Infos diverses : Elle a un tatouage avec une trentaine d'oiseaux noirs en pleine envolée qui lui traversent le haut du dos, ils représentent le nombre d'hommes qu'elle a abattus.
Tous ses employeurs croient qu'elle est un homme du fait de son prénom, et de toutes façons, comment une femme pourrait-elle être capable de remplir ces contrats correctement ?...
Son père a des origines italiennes et sa mère est américaine avec des origines albanaises.
Son père était lui aussi un mercenaire. Il l'a formée dès son plus jeune age, à vrai dire, il ne savait rien faire d'autre. Il a cependant été un bon père, palliant au manque du mieux qu'il le pouvait quand sa mère est décédée.
Son père a été tué par Lorenzo Forzalli et la brune s'est mis en tête de le venger. Il lui a fallu du temps pour savoir qui était le commanditaire, et lorsqu'elle l'a su, elle a appris qu'il s'était fait tuer. S'attaquer directement à une telle famille sur l'instant aurait été suicidaire, elle a pris le parti de prendre son temps, d'apprendre, de s'entrainer...Après tout, la vengeance est un plat qui se mange froid, non ?
Elle a été formée aux armes à feu mais également au combat rapproché. Si elle a tenté de nombreux types d'arts martiaux, elle a une nette préférence pour le kick-boxing. Côté armes, elle a récupéré le DAN.338 de son père, un fusil de haute précision qu'elle utilise lorsque la cible est difficilement atteignable. En temps normal, elle se balade toujours avec son Glock19 et un poignard de combat Savage BlackField dissimulé dans sa botte droite.
Le coffre de sa voiture, une Impala 67, dispose d'un double fond rempli d'armes diverses.
Elle a été élevée par son père qui l'a éduquée comme un garçon manqué. Son prénom même en est la preuve. Il espérait avoir un fils et, à sa naissance, qu'importait que son appareil génital ne corresponde pas à ses attentes, il l'a formée comme si elle était un gars. Il n'y a jamais eu la moindre remarque machiste ou misogyne de sa part. Elle était une fille ? Et alors ? Elle serait capable de faire aussi bien et même mieux qu'un homme. Il l'a poussée à se surpasser, l'envoyant dans des missions dangereuses qui lui ont valu pas mal de coups et de cicatrices. Elle a d'ailleurs une faiblesse dans la jambe gauche suite à un coup de couteau qui a endommagé un nerf.
Elle a horreur des hôpitaux et des médicaments, elle tâche de se soigner par elle même autant que ce soit possible.
Habitation : Elle n'a pas d'endroit fixe ou vivre. Elle passe sa vie sur les routes et dort dans des motels, dans sa voiture, ou squatte là où elle trouve
Célébrité : Eliza Dushku
DC : Je vous laisse deviner...
Infos diverses : Elle a un tatouage avec une trentaine d'oiseaux noirs en pleine envolée qui lui traversent le haut du dos, ils représentent le nombre d'hommes qu'elle a abattus.
Tous ses employeurs croient qu'elle est un homme du fait de son prénom, et de toutes façons, comment une femme pourrait-elle être capable de remplir ces contrats correctement ?...
Son père a des origines italiennes et sa mère est américaine avec des origines albanaises.
Son père était lui aussi un mercenaire. Il l'a formée dès son plus jeune age, à vrai dire, il ne savait rien faire d'autre. Il a cependant été un bon père, palliant au manque du mieux qu'il le pouvait quand sa mère est décédée.
Son père a été tué par Lorenzo Forzalli et la brune s'est mis en tête de le venger. Il lui a fallu du temps pour savoir qui était le commanditaire, et lorsqu'elle l'a su, elle a appris qu'il s'était fait tuer. S'attaquer directement à une telle famille sur l'instant aurait été suicidaire, elle a pris le parti de prendre son temps, d'apprendre, de s'entrainer...Après tout, la vengeance est un plat qui se mange froid, non ?
Elle a été formée aux armes à feu mais également au combat rapproché. Si elle a tenté de nombreux types d'arts martiaux, elle a une nette préférence pour le kick-boxing. Côté armes, elle a récupéré le DAN.338 de son père, un fusil de haute précision qu'elle utilise lorsque la cible est difficilement atteignable. En temps normal, elle se balade toujours avec son Glock19 et un poignard de combat Savage BlackField dissimulé dans sa botte droite.
Le coffre de sa voiture, une Impala 67, dispose d'un double fond rempli d'armes diverses.
Elle a été élevée par son père qui l'a éduquée comme un garçon manqué. Son prénom même en est la preuve. Il espérait avoir un fils et, à sa naissance, qu'importait que son appareil génital ne corresponde pas à ses attentes, il l'a formée comme si elle était un gars. Il n'y a jamais eu la moindre remarque machiste ou misogyne de sa part. Elle était une fille ? Et alors ? Elle serait capable de faire aussi bien et même mieux qu'un homme. Il l'a poussée à se surpasser, l'envoyant dans des missions dangereuses qui lui ont valu pas mal de coups et de cicatrices. Elle a d'ailleurs une faiblesse dans la jambe gauche suite à un coup de couteau qui a endommagé un nerf.
