tu modifies, tu ajoutes. Tu as longtemps boudé cet univers qui t'a privé de ta mère, puis tu as finalement compris que les podiums, les magazines ou les shootings n'étaient pas les responsables de son désintérêt pour toi. Alors tu as commencé à te rendre à des défilés, profitant de ton nom et de tes entrées pour avoir des accès privilégiés.

8/ Ton compte Instagram est rempli de clichés. Parfois sombres, parfois colorés, cela dépend de ton humeur. Tu montres ta vie comme tu l'entends, tu es reine de ton image et cela te réussit. Des dizaines de milliers de personnes te suivent. C'est grisant, réjouissant de constater qu'on t'aime sans même te connaître. Parfois, cette aventure est angoissante. Les commentaires désagréables sont réguliers, ils te minent, te déconcentrent, t'empêchent d'être lucide et te torpillent le moral quelques instants. Mais tu as la sensation d'être reconnue. On te voit, et finalement, c'est le plus important.

Célébrité : Josephine Langford
Crédits : Avatar : Moore
DC : -
HRP
Luna-Sophia Cunningham
La Bella Muerte
Coucou !

Après la lecture de ta fiche, une petite idée m'est venue.

Luna est étudiante en communication digitale dans une grande école de la ville, en parallèle, elle gère ses propres réseaux sur lesquels elle est pas mal suivie. Je me suis dit qu'ils auraient pu collaborer dans le cadre du boulot de Dafydd : partenariat avec ses patrons pour faire connaître leurs tours touristiques par exemple.

Ils sont assez différents, je trouve que le contraste entre les deux peut être sympa à jouer, qu'est-ce que tu en dis ?




Youth Madness
Dafydd Lloyd
   https://growupforum.forumactif.com/t1533-dafydd-lloyd-heb-ei-eni-heb-eni-fai  
RP
Habitation : Une petite chambre en coloc dans le Lower East Side
Infos diverses : - Tu mesures 1m75 pour 67 kg. Tu es très mince et a une silhouette très délicate.
- Tu as une très belle voix, grave et douce. Tu parles avec l'accent british officiel mais dès que tu es un peu fatigué, ton accent nasillard du Nord du Pays de Galles ressort. Ta langue maternelle est le gallois.
- Tu as un grand chat noir perpétuellement perché sur ton épaule. Il s'appelle Mister Thackery Binx et a déjà deux ans.
- Sans être complètement efféminé, tu as des manières raffinées et tu ne cache pas être gay.
- Tu mens sans cesse sur ton âge et prétends avoir 29 ans. Parfois 30, parfois 33, parfois 27. Ça dépend de ton interlocuteur et de ton intérêt à passer une nuit avec. Tu prétends être né le soir de l'Halloween.

Célébrité : Ben Whishaw
Crédits : Raton
DC : N/A
HRP
Dafydd Lloyd
Les autres
Ohhh!!! L'idée pourrait être intéressante!!!! Mais en dehors du lien commercial, que peut-on développer?
Luna-Sophia Cunningham
   https://growupforum.forumactif.com/t1376-luna-sophia-guerir-sa-solitude  https://growupforum.forumactif.com/t1393-luna-sophia-c-lsc-s-world  
RP
Habitation : Chelsea, New York. Dans un appartement avec vue sur la High Line
Infos diverses : 1/ Tu te mets beaucoup de pression, et ça ressort dans de violentes crises d'angoisse. Tu commences par bégayer légèrement, puis tu suffoques, ton coeur s'emballe, tu pleurs. Tu perds le contrôle de tes émotions.

2/ Tu es une artiste dans l'âme. Tu dessines merveilleusement bien, cet art te porte et tu le combines à la perfection avec les nouvelles technologie, créant des œuvres parfaites mêlant classicisme et modernité grâce à des logiciels perfectionnés. En dehors de ton coup de crayon, tu pratiques également la musique. Violon, piano et harpe ont ta préférence, mais tu apprécies de te défouler sur les tambours d'une batterie quand l'occasion se présente.

3/ Tu es Néerlandaise par ta mère. Elle n'a pas beaucoup participé à ton éducation, mais elle t'a tout de même inculqué le savoir-vivre d’Amsterdam, ville où elle a grandi avant de venir s'installer à New York ; c'est pourquoi, dans ta vie de tous les jours, tu préfères la marche à pied ou le vélo aux longs trajets en taxi. La circulation dans la Grande Pomme est dense, mais cela ne t'inquiète pas et tu slalomes entre les voitures au rythme des tours de pédales de ton vélo électrique avec l'insouciance de ton âge.

