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Luna-Sophia C. - LSC's world

Luna-Sophia Cunningham
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RP
Habitation : Chelsea, New York. Dans un appartement avec vue sur la High Line
Infos diverses : 1/ Tu te mets beaucoup de pression, et ça ressort dans de violentes crises d'angoisse. Tu commences par bégayer légèrement, puis tu suffoques, ton coeur s'emballe, tu pleurs. Tu perds le contrôle de tes émotions.

2/ Tu es une artiste dans l'âme. Tu dessines merveilleusement bien, cet art te porte et tu le combines à la perfection avec les nouvelles technologie, créant des œuvres parfaites mêlant classicisme et modernité grâce à des logiciels perfectionnés. En dehors de ton coup de crayon, tu pratiques également la musique. Violon, piano et harpe ont ta préférence, mais tu apprécies de te défouler sur les tambours d'une batterie quand l'occasion se présente.

3/ Tu es Néerlandaise par ta mère. Elle n'a pas beaucoup participé à ton éducation, mais elle t'a tout de même inculqué le savoir-vivre d’Amsterdam, ville où elle a grandi avant de venir s'installer à New York ; c'est pourquoi, dans ta vie de tous les jours, tu préfères la marche à pied ou le vélo aux longs trajets en taxi. La circulation dans la Grande Pomme est dense, mais cela ne t'inquiète pas et tu slalomes entre les voitures au rythme des tours de pédales de ton vélo électrique avec l'insouciance de ton âge.

4/ Durant l’été de tes 15 ans, tu as fait la connaissance d’un homme. Grand, avec de la prestance et un sourire à tomber à la renverse. Il s’est installé debout à côté de toi tandis que tu observais attentivement une sculpture de l’exposition temporaire du Guggenheim. Vous avez parlé, longuement. Vous avez ri, beaucoup. Tu as senti ton cœur s’emballer tant vous partagiez d’avis similaires. La conversation s’est éternisée sans que tu ne t’en rendes compte, l’un des vigiles du musée avait dû venir vous dire qu’il était temps de partir, que la fermeture avait sonné. Une fois à l’extérieur, vous vous étiez quittés en vous saluant poliment, mais tu ne pus te résoudre à le laisser s’évaporer dans la nature alors tu rebroussas chemin pour lui confier ton numéro de téléphone, puis tu le regardas dans les yeux pour lui dire de te contacter rapidement. Tes mains devenues moites, tu peinais à respirer calmement. Luna, tu n’avais jamais ressentie cela auparavant, et tu rentras bouleversée par ces émotions. La porte de ton appartement n’avait pas été ouverte, tu n’eus pas l’envie de te retrouver seule et c’est tout naturellement que tu avais rejoint ta meilleure amie et sa famille. Ton étrange silence au cours de la soirée ne passa pas inaperçu, ton retrait dans la bibliothèque non plus. Erik, que tu considérais alors comme le père que tu n’as jamais eus, vint te voir. Tu lui expliquas ton après-midi, tu lui parlas de cet homme, de cette voix, de ces yeux si perturbant. C’est en évoquant ce détail que l’évidence te frappa. Cette couleur, tu la connaissais. C’était la même que celle que tu pouvais voir dans le miroir. Tu venais de rencontrer ton géniteur, tu en étais persuadée. La dure réalité de cette histoire, c’est que tu ne reçus jamais aucun appel, ni aucun message, cette rencontre fut unique. Elle resta gravée dans ta mémoire.

5/ Tu as toujours mis un point d'honneur à ne pas t'offrir à n'importe qui, après tout, tu es le fruit d'une histoire sans lendemain, une enfant surprise, non désirée, et tu préfères ne pas réitérer les erreurs de tes parents. Ta virginité était précieuse à tes yeux, et tu ne voulais pas que le premier venu puisse venir la cueillir. Il te fallait quelqu'un de spécial. Ton professeur de piano, ce fut sur lui que tu jetas ton dévolu. Il était beau et talentueux. Il avait le double de ton âge, soit 34 ans tandis que toi, tu en avais 17. Cet homme, il parvenait à provoquer en toi un sentiment particulier. Lorsqu'il déposait ses yeux sur toi, tu les sentais te brûler la peau. Quand ses larges mains prenaient place sur tes épaules, son torse contre ton dos, tu frémissais systématiquement. Il ne faisait que te féliciter pour le passage délicat que tu avais réussi à jouer, et toi, tu lui répondais que c'était grâce à lui, uniquement grâce à lui. Pourtant, tu t'étais acharnée à pianoter ces notes durant des heures, juste pour le voir sourire et être fier de toi. Tu l'avais désiré, et tu l'avais eu. C'eut été doux, tendre. Au début. Car rapidement, ses gestes s'étaient faits plus fermes, sa voix plus tranchante alors qu'il t'avoua avoir envie de te goûter depuis des mois. Tu n'étais pas dupe, tu le savais parfaitement et tu n'avais fait qu'attiser sa convoitise depuis que vos regards s'étaient croisés pour la première fois.