Elle a horreur des hôpitaux et des médicaments, elle tâche de se soigner par elle même autant que ce soit possible.
Habitation : Elle n'a pas d'endroit fixe ou vivre. Elle passe sa vie sur les routes et dort dans des motels, dans sa voiture, ou squatte là où elle trouve
Célébrité : Eliza Dushku
DC : Je vous laisse deviner...
Infos diverses : Elle a un tatouage avec une trentaine d'oiseaux noirs en pleine envolée qui lui traversent le haut du dos, ils représentent le nombre d'hommes qu'elle a abattus.
Tous ses employeurs croient qu'elle est un homme du fait de son prénom, et de toutes façons, comment une femme pourrait-elle être capable de remplir ces contrats correctement ?...
Son père a des origines italiennes et sa mère est américaine avec des origines albanaises.
Son père était lui aussi un mercenaire. Il l'a formée dès son plus jeune age, à vrai dire, il ne savait rien faire d'autre. Il a cependant été un bon père, palliant au manque du mieux qu'il le pouvait quand sa mère est décédée.
Son père a été tué par Lorenzo Forzalli et la brune s'est mis en tête de le venger. Il lui a fallu du temps pour savoir qui était le commanditaire, et lorsqu'elle l'a su, elle a appris qu'il s'était fait tuer. S'attaquer directement à une telle famille sur l'instant aurait été suicidaire, elle a pris le parti de prendre son temps, d'apprendre, de s'entrainer...Après tout, la vengeance est un plat qui se mange froid, non ?
Elle a été formée aux armes à feu mais également au combat rapproché. Si elle a tenté de nombreux types d'arts martiaux, elle a une nette préférence pour le kick-boxing. Côté armes, elle a récupéré le DAN.338 de son père, un fusil de haute précision qu'elle utilise lorsque la cible est difficilement atteignable. En temps normal, elle se balade toujours avec son Glock19 et un poignard de combat Savage BlackField dissimulé dans sa botte droite.
Le coffre de sa voiture, une Impala 67, dispose d'un double fond rempli d'armes diverses.
Elle a été élevée par son père qui l'a éduquée comme un garçon manqué. Son prénom même en est la preuve. Il espérait avoir un fils et, à sa naissance, qu'importait que son appareil génital ne corresponde pas à ses attentes, il l'a formée comme si elle était un gars. Il n'y a jamais eu la moindre remarque machiste ou misogyne de sa part. Elle était une fille ? Et alors ? Elle serait capable de faire aussi bien et même mieux qu'un homme. Il l'a poussée à se surpasser, l'envoyant dans des missions dangereuses qui lui ont valu pas mal de coups et de cicatrices. Elle a d'ailleurs une faiblesse dans la jambe gauche suite à un coup de couteau qui a endommagé un nerf.
Elle a horreur des hôpitaux et des médicaments, elle tâche de se soigner par elle même autant que ce soit possible.
Habitation : Elle n'a pas d'endroit fixe ou vivre. Elle passe sa vie sur les routes et dort dans des motels, dans sa voiture, ou squatte là où elle trouve
On ne va pas se mentir, Rafaele n'allait pas dans ce genre d'endroits pour enfiler des perles. Elle venait pour boire un verre, gratuit de préférence, se défouler sur la piste avant de le faire...Sur un mec. Elle ne jouait pas les effarouchées, elle ne faisait pas semblant d'être offensée qu'on la drague, pour elle, les choses étaient claires et directes. Ce n'était pas parce qu'elle ne voulait pas s'attacher qu'elle devait vivre comme une nonne, bien au contraire ! Et les défis, Rafaele, elle adorait ça, alors si Carmelo était prêt à le relever qui était-elle pour l'en empêcher ? D'autant qu'elle venait de sous-entendre qu'elle ferait de lui ce qu'elle voudrait, et sa répartie l'amusait assez, elle devait bien l'avouer. Son approche était ... Probablement bancale, et délirante, mais elle, ça la faisait plutôt rire, ça commençait même à la rendre curieuse pour tout dire. Joueuse et spontanée, la brune ne put s'empêcher de répliquer à sa remarque quant au cocktail :
Seulement sur le nombril ? Demanda t-elle, malicieuse alors qu'elle mordillait légèrement sa paille.
Elle eut un léger rire quand il demanda si elle escroquait ses clients. Elle se doutait bien que son explication nébuleuse ne l'aiderait en rien à savoir ce qu'elle faisait de sa vie, et puis, il ne s'imaginerait surement pas ça non plus. Il arrivait que Rafaele le dise cash, et la plupart du temps, les types se mettaient à rire, s'imaginant une blague. Cela dit, ils ne risquaient pas grand chose, Rafaele n'était pas une psychopathe, elle ne bossait que sur contrat. Et la remarque sur l'escroquerie l'avait fait rire car sur le sujet, clairement, ses clients n'avaient rien à redire. La brune n'avait pas beaucoup de règles dans sa vie, mais son père lui en avait inculqué quelques unes concernant son job, et le client devait avoir satisfaction.