4/ Durant l’été de tes 15 ans, tu as fait la connaissance d’un homme. Grand, avec de la prestance et un sourire à tomber à la renverse. Il s’est installé debout à côté de toi tandis que tu observais attentivement une sculpture de l’exposition temporaire du Guggenheim. Vous avez parlé, longuement. Vous avez ri, beaucoup. Tu as senti ton cœur s’emballer tant vous partagiez d’avis similaires. La conversation s’est éternisée sans que tu ne t’en rendes compte, l’un des vigiles du musée avait dû venir vous dire qu’il était temps de partir, que la fermeture avait sonné. Une fois à l’extérieur, vous vous étiez quittés en vous saluant poliment, mais tu ne pus te résoudre à le laisser s’évaporer dans la nature alors tu rebroussas chemin pour lui confier ton numéro de téléphone, puis tu le regardas dans les yeux pour lui dire de te contacter rapidement. Tes mains devenues moites, tu peinais à respirer calmement. Luna, tu n’avais jamais ressentie cela auparavant, et tu rentras bouleversée par ces émotions. La porte de ton appartement n’avait pas été ouverte, tu n’eus pas l’envie de te retrouver seule et c’est tout naturellement que tu avais rejoint ta meilleure amie et sa famille. Ton étrange silence au cours de la soirée ne passa pas inaperçu, ton retrait dans la bibliothèque non plus. Erik, que tu considérais alors comme le père que tu n’as jamais eus, vint te voir. Tu lui expliquas ton après-midi, tu lui parlas de cet homme, de cette voix, de ces yeux si perturbant. C’est en évoquant ce détail que l’évidence te frappa. Cette couleur, tu la connaissais. C’était la même que celle que tu pouvais voir dans le miroir. Tu venais de rencontrer ton géniteur, tu en étais persuadée. La dure réalité de cette histoire, c’est que tu ne reçus jamais aucun appel, ni aucun message, cette rencontre fut unique. Elle resta gravée dans ta mémoire.

5/ Tu as toujours mis un point d'honneur à ne pas t'offrir à n'importe qui, après tout, tu es le fruit d'une histoire sans lendemain, une enfant surprise, non désirée, et tu préfères ne pas réitérer les erreurs de tes parents. Ta virginité était précieuse à tes yeux, et tu ne voulais pas que le premier venu puisse venir la cueillir. Il te fallait quelqu'un de spécial. Ton professeur de piano, ce fut sur lui que tu jetas ton dévolu. Il était beau et talentueux. Il avait le double de ton âge, soit 34 ans tandis que toi, tu en avais 17. Cet homme, il parvenait à provoquer en toi un sentiment particulier. Lorsqu'il déposait ses yeux sur toi, tu les sentais te brûler la peau. Quand ses larges mains prenaient place sur tes épaules, son torse contre ton dos, tu frémissais systématiquement. Il ne faisait que te féliciter pour le passage délicat que tu avais réussi à jouer, et toi, tu lui répondais que c'était grâce à lui, uniquement grâce à lui. Pourtant, tu t'étais acharnée à pianoter ces notes durant des heures, juste pour le voir sourire et être fier de toi. Tu l'avais désiré, et tu l'avais eu. C'eut été doux, tendre. Au début. Car rapidement, ses gestes s'étaient faits plus fermes, sa voix plus tranchante alors qu'il t'avoua avoir envie de te goûter depuis des mois. Tu n'étais pas dupe, tu le savais parfaitement et tu n'avais fait qu'attiser sa convoitise depuis que vos regards s'étaient croisés pour la première fois.

