Blessure par balle (feat. Ethan)

Charles-Xavier McAllister
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Habitation : Long Island - Maison face à la mer
Infos diverses : Blessure par balle (feat. Ethan) 2b1f392577c287d61475ab5382fc7697
• • Me, myself & i • •

Je suis lieutenant de police. J'aime combattre le crime, je n'ai peur de rien, j'ai n'abandonne jamais une enquêtes, quitte à prendre des risques pour chopper le criminel. Cette adrénaline lors des arrestations musclés, j'adore ça. J'en suis accro, un peu trop d'ailleurs. J'aime prendre des risques, quitte à y perdre la vie... C'est d'ailleurs pour cela que mon corps a les traces de diverses arrestation musclés ou je me suis pris des balles, coup de couteaux... c'est les risques du métier.

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Blessure par balle (feat. Ethan) Laughing-ciara
• • MA FEMME ?

La seule femme que je n'ai jamais aimé, m'a été volé, emporté bien trop tôt. De notre premier baisé, à son décès, je n'ai aimé qu'elle. Depuis je n'ose pas ouvrir mon cœur, je ne veux plus souffrir. La tristesse fait de moi un homme seul. Et pourtant je cumule les conquêtes, les femmes et les hommes. Le soir ou je t'ai perdu, j'ai appris que j'aurais été papa quelques mois plus tard. Cela a intensifier ma tristesse. Depuis, je n'ai jamais envisagé d'avoir une vie de famille. Du moins, jusqu'à ce que je sauve ce jeune enfant in extrémiste. Je suis père mais de la à envisager de me remarier un jour, il y a une grosse différente… D'ailleurs je porte toujours mon alliance. Je n'arrive pas à la retirer. Elle est la preuve de mon amour pour toi, Clara, la seule femme qui pouvait être fière d'être à mes côtés.
Célibataire, je papillonne au grès du vent, dans les bras qui s'offre à moi… Mon cœur rester enfermer à double tour, bon courage si vous le voulez !

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• • MON FILS

Wyatt. Tu étais encore qu'un bébé lorsque je t'ai sauvé in extrémiste de cette accident de voiture provoquer part ta mère biologique. A part moi et ma famille, tu n'as personne d'autres. Génétiquement, on n'a jamais su qui était ton père et tu ne sembles pas le rechercher. Tu es tout pour moi, le seul être dont je suis prêt à donner ma vie. Je te considère comme mon propre fils, tu le sais et tu en es fier. Maintenant tu approche les 18 ans, mais entre nous, la complicité est toujours là, tu sembles toujours avoir besoin de ton bon vieux père !

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• • MY LOVE

Ethan. Je t'ai rencontrer alors que j'étais blessé et que l'on m'a transporter à l'hopital. Depuis tu hantes mes pensés et je suis prêt à me blessé à nouveau à condition que c'est toi qui me soigne et rien que toi. Je sais que mon esprit est tordu mais cela fait des années que je n'avais pas ressenti une tels attraction pour quelqu'un.

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Blessure par balle (feat. Ethan) Adac6df217b15eb77d1351ad4ff2e40b
• • PETIT PLUS

• La cigarette c'est mon péché mignon. Il n'est pas rare de me voir entrain de fumer. Même si je sais que mes poumons ne résisteront pas éternellement, c'est la seule chose qui me calme et me déstresse.

• • La drogue reste mon point faible. Que ce soit en cachet, en poudre ou sous injection, j'ai été jusqu'à l'overdose. Je suis clin, mais il ne me faudrait pas beaucoup pour y replonger. D'ailleurs les traces d'injection dans mon coude droit prouve ma dépense accru pour cette drogue.

• • Je n'ai eu qu'un seul et véritable ami : Erik. Cependant nos idéaux était trop différent, la vision du monde nous était trop opposé à l'époque, que j'ai préférer m'éloigner. Mais il reste le seul à avoir cette place dans mon cœur. Même si je ne l'ai plus jamais revu, mon esprit pense souvent à lui.

• • Hommes ou femmes, je n'ai jamais eu de préférences en matière de sexe. Je n'ai pas honte de cela et j'avance dans ce monde sans me prendre la tête, enchainant les aventures sans lendemain. Mon fils aimerait me voir avec une femme, me marié à nouveau, en même temps il ignore que je suis tout aussi faible face aux corps d'homme. Mais pour lui, je garde cela plus discret, mais tôt ou tard, il le découvrira, j'en suis sur.

• • J'ai un chien, une femelle qui s'appelle "Winner", de race berger allemand. Elle est dressé pour défendre la maison et ses maitres. Elle est une protection pour ma famille et moi même.

• • J'adore aller travaillé en moto, avec ma Yamaha de couleur noir et verte. Mais je roule aussi à bord d'un pick-up de marque Ford Ranger Raptor. Deux moyens de locomotion que j'adore.

• • Mon fils, mon frère sont tout pour moi. C'est la seule famille qui me reste et je suis prêt à tout pour eux.

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• • MES RP'S • •

www. feat Eryk
www. feat Nina
www. feat Ethan
• [url=]www[/url]. feat Antonio
• [url=]www[/url]. feat Evelyn

Célébrité : James McAvoy
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DC : //
HRP
Charles-Xavier McAllister
Le 911
Dialogue de Charles Xavier : #006699
Sa tenue : photo

Blessure par balle

feat @Ethan Perkins


Il y a des jours ou rien ne va comme c’est prévu. Appelé sur un homicide, Charles Xavier arrive avec son équipe, mais si c’était censé être une enquête comme il a l’habitude, il n’était pas censé se retrouver quelques heures plus tard aux urgences. Un homme, armé, caché dans la maison, là où le crime a eu lieu, il a pris par surprise les policiers sur place. Ayant de bons réflexes, en principe Charles aurait dû éviter la tire, mais il a agi par instinct et a voulu protéger le jeune policier, à peine arrivé dans l’équipe. Son instinct de policier, de père peut être, en tout cas, c’est Charles qui se fait toucher par le tir. Par chance, l’homme en cavale a pu être arrêté par ses collègues, alors que Charles se retrouve avec une plaie sur le torse. Une égratignure, du moins c’est ce qu’il pense, mais une blessure qui lui vaut de se retrouver transporter par les pompiers jusqu’à l’hôpital.

Installé sur un brancard, alors qu’il n’en a pas besoin, qu’il voulait, limite ne pas aller aux urgences pour ça, croyant que les pompiers auraient pu juste lui faire un bandage, mais il semblerait qu’il ait besoin de soin plus approfondit. C’est un poil râleur, car il a dû laisser son équipe sur place et qu’il se retrouve à moitié allongé sur un brancard pour ce qu’il juge : être une petite blessure.

À son arrivé, la sirène des pompiers se fait entendre, une équipe de police suit l’ambulance, on croirait être un VIP. Bon ok, quand on fait partie de la police, on a le droit à ce genre de situation, car c’est comme toucher un membre de la famille, et en tant que lieutenant, son équipe s’inquiète.  

Les pompiers ont pris ses constantes, on fait un pansement temporaire au niveau de son torse afin de faire cesser le saignement et protéger la plaie. Quand les pompiers sont entrés dans les urgences, les regards se tournent vers eux, comme s’il s’agissait de vie ou de mort, mais non. Charles est conscient, il a mal, mais ce n’est pas ça qui va le tuer. Il sait qu’il est solide, qu’il peut endurer la douleur jusqu’à une certaine limite. Chose qu’il n’apprécie pas, c’est de se retrouver torse-nu, ainsi à la vue de tous. Il est quelque peu pudique, même s’il n’est pas moche, il n’a pas forcément envie que l’on le voit. Peut-être qu’il aurait aimé avoir plus d’intimité, mais tout se passe très vite, il n’a pas le choix et se laisse porter par la situation. Très vite, on le conduit dans un box. On lui demande de libérer le brancard pour prendre place sur un lit. Ce qu’il fait facilement, tout en grimaçant, car il a quand même mal et il sait que cela durera plusieurs jours. Une infirmière s’occupe de lui, prend son identité, demande s’il faut contacter quelqu’un en cas d’urgence et la première personne à qui il pense, c’est à son fils. Donc le prénom et numéro de téléphone se retrouvent vite écrits dans son dossier. Puis le voilà seul, on lui dit qu’on va venir s’occuper de lui, donc pas le choix, il se retrouve là, torse-nu, un pansement sur le torse, en attente d’un médecin.

Mais curieux, Charles ne reste pas forcément sage, il soulève le pansement pour voir sa plaie, ce qui lui tire une grimace. Pour lui, un coup de désinfectant et un pansement peuvent suffire, du moins, c’est ce qu’il aurait fait s’il avait été chez lui. Mais en même temps, ça ne devrait jamais arriver, se faire tirer dessus chez lui... C’est un territoire qu’il protège plus que tout au monde. C’est son monde, sa vie de famille et il compte garder ce lieu en toute sécurité...  


" Dysfunctional "
" Or Nah "


Le besoin d'adrénaline est quotidien
Lieutenant de police. La passion du métier. L'envie de justice. Le besoin d'aider son prochain. Aucun choix n'est envisageable. Le coeur triste, je comble ce vide par l'adrénaline que j'ai dans mon travail, je ne compte plus les heures, enchainant les enquêtes, les arrestations. J'aime prendre des risques, ma vie n'a plus de valeur, je suis perdu, seul dans ce monde qui m'a pris ma raison de vivre...
Ethan Perkins
   https://growupforum.forumactif.com/t1985-ethan-la-vie-n-est-pas-un-long-fleuve-tranquille#42589  
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Habitation : Brooklyn Heights & Dumbo - Appt 15/15 rue Quincy
Infos diverses : - Il a mal vécu le fait d’être hors des normes. - Il a toujours eu des facilités pour beaucoup de choses. - Il a toujours su qu’il voulut faire médecine. - Antonio est le premier qui a su qu'il aimait les garçons et son premier. - Il n’a que le permis moto. - Il est conscient de la chance qu’il a dans la vie. - Il a le secret espoir de trouver l’amour et de finir sa vie avec. - Il veut retrouver son meilleur ami
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Ethan Perkins
Le 911
Ethan était en train de boire un café mérité quand il entendit l’ambulance arriver. Avec un léger soupire, il posa sa tasse. Encore une personne pour lui. Un instant, il pria pour que ce ne soit pas une maman paniquée qui a amené son enfant parce qu’il a toussé trois fois. Il avait une sainte horreur de ce genre de cas. Il devait prendre toute sa patiente et sympathie pour lui expliquer que non, ce n’est pas grave. Même s’il adorait son métier pour les vraies urgences, il lui arrivait de n'avoir personne bien particulière. Il y a le drôle au moins la première fois : “Je suis tombé sur une bouteille en prenant ma douche et elle est rentrée”. Il y a ceux qui paniquent pour un rien, il y fait un peu chaud et ils débarquent parce qu’on fait une insolation grave. Il y a ceux aussi qui viennent comme ils partent le lendemain, mais ils n’ont pas pris congé. Non, ils ne viennent pas tous par leur propre moyen, certains prennent l’ambulance pour un taxi. Un de ses collègues ambulanciers lui a déjà raconté qu’un jour une petite vieille les avait appelés une fois montée dans l’ambulance, elle a donné l’adresse ou elle voulait aller. Ce n’était pas dans un hôpital, c’était chez une de ses amies.