Il avait laissé entendre que lui même pouvait être un escroc, et Rafaele espérait surtout ne pas se faire escroquer sur le matériel pour le coup... Carmelo s'éloigna alors, la nommant telle la reine des enfers, ce qui la fit légèrement tiquer. Sans doute sentait-il que son pote était en train de ramer pour se mettre à intervenir. Rafaele ne put s'empêcher d'écouter la conversation d'une oreille alors qu'un téléphone avait été mis sous le nez de sa voisine pour l'attendrir. La brune décida d'en rajouter une couche, s'amusant assez de la situation.
C'est pas un mec à baiser ça, c'est un mec à marier. Si t'es dans ce délire là, dépêche toi de le choper avant qu'une autre le remarque. Lança t-elle à Gabriela avant de reporter son attention sur l'autre type qui s'était empressé de prendre le siège de Carmelo. Franchement, Roman pouvait payer sa tournée, il en avait de la chance d'avoir autant de gens sympas à côté de lui ! Ou peut-être que la première impression n'était pas la bonne...Parfois, on était surpris et la petite mexicaine était peut-être moins coincée qu'elle n'en avait l'air ! Après tout, on disait souvent que les pires étaient celles qui avaient l'air d'être innocentes. Le petit nouveau qui avait débarqué au cours de la partie n'eut pas le temps d'échanger beaucoup avec Rafaele qui vit rapidement la silhouette de l'italien venir se planter entre eux avant de venir passer son bras autour de ses épaules. C'est qu'on devient territorial. Décidément, à force de faire des allusions à la race canine, ça commençait presque à devenir bizarre ! Enfin, tant qu'il ne lui pissait pas dessus, tout irait bien ! Elle avait beau s'amuser de la situation, elle ne put réprimer un frisson en sentant les lèvres du brun sur sa peau. Pour autant, elle aimait assez le fait de le faire tourner un peu en bourrique.
Tu ne serais exotique à mes yeux que si tu n'avais pas un nom à consonance italienne, chéri.
C'était raté sur ce coup-là, mais comment aurait-il pu s'imaginer qu'elle l'était elle-même alors qu'il ignorait son nom ? A bien y repenser, elle ne s'était pas présentée du tout, mais comme il l'avait si bien dit lui même, quelle importance cela pouvait-il bien avoir ? Il pouvait bien la nommer Dioné s'il le voulait ! Cela dit, elle espérait bien que sa remarque l'ait un peu déstabilisé, elle avait bien envie de s'amuser un peu à ses dépends après tout même si elle avait déjà oublié le "plouc local" comme il le disait.
Les rumeurs disent qu'on peut avoir un bon aperçu des compétences d'un homme dans un lit à sa façon de manger ou de danser. Alors, tu me donnes un aperçu ? Demanda t-elle en un semi-murmure tout en se levant de son siège. Elle attrapa sa main et s'avança sur la piste, elle avait bien besoin de se défouler !
Dancin' in the dark, in the pale moonlight I'm feelin' electric tonight
Summertime sadness
New-Yorkais
Célébrité : Hande Ercel
DC : //
Crédits : Neverland
Infos diverses : Elle est née au Mexique, elle est la 2eme d'une fratrie de 4 enfants. Ils ont eu une enfance compliquée, très pauvre, vivant dans un bidonville avec un père drogué et une mère qui a simplement abandonné et a fini en hôpital psychiatrique. La fratrie a atterri à New-York, chez une tante, après que leur géniteur ait été arrêté.
Elle a deux tatouages : un papillon en bas de la nuque, représentant son envol, son envie de liberté et une petite étoile sur la main droite, près du poignet, qui représente son frère ainé.
Sa phobie des profondeurs lui vient d'une mauvaise expérience lors d'une sortie scolaire où l'un de ses camarades l'a poussée dans un lac aux eaux sombres alors qu'elle ne savait pas nager.
Elle fait de l'escalade, malheureusement, cela se limite à de la salle, n'ayant jamais eu l'opportunité d'en faire en montagne.
Elle monte régulièrement au Top of the Rock où elle retrouve son frère pour observer les étoiles grâce à l'observatoire. S'il y a une chose qui n'a pas changée, c'est leur besoin de se retrouver même si les étoiles ne sont plus visibles simplement en levant les yeux vers le ciel dans cette ville polluée qu'est la grande pomme.
Habitation : Un appartement dans South Jamaica
Célébrité : Hande Ercel
DC : //
Crédits : Neverland
Infos diverses : Elle est née au Mexique, elle est la 2eme d'une fratrie de 4 enfants. Ils ont eu une enfance compliquée, très pauvre, vivant dans un bidonville avec un père drogué et une mère qui a simplement abandonné et a fini en hôpital psychiatrique. La fratrie a atterri à New-York, chez une tante, après que leur géniteur ait été arrêté.
Elle a deux tatouages : un papillon en bas de la nuque, représentant son envol, son envie de liberté et une petite étoile sur la main droite, près du poignet, qui représente son frère ainé.
Sa phobie des profondeurs lui vient d'une mauvaise expérience lors d'une sortie scolaire où l'un de ses camarades l'a poussée dans un lac aux eaux sombres alors qu'elle ne savait pas nager.
Elle fait de l'escalade, malheureusement, cela se limite à de la salle, n'ayant jamais eu l'opportunité d'en faire en montagne.