6/ Fut une époque où tu pouvais prétendre avoir accès à tout. Ta mère avait une belle carrière dans le mannequinat et le nombre incroyable de beaux-pères s'étant succédé les uns après les autres lui avait permis de s'offrir un joli train de vie. Elle t'en faisait bénéficier en remplissant généreusement ton compte en banque. Si ton porte-monnaie ne manquait pas de son soutien, pour toi par contre, elle restait un fantôme beaucoup trop absent. Cependant, c'est une époque révolue. Son énième fiancé est parti, s'essoufflant sous ses caprices et un nouveau a débarqué. Ce dernier est sans le sou, ce qui est une grande première pour ta matérialiste de mère. Peut-être a-t-elle trouvé le grand amour cette fois-ci... Tu pourrais être heureuse pour elle si seulement elle n'était pas allée s'installer à Los Angeles, te laissant seule - encore - alors que des huissiers viennent frapper à la porte de votre appartement new-yorkais. Ta mère ne paie plus le loyer depuis des mois, et il t'est demandé de quitter les lieux d'ici quelques semaines si aucun règlement n'est effectué. Tu as accumulé un petit pécule, ne dépensant pas l'intégralité de ton argent de poche, mais celui-ci risque de rapidement s'émietter.

7/ Tu adores la mode. Ton style soigné s'en ressent, et tu agrémentes souvent tes tenues de pièces fortes. Tu accessoirises, tu découds, tu recouds, tu modifies, tu ajoutes. Tu as longtemps boudé cet univers qui t'a privé de ta mère, puis tu as finalement compris que les podiums, les magazines ou les shootings n'étaient pas les responsables de son désintérêt pour toi. Alors tu as commencé à te rendre à des défilés, profitant de ton nom et de tes entrées pour avoir des accès privilégiés.

8/ Ton compte Instagram est rempli de clichés. Parfois sombres, parfois colorés, cela dépend de ton humeur. Tu montres ta vie comme tu l'entends, tu es reine de ton image et cela te réussit. Des dizaines de milliers de personnes te suivent. C'est grisant, réjouissant de constater qu'on t'aime sans même te connaître. Parfois, cette aventure est angoissante. Les commentaires désagréables sont réguliers, ils te minent, te déconcentrent, t'empêchent d'être lucide et te torpillent le moral quelques instants. Mais tu as la sensation d'être reconnue. On te voit, et finalement, c'est le plus important.

Célébrité : Josephine Langford
Crédits : Avatar : Moore
DC : -
HRP
Luna-Sophia Cunningham
La Bella Muerte
J'imagine qu'ils pourraient bien s'entendre, ils se complètent pas mal je trouve. Dafydd lui apporterait ce petit grain de folie qui lui manque un peu parfois alors qu'elle cherche à sortir un peu la tête des problèmes financiers qui commencent doucement mais surement à arriver.

En parlant de ses soucis financiers, elle a reçu la visite d'huissiers pour lui dire que si le loyer n'était pas payé rapidement, alors elle devrait partir de son appartement (c'est sa mère qui paye mais... Elle s'est tirée à Los Angeles avec le mec du moment !). Du coup, si Dafydd recherche une coloc, ça pourrait le faire ?!




Youth Madness
Dafydd Lloyd
   https://growupforum.forumactif.com/t1533-dafydd-lloyd-heb-ei-eni-heb-eni-fai  
RP
Habitation : Une petite chambre en coloc dans le Lower East Side
Infos diverses : - Tu mesures 1m75 pour 67 kg. Tu es très mince et a une silhouette très délicate.
- Tu as une très belle voix, grave et douce. Tu parles avec l'accent british officiel mais dès que tu es un peu fatigué, ton accent nasillard du Nord du Pays de Galles ressort. Ta langue maternelle est le gallois.
- Tu as un grand chat noir perpétuellement perché sur ton épaule. Il s'appelle Mister Thackery Binx et a déjà deux ans.
- Sans être complètement efféminé, tu as des manières raffinées et tu ne cache pas être gay.
- Tu mens sans cesse sur ton âge et prétends avoir 29 ans. Parfois 30, parfois 33, parfois 27. Ça dépend de ton interlocuteur et de ton intérêt à passer une nuit avec. Tu prétends être né le soir de l'Halloween.

Célébrité : Ben Whishaw
Crédits : Raton
DC : N/A
HRP
Dafydd Lloyd
Les autres
Ohhh! mais tout à fait oui!!! Je prends une coloc avec joie!!! Effectivement, Luna semble effectivement plus sérieuse que Dafydd et pourrait doucement le remettre à l'ordre!

