Roman Carlyle

« But you know happiness can be found even in the darkest of times »
A. Dumbledore

 Roman Carlyle Sebastian Stan
 36 printemps08/04/1988 à las Chiapas au Mexique
 PompierPhobie: peur de décevoir
 Heterosexuel sans l'ombre d'un doute Celibataire
 911Tatouage de loup sur l'epaule


 

De part son métier, Roman est souvent amener a passer après les reglements de comptes et débordements de la criminalité de New york.

S'il a la vision du lieutenant de caserne parfait et du pompier sauveur, il cache quelques petites zones d'ombres qui vont plus loin que hébergé un arnaqueur.

Roman est né d'un potentiel membre du cartel, mais il n'en sait pas plus. cela le travail et il aimerait vraiment en savoir plus, meurtri d'avoir tenté de gagner l'affection d'un homme qui n’était pas son géniteur.  De même, il fait parti d'un groupe de motards qui s'est rapproché, au fil du temps d'un autre groupe aux activités discutable: les Roberts

Si, lui même, ne participe pas aux sorties "douteuses" il a son cuir au symbole de son groupe, est présent et les aide lors des discutions a avoir avec la police, usant de ses études avortées et de son charisme de pompier pour sauver les apparences  des motards.

 

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* Roman ne sait pas aller a une fête sans finir torse nu, un mystère qui n'a pas été encore élucidé.
* Son caractère jovial ascendant fêtard fait qu'il a été surnommé ApéRoman a la caserne.
* Même s'il donne l'impression d'avoir une belle descente, il ne boit jamais d'alcool avant de prendre le volant ou durant ses gardes. Sur le terrain il est d'un sérieux qui peut surprendre.
* Il adore la plage et le surf. Il est toujours volontaires pour être bénévole dans les garde plage lors des périodes touristiques.
* Il a été deux fois dans le calendrier des pompiers et espère bien une 3e fois.

Roman est un homme charismatique et instruit qui est capable de briller autant par son éloquence que son physique de sportif, cela a la fâcheuse tendance a le faire paraitre orgueilleux même si ce n’est qu’une façade. C'est un homme jovial et un fêtard plein d’humour qui aime s'amuser. Il a un côté grand gamin quand il se retrouve a trépigner avec un éclat malicieux au coin de l’œil a chaque fois qu'une virée est évoquée. Compétiteur et aimant paraitre sur de lui, il a du mal a résister a un challenge, surtout si cela vient de son jeune frère. C'est un passionné dont le 'mot demi-mesure’ n'a pas de sens : il est entier, il aime, ou déteste, mais ne reste jamais indifférent. De par son enfance et sa place d'ainée, il a appris à être responsable , organisé et consciencieux surtout quand il s'agit de la sécurité de ses proches. Quand il s’engage a faire quelque chose, cela sera bien fait, c’est d’autant plus vrai quand il y a des enjeux. Loyal a sa caserne, a ses amis, a ses convictions, Roman est loin d’être une girouette quand il décide de s'engager. Protecteur et genereux cela vire au complexe du sauveur non assumé mais très développé. Il est incapable de ne pas venir en aide d'une personne en danger et se donne sans compter pour tendre la main. Roman est colérique, ca ne soit voit pas forcement de prime abord, car ce sont des colères froides, mais quand il commence a vous dévisager sans sourire et a serrer les poings, c'est qu'il est temps de courir. On aurait pu illustrer la définition de mauvaise foi avec sa photo tant il adore avoir le dernier mot. Fils a maman il a beau faire de la moto, sauver des bébés chats des incendies et avoir un tatouage de loup sur l'avant-bras, ou faire les gros durs, Roman continue de voir sa mère tous les jours. Il sait tricoter et pratiques pas mal d'autres activités qu'elle adore et ne colle pas forcément avec l'image de bad boy qu'il peut donner. Obsessionnel il est hanté de ne pas savoir qui est son géniteur et aimerait a tout prix le retrouver. Complaisant sa peur de déplaire et une enfance a tenter d'avoir un peu d'attention aux yeux de celui qu'il appelait papa font qu'il a tendance a toujours faire passer les besoins et envies des autres avant les siennes.

Roman Carlyle est né le 8 avril 1988 dans un petit bled paumé du Mexique d’une maman roumaine pas encore majeure et complétement dépassée par le fruit d’une nuit avec un de ces hommes a qui on ne peut pas dire non. Si elle s’était faite embrigadée par naïveté dans une mauvaise pente, avoir un enfant l’a suffisamment secouée pour tenter de reprendre en main son destin, souhaitant une vie meilleure pour son fils que celle qui se dessinait.