Elle monte régulièrement au Top of the Rock où elle retrouve son frère pour observer les étoiles grâce à l'observatoire. S'il y a une chose qui n'a pas changée, c'est leur besoin de se retrouver même si les étoiles ne sont plus visibles simplement en levant les yeux vers le ciel dans cette ville polluée qu'est la grande pomme.
Habitation : Un appartement dans South Jamaica
Célébrité : Hande Ercel
DC : //
Crédits : Neverland
Infos diverses : Elle est née au Mexique, elle est la 2eme d'une fratrie de 4 enfants. Ils ont eu une enfance compliquée, très pauvre, vivant dans un bidonville avec un père drogué et une mère qui a simplement abandonné et a fini en hôpital psychiatrique. La fratrie a atterri à New-York, chez une tante, après que leur géniteur ait été arrêté.
Elle a deux tatouages : un papillon en bas de la nuque, représentant son envol, son envie de liberté et une petite étoile sur la main droite, près du poignet, qui représente son frère ainé.
Sa phobie des profondeurs lui vient d'une mauvaise expérience lors d'une sortie scolaire où l'un de ses camarades l'a poussée dans un lac aux eaux sombres alors qu'elle ne savait pas nager.
Elle fait de l'escalade, malheureusement, cela se limite à de la salle, n'ayant jamais eu l'opportunité d'en faire en montagne.
Elle monte régulièrement au Top of the Rock où elle retrouve son frère pour observer les étoiles grâce à l'observatoire. S'il y a une chose qui n'a pas changée, c'est leur besoin de se retrouver même si les étoiles ne sont plus visibles simplement en levant les yeux vers le ciel dans cette ville polluée qu'est la grande pomme.
Des anecdotes, tu en a bien quelques unes mais il n'y a rien de fou là dedans. Tu as peut-être rencontré quelques célébrités sans même les reconnaitre, après tout, tu ne t'intéresses pas à la presse people et aux tendances du moment. Tu es un peu comme une ermite, une fois sortie de ton boulot, tu as tes petites activités solitaires ou avec tes frères et soeur mais tu ne cherches pas à savoir ce qu'il se passe dans le monde.
J’ai rencontré une rock star il y a peu, il était à deux doigts de faire une crise d’angoisse, il ne se sentait pas à l’aise parmi les costards-cravate… Je me suis retrouvée à lui faire la conversation dans une bibliothèque en espérant l’apaiser un peu. En dehors de ça, la plupart des gens ne regardent pas le personnel qui les sert dans ce genre d’endroits et quand ils le font, c’est rarement agréable alors j’aime autant qu’on m’ignore.
Les mains baladeuses, les réflexions rabaissantes, ça arrivait bien plus souvent qu'un merci, mais tu t'en moquais, tu passais ton chemin sans répliquer. Roman te parle de son job, qui est bien plus intéressant que le tien à n'en pas douter et tu découvres que ce n'était pas du tout la voie que tu avais choisie initialement.
J’avoue qu’en dehors des clichés habituels et de ce que j’ai pu voir dans la série 9-1-1, votre métier reste assez flou. C’est sans doute bien plus vaste qu’on ne l’imagine.
Outre les incendies, accidents et chats dans les arbres, il devait y avoir des cas bien plus complexes. Tu ne pus t’empêcher de rire à sa remarque quant au fait qu’il pourrait jouer les gardes lors d’une de tes soirées, l’image était assez drôle en réalité, et la façon dont il amenait cela aussi.
Ce serait dommage de gâcher vos compétences de la sorte, mais je ne doute pas que les dames de la soirée apprécieraient.
Tu dérives le regard en semblant te concentrer sur ton verre quand tu te rends compte de ce que tu viens de dire. Contrairement à la femme qui se trouve à côté de toi et qui ne semble pas avoir beaucoup de filtres, toi, tu as du mal ne serait-ce qu'à dire à quelqu'un que la vue n'est pas déplaisante ! L'échange se poursuit et tu ne sais pas trop pourquoi tu as sortie cette idiotie en le comparant à un psychopathe qui te suit partout surtout que ça, tu le vis réellement et c’est loin de t’amuser. Tu ne cesses de te répéter que tu es parano, mais c’est compliqué de croire que ce n’est que ton esprit qui te joue des tours quand tu finis par croiser son regard dans le métro, sur les rives de l’Hudson, ou près de ton travail… Tu refuses pour autant de t’arrêter de vivre et tu espères réellement qu’il va simplement se lasser. Heureusement, concernant l'homme à tes côtés, tu doutes qu'il soit de ce genre là, sinon ça voudrait dire que tu as un panneau sur la tête qui indique que tu es la cible idéale pour les fous furieux !
100 ? Vous êtes acharné !
Il poursuit sur sa lancée alors que tu as toi même capté avoir fait un double sens malencontreux, il ne manque pas de le relever, évidemment... A toi de trouver à rebondir, tu n'as pas le choix, tu ne vois aucun trou de souris dans lequel te faufiler !