Et j'ai remarqué qu'ils étaient tous deux en quête de leur père biologique, en quelque sorte!
Luna-Sophia Cunningham
   https://growupforum.forumactif.com/t1376-luna-sophia-guerir-sa-solitude  https://growupforum.forumactif.com/t1393-luna-sophia-c-lsc-s-world  
RP
Habitation : Chelsea, New York. Dans un appartement avec vue sur la High Line
Infos diverses : 1/ Tu te mets beaucoup de pression, et ça ressort dans de violentes crises d'angoisse. Tu commences par bégayer légèrement, puis tu suffoques, ton coeur s'emballe, tu pleurs. Tu perds le contrôle de tes émotions.

2/ Tu es une artiste dans l'âme. Tu dessines merveilleusement bien, cet art te porte et tu le combines à la perfection avec les nouvelles technologie, créant des œuvres parfaites mêlant classicisme et modernité grâce à des logiciels perfectionnés. En dehors de ton coup de crayon, tu pratiques également la musique. Violon, piano et harpe ont ta préférence, mais tu apprécies de te défouler sur les tambours d'une batterie quand l'occasion se présente.

3/ Tu es Néerlandaise par ta mère. Elle n'a pas beaucoup participé à ton éducation, mais elle t'a tout de même inculqué le savoir-vivre d’Amsterdam, ville où elle a grandi avant de venir s'installer à New York ; c'est pourquoi, dans ta vie de tous les jours, tu préfères la marche à pied ou le vélo aux longs trajets en taxi. La circulation dans la Grande Pomme est dense, mais cela ne t'inquiète pas et tu slalomes entre les voitures au rythme des tours de pédales de ton vélo électrique avec l'insouciance de ton âge.

4/ Durant l’été de tes 15 ans, tu as fait la connaissance d’un homme. Grand, avec de la prestance et un sourire à tomber à la renverse. Il s’est installé debout à côté de toi tandis que tu observais attentivement une sculpture de l’exposition temporaire du Guggenheim. Vous avez parlé, longuement. Vous avez ri, beaucoup. Tu as senti ton cœur s’emballer tant vous partagiez d’avis similaires. La conversation s’est éternisée sans que tu ne t’en rendes compte, l’un des vigiles du musée avait dû venir vous dire qu’il était temps de partir, que la fermeture avait sonné. Une fois à l’extérieur, vous vous étiez quittés en vous saluant poliment, mais tu ne pus te résoudre à le laisser s’évaporer dans la nature alors tu rebroussas chemin pour lui confier ton numéro de téléphone, puis tu le regardas dans les yeux pour lui dire de te contacter rapidement. Tes mains devenues moites, tu peinais à respirer calmement. Luna, tu n’avais jamais ressentie cela auparavant, et tu rentras bouleversée par ces émotions. La porte de ton appartement n’avait pas été ouverte, tu n’eus pas l’envie de te retrouver seule et c’est tout naturellement que tu avais rejoint ta meilleure amie et sa famille. Ton étrange silence au cours de la soirée ne passa pas inaperçu, ton retrait dans la bibliothèque non plus. Erik, que tu considérais alors comme le père que tu n’as jamais eus, vint te voir. Tu lui expliquas ton après-midi, tu lui parlas de cet homme, de cette voix, de ces yeux si perturbant. C’est en évoquant ce détail que l’évidence te frappa. Cette couleur, tu la connaissais. C’était la même que celle que tu pouvais voir dans le miroir. Tu venais de rencontrer ton géniteur, tu en étais persuadée. La dure réalité de cette histoire, c’est que tu ne reçus jamais aucun appel, ni aucun message, cette rencontre fut unique. Elle resta gravée dans ta mémoire.

5/ Tu as toujours mis un point d'honneur à ne pas t'offrir à n'importe qui, après tout, tu es le fruit d'une histoire sans lendemain, une enfant surprise, non désirée, et tu préfères ne pas réitérer les erreurs de tes parents. Ta virginité était précieuse à tes yeux, et tu ne voulais pas que le premier venu puisse venir la cueillir. Il te fallait quelqu'un de spécial. Ton professeur de piano, ce fut sur lui que tu jetas ton dévolu. Il était beau et talentueux. Il avait le double de ton âge, soit 34 ans tandis que toi, tu en avais 17. Cet homme, il parvenait à provoquer en toi un sentiment particulier. Lorsqu'il déposait ses yeux sur toi, tu les sentais te brûler la peau. Quand ses larges mains prenaient place sur tes épaules, son torse contre ton dos, tu frémissais systématiquement. Il ne faisait que te féliciter pour le passage délicat que tu avais réussi à jouer, et toi, tu lui répondais que c'était grâce à lui, uniquement grâce à lui. Pourtant, tu t'étais acharnée à pianoter ces notes durant des heures, juste pour le voir sourire et être fier de toi. Tu l'avais désiré, et tu l'avais eu. C'eut été doux, tendre. Au début. Car rapidement, ses gestes s'étaient faits plus fermes, sa voix plus tranchante alors qu'il t'avoua avoir envie de te goûter depuis des mois. Tu n'étais pas dupe, tu le savais parfaitement et tu n'avais fait qu'attiser sa convoitise depuis que vos regards s'étaient croisés pour la première fois.