En se rapprochant, il entendit également les sirènes des voitures de police. Là, c’était autre chose. Il se dépêcha de se préparer pour toutes les informations. Avec la police, c’est toujours du sérieux. Il doit attendre les informations de base des secouristes, il tend rapidement la fiche à l’infirmière pour qu’elle puisse aller prendre les infos. Pendant ce temps, il va rapidement voir les secouristes. Un policier est touché, un homme décrit comme pas facile. Il semble qu’il ait ronchonné le long du trajet parce que ce n’était pas grave. Une plaie par balle, pas mortelle, mais qu’il faut soigner. Il hocha la tête et regarde l’infirmière qui revient avec les informations. Il la remercie et termine rapidement le briefing des pompiers.

Quand il arrive, il y voit un homme assez séduisant en train de faire une bêtise. Il est en train de tenter de regarder la plaie. Ethan ne peut s’empêcher de soupirer. Doit-il prendre l’option plaisanterie ou plus grondante. Il se dit que tenter de faire entendre raison à l’homme ne sera pas gagné. Peut-être vaut-il mieux essayer de lui faire oublier les choses.

- Si vous n’êtes pas sage, il n’y aura pas de sucette pour vous. J’arrive retirer tout ça et vous pourrez regarder avec moi. Mais avant, je me présente, je suis le Docteur Perkins. Vos constantes ont l’air d’être stable depuis l’intervention des pompiers. C’est une bonne nouvelle.

Il alla prendre une paire de ciseaux stériles, les déballa et tira très légèrement sur le bandage, juste afin de passer la pointe ronde en dessous pour couper. Il regardait alternativement son patient et le bandage. Il voulait s’assurer de ses réactions physiques. Une fois fait, il jeta la bande et mis les ciseaux dans un bac prévu pour cet usage. Il prend une solution rosâtre et la verse sur la plaie et passe un carré stérile en même temps, pour nettoyer et évaluer l’état. Il prend ça très au sérieux. Il observe en évitant de trop toucher l’homme. Il se contente de re-nettoyer là où il ne voit pas bien.

- Hé bien, vous avez beaucoup de chance. Il ne vous faudra que quelques points de suture. Ça ne vous plaira pas, mais vous devrez arrêter le terrain et les travaux lourds pendant un temps. Pour que la plaie ne s’ouvre pas. Aucune trace inquiétante dans la plaie. Vous avez dû avoir de bons réflexes. Je vais aller chercher le kit de suture et envoyer une infirmière rassurer vos collègues. Ils ont envahi la salle d’attente.

Il lui fit un petit sourire, il s’agissait d’une demi-blague. Il y avait du monde, cependant, il avait déjà vu ce genre de chose plusieurs fois. Et puis, ils n’étaient pas gênants. Il s’apprêta à sortir.
Charles-Xavier McAllister
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Je suis lieutenant de police. J'aime combattre le crime, je n'ai peur de rien, j'ai n'abandonne jamais une enquêtes, quitte à prendre des risques pour chopper le criminel. Cette adrénaline lors des arrestations musclés, j'adore ça. J'en suis accro, un peu trop d'ailleurs. J'aime prendre des risques, quitte à y perdre la vie... C'est d'ailleurs pour cela que mon corps a les traces de diverses arrestation musclés ou je me suis pris des balles, coup de couteaux... c'est les risques du métier.

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• • MA FEMME ?

La seule femme que je n'ai jamais aimé, m'a été volé, emporté bien trop tôt. De notre premier baisé, à son décès, je n'ai aimé qu'elle. Depuis je n'ose pas ouvrir mon cœur, je ne veux plus souffrir. La tristesse fait de moi un homme seul. Et pourtant je cumule les conquêtes, les femmes et les hommes. Le soir ou je t'ai perdu, j'ai appris que j'aurais été papa quelques mois plus tard. Cela a intensifier ma tristesse. Depuis, je n'ai jamais envisagé d'avoir une vie de famille. Du moins, jusqu'à ce que je sauve ce jeune enfant in extrémiste. Je suis père mais de la à envisager de me remarier un jour, il y a une grosse différente… D'ailleurs je porte toujours mon alliance. Je n'arrive pas à la retirer. Elle est la preuve de mon amour pour toi, Clara, la seule femme qui pouvait être fière d'être à mes côtés.
Célibataire, je papillonne au grès du vent, dans les bras qui s'offre à moi… Mon cœur rester enfermer à double tour, bon courage si vous le voulez !

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Ethan. Je t'ai rencontrer alors que j'étais blessé et que l'on m'a transporter à l'hopital. Depuis tu hantes mes pensés et je suis prêt à me blessé à nouveau à condition que c'est toi qui me soigne et rien que toi. Je sais que mon esprit est tordu mais cela fait des années que je n'avais pas ressenti une tels attraction pour quelqu'un.

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• La cigarette c'est mon péché mignon. Il n'est pas rare de me voir entrain de fumer. Même si je sais que mes poumons ne résisteront pas éternellement, c'est la seule chose qui me calme et me déstresse.

• • La drogue reste mon point faible. Que ce soit en cachet, en poudre ou sous injection, j'ai été jusqu'à l'overdose. Je suis clin, mais il ne me faudrait pas beaucoup pour y replonger. D'ailleurs les traces d'injection dans mon coude droit prouve ma dépense accru pour cette drogue.

• • Je n'ai eu qu'un seul et véritable ami : Erik. Cependant nos idéaux était trop différent, la vision du monde nous était trop opposé à l'époque, que j'ai préférer m'éloigner. Mais il reste le seul à avoir cette place dans mon cœur. Même si je ne l'ai plus jamais revu, mon esprit pense souvent à lui.

• • Hommes ou femmes, je n'ai jamais eu de préférences en matière de sexe. Je n'ai pas honte de cela et j'avance dans ce monde sans me prendre la tête, enchainant les aventures sans lendemain. Mon fils aimerait me voir avec une femme, me marié à nouveau, en même temps il ignore que je suis tout aussi faible face aux corps d'homme. Mais pour lui, je garde cela plus discret, mais tôt ou tard, il le découvrira, j'en suis sur.

• • J'ai un chien, une femelle qui s'appelle "Winner", de race berger allemand. Elle est dressé pour défendre la maison et ses maitres. Elle est une protection pour ma famille et moi même.

• • J'adore aller travaillé en moto, avec ma Yamaha de couleur noir et verte. Mais je roule aussi à bord d'un pick-up de marque Ford Ranger Raptor. Deux moyens de locomotion que j'adore.

• • Mon fils, mon frère sont tout pour moi. C'est la seule famille qui me reste et je suis prêt à tout pour eux.

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Blessure par balle

feat @Ethan Perkins



Il est vrai que durant le transport, Charles n’a pas été le meilleur des patients. Il n’a pas l’habitude que l’on s’inquiète pour lui et cette blessure, il ne pense pas qu’elle soit grave. Peut-être que ce qu’il l’embête le plus, c’est d’avoir toutes ses attentions pour lui, alors qu’il y en a des plus grave. Si les ambulanciers n’avaient pas insisté, ni ses collègues, il serait venu de lui-même avec sa voiture, comme un patient lambda. Mais bon, le protocole exige qu’il se fasse soigner et vu l’inquiétude de ses collègues qui ont mis les sirènes et suivi jusqu’à l’hôpital, il se sent gêné, mais se laisse faire. Il râle, mais il n’est pas bien méchant. Charles Xavier est respectueux envers ses corps de métier, tout comme les forces de l’ordres et tout ce petit monde qui gravite autour de la justice. Cette blessure n’est pas la première et ne sera pas la dernière, il le sait bien. Même s’il tient à sa vie, pour son fils, car il n’a personne d’aussi important que lui, et c’est bien ce qui lui fait défaut. Mais il essaie de faire attention à lui durant les arrestations musclées, sauf aujourd’hui ou il a sauvé la vie du jeune policier à peine arrivé dans le métier. Il lui passera sûrement un petit savon, mais rien de méchant non plus, car il faut qu’il apprenne et c’est avec ce genre d’erreur que l’on se forge, que l’on se forme.

Les hôpitaux ne sont pas le lieu qu’il préfère, car c’est dans ce genre d’établissement qu’il a appris la mort de sa femme, de leurs enfants qui était dans son ventre et dont il ignorait l’existence. Donc ses visites dans ce genre d’endroit, il préfère les éviter, même s’il n’a pas le choix aujourd’hui. D’ailleurs tout le long de transport, il jouait nerveusement avec son alliance, sans doute savoir que l’on le dirige vers un hôpital lui rappel de mauvais souvenir. Certes, il y a déjà 19 ans qu’il est veuf, mais cela ne l’empêche pas d’y repenser, surtout dans ce genre de contexte. D’ailleurs sur sa fiche de liaison, remplis par l’une des infirmières, cette dernière lui avait demandé s’il était marié, montrant l’alliance à son doigt, ayant déjà coché la case, lorsqu’il a dû préciser que non, il était veuf. Surprise, elle a dû cocher les deux cases, peut-être une erreur de sa part, un oubli ou juste qu’elle doute de ses propos. Mais Charles ne rigole pas sur ce sujet. Oui, il a été marié, il porte encore son alliance, car c’est la seule femme qu’il a aimée et qu’il aura mariée. Désormais, il sait que s’il se marie, ça ne sera pas avec une femme. Il n’a pas l’intention de faire cela, mais aucune femme ne prendra sa place. Ce qui laisse quand même d’autres possibilités. Mais pour cela, il devrait d’abord arrêter les coups d’un soir et laisser quelqu’un s’approcher de lui, de son cœur meurtri...

Curieux, intrépide, il est là, torse nu, un pansement rougit par la plaie, qu’il soulève pour voir les dégâts. Son corps a diverses traces de coup, mais celle-ci laissera sûrement une trace indélébile. Tout comme les piqûres à son coudre droit, dû à sa période de junkie. Il ne les cache pas spécialement, car de toute façon, cela fait partie de lui, de son passé, de sa faiblesse, car il fait tout pour ne pas y replonger, et ce n’est pas facile quand on est seul, quand on a le cœur en miette depuis si longtemps.

Une grimace s’imprègne sur son visage en soulevant le pansement. Il a mal, rien d’insurmontable, mais ce n’est pas le meilleur des moments pour lui. Du moins, jusqu’à l’apparition de ce docteur. Oh. Là, son attention est complètement captivée. Déjà, c’est un homme, très beau, avec un charme énigmatique et dont il porte superbement bien l’uniforme. Charles Xavier l’écoute et ne peut s’empêcher de sourire à ses propos. Oh une sucette, s’il savait qu’il aime ça et pas n’importe laquelle. Mais cela serait sûrement trop irrespectueux de le dire aussi cash. Mais son esprit pense bien à des choses rien qu’à ses paroles. Serait-ce à cause des paroles ou de ce docteur qui est irrésistible ? Allez savoir. Une chose est sûre, Charles ne peut s’empêcher de poser ses yeux sur lui, il lui répond et le laisse faire ce qu’il veut. À la fois curieux de sa plaie et de ce docteur, son regard, bleuté jongle entre la plaie ainsi découverte, ses mains agiles qui le soignent et ce visage qui semble l’attirer plus que prévu. S’il avait su qu’il tomberait sur un si beau médecin, il n’aurait pas râlé durant tout le chemin.  