Je ne suis pas très « rencard à 4 », du coup, ça ne marche pas. Tu répliques et tu t’amuses de la situation. Il te faut toujours un peu de temps pour te sentir à l’aise et sans doute que le fait d’entendre les deux énergumènes à côté se lancer des tas de conneries t’aide à être plus détendue. Il évoque alors quelques petites choses qu'il aime, t'interrogeant également sur le sujet. Toi, le surf, tu ne risques pas de le mettre sur ta liste un jour en tous cas !
J’ai un frère féru d’astronomie qui m’a contaminée. Il m’a appris à reconnaître les constellations et certaines étoiles. En dehors de ça, j’aime beaucoup l’escalade et aller au Botanical Garden and Zoo, à défaut de voir des animaux dans leur élément naturel ou de pouvoir en avoir, je passe parfois quelques heures là-bas, je trouve ça apaisant.
Tu termines à peine ta phrase que le fameux coloc débarque à coté de toi et te montre une vidéo tout en commençant à vanter son ami et ses actes héroïques. Ta voisine en rajoute et la situation devient aussi étrange qu’amusante. Tu regardes Carmelo en secouant légèrement la tête, un sourire amusé sur les lèvres alors qu’il te dit que tu as décroché le gros lot avant de retourner voir sa « cible » du jour. Le problème avec toi, c’est que tu t’auto-sabotes constamment. Les quelques fois où tu as enfin baissé la garde, tu l’as regretté, tu es donc devenu un peu trop méfiante mais pour le coup, tu préfères tourner tout cela à la dérision.
Vous êtes presque trop parfait pour être réel, où est le loup ?
Il y a forcément un vice caché là-dessous, ça ne peut pas être autrement!
Je fronce un peu les sourcils en l’entendant me parler de son travail et ce qu’elle en dit ne transpire pas le rêve et le glamour. En fait, on avait du personnel a la maison quand j’étais petit ou a chaque fête, mais je n’ai que de bon souvenir d’eux quand j’allais faire ma bête savante ou le pitre. Surement que mes yeux d’enfant m’ont trompé sur la réalité du métier. Avec beaucoup de précautions, je lui demande :
« J’ai beaucoup de mal a imaginer que cela soit possible d’ignorer une personne telle que vous. Retirez-moi un doute, ce métier vous plait néanmoins ? »
Forcément, pour moi qui avais suivi mes passions, refusant d’accepter les compromis avec mon avenir, c’était compliqué d’accepter qu’on ne puisse pas trouver un certain épanouissement a son travail. Carmelo, c’était avec ses « mains baladeuses » dans le sens délestage du terme, qu’il était heureux, moi, c’était en ayant le sentiment d’être utile et de sauver des vies…
« C’est indiscret de vous demandez ce qui vous a conduit à ce métier ? »
Je reste a la regarder avec cette interrogation sincère dans le regard. Pourquoi avoir choisi cette voix plus qu’une autre ? Était-ce bien un choix ? Mon sourire s’élargi un peu plus et je pose un coude sur le bar avec un air malicieux quand elle avoue ne pas trop voir a quoi ressemble mon métier :
« Je ne vois qu’une solution pour remédier a cela, il faudra passer a la caserne pour vous faire une meilleure idée… »
Je ne parle que des bons cotés de la vie de pompier, les moments durs, ceux qui sont plus difficiles a accepter, je les laisse de coté en ne pensant qu’a toutes ces personnes qu’on arrive a sauver et a la camaraderie qu’il y a entre nous. Certes, il y a des jours plus compliqués que d’autres, mais si elle vient, ca sera la partie « joyeuse » de l’iceberg que je lui montrerais. Je prends une gorgée de mon verre tout en lui faisant une proposition pleine de sous-entendus et arque un sourcil appréciateur quand la belle semble accepter. Malicieusement, je glisse :
« Toutes les dames, vous incluse donc ? »
Je suis loin de me douter de la portée de cette blague sur le psychopathe pour elle quand surenchéri sur mon acharnement. C’est donc à l’amusement, bien conscient que les choses ne prennent pas vraiment la même tournure que du côté de Carmelo :
« Il faut croire que vous m’avez fait une très forte impression. »
Difficile de réussir a ignorer les deux qui risquent de ne pas attendre de trouver une chambre pour aller se toucher plus que le bout des doigts. Je me concentre sur les passions de la jeune femme sans avoir le temps de lui dire que j’adore l’escalade aussi puisque mon bro vient à la rescousse, si tant est que j’ai besoin de rescousse. C’est a la fois gênant et super drôle, difficile de ne pas pouffer avec un :
« Ne faites pas trop attention a lui, je crois qu’il désespère de me caser… »
Pieu mensonge et je pense que je lui devrais sa prochaine conso. D’un œil je surveille ce qui se passe quand il semble y avoir un peu de tension avec un autre male. Heureusement ca a l’air de bien se tasser et impossible de ne pas rire quand sa copine s’y met aussi. Je ne sais pas si je fais pitié a ce point là ou si elle a très envie que je les laisse tranquille, mais son intervention a le mérite de ne pas amuser que moi. Quand elle me demande ou est le loup, une réponse me brule les lèvres, mais, il y a une certaine candeur dans ses yeux qui me font ravaler l’idée de lui parler de « ma fierté ». je fais semblant de réfléchir avant de lister :
« Je dirais que j’ai un colloc a charge, un métier un peu prenant, une tendance a adoré mon métier très prenant, un humour discutable et… je vous ai parlé de mon métier ? »
Je lui fais un clin d’œil a ce résumé qui oublie, peut être quelques détails quant a ma pseudo perfection. En vrai, j’ai passé presque 20 ans a être parfait sans jamais l’être assez. J’ai appris a assumer de ne plus l’être maintenant. Je n’ai pas entendu la sortie de la copine du moment de Carmelo, sinon, je me serais surement gardé, ou pas, de proposer a Gabriela :
« Est-ce que cela vous ferait plaisir d’aller danser le temps que vos collègues arrivent, ou vous préférez que nous les attentions ici en papotant ? »
Like fire
ANAPHORE
If it fits, I sits !