6/ Fut une époque où tu pouvais prétendre avoir accès à tout. Ta mère avait une belle carrière dans le mannequinat et le nombre incroyable de beaux-pères s'étant succédé les uns après les autres lui avait permis de s'offrir un joli train de vie. Elle t'en faisait bénéficier en remplissant généreusement ton compte en banque. Si ton porte-monnaie ne manquait pas de son soutien, pour toi par contre, elle restait un fantôme beaucoup trop absent. Cependant, c'est une époque révolue. Son énième fiancé est parti, s'essoufflant sous ses caprices et un nouveau a débarqué. Ce dernier est sans le sou, ce qui est une grande première pour ta matérialiste de mère. Peut-être a-t-elle trouvé le grand amour cette fois-ci... Tu pourrais être heureuse pour elle si seulement elle n'était pas allée s'installer à Los Angeles, te laissant seule - encore - alors que des huissiers viennent frapper à la porte de votre appartement new-yorkais. Ta mère ne paie plus le loyer depuis des mois, et il t'est demandé de quitter les lieux d'ici quelques semaines si aucun règlement n'est effectué. Tu as accumulé un petit pécule, ne dépensant pas l'intégralité de ton argent de poche, mais celui-ci risque de rapidement s'émietter.

7/ Tu adores la mode. Ton style soigné s'en ressent, et tu agrémentes souvent tes tenues de pièces fortes. Tu accessoirises, tu découds, tu recouds, tu modifies, tu ajoutes. Tu as longtemps boudé cet univers qui t'a privé de ta mère, puis tu as finalement compris que les podiums, les magazines ou les shootings n'étaient pas les responsables de son désintérêt pour toi. Alors tu as commencé à te rendre à des défilés, profitant de ton nom et de tes entrées pour avoir des accès privilégiés.

8/ Ton compte Instagram est rempli de clichés. Parfois sombres, parfois colorés, cela dépend de ton humeur. Tu montres ta vie comme tu l'entends, tu es reine de ton image et cela te réussit. Des dizaines de milliers de personnes te suivent. C'est grisant, réjouissant de constater qu'on t'aime sans même te connaître. Parfois, cette aventure est angoissante. Les commentaires désagréables sont réguliers, ils te minent, te déconcentrent, t'empêchent d'être lucide et te torpillent le moral quelques instants. Mais tu as la sensation d'être reconnue. On te voit, et finalement, c'est le plus important.

Célébrité : Josephine Langford
Crédits : Avatar : Moore
DC : -
HRP
Luna-Sophia Cunningham
La Bella Muerte
A voir si tu préfères qu'ils se rencontrent via le boulot et deviennent coloc après, ou inversement ? Les deux sont possibles et laissent des chemins différents.

Luna pourra lui raconter ses péripéties amoureuses  Dafydd Lloyd's contacts 3033769437 Elle va bientôt craquer sur le père de sa BFF, qu'elle considère d'ailleurs un peu comme le sien... Par pitié, qu'il ne lui sorte pas un : tu fais un transfert du père que tu voudrais et c'est un peu spé de se le taper !  dehors




Youth Madness
Dafydd Lloyd
   https://growupforum.forumactif.com/t1533-dafydd-lloyd-heb-ei-eni-heb-eni-fai  
RP
Habitation : Une petite chambre en coloc dans le Lower East Side
Infos diverses : - Tu mesures 1m75 pour 67 kg. Tu es très mince et a une silhouette très délicate.
- Tu as une très belle voix, grave et douce. Tu parles avec l'accent british officiel mais dès que tu es un peu fatigué, ton accent nasillard du Nord du Pays de Galles ressort. Ta langue maternelle est le gallois.
- Tu as un grand chat noir perpétuellement perché sur ton épaule. Il s'appelle Mister Thackery Binx et a déjà deux ans.
- Sans être complètement efféminé, tu as des manières raffinées et tu ne cache pas être gay.
- Tu mens sans cesse sur ton âge et prétends avoir 29 ans. Parfois 30, parfois 33, parfois 27. Ça dépend de ton interlocuteur et de ton intérêt à passer une nuit avec. Tu prétends être né le soir de l'Halloween.