- “Enchanté docteur. Moi, c’est Charles Xavier McAllister. Lieutenant McAllister.”

Il se doute bien qu’il sache qui il est, il a vu son dossier, mais il ne peut pas s’empêcher de se présenter. Après tout, c’est aussi par politesse et il espère que ce docteur s’intéressera à lui, comme lui, il peut le désirer. Lorsque le magnifique docteur vient à lui nettoyer la plaie, Charles ne peut s’empêcher de grimacer et contracter ses abdos, un geste instinctif mais qui n’était pas forcément bon pour les soins.

Le docteur Perkins le rassure, mais lorsqu’il lui pose des interdictions, il ne peut s’empêcher de hausser un sourcil. Franchement, vous croyez réellement qu’il va rester sage ? Ça m’étonnerait, le connaissant... Déjà, ne pas faire de footing sur la plage matin et soir, ça sera difficile, alors devoir se priver de tout un tas d’autre chose, il risque de ne pas être le meilleur des patients, et il le sait bien. C’est d’ailleurs pour cela qu’il choppe le bras du médecin, par sa blouse. Un geste instinctif, qui ne se voulait pas agressif, il ne voulait tout simplement pas qu’il parte.

- “Attendez ! Je sais que ce n’est pas votre job, mais... vous ne pouvez pas le faire ? J’avoues que ça serait plus facile pour moi si c’était vous qui finissez les soins... et je tiens à avoir ma récompense...”

Et voilà, c’est plus fort que lui, il faut qu’il revienne sur la sucette. Après tout, il n’est pas obligé de dire ce qu’il a en tête. Par contre, il préfère largement le toucher de ce docteur que celui d’une quelconque infirmière... Se rendant compte de son geste, il relâche la manche du médecin et grogne un petits “désolé” en étant gêné d’avoir eu un geste aussi soudain.   

- “Mes collègues en font trop. Je ne suis pas mourant, ça va... j’aurais même pu venir seul, mais ils ont voulu à tout prix faire aller la cavalerie... Pouvez-vous leurs dire de retourner bosser, que je suis entre de bonne main !”

Et là, il parle de lui, de ce charmant docteur. Même s’il craint qu’il ne revienne pas pour les soins. Il comprendrait, après tout, faire des points de suture c’est le rôle des infirmiers, mais Charles n’a pas hésité à lui demander qu’il continue à s’occuper de lui. Disons qu’il a envie encore de le voir s’occuper de lui, voir ses mains se poser sur lui et l’écouter parler. Car il faut bien l’avouer, la voix est aussi belle que le reste, et Charles ne peut être que sous le charme. Cela faisait bien longtemps qu’il n’avait pas ressenti cet intérêt pour quelqu’un, c’est pour cela qu’il est surement trop insistant.


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Lieutenant de police. La passion du métier. L'envie de justice. Le besoin d'aider son prochain. Aucun choix n'est envisageable. Le coeur triste, je comble ce vide par l'adrénaline que j'ai dans mon travail, je ne compte plus les heures, enchainant les enquêtes, les arrestations. J'aime prendre des risques, ma vie n'a plus de valeur, je suis perdu, seul dans ce monde qui m'a pris ma raison de vivre...
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Ethan Perkins
Le 911
Ethan avait bien eu l’impression que ses paroles avaient eu un certain effet. Pour d'autres patients, voire patientes cela l’aurait dérangé, mais pas pour ce policier. Il était plus âgé que lui, mais ce n’est pas ce qui arrêtait le jeune homme. Il n’était pas du genre à s’arrêter à des détails pour le plaisir et le bonheur. Même si la déontologie lui interdisait de le toucher pendant qu’il était son patient. Il pourrait trouver une excuse pour tenter d’obtenir son contact ou bien attendre que ce soit terminer. Peut-être même qu’il pourrait le trouver sur une application de rencontre. Il devrait vérifier ça une fois le départ fait. Malheureusement, on ne trouve pas les profils comme ça. Dommage qu’on ne puisse pas entrer des détails particuliers pour retrouver les personnes. Ce serait une application intéressante. L’urgentiste avait déjà réfléchi et regrettait de ne pas être suffisamment doué dans le domaine pour le faire lui-même. Et malheureusement, il ne connaissait personne qui en avait les capacités.

- Enchanté lieutenant. C’est un beau métier que vous faites. Et c’est important surtout dans une ville comme New-York. J’imagine que ça doit demander beaucoup de temps. Et surtout beaucoup de vous.

Avait-il la place pour une personne dans sa vie ? Avait-il une vie de famille ? Il était indiqué veuf et pourtant l’homme portait toujours sa bague. Il y avait un nom et numéro inscrit sur la fiche, mais il n’avait pas fait attention au détail. Avant de voir le patient, ce qui importait Ethan, c'était son âge, sa fonction et ses blessures. Le reste n’avait pas d’importance. Il prêtait attention à la personne qu’une fois analyser si le danger était écarté ou nom. Pour Charles-Xavier, avant même d’entrer, il savait qu’il n’y avait pas question de vie ou de mort. Il pouvait donc se permettre d’être plus léger dans ses paroles et actions.

En voyant le haussement de sourcil de son patient lorsqu’il énonce les interdictions, il sait qu’il ne voudra probablement pas les suivre. C’est à lui de trouver l’option de le convaincre, de trouver les bons arguments. Il a comme l’impression qu’en face de lui se trouve un homme qui n’en fait qu’a sa tête. Cela risque d’être compliqué. Il devrait y réfléchir. Il était sur le point de partir chercher le kit quand l’homme le prit par le bras. Il n’y avait vu aucune malveillance, Ethan avait surtout l’impression que l’homme ne voulait pas qu’il parte. Pourquoi ? Mais il n’eut pas besoin de se poser la question bien longtemps. Une lueur malicieuse passa dans les yeux du docteur alors que son patient parlait de récompense. Un sourire un peu pervers se tira même sur ses lèvres. La sucette était un bon argument ? Il devrait l’utiliser un peu plus alors. Cet homme était véritablement délicieux. Autant sur ce qu’il voyait que sur ce qu’il montrait. Il n’était pas du genre à se contenter d’une personne plate. Il attendit quelques secondes pour laisser un suspens. Le temps que l’homme demande qu’on renvoie les collègues. Le médecin secoue la tête amusée, pas pour une réponse négative, juste un rire qui se cache.

- Ne vous inquiétez pas, je vais faire la suture. Je vais prévenir une infirmière qu’elle aille rassurer vos collègues. Par contre, j’espère que vous saurez comment rentrer ? Sinon il faudra attendre la fin de service d’un membre du personnel qui acceptera volontiers de vous reconduire chez vous.

Il ne tendait absolument pas une occasion pour le voir encore un peu plus longtemps. Il savait qu’il jouait à un jeu dangereux. Il pinça les lèvres ce qui lui fit un creux au centre des joues. Avant entamer un demi-tour pour s’arrêter au milieu et tourner un regard vers le policier.

- Je reviens dans un instant, d’ici là, ne bougez pas. Nous discuterons également des modalités de votre récompense. Il faudra être bien sage et surtout ne pas bouger. Par contre, je vais devoir anesthésier la zone, pas de problème avec les produits ou d’éléments que je dois savoir avant de faire le nécessaire ?

Il lui laissa le temps de répondre avant de s'éclipser par le rideau pour aller chercher le matériel. En allant chercher l’infirmière, il vit une partie de l’équipe qui faisait le pied de grue pas loin de la porte des salles de soin. Il eut un léger sourire, il devait être un bon lieutenant pour que ses hommes attendent aussi fidèlement. Il regarda l’infirmière en train de manger, elle n’en avait pas encore eu le temps. Il haussa les épaules et décida d’aller lui-même s’adresser à l’équipe. Le lieutenant était hors de danger, il ne l’avait pas été et nécessitait des points de suture et du repos pendant quelques jours. Il devrait éviter les efforts sur la poitrine. Peut-être que si les collègues veilleraient à ce qu’il respecte les consignes, ce sera plus simple. Il leur indiqua que le lieutenant les avait priées de retourner travailler. Il apprécia les remerciements et les regarda préparer leur départ avant d’aller chercher le nécessaire pour recoudre le magnifique policier qui lui servait de patient.

Il avait donc pris une petite dizaine de minutes pour le nécessaire et revint donc dans le carré de soin. Il tenait le tout d’une main. Sans le réaliser, il passa une main dans ses cheveux un peu longs pour un homme leur donnant un effet encore plus négliger. C’était un geste qu’il avait tendance à faire lorsqu’il se voulait séducteur. Il se rapprocha ensuite du policier et posa une main sur son épaule.

- Vos collègues sont prévenus. Ils sont en train de voir comment partir. Je leur ai dit que leur présence n’était pas nécessaire et vous donneriez de vos nouvelles dès que vous pourrez sortir. Ils étaient hésitants alors j’ai ajouté que ça pourrait faire peur à mes patients de voir autant de policiers. Ils étaient plus enclins à s'en aller. Ils sont également prévenus que vous devez vous reposer et ne pas forcer sur le torse. D’ailleurs, ...

Il fit une pause pendant qu’il enfilait ses gants. Il le faisait volontairement, histoire de tenir l’autre homme en haleine devant ce qu’il allait lui proposer. Surtout que ce n’était peut-être pas très déontologique. Mais une phrase n’a pas nécessairement de conséquence. Si ? Bon, peut-être qu’il espérait qu’il y en aurait. Surtout, s’il interprétait bien les paroles et les gestes de ce séduisant policier.

- Il nous faut discuter de votre récompense si vous êtes sages. Et de votre punition si vous ne l’êtes pas. Je suis plus partisan de la sucette que de la punition... Mais s’il faut aller jusque-là avec vous, je le ferai sans hésiter. Même si ce n’est pas grave, si elle se rouvre ou s’infecte, cela peut le devenir. Je ne fais pas encore de visite à domicile, mais je pourrais bien y être contraint avec vous.

Il avait bien une idée du genre de sucette qui lui proposerait et la punition qu’il avait en tête n’en était peut-être pas une. À moins que ce soit son esprit un peu lubrique qui lui joue des tours. Ou l’attirance pour ce magnifique étalon.
Charles-Xavier McAllister
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• • Me, myself & i • •

Je suis lieutenant de police. J'aime combattre le crime, je n'ai peur de rien, j'ai n'abandonne jamais une enquêtes, quitte à prendre des risques pour chopper le criminel. Cette adrénaline lors des arrestations musclés, j'adore ça. J'en suis accro, un peu trop d'ailleurs. J'aime prendre des risques, quitte à y perdre la vie... C'est d'ailleurs pour cela que mon corps a les traces de diverses arrestation musclés ou je me suis pris des balles, coup de couteaux... c'est les risques du métier.

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• • MA FEMME ?

La seule femme que je n'ai jamais aimé, m'a été volé, emporté bien trop tôt. De notre premier baisé, à son décès, je n'ai aimé qu'elle. Depuis je n'ose pas ouvrir mon cœur, je ne veux plus souffrir. La tristesse fait de moi un homme seul. Et pourtant je cumule les conquêtes, les femmes et les hommes. Le soir ou je t'ai perdu, j'ai appris que j'aurais été papa quelques mois plus tard. Cela a intensifier ma tristesse. Depuis, je n'ai jamais envisagé d'avoir une vie de famille. Du moins, jusqu'à ce que je sauve ce jeune enfant in extrémiste. Je suis père mais de la à envisager de me remarier un jour, il y a une grosse différente… D'ailleurs je porte toujours mon alliance. Je n'arrive pas à la retirer. Elle est la preuve de mon amour pour toi, Clara, la seule femme qui pouvait être fière d'être à mes côtés.
Célibataire, je papillonne au grès du vent, dans les bras qui s'offre à moi… Mon cœur rester enfermer à double tour, bon courage si vous le voulez !