Célébrité : Rob Raco
DC : //
Crédits : Babs
Habitation : Un appartement miteux dans Brooklyn officiellement. Offieusement il squatte chez son meilleur ami Roman, chez qui le frigo est plus remplis que le sien...!
Célébrité : Rob Raco
DC : //
Crédits : Babs
Habitation : Un appartement miteux dans Brooklyn officiellement. Offieusement il squatte chez son meilleur ami Roman, chez qui le frigo est plus remplis que le sien...!
Célébrité : Rob Raco
DC : //
Crédits : Babs
Habitation : Un appartement miteux dans Brooklyn officiellement. Offieusement il squatte chez son meilleur ami Roman, chez qui le frigo est plus remplis que le sien...!
Carmelo aurait pas su dire pourquoi mais le ventre et le nombril d’une femme, il trouvait ça incroyablement sexy ! Et dieu que cette fille là était belle et sexy. Avantage non négligeable : elle en avait parfaitement conscience, ce qui la sublimait tout à fait. C’était sûrement le genre de nana qui fait peur à la plupart des hommes. Dominatrice à souhait, limite castratrice. Est-ce que ça la rendait insatisfaire ? Ça devait être dur parfois de tomber sur un type capable de jouer à égalité sur le terrain du caractère. Bref. Elle aide à son tour Roman et Carmelo rigole à demi. Son pote sortait les rames pour arriver à quelque chose non ? Il draguait comme on flirt sur les sites de rencontre plus que comme on drague dans ce genre de bar. Encore un peu et il lui sortait le scrabble de voyage pour lui proposer une petite partie.
Carmelo fait semblant d’imiter le loup en entendant la question de la femme derrière Perséphone, tout en ayant un mime très éloquent (une kékette qu’on avale !) pour Roman, puisque elle elle lui tournait le dos !
Il cesse néanmoins quand vient le moment de mettre la main de manière plus offensive sur sa proie de la soirée, convoité par d’autres prédateurs. A moins qu’ils ne soient tous les deux que des biches pris dans ses phares à elle…
Pas besoin d’avoir fait 10 ans d’étude pour comprendre que sa Perséphone doit avoir du sang italien. Peut être même tout son sang.
« C’est pas grave, je ramène l’Italie jusqu’à toi. »
Brièvement dit en italien à son oreille du coup ! Et repassant à l’anglais :
« Et je suis probablement plus exotique qu’un petit costard-cravate qui viendrait bégayer que tu daignes lui laisser l’occasion de t’offrir un verre. »
Pour ce qui est de la ou les rumeurs ensuite, Carmelo n’en a jamais entendu parler mais il aimait bien le concept ! Ça vaudrait peut-être le coup d’aller glaner des infos sur google !
Mais Perséphone s’est déjà levé, sa robe jour l’enlaçant de manière si étroite qu’elle pourrait lui couper le souffle et Carmelo la suit, redessinant le chemin de sa colonne vertébrale depuis sa nuque jusqu’au rebond de ses fesses généreuses. Il tire sur sa main pour la ramener à lui, taquin… Puis pose ses mains sur ses hanches pour la faire pivoter dos à lui, glissant alors ses doigts sur son ventre, ce nombril tant désiré et finalement titillant le triangle de son pubis.
Perséphone était volcanique. Carmelo remonte ses mains en sens inverse… Son ventre et son nombril, ses hanches… Puis il remonte le long de ses côtes, effleure ses seins, guide ses bras à elle au-dessus de sa tête…
Il sent le shampoing épicé dans ses cheveux, ses hanches s’imbriquent contre son bassin pour suivre un peu le mood. Si la musique diabolique qui faisait danser sa déesse des enfers, il allait hurler de frustration !
New-Yorkais
Célébrité : Eliza Dushku
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Infos diverses : Elle a un tatouage avec une trentaine d'oiseaux noirs en pleine envolée qui lui traversent le haut du dos, ils représentent le nombre d'hommes qu'elle a abattus.
Tous ses employeurs croient qu'elle est un homme du fait de son prénom, et de toutes façons, comment une femme pourrait-elle être capable de remplir ces contrats correctement ?...
Son père a des origines italiennes et sa mère est américaine avec des origines albanaises.
Son père était lui aussi un mercenaire. Il l'a formée dès son plus jeune age, à vrai dire, il ne savait rien faire d'autre. Il a cependant été un bon père, palliant au manque du mieux qu'il le pouvait quand sa mère est décédée.