Célébrité : Ben Whishaw
Crédits : Raton
DC : N/A
HRP
Dafydd Lloyd
Les autres
Ooooooh!!!! Mon dieu, j'imagine trop la conversation!!! J'avoue que le lien de coloc me branche plus! Partons là-dessus?
Luna-Sophia Cunningham
   https://growupforum.forumactif.com/t1376-luna-sophia-guerir-sa-solitude  https://growupforum.forumactif.com/t1393-luna-sophia-c-lsc-s-world  
RP
Habitation : Chelsea, New York. Dans un appartement avec vue sur la High Line
Infos diverses : 1/ Tu te mets beaucoup de pression, et ça ressort dans de violentes crises d'angoisse. Tu commences par bégayer légèrement, puis tu suffoques, ton coeur s'emballe, tu pleurs. Tu perds le contrôle de tes émotions.

2/ Tu es une artiste dans l'âme. Tu dessines merveilleusement bien, cet art te porte et tu le combines à la perfection avec les nouvelles technologie, créant des œuvres parfaites mêlant classicisme et modernité grâce à des logiciels perfectionnés. En dehors de ton coup de crayon, tu pratiques également la musique. Violon, piano et harpe ont ta préférence, mais tu apprécies de te défouler sur les tambours d'une batterie quand l'occasion se présente.

3/ Tu es Néerlandaise par ta mère. Elle n'a pas beaucoup participé à ton éducation, mais elle t'a tout de même inculqué le savoir-vivre d’Amsterdam, ville où elle a grandi avant de venir s'installer à New York ; c'est pourquoi, dans ta vie de tous les jours, tu préfères la marche à pied ou le vélo aux longs trajets en taxi. La circulation dans la Grande Pomme est dense, mais cela ne t'inquiète pas et tu slalomes entre les voitures au rythme des tours de pédales de ton vélo électrique avec l'insouciance de ton âge.

4/ Durant l’été de tes 15 ans, tu as fait la connaissance d’un homme. Grand, avec de la prestance et un sourire à tomber à la renverse. Il s’est installé debout à côté de toi tandis que tu observais attentivement une sculpture de l’exposition temporaire du Guggenheim. Vous avez parlé, longuement. Vous avez ri, beaucoup. Tu as senti ton cœur s’emballer tant vous partagiez d’avis similaires. La conversation s’est éternisée sans que tu ne t’en rendes compte, l’un des vigiles du musée avait dû venir vous dire qu’il était temps de partir, que la fermeture avait sonné. Une fois à l’extérieur, vous vous étiez quittés en vous saluant poliment, mais tu ne pus te résoudre à le laisser s’évaporer dans la nature alors tu rebroussas chemin pour lui confier ton numéro de téléphone, puis tu le regardas dans les yeux pour lui dire de te contacter rapidement. Tes mains devenues moites, tu peinais à respirer calmement. Luna, tu n’avais jamais ressentie cela auparavant, et tu rentras bouleversée par ces émotions. La porte de ton appartement n’avait pas été ouverte, tu n’eus pas l’envie de te retrouver seule et c’est tout naturellement que tu avais rejoint ta meilleure amie et sa famille. Ton étrange silence au cours de la soirée ne passa pas inaperçu, ton retrait dans la bibliothèque non plus. Erik, que tu considérais alors comme le père que tu n’as jamais eus, vint te voir. Tu lui expliquas ton après-midi, tu lui parlas de cet homme, de cette voix, de ces yeux si perturbant. C’est en évoquant ce détail que l’évidence te frappa. Cette couleur, tu la connaissais. C’était la même que celle que tu pouvais voir dans le miroir. Tu venais de rencontrer ton géniteur, tu en étais persuadée. La dure réalité de cette histoire, c’est que tu ne reçus jamais aucun appel, ni aucun message, cette rencontre fut unique. Elle resta gravée dans ta mémoire.