6/ Fut une époque où tu pouvais prétendre avoir accès à tout. Ta mère avait une belle carrière dans le mannequinat et le nombre incroyable de beaux-pères s'étant succédé les uns après les autres lui avait permis de s'offrir un joli train de vie. Elle t'en faisait bénéficier en remplissant généreusement ton compte en banque. Si ton porte-monnaie ne manquait pas de son soutien, pour toi par contre, elle restait un fantôme beaucoup trop absent. Cependant, c'est une époque révolue. Son énième fiancé est parti, s'essoufflant sous ses caprices et un nouveau a débarqué. Ce dernier est sans le sou, ce qui est une grande première pour ta matérialiste de mère. Peut-être a-t-elle trouvé le grand amour cette fois-ci... Tu pourrais être heureuse pour elle si seulement elle n'était pas allée s'installer à Los Angeles, te laissant seule - encore - alors que des huissiers viennent frapper à la porte de votre appartement new-yorkais. Ta mère ne paie plus le loyer depuis des mois, et il t'est demandé de quitter les lieux d'ici quelques semaines si aucun règlement n'est effectué. Tu as accumulé un petit pécule, ne dépensant pas l'intégralité de ton argent de poche, mais celui-ci risque de rapidement s'émietter.

7/ Tu adores la mode. Ton style soigné s'en ressent, et tu agrémentes souvent tes tenues de pièces fortes. Tu accessoirises, tu découds, tu recouds, tu modifies, tu ajoutes. Tu as longtemps boudé cet univers qui t'a privé de ta mère, puis tu as finalement compris que les podiums, les magazines ou les shootings n'étaient pas les responsables de son désintérêt pour toi. Alors tu as commencé à te rendre à des défilés, profitant de ton nom et de tes entrées pour avoir des accès privilégiés.

8/ Ton compte Instagram est rempli de clichés. Parfois sombres, parfois colorés, cela dépend de ton humeur. Tu montres ta vie comme tu l'entends, tu es reine de ton image et cela te réussit. Des dizaines de milliers de personnes te suivent. C'est grisant, réjouissant de constater qu'on t'aime sans même te connaître. Parfois, cette aventure est angoissante. Les commentaires désagréables sont réguliers, ils te minent, te déconcentrent, t'empêchent d'être lucide et te torpillent le moral quelques instants. Mais tu as la sensation d'être reconnue. On te voit, et finalement, c'est le plus important.

Célébrité : Josephine Langford
Crédits : Avatar : Moore
DC : -
HRP
Luna-Sophia Cunningham
La Bella Muerte

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Luna-Sophia C.
Manhattan life, New York mood. Welcome to LSC's world !



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Infos diverses : 1/ Tu te mets beaucoup de pression, et ça ressort dans de violentes crises d'angoisse. Tu commences par bégayer légèrement, puis tu suffoques, ton coeur s'emballe, tu pleurs. Tu perds le contrôle de tes émotions.

2/ Tu es une artiste dans l'âme. Tu dessines merveilleusement bien, cet art te porte et tu le combines à la perfection avec les nouvelles technologie, créant des œuvres parfaites mêlant classicisme et modernité grâce à des logiciels perfectionnés. En dehors de ton coup de crayon, tu pratiques également la musique. Violon, piano et harpe ont ta préférence, mais tu apprécies de te défouler sur les tambours d'une batterie quand l'occasion se présente.

3/ Tu es Néerlandaise par ta mère. Elle n'a pas beaucoup participé à ton éducation, mais elle t'a tout de même inculqué le savoir-vivre d’Amsterdam, ville où elle a grandi avant de venir s'installer à New York ; c'est pourquoi, dans ta vie de tous les jours, tu préfères la marche à pied ou le vélo aux longs trajets en taxi. La circulation dans la Grande Pomme est dense, mais cela ne t'inquiète pas et tu slalomes entre les voitures au rythme des tours de pédales de ton vélo électrique avec l'insouciance de ton âge.