Son père a été tué par Lorenzo Forzalli et la brune s'est mis en tête de le venger. Il lui a fallu du temps pour savoir qui était le commanditaire, et lorsqu'elle l'a su, elle a appris qu'il s'était fait tuer. S'attaquer directement à une telle famille sur l'instant aurait été suicidaire, elle a pris le parti de prendre son temps, d'apprendre, de s'entrainer...Après tout, la vengeance est un plat qui se mange froid, non ?
Elle a été formée aux armes à feu mais également au combat rapproché. Si elle a tenté de nombreux types d'arts martiaux, elle a une nette préférence pour le kick-boxing. Côté armes, elle a récupéré le DAN.338 de son père, un fusil de haute précision qu'elle utilise lorsque la cible est difficilement atteignable. En temps normal, elle se balade toujours avec son Glock19 et un poignard de combat Savage BlackField dissimulé dans sa botte droite.
Le coffre de sa voiture, une Impala 67, dispose d'un double fond rempli d'armes diverses.
Elle a été élevée par son père qui l'a éduquée comme un garçon manqué. Son prénom même en est la preuve. Il espérait avoir un fils et, à sa naissance, qu'importait que son appareil génital ne corresponde pas à ses attentes, il l'a formée comme si elle était un gars. Il n'y a jamais eu la moindre remarque machiste ou misogyne de sa part. Elle était une fille ? Et alors ? Elle serait capable de faire aussi bien et même mieux qu'un homme. Il l'a poussée à se surpasser, l'envoyant dans des missions dangereuses qui lui ont valu pas mal de coups et de cicatrices. Elle a d'ailleurs une faiblesse dans la jambe gauche suite à un coup de couteau qui a endommagé un nerf.
Elle a horreur des hôpitaux et des médicaments, elle tâche de se soigner par elle même autant que ce soit possible.
Habitation : Elle n'a pas d'endroit fixe ou vivre. Elle passe sa vie sur les routes et dort dans des motels, dans sa voiture, ou squatte là où elle trouve
Célébrité : Eliza Dushku
DC : Je vous laisse deviner...
Infos diverses : Elle a un tatouage avec une trentaine d'oiseaux noirs en pleine envolée qui lui traversent le haut du dos, ils représentent le nombre d'hommes qu'elle a abattus.
Tous ses employeurs croient qu'elle est un homme du fait de son prénom, et de toutes façons, comment une femme pourrait-elle être capable de remplir ces contrats correctement ?...
Son père a des origines italiennes et sa mère est américaine avec des origines albanaises.
Son père était lui aussi un mercenaire. Il l'a formée dès son plus jeune age, à vrai dire, il ne savait rien faire d'autre. Il a cependant été un bon père, palliant au manque du mieux qu'il le pouvait quand sa mère est décédée.
Son père a été tué par Lorenzo Forzalli et la brune s'est mis en tête de le venger. Il lui a fallu du temps pour savoir qui était le commanditaire, et lorsqu'elle l'a su, elle a appris qu'il s'était fait tuer. S'attaquer directement à une telle famille sur l'instant aurait été suicidaire, elle a pris le parti de prendre son temps, d'apprendre, de s'entrainer...Après tout, la vengeance est un plat qui se mange froid, non ?
Elle a été formée aux armes à feu mais également au combat rapproché. Si elle a tenté de nombreux types d'arts martiaux, elle a une nette préférence pour le kick-boxing. Côté armes, elle a récupéré le DAN.338 de son père, un fusil de haute précision qu'elle utilise lorsque la cible est difficilement atteignable. En temps normal, elle se balade toujours avec son Glock19 et un poignard de combat Savage BlackField dissimulé dans sa botte droite.
Le coffre de sa voiture, une Impala 67, dispose d'un double fond rempli d'armes diverses.
Elle a été élevée par son père qui l'a éduquée comme un garçon manqué. Son prénom même en est la preuve. Il espérait avoir un fils et, à sa naissance, qu'importait que son appareil génital ne corresponde pas à ses attentes, il l'a formée comme si elle était un gars. Il n'y a jamais eu la moindre remarque machiste ou misogyne de sa part. Elle était une fille ? Et alors ? Elle serait capable de faire aussi bien et même mieux qu'un homme. Il l'a poussée à se surpasser, l'envoyant dans des missions dangereuses qui lui ont valu pas mal de coups et de cicatrices. Elle a d'ailleurs une faiblesse dans la jambe gauche suite à un coup de couteau qui a endommagé un nerf.
Elle a horreur des hôpitaux et des médicaments, elle tâche de se soigner par elle même autant que ce soit possible.
Habitation : Elle n'a pas d'endroit fixe ou vivre. Elle passe sa vie sur les routes et dort dans des motels, dans sa voiture, ou squatte là où elle trouve
Célébrité : Eliza Dushku
DC : Je vous laisse deviner...
Infos diverses : Elle a un tatouage avec une trentaine d'oiseaux noirs en pleine envolée qui lui traversent le haut du dos, ils représentent le nombre d'hommes qu'elle a abattus.
Tous ses employeurs croient qu'elle est un homme du fait de son prénom, et de toutes façons, comment une femme pourrait-elle être capable de remplir ces contrats correctement ?...