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• • MON FILS

Wyatt. Tu étais encore qu'un bébé lorsque je t'ai sauvé in extrémiste de cette accident de voiture provoquer part ta mère biologique. A part moi et ma famille, tu n'as personne d'autres. Génétiquement, on n'a jamais su qui était ton père et tu ne sembles pas le rechercher. Tu es tout pour moi, le seul être dont je suis prêt à donner ma vie. Je te considère comme mon propre fils, tu le sais et tu en es fier. Maintenant tu approche les 18 ans, mais entre nous, la complicité est toujours là, tu sembles toujours avoir besoin de ton bon vieux père !

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• • MY LOVE

Ethan. Je t'ai rencontrer alors que j'étais blessé et que l'on m'a transporter à l'hopital. Depuis tu hantes mes pensés et je suis prêt à me blessé à nouveau à condition que c'est toi qui me soigne et rien que toi. Je sais que mon esprit est tordu mais cela fait des années que je n'avais pas ressenti une tels attraction pour quelqu'un.

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• • PETIT PLUS

• La cigarette c'est mon péché mignon. Il n'est pas rare de me voir entrain de fumer. Même si je sais que mes poumons ne résisteront pas éternellement, c'est la seule chose qui me calme et me déstresse.

• • La drogue reste mon point faible. Que ce soit en cachet, en poudre ou sous injection, j'ai été jusqu'à l'overdose. Je suis clin, mais il ne me faudrait pas beaucoup pour y replonger. D'ailleurs les traces d'injection dans mon coude droit prouve ma dépense accru pour cette drogue.

• • Je n'ai eu qu'un seul et véritable ami : Erik. Cependant nos idéaux était trop différent, la vision du monde nous était trop opposé à l'époque, que j'ai préférer m'éloigner. Mais il reste le seul à avoir cette place dans mon cœur. Même si je ne l'ai plus jamais revu, mon esprit pense souvent à lui.

• • Hommes ou femmes, je n'ai jamais eu de préférences en matière de sexe. Je n'ai pas honte de cela et j'avance dans ce monde sans me prendre la tête, enchainant les aventures sans lendemain. Mon fils aimerait me voir avec une femme, me marié à nouveau, en même temps il ignore que je suis tout aussi faible face aux corps d'homme. Mais pour lui, je garde cela plus discret, mais tôt ou tard, il le découvrira, j'en suis sur.

• • J'ai un chien, une femelle qui s'appelle "Winner", de race berger allemand. Elle est dressé pour défendre la maison et ses maitres. Elle est une protection pour ma famille et moi même.

• • J'adore aller travaillé en moto, avec ma Yamaha de couleur noir et verte. Mais je roule aussi à bord d'un pick-up de marque Ford Ranger Raptor. Deux moyens de locomotion que j'adore.

• • Mon fils, mon frère sont tout pour moi. C'est la seule famille qui me reste et je suis prêt à tout pour eux.

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Charles-Xavier McAllister
Le 911
Dialogue de Charles Xavier : #006699
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Blessure par balle

feat @Ethan Perkins




Un poil râleur, il est vrai que Charles Xavier n’est pas le plus obéissant des patients. Il n’a jamais eu quelqu’un dans sa vie pour le freiner et encore moins lorsque c’est nécessaire. Si, il y a bien son frère et son fils, mais à croire qu’il est un poil trop “tête brulé” pour les écouter. Le seul moment où il a écouté son frère, c’est lorsqu’il l’a retrouvé en overdose. Cette fois-là, il a franchi une limite et s’il voulait se battre, il devait s’occuper de lui. Et à croire que ce caractère un peu fort, a été très utile pour passer l’étape. Une étape proche du deuil, mais qu’il a réussi à franchir sans pour autant rechuter dans la drogue. Et pourtant les occasions ont été nombreuse et le son encore. Il sait que c’est sa faiblesse, qu’il doit être prudent et prendre soin de lui.

Mais voilà qu’aujourd’hui il a encore agi par instinct. Un instinct protecteur qu’il développe facilement au contact des gens. Son fils va surement lui faire la morale mais il n’a pas vraiment eu le temps de réfléchir et la balle l’a frôlé. Ses réflexes sont bons, pour son âge, et il en est fière.

Quand le docteur Perkins mentionne que son travail doit lui prendre beaucoup de son temps, il a raison. S’il n’avait pas son fils, il se jetterait dans le boulot, corps et âme. Il arrive à avoir des soirées match de foot ou tout autre sport, qui lui permet d’avoir un moment de complicité avec son fils et son frère, mais le reste de sa vie est bien trop vide pour qu’il ne le remplace pas par le boulot. Si sa femme était encore là, elle aurait toute son attention, mais ce n’est pas le cas. Et ce n’est pas les coups d’un soir, qui lui donne envie de prolongé l’envie d’avoir à ses côtés quelqu’un. Mais il n’est pas rare qu’il y songe. La solitude lui pèse mais il semble ne pas intéresser assez quelqu’un pour que l’on cherche à entrer dans sa vie.

Instinctivement, il saisit le bras de ce charmant docteur. Si en plus d’être beau comme un dieu, il n’y a aucun doute, Charles sait qu’il sera plus amène à se contrôler si c’est un homme qui le soigne. Il aura qu’à le regarder pour ne pas penser aux soins, alors qu’une femme, ce n’est pas ce qui lui plait. Il le sait déjà depuis pas mal de temps, son regard, son désir semble avoir choisi ce qu’il aime, même si son cœur est libre, il sait qu’un homme peut facilement s’y aventurer. Alors qu’une femme, il n’en a eu qu’une et ne veut même pas penser à une autre. Pour un instant, ça passe, mais il faut vraiment qu’elle tombe au bon moment. Les périodes d’abstinence sont plus nombreuses que ce que l’on peut croire, mais il l’assume. Il sait s’occuper de lui, même s’il préfèrerait avoir une personne comme ce magnifique docteur rien que pour lui. D’ailleurs, l’idée de la récompense, de la sucette s’il est sage, à titiller son esprit. Après tout, c’est un homme et qui a l’esprit plus tordu que ce que l’on pourrait le croire.

Ravie de savoir que ses soins seront finis par ce docteur, il ne peut s’empêcher de sourire. Il est vraiment beau et il l’intrigue plus que prévu. Ce n’est pas dans ses habitudes d’être si tactile avec un inconnu, mais il lui plait, ça il l’a vite compris et l’assume.

Oh mais en voilà une bonne question. Comment va-t-il rentrer chez lui ? Il peut faire appel un taxi, ou... oh mais là, il sait déjà qui il aimerait avoir comme chauffeur. Après tout, il se doit de s’occuper de son patient non ? Peut-être pas jusque-là, mais il aimerait bien.

- “Alors je vais devoir faire du charme pour trouver une âme charitable... y’a aucun souci pour l’anesthésie.”

Tant qu’il n’y a aucun doute pour qu’il devient accro, ça passe. Et puis, il y a bien une chose qu’il aimerait être accro. Une drogue d’un tout autre genre. Qu’un certain docteur pourrait lui procurés, du moins, il se l’imagine. D’ailleurs ce petit creux au centre de ses joues, qu’il a pu percevoir un instant, lui plait énormément. Il a vraiment beaucoup de charme et il semble douer pour se mettre en valeur.

Durant l’attente, il est là, seul, la main le long du corps, l’autre qui passe dans ses cheveux. Il réfléchit, il sait bien que son esprit s’échauffe très facilement. Surement parce qu’il n’a eu personne depuis un moment, que la simple vu d’un si bel homme, taquin en plus, éveil en lui un désir comme il aime.

Ça y est, revoilà l’homme qui attise son désir. Lorsqu’il revient dans la zone de soin, l’ambiance change, il en impose. Cette main qu’il passe dans ses cheveux ne passe pas inaperçu. Charles Xavier aurait aimé que ce soit sa propre main qui vient se glisser dans cette chevelure blonde. Le lieutenant sait qu’il ne devrait pas penser ainsi, mais il ne fait rien de mal, il laisse son esprit contrôler ses émotions et apprécier ce qu’il voit.

La main qui se pose sur son épaule dénudée, lui décroche un frisson. Le contact de cette peau, il aime ça et vu comment ses tétons réagissent, on peut dire que ce simple toucher lui a été agréable.

Le regard qui observe ce charmant médecin et en même temps ce qu’il fait, Charles ne lâche pas un instant ce qu’il fait. Mais ses paroles le font sourire. D’ailleurs, un poil joueur et taquin, Charles entre dans le jeu, si s’en est bien un. Après tout, ils sont deux adultes, deux hommes qui plaisante à leurs manières, rien de méchant.

- “Merci pour mes collègues. C’était la meilleure solution pour les faires partir. Quant à moi, s'il y’a que le torse qui doit être au repos, ça ne sera pas gênant pour le reste...”

Pourquoi ? En réalité, Charles a failli parler de sexe, il s’est retenu car il ne voulait pas paraitre irrespectueux. La pause que le docteur fait, le tient bien en haleine. Charles l’observe mettre ses gants, souriant légèrement face à ce geste professionnel mais à la fois si sensuel. Mais il veut juste entendre la suite. Et ce qui se suit, lui plait encore plus. Souriant, Charles ne se cache pas. Son regard se fait un chouya plus coquin, amusé par la situation.

- “Oh c’est très tendant... la récompense est appétissante je l’avoue. Mais rien que pour savoir qu’elle serait la punition, je serais capable d’être assez perturbant. Surtout si je peux vous avoir rien que pour moi. Vous ne savez pas ce que je suis capable de faire pour vous avez... et encore plus si les visites à domiciles seront envisageables... ”

Passant instinctivement sa langue sur ses lèvres, Charles a très vite compris ou imaginé ce que pourrait être la récompense et son esprit coquin aime ça. Et puis, s’il fait attention lui aussi peut goutter à la sucette, il est sur quelle sera à son goût, il en est quasiment certain.

- “Je n’ai pas l’habitude de laisser quelqu’un entré chez moi, mais en tant que docteur, vous aurez totalement mon approbation. Et pas que pour des soins…”

Charles ne peut s’empêcher de jouer avec des petits sous-entendus, ça l’amuse et il semblerait que c’est aussi le cas de ce docteur. S’il a bien lu sa fiche, il a compris qu’il était veuf, donc même s’il porte une alliance, il ne doit pas s’attendre à avoir la présente de femme au foyer. Et Charles laisse sous-entendre qu’il n’y a personne qui ne laisse entrer mais qu’il ferait... il a envie de faire un pas, si c’est avec lui.