Roman n’avait pas un an qu’elle avait réussi le périple fou de quitter le Mexique pour aller au Etat Unis. Après quelques temps de vie précaire, c’est avec un avocat commis d’office pour l’aider dans ses démarches que le destin lui envoya un signe. Maitre Holland est un homme plus âgé, droit, propriétaire d’un cabinet a New York. Cet homme dur mais juste s’entiche de la jeune maman et l’épouse, reconnaissant son fils au passage. C’est un changement de vie radicale pour sa femme qui n’a plus a se soucier de son confort matériel et s’applique a ne plus parler du passer. De cette union nait deux enfants, un garçon et une fille. Si Roman est fier d’être grand frère, il a du mal a être a la hauteur des attentes de celui qu’il appelle « père ».

Il est le meilleur de sa classe au point d’en sauter une. Il est brillant, éloquent, doué en sport, capitaine de l’équipe de foot, il est de toutes les activités parascolaires censées le faire exister aux yeux de son père, mais rien n’y fait. Seul son cadet compte malgré tous ses efforts et le fait qu’il excelle en tout. Cette situation ne fait que creuser un fossé entre les deux jeunes garçons. Pour autant, son enfance se passe harmoniquement avec une maman qui compense et beaucoup d’amis.

Les attentes de son père font qu’il part a Harvard pour étudier le droit, espérant que de devenir avocat lui permettra, enfin, d’être a la hauteur a ses yeux. Il a obtenu une bourse et, si les notes sont là, le cœur, lui, n’y est pas. C’est sans passion qu’il passe ses 3 premières années, se demandant parfois ce qu’il est en train de faire et s’accrochant « pour faire plaisir aux parents ». Il s’ennuie sur les bancs de la faculté. Heureusement, les fêtes étudiantes et le sport l’aident a tenir avant qu’un de ses camarades n’ait un accident lors d’un match de foot. Roman, guidé au téléphone par le 911, commence les « gestes qui sauvent » avant que les pompiers ne prennent le relai. Il les observe en silence sauver son ami et découvrant un métier qui a « du sens ». Ca sera la première grande révélation de sa vie. Il a 20 ans mais vient de trouver sa voie, il veut être pompier. Dans le dos de ses parents, il arrête les courts s’inscrit aux formations. Il passe la première certification, celle de lutte contre les incendies, la seconde, celle en soins médicaux d'urgence avancée, sera après sa prise de poste a New York.  

Évidemment, ce revers a déplut, surtout a son père dont la colère explose en même temps que les secrets. Dure a encaisser mais en une seule journée, non seulement il vient de se faire renier mais, en plus, il apprend être le fils d’un autre. Officiellement, il aime a dire qu’il s’en fiche, qu'il s'est trouvé une autre famille avec la caserne. Il reprend le nom de jeune fille de sa mère et celui de sa naissance, Carlyle. Sa mère est la seule de sa famille qui ne cesse de venir le voir, le gâtant comme un gamin parfois et s’assurant qu’il ne manque de rien.  

En parallèle, son premier salaire a servi a s’acheter une moto auprès d’un autre passionné. De discussions en discussions, Roman s’est plus ou moins fait enrôler dans un groupes de motards. Officiellement, c’est juste un rassemblement d’amoureux des belles mécaniques, mais dans les faits, certain se livrent à des activités moins nobles, n’hésitant pas a servir de « transporteurs ». Roman n’est pas intéressé par cette partie du groupe et reste plutôt en retrait mais il a quand même mis un peu trop les pieds dedans pour ne pas se sentir « concerné »  en cas de problème. D’ailleurs, même s’il n’a jamais eu son diplôme d’avocat, il s’est connait assez pour être « le porte-parole » du groupe.  Dans les faits, il est souvent au poste de police quand il y a besoin de discuter sur des « malentendus » entre la police et des membres en garde a vue ce qui lui rapporte un revenu qu’il se garde de déclarer.

Il vit actuellement dans un appartement plutôt sympathique de Brooklyn. Il a veillé a ne pas avoir un logement trop au-dessus de ses moyens de pompier, préférant ne pas étaler qu’il a d’autres sources de revenus moins licites. D’ailleurs, il ne regrette pas d’avoir pris un espace assez grand puisque son meilleur ami qui squatte un peu trop régulièrement chez lui. Carmelo, est son binôme de plans foireux, que cela soit drague ou pas, avec lui c’est retour a la case ado sans la pression de la famille. Sa mère a du plus ou moins dû adopter Carmelo qui survit aussi au cours de danse de salon pour 3e age et aux soirées télénovelas.

Généralement c’est quand Roman lui demande de partager le loyer que Carmelo se souvient qu’il a un chez lui, pour revenir vider le frigo dans les jours qui suivent en prétextant que c’est parce qu’il a peur que Roman s’ennuie sans lui. Ca a le don de faire marrer Roman qui ferme les yeux sur les travers de son pote.