4/ Durant l’été de tes 15 ans, tu as fait la connaissance d’un homme. Grand, avec de la prestance et un sourire à tomber à la renverse. Il s’est installé debout à côté de toi tandis que tu observais attentivement une sculpture de l’exposition temporaire du Guggenheim. Vous avez parlé, longuement. Vous avez ri, beaucoup. Tu as senti ton cœur s’emballer tant vous partagiez d’avis similaires. La conversation s’est éternisée sans que tu ne t’en rendes compte, l’un des vigiles du musée avait dû venir vous dire qu’il était temps de partir, que la fermeture avait sonné. Une fois à l’extérieur, vous vous étiez quittés en vous saluant poliment, mais tu ne pus te résoudre à le laisser s’évaporer dans la nature alors tu rebroussas chemin pour lui confier ton numéro de téléphone, puis tu le regardas dans les yeux pour lui dire de te contacter rapidement. Tes mains devenues moites, tu peinais à respirer calmement. Luna, tu n’avais jamais ressentie cela auparavant, et tu rentras bouleversée par ces émotions. La porte de ton appartement n’avait pas été ouverte, tu n’eus pas l’envie de te retrouver seule et c’est tout naturellement que tu avais rejoint ta meilleure amie et sa famille. Ton étrange silence au cours de la soirée ne passa pas inaperçu, ton retrait dans la bibliothèque non plus. Erik, que tu considérais alors comme le père que tu n’as jamais eus, vint te voir. Tu lui expliquas ton après-midi, tu lui parlas de cet homme, de cette voix, de ces yeux si perturbant. C’est en évoquant ce détail que l’évidence te frappa. Cette couleur, tu la connaissais. C’était la même que celle que tu pouvais voir dans le miroir. Tu venais de rencontrer ton géniteur, tu en étais persuadée. La dure réalité de cette histoire, c’est que tu ne reçus jamais aucun appel, ni aucun message, cette rencontre fut unique. Elle resta gravée dans ta mémoire.

5/ Tu as toujours mis un point d'honneur à ne pas t'offrir à n'importe qui, après tout, tu es le fruit d'une histoire sans lendemain, une enfant surprise, non désirée, et tu préfères ne pas réitérer les erreurs de tes parents. Ta virginité était précieuse à tes yeux, et tu ne voulais pas que le premier venu puisse venir la cueillir. Il te fallait quelqu'un de spécial. Ton professeur de piano, ce fut sur lui que tu jetas ton dévolu. Il était beau et talentueux. Il avait le double de ton âge, soit 34 ans tandis que toi, tu en avais 17. Cet homme, il parvenait à provoquer en toi un sentiment particulier. Lorsqu'il déposait ses yeux sur toi, tu les sentais te brûler la peau. Quand ses larges mains prenaient place sur tes épaules, son torse contre ton dos, tu frémissais systématiquement. Il ne faisait que te féliciter pour le passage délicat que tu avais réussi à jouer, et toi, tu lui répondais que c'était grâce à lui, uniquement grâce à lui. Pourtant, tu t'étais acharnée à pianoter ces notes durant des heures, juste pour le voir sourire et être fier de toi. Tu l'avais désiré, et tu l'avais eu. C'eut été doux, tendre. Au début. Car rapidement, ses gestes s'étaient faits plus fermes, sa voix plus tranchante alors qu'il t'avoua avoir envie de te goûter depuis des mois. Tu n'étais pas dupe, tu le savais parfaitement et tu n'avais fait qu'attiser sa convoitise depuis que vos regards s'étaient croisés pour la première fois.

6/ Fut une époque où tu pouvais prétendre avoir accès à tout. Ta mère avait une belle carrière dans le mannequinat et le nombre incroyable de beaux-pères s'étant succédé les uns après les autres lui avait permis de s'offrir un joli train de vie. Elle t'en faisait bénéficier en remplissant généreusement ton compte en banque. Si ton porte-monnaie ne manquait pas de son soutien, pour toi par contre, elle restait un fantôme beaucoup trop absent. Cependant, c'est une époque révolue. Son énième fiancé est parti, s'essoufflant sous ses caprices et un nouveau a débarqué. Ce dernier est sans le sou, ce qui est une grande première pour ta matérialiste de mère. Peut-être a-t-elle trouvé le grand amour cette fois-ci... Tu pourrais être heureuse pour elle si seulement elle n'était pas allée s'installer à Los Angeles, te laissant seule - encore - alors que des huissiers viennent frapper à la porte de votre appartement new-yorkais. Ta mère ne paie plus le loyer depuis des mois, et il t'est demandé de quitter les lieux d'ici quelques semaines si aucun règlement n'est effectué. Tu as accumulé un petit pécule, ne dépensant pas l'intégralité de ton argent de poche, mais celui-ci risque de rapidement s'émietter.

7/ Tu adores la mode. Ton style soigné s'en ressent, et tu agrémentes souvent tes tenues de pièces fortes. Tu accessoirises, tu découds, tu recouds, tu modifies, tu ajoutes. Tu as longtemps boudé cet univers qui t'a privé de ta mère, puis tu as finalement compris que les podiums, les magazines ou les shootings n'étaient pas les responsables de son désintérêt pour toi. Alors tu as commencé à te rendre à des défilés, profitant de ton nom et de tes entrées pour avoir des accès privilégiés.

8/ Ton compte Instagram est rempli de clichés. Parfois sombres, parfois colorés, cela dépend de ton humeur. Tu montres ta vie comme tu l'entends, tu es reine de ton image et cela te réussit. Des dizaines de milliers de personnes te suivent. C'est grisant, réjouissant de constater qu'on t'aime sans même te connaître. Parfois, cette aventure est angoissante. Les commentaires désagréables sont réguliers, ils te minent, te déconcentrent, t'empêchent d'être lucide et te torpillent le moral quelques instants. Mais tu as la sensation d'être reconnue. On te voit, et finalement, c'est le plus important.

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