" Dysfunctional "
" Or Nah "


Le besoin d'adrénaline est quotidien
Lieutenant de police. La passion du métier. L'envie de justice. Le besoin d'aider son prochain. Aucun choix n'est envisageable. Le coeur triste, je comble ce vide par l'adrénaline que j'ai dans mon travail, je ne compte plus les heures, enchainant les enquêtes, les arrestations. J'aime prendre des risques, ma vie n'a plus de valeur, je suis perdu, seul dans ce monde qui m'a pris ma raison de vivre...
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Le 911
Le fait que le lieutenant ne répondit pas lorsqu’il indiqua qu’il ne devait pas avoir beaucoup de temps libre confirma ce qu’il pensait. Un homme qui s’investissait dans son travail. C’était ce qu’il préférait. Il n’aimait pas les gens qui ne s’investissaient pas à fond. Cela en disait long sur ce qu’ils étaient pour le jeune homme. Même si cela ne m’empêche pas de prendre un peu de plaisir avec ce genre de personne, si ce n’était que pour ça sans attendre plus de leur part. Après tout, il assumait ses hormones et ses envies. Pourquoi nier qu’il avait des besoins même essentiels ? De plus, l’hormone qui était libérée lors du plaisir apportait un bien-être incontestable. Et la tension qui s’évacuait des muscles étaient non négligeables. Avec un métier dans les urgences, il était important d’être au maximum de sa forme et de s’apporter du bien. Quand il trouvera la personne qui lui conviendra, il s’arrêtera. C’était aussi simple que ça. En attendant, il profitait de la vie comme il le voulait. Pourquoi se priver de chose simple et si bonne ? Telle était sa philosophie pour l’instant. Il voulait profiter de la vie dans tous les sens qu’on puisse l’entendre.

Quand l’homme lui répondit qu’il allait devoir trouver une âme charitable, rentrant dans son jeu, il ne put s’empêcher de sourire. Oh, qu’il adorait cette idée. Mais ce n’était pas sérieux si ? Pouvait-il vraiment ? Un léger doute le submergea. Il était encore son patient. Il ne pouvait pas le draguer si ouvertement si ? Et puis il se fit la réflexion qu’on n'avait que le bien que l’on se faisait.

- Si d'ici à deux heures trente, vous n’en avez pas trouvé une, je finis mon service. Par contre, je suis motard, si vous n’avez rien contre, je peux me proposer. J’ai toujours un casque en plus quand je vais au travail. Il m’est déjà arrivé de dépanner des collègues.

C’est bien ça, ce n’est pas trop, ni dans un sens ni dans l’autre. Le policier pouvait refuser ou accepter en connaissance des faits. Même s’il avait envie d’ajouter des choses un peu plus tendancieuses. Il fallait juste que le lieutenant accepte les motos. Il aurait le temps de réfléchir pendant qu’il prendrait le matériel. C’était un peu stressant comme offre malgré tout. Qui dit qu’il ne demandera pas à la personne indiquée sur sa fiche de le contacter ? Ou de demander à un collègue de venir le chercher pour repartir au travail ? Comment cette histoire pourrait se terminer ? C’était une grande question, un bel inconnu. Il savait que là, de suite, ce n’était pas la plus grande idée du siècle de jouer avec le feu. Mais la situation était bien trop tentante, l’homme bien trop beau pour y résister. Et puis ne dit-on pas que la meilleure manière de résister à la tentation, c’est d’y céder ?

Quand il posa sa main sur lui, il ne put s’empêcher de détailler son torse et d’observer un léger changement plutôt plaisant. Avait-il bien vu ce mouvement des tétons ? Il pinça les lèvres, un instant. Il devait avouer que déplacer ses mains et ses lèvres sur ce torse lui plairait énormément. L’idée d’un retour avec la force et l’agilité qu’il devait avoir avec quelque chose d’exaltant. Il ne voulait pas trop y penser pour éviter d’avoir des signes évidents de ce désir. Il fut content que l’homme semblât ravi qu’il ait pu se débarrasser de ses collègues et approuva même la manière dont il l’avait fait. Il n’avait pas non plus laissé le choix sur les possibilités de repos de l’homme, mais il se garda bien de le lui dire. La suite de sa phrase ne paraissait laisser aucun doute sur les intentions de l’homme. À moins qu’il se fasse des idées, le sous-entendu était bien réservé au plus de dix-huit ans ? Et pourquoi le faire sans nommer la présence d’une femme en compagnie d’un autre homme ? S’il avait été dans l’autre sens, il aurait précisé profiter des charmes d’une demoiselle, du moins s’il n’avait pas eu autant envie de l’homme en face de lui. Il sentit son cœur battre un peu plus vite. Et le pire, ou le mieux, Ethan ne saurait pas vraiment le dire : C’est qu’il semblait continuer dans sa lancée. Et aucun des deux ne s’arrêtait sur ces phrases tendancieuses. L’homme paraissait réellement se prendre dans son jeu et il ne semblait même pas être contre l’idée d’une punition et promettait même de faire le difficile pour connaître la punition. Ethan avait l’impression que ce moment était à eux deux et que personne d’autres n’intervenait dans la conversation. Surtout en parlant de visite à domicile possible. Il espérait ne pas se tromper en pensant qu’il n’y avait plus aucune ambiguïté. Enfin sur le fait que ce partage ne concernait qu’eux. Pour le reste, c’était plutôt rempli de double sens.

- Hé bien, je pourrais être plus vilain que ce que je ne suis pour l’instant en punition. Toute stimulation pourra être interdite. Que ce soit en haut ou bien plus bas, même sans activité de votre part. Même si une autre personne tente de faire le nécessaire. Repos forcé, interdiction de travail. Et je peux même pousser plus loin si vous continuez de ne pas être sage. Alors la punition est-elle plus tentante que la sucette ? Il y a longtemps, que je ne pense plus que les fessées sont une vraie punition, mais tienne de la récompense. Je vous préviens, quand je vais piquer, ça va tirer un peu.

Autant être honnête et y aller à fond, le jeu semblait devenir plus sérieux et les paroles ouvertement plus sexuelles. Il ouvrit le sachet de la seringue, la prit et tapota dedans pour faire partir toute éventuelle bulle. Il désinfecta à nouveau la zone avant de se rapprocher, de poser la pointe presque dans la plaie. Il jeta un dernier regard à son patient, il savait que c’était l’étape la moins agréable du lot et pourtant, elle était nécessaire. Voire une seringue si près d’une blessure n’avait rien de rassurant. Il le savait.

- Aller, on y va, on serre les dents ! C’est une fois et puis c’est bon !

Et sur ses bonnes paroles, il planta l’aiguille d’un geste assuré suffisamment prêt la plaie à recoudre.  Il se concentrait sur ses actions médicale et injecta le produit doucement comme conseiller. Il leva son regard bleuté vers l’homme, le sourire lubrique était effacé, il était redevenu le professionnel de la santé, sérieux, passionné. Il observait les réactions de son patient. Une fois terminé, il retira la seringue et regarda l’homme un instant. Avant de reprendre son sourire plus amusé. Et jeta l’aiguille dans le bac prévu à cet effet.

- Une chose de faite. Il va falloir patienter quelques minutes le temps que le produite agisse. Cela devra faire comme des léger fourmillement. Je vérifierais de temps en temps si la zone autour de la plaie dort. Quand ce sera fait, je pourrais commencer la suture. En attendant, il nous faudra passer le temps. Le service est calme aujourd’hui. Cela me permet le temps de rester auprès de vous. Les visites à domicile ne sont pas exclue dans votre cas. Vous serez une des exceptions. Il est plutôt rare que je fasse ce genre de chose. Cependant, vous m’avez l’air d’être le genre de patient à surveiller.

Et voilà que le jeu dangereux reprenait son cours. Il reprendrait son sérieux lorsqu’il faudrait reprendre le soin. Il avait cependant l’occasion de pouvoir s’amuser un peu et n’avait pas envie de refuser ce moment. Et comme l’homme en face de lui semblait vouloir en profiter également, c’était parfait. Est-ce que ce jeu arrêterai une fois qu’il aurait relâcher le lieutenant ? Ou est-ce qu’il y aurait une chance de continuer ?  Il ne savait pas vraiment. Étrangement, l’idée que tout cesse ne lui plaisait pas vraiment. Il ignorait pourquoi. Peut-être parce que l’homme en face de lui était bien trop alléchant que pour le laisser partir. Il ne pouvait pas le nier que l’homme lui plaisait, malgré la différence d’âge entre deux. Ce n’est pas ce genre de détail qui pourrait le déranger. La seule qui lui importait c’était ce feeling qu’il pouvait avoir avec l’homme ou la femme. C’était cette sensation qui lui tirait dans le bas du ventre. Et c’était actuellement le cas.  
Charles-Xavier McAllister
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Je suis lieutenant de police. J'aime combattre le crime, je n'ai peur de rien, j'ai n'abandonne jamais une enquêtes, quitte à prendre des risques pour chopper le criminel. Cette adrénaline lors des arrestations musclés, j'adore ça. J'en suis accro, un peu trop d'ailleurs. J'aime prendre des risques, quitte à y perdre la vie... C'est d'ailleurs pour cela que mon corps a les traces de diverses arrestation musclés ou je me suis pris des balles, coup de couteaux... c'est les risques du métier.

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• • MA FEMME ?

La seule femme que je n'ai jamais aimé, m'a été volé, emporté bien trop tôt. De notre premier baisé, à son décès, je n'ai aimé qu'elle. Depuis je n'ose pas ouvrir mon cœur, je ne veux plus souffrir. La tristesse fait de moi un homme seul. Et pourtant je cumule les conquêtes, les femmes et les hommes. Le soir ou je t'ai perdu, j'ai appris que j'aurais été papa quelques mois plus tard. Cela a intensifier ma tristesse. Depuis, je n'ai jamais envisagé d'avoir une vie de famille. Du moins, jusqu'à ce que je sauve ce jeune enfant in extrémiste. Je suis père mais de la à envisager de me remarier un jour, il y a une grosse différente… D'ailleurs je porte toujours mon alliance. Je n'arrive pas à la retirer. Elle est la preuve de mon amour pour toi, Clara, la seule femme qui pouvait être fière d'être à mes côtés.
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• • MY LOVE

Ethan. Je t'ai rencontrer alors que j'étais blessé et que l'on m'a transporter à l'hopital. Depuis tu hantes mes pensés et je suis prêt à me blessé à nouveau à condition que c'est toi qui me soigne et rien que toi. Je sais que mon esprit est tordu mais cela fait des années que je n'avais pas ressenti une tels attraction pour quelqu'un.

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• • PETIT PLUS

• La cigarette c'est mon péché mignon. Il n'est pas rare de me voir entrain de fumer. Même si je sais que mes poumons ne résisteront pas éternellement, c'est la seule chose qui me calme et me déstresse.

• • La drogue reste mon point faible. Que ce soit en cachet, en poudre ou sous injection, j'ai été jusqu'à l'overdose. Je suis clin, mais il ne me faudrait pas beaucoup pour y replonger. D'ailleurs les traces d'injection dans mon coude droit prouve ma dépense accru pour cette drogue.

• • Je n'ai eu qu'un seul et véritable ami : Erik. Cependant nos idéaux était trop différent, la vision du monde nous était trop opposé à l'époque, que j'ai préférer m'éloigner. Mais il reste le seul à avoir cette place dans mon cœur. Même si je ne l'ai plus jamais revu, mon esprit pense souvent à lui.