Son père a des origines italiennes et sa mère est américaine avec des origines albanaises.
Son père était lui aussi un mercenaire. Il l'a formée dès son plus jeune age, à vrai dire, il ne savait rien faire d'autre. Il a cependant été un bon père, palliant au manque du mieux qu'il le pouvait quand sa mère est décédée.
Son père a été tué par Lorenzo Forzalli et la brune s'est mis en tête de le venger. Il lui a fallu du temps pour savoir qui était le commanditaire, et lorsqu'elle l'a su, elle a appris qu'il s'était fait tuer. S'attaquer directement à une telle famille sur l'instant aurait été suicidaire, elle a pris le parti de prendre son temps, d'apprendre, de s'entrainer...Après tout, la vengeance est un plat qui se mange froid, non ?
Elle a été formée aux armes à feu mais également au combat rapproché. Si elle a tenté de nombreux types d'arts martiaux, elle a une nette préférence pour le kick-boxing. Côté armes, elle a récupéré le DAN.338 de son père, un fusil de haute précision qu'elle utilise lorsque la cible est difficilement atteignable. En temps normal, elle se balade toujours avec son Glock19 et un poignard de combat Savage BlackField dissimulé dans sa botte droite.
Le coffre de sa voiture, une Impala 67, dispose d'un double fond rempli d'armes diverses.
Elle a été élevée par son père qui l'a éduquée comme un garçon manqué. Son prénom même en est la preuve. Il espérait avoir un fils et, à sa naissance, qu'importait que son appareil génital ne corresponde pas à ses attentes, il l'a formée comme si elle était un gars. Il n'y a jamais eu la moindre remarque machiste ou misogyne de sa part. Elle était une fille ? Et alors ? Elle serait capable de faire aussi bien et même mieux qu'un homme. Il l'a poussée à se surpasser, l'envoyant dans des missions dangereuses qui lui ont valu pas mal de coups et de cicatrices. Elle a d'ailleurs une faiblesse dans la jambe gauche suite à un coup de couteau qui a endommagé un nerf.
Elle a horreur des hôpitaux et des médicaments, elle tâche de se soigner par elle même autant que ce soit possible.
Habitation : Elle n'a pas d'endroit fixe ou vivre. Elle passe sa vie sur les routes et dort dans des motels, dans sa voiture, ou squatte là où elle trouve
Peut-être que j'aime ça, quand ils bégayent, ça prouve qu'ils savent à qui ils ont à faire, Répliqua t-elle avec un sourire amusé. Elle avait beau dire ça, elle préférait de loin un homme qui avait de l’aplomb et suffisamment de caractère pour lui tenir tête. Un homme avec qui elle pourrait se battre, au sens propre comme au figuré, mais ça, ça restait exceptionnel. La répartie de l'italien l'amusait assez pour s'imaginer passer 3 minutes à l'écart avec lui - apparemment c'était son timing -
La brune avait jeté un œil à ses voisins de table qui se tapaient la causette. Elle, elle se moquait bien de connaitre la vie des gens, elle ne se posait jamais longtemps nulle part et elle considérait qu'on ne connaissait bien une personne que lorsqu'on l'avait vue à poils. Elle voit, elle veut, elle prend...Et ne les revoit que rarement. Son éducation et son métier l'avaient rendue très solitaire mais il y avait des interactions qu'elle appréciait, le tout étant de ne pas lui prendre la tête. Elle aimait quand c'était simple, fluide, la brune ne faisait aucun projet de vie, elle vivait dans l'instant présent et ne connaissait pas l'angoisse de l'avenir. Elle savait que chaque jour était unique et pouvait être le dernier, elle était bien placée pour penser ainsi alors elle s'amusait, et advienne que pourra.
L'italien l'avait attirée à lui alors qu'elle se dirigeait vers la piste. Elle se retrouva collée à son torse avant qu'il ne la fasse pivoter, se retrouvant dos à lui. La brune commença à onduler au rythme de la musique, laissant son corps frôler celui de l'homme qui se trouvait contre elle. Elle sentait ses mains descendre peu à peu le long de son ventre et un frisson la parcourut. Elle avait posé l'une de ses mains sur son avant-bras, le laissant glisser tout le long comme pour le pousser à aller toujours plus loin tandis que l'autre allait se perdre dans la nuque du brun. Ses mains remontèrent le long de son corps, effleurant sa peau par endroits découverte, entrainant ses bras au dessus de sa tête. Leurs doigts s'entrelacèrent et elle guida leurs mains pour les croiser devant elle, rapprochant ainsi leurs corps qui se collèrent un peu plus l'un contre l'autre. Après quelques instants ainsi enlacés, elle se tourna vers lui, restant proches, leurs visages se trouvant à seulement quelques centimètres l'un de l'autre. Elle remonta ses doigts le long de sa chemise, les glissant entre deux boutons comme pour avoir une prise afin d'éviter qu'il ne s'éloigne.
Finalement, on dirait bien que tu as du potentiel... Lui lança t-elle, ses lèvres très proches des siennes.
Dancin' in the dark, in the pale moonlight I'm feelin' electric tonight
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