5/ Tu as toujours mis un point d'honneur à ne pas t'offrir à n'importe qui, après tout, tu es le fruit d'une histoire sans lendemain, une enfant surprise, non désirée, et tu préfères ne pas réitérer les erreurs de tes parents. Ta virginité était précieuse à tes yeux, et tu ne voulais pas que le premier venu puisse venir la cueillir. Il te fallait quelqu'un de spécial. Ton professeur de piano, ce fut sur lui que tu jetas ton dévolu. Il était beau et talentueux. Il avait le double de ton âge, soit 34 ans tandis que toi, tu en avais 17. Cet homme, il parvenait à provoquer en toi un sentiment particulier. Lorsqu'il déposait ses yeux sur toi, tu les sentais te brûler la peau. Quand ses larges mains prenaient place sur tes épaules, son torse contre ton dos, tu frémissais systématiquement. Il ne faisait que te féliciter pour le passage délicat que tu avais réussi à jouer, et toi, tu lui répondais que c'était grâce à lui, uniquement grâce à lui. Pourtant, tu t'étais acharnée à pianoter ces notes durant des heures, juste pour le voir sourire et être fier de toi. Tu l'avais désiré, et tu l'avais eu. C'eut été doux, tendre. Au début. Car rapidement, ses gestes s'étaient faits plus fermes, sa voix plus tranchante alors qu'il t'avoua avoir envie de te goûter depuis des mois. Tu n'étais pas dupe, tu le savais parfaitement et tu n'avais fait qu'attiser sa convoitise depuis que vos regards s'étaient croisés pour la première fois.

6/ Fut une époque où tu pouvais prétendre avoir accès à tout. Ta mère avait une belle carrière dans le mannequinat et le nombre incroyable de beaux-pères s'étant succédé les uns après les autres lui avait permis de s'offrir un joli train de vie. Elle t'en faisait bénéficier en remplissant généreusement ton compte en banque. Si ton porte-monnaie ne manquait pas de son soutien, pour toi par contre, elle restait un fantôme beaucoup trop absent. Cependant, c'est une époque révolue. Son énième fiancé est parti, s'essoufflant sous ses caprices et un nouveau a débarqué. Ce dernier est sans le sou, ce qui est une grande première pour ta matérialiste de mère. Peut-être a-t-elle trouvé le grand amour cette fois-ci... Tu pourrais être heureuse pour elle si seulement elle n'était pas allée s'installer à Los Angeles, te laissant seule - encore - alors que des huissiers viennent frapper à la porte de votre appartement new-yorkais. Ta mère ne paie plus le loyer depuis des mois, et il t'est demandé de quitter les lieux d'ici quelques semaines si aucun règlement n'est effectué. Tu as accumulé un petit pécule, ne dépensant pas l'intégralité de ton argent de poche, mais celui-ci risque de rapidement s'émietter.

7/ Tu adores la mode. Ton style soigné s'en ressent, et tu agrémentes souvent tes tenues de pièces fortes. Tu accessoirises, tu découds, tu recouds, tu modifies, tu ajoutes. Tu as longtemps boudé cet univers qui t'a privé de ta mère, puis tu as finalement compris que les podiums, les magazines ou les shootings n'étaient pas les responsables de son désintérêt pour toi. Alors tu as commencé à te rendre à des défilés, profitant de ton nom et de tes entrées pour avoir des accès privilégiés.

8/ Ton compte Instagram est rempli de clichés. Parfois sombres, parfois colorés, cela dépend de ton humeur. Tu montres ta vie comme tu l'entends, tu es reine de ton image et cela te réussit. Des dizaines de milliers de personnes te suivent. C'est grisant, réjouissant de constater qu'on t'aime sans même te connaître. Parfois, cette aventure est angoissante. Les commentaires désagréables sont réguliers, ils te minent, te déconcentrent, t'empêchent d'être lucide et te torpillent le moral quelques instants. Mais tu as la sensation d'être reconnue. On te voit, et finalement, c'est le plus important.

Célébrité : Josephine Langford
Crédits : Avatar : Moore
DC : -
HRP
Luna-Sophia Cunningham
La Bella Muerte
Parfait pour la coloc !

Reste plus qu'à déménager bigsmile




Youth Madness
   
RP
HRP
Contenu sponsorisé