• • Hommes ou femmes, je n'ai jamais eu de préférences en matière de sexe. Je n'ai pas honte de cela et j'avance dans ce monde sans me prendre la tête, enchainant les aventures sans lendemain. Mon fils aimerait me voir avec une femme, me marié à nouveau, en même temps il ignore que je suis tout aussi faible face aux corps d'homme. Mais pour lui, je garde cela plus discret, mais tôt ou tard, il le découvrira, j'en suis sur.

• • J'ai un chien, une femelle qui s'appelle "Winner", de race berger allemand. Elle est dressé pour défendre la maison et ses maitres. Elle est une protection pour ma famille et moi même.

• • J'adore aller travaillé en moto, avec ma Yamaha de couleur noir et verte. Mais je roule aussi à bord d'un pick-up de marque Ford Ranger Raptor. Deux moyens de locomotion que j'adore.

• • Mon fils, mon frère sont tout pour moi. C'est la seule famille qui me reste et je suis prêt à tout pour eux.

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• • MES RP'S • •

www. feat Eryk
www. feat Nina
www. feat Ethan
• [url=]www[/url]. feat Antonio
• [url=]www[/url]. feat Evelyn

Célébrité : James McAvoy
Crédits : Mikki pour la modification d'image / Pinterest
DC : //
HRP
Charles-Xavier McAllister
Le 911
Dialogue de Charles Xavier : #006699
Sa tenue : photo


Blessure par balle

feat @Ethan Perkins




Charles était loin d’être insensible au charme de ce docteur Perkins. Les années les séparent, il s’en doute bien, mais cela ne semble pas le déranger. Après tout, il n’est pas non plus un vieux crouton moche et qui n’est plus capable de rien. Charles aime garder la forme, faire du sport, des footings avec son chien et il est loin d’être incapable d’utiliser son corps pour une partie plus charnel. Il connait ses capacités et comment donner et prendre du plaisir. Limite plus douée avec sous ses mains le corps d’un homme, il sait qu’il est plus sensible et bien plus excité au touché d’un homme. Donc pourquoi s’empêcher de jouer le jeu lorsque son interlocuteur dépasse de lui tout ce qu’il a pu voir et désiré. Sous les paroles du jeune médecin, sous cette main qui se pose sur son épaule, Charles est réactif. Légèrement, discrètement mais lui-même peut sentir un éveil sournois d’une partie de son corps. En même temps, il est là, torse nu, à la vue de ce docteur, son regard se pose sur lui et c’est délicieux.

Lorsqu’il l’informe que sa journée se termine dans deux heures trente et qu’il lui propose de le raccompagné, Charles ne peut que sourire. Et le détail qui lui plait encore plus, c’est la moto. Voilà qu’ils ont un point commun, car lui aussi il fait de la moto et il adore ça. D’ailleurs, il ne se prive pas pour répondre et accepter sa proposition. On peut même dire que c’est ce qu’il attendait. Il n’y a pas photo, c’est bien lui qu’il veut comme personne pour le raccompagner chez lui. Son fils n’a pas encore le permis, donc ce n’était pas une option, quant à son frère, il n’est pas en ville actuellement. Et franchement, même si l’option d’appeler un taxi était possible, il préfère largement chevaucher une moto avec comme pilote ce beau gosse.

Sourire aux lèvres, il est heureux de lui répondre :

- “Ça sera avec plaisir. Je suis aussi fan de moto, mais j’ai rarement l’occasion d’être le passager. Si vous n’avez pas peur que je m’accroche à vous, je vous attendrai sans soucis.”

En même temps, avec sa blessure, sa journée est finie, pas besoin de retourner bosser, donc il peut patienter toute la journée s’il le fallait. Et quelque part, il en a envie, il en vaut le coup, il le ressent. Et qu’elle ne fut pas amusant d’entendre parler de punition d’une façon si délicieuse. Oh le répondant de ce docteur l’amuse beaucoup et ça lui plait. Rare sont les hommes qui ose parler ainsi, souvent ce n’est qu’un jeu à sens unique mais cette fois-ci, il semble avoir trouver un partenaire de jeu intéressant. Il a vraiment beaucoup de chose qui lui plaise et ça le déconcerte un peu. Qu’un aussi bel homme joue avec lui, sans gêne, et qu’il ne fuit pas, c’est très excitant, il aime ça. Son sourire disparait et laisse place à un regard qui se veut malicieux, coquin. Oh alors la fessé serait quelque chose qu’il aime ou il a mal compris ? En tout cas, si pour l’instant Charles Xavier n’est pas en état de donner satisfaction pour ce genre de chose, mais il sait bien que c’est temporaire et que si l’envie et la possibilité arrive, il est totalement capable de laisser ses mains faire rougir les fesses sans avoir de honte à cela. Mais bien avant cela, il aimerait y posés ses mains, sans forcément les faires rougir, juste pour le plaisir de découvrir cette partie qu’il ne peut pas vraiment voir à cause de la blouse de travail. D’ailleurs, qu’est-ce qu’il aimerait le lui retirer, ou encore le voir qu’avec ça... Rien qu’à l’idée, Charles se mordille la lèvre inférieure. Ou serait-ce les propres du médecin qui lui font de l’effet ?

Il prévient pour la piqure mais à l’instant, Charles ne s’en occupe pas, il est plus attiré par l’idée de la sucette et de la punition. D’ailleurs, il n’eut pas le temps de répondre qu’il voit le beau docteur préparer la seringue d’anesthésiant et vient piquer proche de la plait. Charles n’est pas un trouillard et il n’a pas peur de la piqure. Par contre la douleur lui fait plisser un œil, comme un clin d’œil de douleur, mais c’est à la fois normal car le torse est une zone sensible. La douleur fut brève mais nécessaire, il le sait bien. C’est après avoir écouté le docteur qui lui explique les sensations qu’il va ressentir et pour les visites à domiciles que le sourire revient sur ses lèvres. Le regard professionnel qu’il a eu au moment de la piqure était sérieux mais si charmant. Charles prend alors le temps de répondre.

- “J’avoue que la curiosité pour vous voir plus sévère est intéressant... et je suis du genre gourmand alors rien n’est impossible me connaissant. Je serais surement plus adepte de la sucette car effectivement la fessé peut être agréable. Mais certaines punitions, peuvent être une douce torture, ça dépend de la pratique. Je suis ravie d'être une exception pour les visites à domicile. Vous semblez bien m’avoir cerné... “

Et voilà qu’il lui lance un clin d’œil. Effectivement il faudra surement le surveiller et Charles sera heureux d’avoir quelqu’un qui s’occupe de lui. Cela n’arrive jamais, c’est toujours lui qui s’occupe des autres et avoir quelqu’un sur qui se reposer peut-être agréable mais cela fait trop bien longtemps qu’il n’y a pas eu le droit.

- “Au fait, quel est votre prénom ? Ou dois-je garde le docteur perkins en ce qui vous concernes ? Quoique vous avez docteur à son charme...”

Oui il est curieux. Curieux d’en savoir plus sur cet homme. Certes le rôle de docteur a quelque chose d’excitant mais il compte bien essayer de le revoir en sortant d’ici. Sauf si ce dernier est du genre à jouer avec ses patients, peut-être pour les distraire le temps de soin ? En tout cas, Charles sait qu’il compte bien user de son charme pour garder le contact. L’homme lui plait, ce docteur qu’il aimerait bien découvrir plus.  


" Dysfunctional "
" Or Nah "


Le besoin d'adrénaline est quotidien
Lieutenant de police. La passion du métier. L'envie de justice. Le besoin d'aider son prochain. Aucun choix n'est envisageable. Le coeur triste, je comble ce vide par l'adrénaline que j'ai dans mon travail, je ne compte plus les heures, enchainant les enquêtes, les arrestations. J'aime prendre des risques, ma vie n'a plus de valeur, je suis perdu, seul dans ce monde qui m'a pris ma raison de vivre...
Ethan Perkins
   https://growupforum.forumactif.com/t1985-ethan-la-vie-n-est-pas-un-long-fleuve-tranquille#42589  
RP
Habitation : Brooklyn Heights & Dumbo - Appt 15/15 rue Quincy
Infos diverses : - Il a mal vécu le fait d’être hors des normes. - Il a toujours eu des facilités pour beaucoup de choses. - Il a toujours su qu’il voulut faire médecine. - Antonio est le premier qui a su qu'il aimait les garçons et son premier. - Il n’a que le permis moto. - Il est conscient de la chance qu’il a dans la vie. - Il a le secret espoir de trouver l’amour et de finir sa vie avec. - Il veut retrouver son meilleur ami
Célébrité : Austin Butler
Crédits : Moi-même (sauf pour les gifs)
DC : Aucun
HRP
Ethan Perkins
Le 911
Le sourire de l’urgentiste ne put que s’agrandir quand l’homme indiqua qu’il était fan de moto. Un point commun qui avait tendance à l’attirer encore un peu plus. Cette passion pour cet engin qui ouvrait vers la liberté, il voulait la partager. C’était une chose qu’il rêvait de faire avec l’amour qui partagerait sa vie. Prendre chacun son engin ou bien l’autre collé à lui et avaler la route. Sentir la pression de l’air sur sa veste renforcée, le son sifflant légèrement aux oreilles. Il veut quelqu’un qui reconnaît ce que ça fait. Il veut vivre ça avec quelqu’un. Et entendre qu’un autre aime ça, c’est trouver une personne compatible avec lui. Il ne se fait pas d’idée sur la possibilité d’une simple nuit ou plutôt de quelques heures avec l’autre. Même s’il n’excluait jamais la possibilité d’une relation sur le long terme. Bien qu’il craint encore et toujours de se faire abandonné sans scrupule. Une chose qui le terrifie depuis le départ d’Antonio de sa vie. Il aurait pu comprendre s’il n’y avait plus eu d’amour et qu’ils n’avaient pas su rester ami. Mais il en était tout autrement. Il savait que l’autre devait prendre le temps de le rassurer régulièrement, de prendre le temps avec lui et d’être patient.

- Je ne crains pas que vous me serrez. Je vérifierais juste la plaie en arrivant, pour être sûre que le trajet n’a pas été de trop. Je crois que ce sera important. Même s’il y a peu de risque si je fais correctement mon travail. Et je pense me vanter de savoir le faire correctement. Cependant, il faut avouer qu’il n’y a que rarement aucun risque zéro.

Si l’homme en face de lui proposait plus qu’une simple observation de la plaie, il ne se plaindrait certainement pas. Il était impatient de découvrir les autres attributs et capacité de cet homme. Il était certain qu’il pourrait lui faire des choses inimaginables pour des oreilles chastes. Et cela lui plaisait. Faut-il avouer que le fantasme des menottes pouvait s’ajouter à la liste des choses qui lui faisait envie ? Les bandages, il avait déjà testé, c’était bien, mais un peu trop souple. Il avait déjà testé. Bien sûr, il n’avait pas pris le matériel de l’hôpital, mais celui de sa trousse de secours personnelle, celle qu’il détient toujours chez lui. Bien qu’il y avait d’autres attributs pratiques pour cette bande... Et de nouveau, pas que pour des oreilles pures et innocentes. On l’aura compris, Ethan n’avait rien du personnage naïf et complètement innocent qui découvre la bagatelle. Oh, il était certain qu’il pouvait encore découvrir des choses, assouvir des fantasmes et ressentir de nouvelles choses.

Faut-il encore dire à quel point le médecin avait envie du policier en face de lui ? Il n’y a certainement pas à en douter entre ses pensées totalement inavouables qui ferait rougir un professionnel et les allusions et perche qu’il tendait à son patient. Mieux encore, c’est que ce patient répondait et le doute du sujet de la conversation n’était plus permis. Il était certain qu’ils s’envoyaient bien des propositions indécentes. L’urgentiste devait fait appel à son plus grand self contrôle pour que son désir ne puisse se deviner physiquement. L’homme en face de lui semblait même apprécier les fessées. Les nouvelles en faveur de cette relation, dont la durée était encore inconnue, ne cessaient d’affluer. Le pire ou le meilleur, au choix, c’est qu’il n’aurait pas pensé draguer sur son lieu de travail, plus encore un de ses patients. Et pour ajouter à l’inédit de la situation, c'est que celui-ci un homme un peu plus mature répondant clairement à ses avances. Qui aurait pu imaginer ce genre de chose ? Certainement pas lui.

- Il est de mon boulot de savoir cerner quel genre de personnalité ont les patients. Cela fait partie du soin en quelques sortes. Même s’il est exceptionnel, et même plus que ça, que les conversations prennent la tournure que prend la nôtre. Pour rassurer, je suis aussi du genre gourmand et inventif. J’apprécie de savoir que ma sévérité peut être un atout. Surtout sur un lieutenant. Je peux l’être sans aucun souci. Comme il m’arrive d’être un vilain garçon.

Lorsque Charles-Xavier lui demanda son prénom, ajoutant que le fait de l’appelé docteur Perkins semblait parfaitement attrayant. Il y avait un certain charme et une sorte de fantasme d’autorité, encore une fois. Même si un prénom était aussi intéressant. Surtout si cela devenait plus proche. Devrait-il attendre de voir s’il avait la possibilité d’un second rendez-vous ? Bien qu’il pouvait apprécier que son nom soit susurré au creux de son oreille ou même hurler et que les voisins puisse l’entendre, et même s’en choquer. Cela avait le don de le faire sourire. Pour une fois, que ce n’était pas l’un deux, mais lui. Et il n’y avait qu’une personne qui le soupçonnait. Aurait-on imaginer un médecin urgentiste bien sous tout rapport en train faire hurler un homme ? Une femme peut-être, mais un homme ? Oh grand dieu. En plus, il fallait avouer qu’il pouvait avoir un air parfaitement innocent. Ce n’était pas pour autant qu’il s’en cachait.

- La façon de présenter la question est intéressante. L’idée de jouer est appétissante. Mais il y a des choses que j’aime entendre. Mais attention, cette information devra rester confidentielle jusqu’à la sortie de l’hôpital. Je me prénomme Ethan. La confidentialité est une chose importante. Ce qui se passe en dehors de l’hôpital doit y rester. Ce qui se passe à l’intérieur également. Les choses doivent être parfaitement scindées.

Sur ces dernières paroles, il était parfaitement sérieux. C’était comme un avertissement. Effectivement, s’il savait qu’il avait dragué son patient pendant qu’il le soignait, au mieux, il se ferait gronder au pire, il perdait son boulot.
Charles-Xavier McAllister
   https://growupforum.forumactif.com/t1959-charles-xavier-mcallister-911-lieutenant-de-police#42308  https://growupforum.forumactif.com/t1965-cx-badboyz#42345  
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Habitation : Long Island - Maison face à la mer
Infos diverses : Blessure par balle (feat. Ethan) 2b1f392577c287d61475ab5382fc7697
• • Me, myself & i • •

Je suis lieutenant de police. J'aime combattre le crime, je n'ai peur de rien, j'ai n'abandonne jamais une enquêtes, quitte à prendre des risques pour chopper le criminel. Cette adrénaline lors des arrestations musclés, j'adore ça. J'en suis accro, un peu trop d'ailleurs. J'aime prendre des risques, quitte à y perdre la vie... C'est d'ailleurs pour cela que mon corps a les traces de diverses arrestation musclés ou je me suis pris des balles, coup de couteaux... c'est les risques du métier.

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Blessure par balle (feat. Ethan) Laughing-ciara
• • MA FEMME ?

La seule femme que je n'ai jamais aimé, m'a été volé, emporté bien trop tôt. De notre premier baisé, à son décès, je n'ai aimé qu'elle. Depuis je n'ose pas ouvrir mon cœur, je ne veux plus souffrir. La tristesse fait de moi un homme seul. Et pourtant je cumule les conquêtes, les femmes et les hommes. Le soir ou je t'ai perdu, j'ai appris que j'aurais été papa quelques mois plus tard. Cela a intensifier ma tristesse. Depuis, je n'ai jamais envisagé d'avoir une vie de famille. Du moins, jusqu'à ce que je sauve ce jeune enfant in extrémiste. Je suis père mais de la à envisager de me remarier un jour, il y a une grosse différente… D'ailleurs je porte toujours mon alliance. Je n'arrive pas à la retirer. Elle est la preuve de mon amour pour toi, Clara, la seule femme qui pouvait être fière d'être à mes côtés.
Célibataire, je papillonne au grès du vent, dans les bras qui s'offre à moi… Mon cœur rester enfermer à double tour, bon courage si vous le voulez !

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• • MON FILS

Wyatt. Tu étais encore qu'un bébé lorsque je t'ai sauvé in extrémiste de cette accident de voiture provoquer part ta mère biologique. A part moi et ma famille, tu n'as personne d'autres. Génétiquement, on n'a jamais su qui était ton père et tu ne sembles pas le rechercher. Tu es tout pour moi, le seul être dont je suis prêt à donner ma vie. Je te considère comme mon propre fils, tu le sais et tu en es fier. Maintenant tu approche les 18 ans, mais entre nous, la complicité est toujours là, tu sembles toujours avoir besoin de ton bon vieux père !

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• • MY LOVE

Ethan. Je t'ai rencontrer alors que j'étais blessé et que l'on m'a transporter à l'hopital. Depuis tu hantes mes pensés et je suis prêt à me blessé à nouveau à condition que c'est toi qui me soigne et rien que toi. Je sais que mon esprit est tordu mais cela fait des années que je n'avais pas ressenti une tels attraction pour quelqu'un.

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• La cigarette c'est mon péché mignon. Il n'est pas rare de me voir entrain de fumer. Même si je sais que mes poumons ne résisteront pas éternellement, c'est la seule chose qui me calme et me déstresse.

• • La drogue reste mon point faible. Que ce soit en cachet, en poudre ou sous injection, j'ai été jusqu'à l'overdose. Je suis clin, mais il ne me faudrait pas beaucoup pour y replonger. D'ailleurs les traces d'injection dans mon coude droit prouve ma dépense accru pour cette drogue.

• • Je n'ai eu qu'un seul et véritable ami : Erik. Cependant nos idéaux était trop différent, la vision du monde nous était trop opposé à l'époque, que j'ai préférer m'éloigner. Mais il reste le seul à avoir cette place dans mon cœur. Même si je ne l'ai plus jamais revu, mon esprit pense souvent à lui.

• • Hommes ou femmes, je n'ai jamais eu de préférences en matière de sexe. Je n'ai pas honte de cela et j'avance dans ce monde sans me prendre la tête, enchainant les aventures sans lendemain. Mon fils aimerait me voir avec une femme, me marié à nouveau, en même temps il ignore que je suis tout aussi faible face aux corps d'homme. Mais pour lui, je garde cela plus discret, mais tôt ou tard, il le découvrira, j'en suis sur.

• • J'ai un chien, une femelle qui s'appelle "Winner", de race berger allemand. Elle est dressé pour défendre la maison et ses maitres. Elle est une protection pour ma famille et moi même.

• • J'adore aller travaillé en moto, avec ma Yamaha de couleur noir et verte. Mais je roule aussi à bord d'un pick-up de marque Ford Ranger Raptor. Deux moyens de locomotion que j'adore.

• • Mon fils, mon frère sont tout pour moi. C'est la seule famille qui me reste et je suis prêt à tout pour eux.

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Sa tenue : photo


Blessure par balle

feat @Ethan Perkins



Heureusement qu’aucun de ses collègues n'est là, car il serait sûrement choqué de l’entendre parler ainsi. Et peut-être même que Charles ne serait pas aussi à l’aise que maintenant. Certes, il aime se genre de conversation, draguer si subtilement, surtout quand on a du répondant et que la conversation n’est pas à sens unique. Mais au boulot, ses collègues ignorent cette partie de lui. Tous savent qu’il a été marié, qu’il porte son alliance en signe de fidélité pour cette femme, la seule qu’il a aimé. Mais il ignore bien des choses sur son désir, le genre de personne qu’il aime avoir dans son lit, sur lui et sous lui. Et quelque part, même s’il n’en a pas honte, il aime que cela reste son jardin secret. Même son fils ignore cette partie de sa vie. Un jour, il l’apprendra sûrement et Charles s’assume. Il ne redoute pas sa réaction, mais s’il présente quelqu’un, ce n’est pas juste le coup d’un soir. Quelque part, il protège son fils de cette partie de sa vie privée. Il est assez grand pour comprendre le désir d’un homme, mais ce dernier revient souvent à la charge, voulant que son père soit heureux et qu’il retrouve une femme, pour combler cette solitude qui lui pèse. Mais Charles n’a jamais dit clairement qu’une femme ne viendra jamais rejoindre son lit, sa vie. Il en a eu une et ne compte pas de nouveau la remplacer. Un coup d’un soir, d’un instant ça lui convient, mais depuis quelques années, il sait que son désir est plus fort en la présence d’un homme. Et aujourd’hui, il est à son maximum en la présence de ce docteur Perkins. Il ignore si c’est sa jeunesse, sa beauté, son regard bleuté, ses lèvres... La liste peut être longue, car il y a quelque chose qui l’attire. Du moment où il est entré dans la zone de soin, caché des autres, cette attraction, cette attirance bien singulière le fait vibrer. Par chance, ce docteur est réactif à ses paroles et ne semble pas être écœuré par son patient. Il est vrai que Charles prend soin de lui. Pour son âge, il est en très bonne santé, si on oublie sa période de décadence due à la prise de drogue, il a une santé de fer et un corps totalement vigoureux.

Sa dernière relation date de quelques semaines, jours et mais là encore, ce n’était que pour un instant, rien de plus. Il ne garde pas contact avec ses partenaires, sauf exception s’ils font partie d’un milieu qui l’amène à se revoir. Mais rare, très rare sont les fois où il récidive avec la même personne. Non pas qu’il n’aimerait pas, mais c’est plus simple, ainsi il n’y a aucune attache, aucune attente de l’autre. Et il semblerait que personne ne cherche à en vouloir plus à son sujet. C’est à la fois désolant et triste. Mais il n’a pas le choix, si personne ne cherche à en vouloir plus, à s’accrocher à lui pour faire fondre la carapace qu’il a mis autour de son cœur, c’est que ce n’était pas la bonne personne. La perte de sa femme, de cette enfant a été l’épreuve la plus difficile qu’il a dû surmonter. Et les années ont passé, son cœur, c’est protéger, pour ne plus souffrir ainsi. Il aimerait un jour laisser quelqu’un s’en accaparer, mais il faudrait quelqu’un capable de le comprendre, de connaître ses failles, et combler ses désirs les plus fous. De ce côté-là, il n’est pas spécialement différent d’un autre homme, même s’il est assez coquin, voire pervers, il aime jouer, il aime sentir ce désir brûler au creux de ses reins, qui parfois ne peut s’en échapper par manque de temps, par jeu, parce que son partenaire aime jouer avec son désir, mais ce genre de partenaire se fait rare. La plupart du temps, on tire son coup et ça s’arrête là.

Donc, sous les paroles du docteur Perkins, l’imagination du lieutenant est totalement accaparée. Il a l’impression d’avoir face à lui, quelqu’un capable d’ouvrir les portes les plus inaccessibles. Et leur conversation l’excite énormément. Si son corps ce réveil discrètement, il n’est pas loin de déformer son jean. Réactif pour son âge, il faut dire que l’abstinence de ses derniers jours et cette voix qui lui répond de façon très sexy, il adore. D’ailleurs, il boit les paroles du jeune médecin sans honte. Le docteur n’hésite pas à mettre les choses au clair, sur son plaisir d’avoir cette conversation, et semble même apprécier qu’avoir le dessus sur un lieutenant ne le laisse pas indifférent. Puis il vient de donner son prénom, précisant que ce qui se passe là, doit rester à sa place, qu’il ne mélange pas le boulot et la vie privée. A-t-il oublié que face à lui, il a affaire à un lieutenant de police ? Un homme qui aime le respect de son métier, avec des valeurs et qu’il n’est pas du genre à aller à l’encontre de la loi. Même s’il aime ce genre de conversation, il n’ira pas lui nuire et sait se faire discret. D’ailleurs, il ne peut s’empêcher de lui aussi, mettre les choses au clair. Après tout, il est un homme de parole, et même s’il montre son désir face à lui, il n’est pas du genre à le faire n’importe où pour causer des ennuis.

Le regard qui ne le quitte pas, Charles passe sa main dans ses cheveux, un geste instinctif, mais qu’il sait que cela peut faire son effet. Il prend alors la parole.

- “Ne craignez rien, je ne suis pas du genre à vouloir causer des ennuis et à aller au-delà des limites imposées. La confidentialité est demandée pour moi aussi. Je n’ai pas ce genre de conversation sur mon lieu de travail et j’aime garder cette partie de ma vie, le plus discret possible. Je m’assume, mais c’est plus excitant d’avoir son propre jardin secret. Et si je peux, vous rassurez, je ne mélange pas ma vie privée et mon boulot. Sauf si la personne en vaut le coup. Ce qui était le cas pour ma femme. Mais ça n’est, plus jamais, arrivé. Donc je garderais pour moi votre identité et je serais l’utilisé au bon moment.”

En parlant de sa femme, le regard de Charles se porte sur son alliance. Ça a beau faire 20 ans qu’elle n’est plus de ce monde, sa peine ne le quitte pas et il a part réflexe de jouer avec son alliance à chaque fois qu’il pense à elle. Relevant son regard sur le docteur, Charles se rend compte de son attitude soudaine et ne veut pas le faire fuir. Il est plus mélancolique que ce que l’on pourrait croire et il ne contrôle pas son cœur, contrairement à son corps qu’il arrive à tenir sagement pour le moment.

- “J’ai un peu de mal à vous imaginer comme un vilain garçon... Je ne demande qu’à découvrir cela. Ceci dit, je risque d’être légèrement plus sage le temps de guérir. J’avoue que l’idée d’avoir mon propre docteur ne me déplaît pas...”

Pour lier les gestes à ses paroles, Charles se permet d’attraper le bord de la blouse du jeune docteur et de les laisser glisser le long du bord d'une façon un peu aguicheur sans aller trop loin. Après tout, le lieu est à la fois excitant, mais ce n’est pas le meilleur endroit pour oser faire plus. Et pourtant, son esprit à plein d’idée peu conventionnelle.


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Ethan Perkins
Le 911
Ethan n’était pas le genre d’homme à cacher sa bisexualité, mais pas non plus celui qui la montrerait. Il n’était pas homme à s’afficher d’une quelques manières que ce soit. Même si avec les années, il avait fini par accepter ses différences. Il n’en jouait quand même pas. Il se contentait de faire son possible pour être un homme bien sans s’oublier au passage. Il avait mis du temps à trouver l’équilibre dans sa vie. Il savait que beaucoup à son âge étaient déjà casés, mais cela ne le tracassait pas pour autant. Il n’en ressentait pas le besoin. Il n’en avait pas encore ressenti. Il n’avait pas accumulé les coups d’un soir, mais bien les relations de courte durée. Il ne se sentait pas à l’aise quand cela durait trop longtemps, peut-être parce qu’il y avait encore son traumatisme du nom d’Antonio. Il savait qu’il lui faudrait quelqu’un d’exceptionnel pour passer au-dessus et arriver à accorder une confiance suffisante. Il savait qu’il pourrait consulter pour passer au-dessus, mais n’en voyait pas l’intérêt, ça faisait trop “sensible” pour lui. Cependant, il n’avait encore jamais dragué un patient alors qu’il était en train de le soigner. Et même, il n’avait jamais fait cela tout court au sein de son établissement. Et pourtant, c’était plus fort que lui. Il ne savait pas pourquoi, mais sur l’instant, il s’en fichait. Tout était parti d’une blague et l’homme s’était engouffré dans la brèche. Et le médecin n’avait pas su s’empêcher de continuer. Pourtant, il le savait, il pourrait être ramené à le voir. Et dans de pires situations. Il était policier et tout n’était pas toujours simple dans leur fonction. Certains venaient plus souvent que d’autre. Le lieutenant ne semblait cependant pas être un habitué des urgences.

Il fut rassurant quand l’homme lui disait qu’il n’utiliserait pas son prénom au sein de l’hôpital. Le blond ne pouvait de s’empêcher de remarquer que son discours ressemblait à ses pensées. Il parla de sa femme, c’était étrange la façon dont il en parlait. Elle paraissait très présente encore dans ses pensées. Cependant, une certaine partie de son corps indiquait clairement son envie de lui. Il avait bien précisé qu’il était veuf. Il ne savait pas ce qu’il pouvait en penser. Il mit l’information de côté, se faisant la réflexion qu’il y penserait quand il se demandera si la relation mène quelque part. Il n’avait pas envie d’être comparé à un fantôme. D’autant plus que ce fantôme serait féminin.

- Je vois que nous avons la même manière d’agir. Enfin, ici, il s’agit de l’exception qui confirme la règle si l’on peut dire. Je dois vous avouer que c’est une grande première pour moi, même si j’adore particulièrement cette situation. Enfin surtout la nôtre. Même si je ne cache pas ma sexualité, je ne la crie pas sous tous les toits comme certains de mes collègues. Je trouve cela fatiguant. Et mes histoires sexuelles ou amoureuses ne doivent intéresser que moi et la personne avec qui je suis.

Tout comme son passé d’ailleurs. Antonio et celles et ceux qui ont suivi n’ont pas besoin d’être énoncées. Peut-être que les choses changeront si l’histoire devient totalement sérieuse et promet d’être de longues durées. Probablement qu’à ce moment, il se dévoilera un peu plus. Il pouvait parler des heures de son métier, des patients qu’ils voyaient, mais pas de sa vie personnelle. Et encore moins dans son cadre professionnel. Il était même rare qu’il s’épanche de la sorte avec ses amis. Il était comme ça, et même s’il était généreux, partageur et pas avare sur les démonstrations d’affection avec les personnes les plus proches de lui. Même à eux, il ne parlait pas de ses histoires amoureuses s’il ne pensait pas les présenter un jour. Il ne mentait pas non plus si on le questionnait. Il se contentait de dire qu’il y avait une personne et que pour l’instant, il n’avait pas l’intention de développer. C’était comme ça et pas autrement avec lui.

Le blond souris aux nouvelles paroles du policier. Il voulait découvrir son côté ancien garçon. Bien qu’il semble prôner le fait d’être sage durant son rétablissement. Il insistait cependant qu’il aimerait bien le voir à domicile. Ethan adorait cette idée. Cet homme le fascinait, le charmait et les gestes qu’il joignit à ses dires firent leur effet. Quand le policier attrapa sa veste et fit balader ses doigts dessus, il les regarda, les lèvres fermées, les yeux grands ouvert. Il devait vraiment se contenir. Sur l’instant, il avait envie d’être attiré brutalement contre ce corps viril et puissant. Il imaginait bien se faire dominer par cet homme, entendre lui dire de l’embrasser chaudement et d’un ton impérieux. Et pourtant, il savait que ce serait la pire idée du monde. Il n’exclut cependant pas les mains de l’homme de sa blouse. Il posa sa main sur son bras, en commençant par une caresse avec son doigt. Les choses semblaient prendre une tournure bien plus physique. Il était impatient d’être à la fin de son service pour le raccompagner.

- Peut-être que je montrerai cette partie de moi un jour. Mais vous faites bien d’être sage et de ne pas vouloir trop en fait. D’ailleurs, en parlant de ça... Est-ce que la plaie chatouille un peu ? Avant que je vérifie.

L’excuse était parfaite pour frôler le torse tout en douceur, un peu plus loin de la plaie, avant de se rapprocher, sans se répartir de son air coquin. Il ferait le nécessaire quand il sera temps. De nouveau, il deviendrait un professionnel. Il s’étonnait lui-même d’arriver d’un pas à l’autre sans trop de concentration. D’un côté, il en allait d’une de ses passions, de son métier. Et puis, il était tout de même sur son lieu de travail. Il ne faisait pas tout ce qu’il voulait et comme il le souhaitait.

Il s'apprêtait à sortir une nouvelle tentation au lieutenant en face de lui quand une tête brune passa par le rideau et l’appela. Un soupçon d’agacement passa dans les yeux du médecin avant de se retourner, en prenant l’air le plus naturel possible pour répondre à la question de l’infirmière. Elle voulait s’assurer qu’il n’ait pas besoin d’aide avant de demander si elle pouvait prendre sa pause. Il n’y avait personne en salle d’attente. L’urgentiste avait envie de lui hurler dessus qu’elle avait même plutôt intérêt à aller prendre sa pause et le laisser faire des choses totalement inavouables et parfaitement salaces au patient derrière lui. Il lui répondit calmement qu’il n’y n’avait aucun souci. Il se débrouillait parfaitement pour recoudre. Visiblement, quelque chose avait dû passer dans son regard parce qu’elle lui demanda si tout allait bien. Oh, bon sang ! Jouait-elle avec ses nerfs elle aussi ? Bien que c’était d’une façon bien moins agréable. Il répondit simplement que c’était la fatigue après huit heures de garde. Il la rassura sur sa capacité à finir son service. Il finit par lui dire gentiment qu’il préférait être seul et se concentrer pour recoudre le Lieutenant MacAllister et qui était sage. Une fois assuré que la brune fut partie, il se retourna vers son beau parti.


- Bien, nous en étions à la sagesse. Vu ce que je viens de dire à notre charmante infirmière, qui nous a interrompus, vous l’êtes pour l’instant. Il faudra donc que vous continuez d’être aussi sage que je l’ai dit. Vous pourrez réclamer votre sucette par la suite.

Lorsqu’il avait précisé qu’elle les avait interrompus, une pointe d’agacement était apparue dans sa voix, même si le reste était redevenu plus sensuel et séduisant.
   
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