C’est jeudi soir et qu’est qu’on fait le jeudi soir ? Et bien, on sort et on va faire la fête ! Petite tradition personnelle pour bien s’échauffer avant le week end ou je suis souvent de garde. Évidemment, Carmelo n’a pas eu trop de mal a s’adapter a mes petits rituels de fin de semaine, si on oublie les déplacements en Harley pour aller aux soirées. Ca a tendance a le crisper.
Dans tous les cas, ce soir, c’est sapé comme jamais que nous faisons notre entrée dans ce bar dansant ou on a jamais été déçu par l’ambiance. La musique est sympa, les boissons ne coutent pas un rein et on a souvent les plus jolies filles de New York qui viennent chasser, elles aussi.
« Bon, ca va etre le moment de me prouver qu’avec trois phrases en italien, tu les fais toutes tomber… »
Ouai je me fous un peu de sa gueule, mais c’est de bonne guerre on va dire. Je repère deux filles canons au comptoir et je me dis que c’est notre jour de chance. Je passe ma main dans mes cheveux pour bien les remettre en place (ouai, le casque de moto, c’est l’enfer pour les looks coiffés décoiffés stylés)
« Regarde-moi un peu ce duo… attends, celle de droite, je l’ai déjà croisée et crois moi, elle avait le rouge aux joues de celles qui ont des papillons dans le ventre juste après avoir échangé quelques mots avec moi. Du coup, je te laisse celle de gauche ! »
Je m’avance en tête et vais m’assoir a coté de la brune dont j’ai oublié le prénom. C’est con, mais c’est pas grave vu que je n’ai rien zappé du reste. Je lui offre un sourire angélique et une surprise feinte en l’abordant :
« Hey ! Salut, si j’avais pensé vous revoir ici ! Vous venez souvent ici ? Je ne sais pas si je vous ai déjà parler de mon colloc Carmelo ? »
Je montre mon ami avant de continuer sur ma lancer :
« C’est une amie a vous ? »
Je désigne la femme assise a coté d’elle laissant la suite a Carmelo pour voir s’il va tenter de se présenter en Italien.
Like fire
ANAPHORE
If it fits, I sits !
Célébrité : Rob Raco
DC : //
Crédits : Babs
Habitation : Un appartement miteux dans Brooklyn officiellement. Offieusement il squatte chez son meilleur ami Roman, chez qui le frigo est plus remplis que le sien...!
Célébrité : Rob Raco
DC : //
Crédits : Babs
Habitation : Un appartement miteux dans Brooklyn officiellement. Offieusement il squatte chez son meilleur ami Roman, chez qui le frigo est plus remplis que le sien...!
Célébrité : Rob Raco
DC : //
Crédits : Babs
Habitation : Un appartement miteux dans Brooklyn officiellement. Offieusement il squatte chez son meilleur ami Roman, chez qui le frigo est plus remplis que le sien...!
« Mais je te jure que ça a marché du feu de dieu la dernière fois ! J'ai levé un mec, c'est un flic et c'est une bombe. Jure quand il a mis sa main dans mon pantalon j'ai... hey ! Putain regarde où tu vas ! »
Carmelo grogne tandis qu'un type titubant déjà à cette heure-ci leur passe à côté, non sans un bon coup d'épaule. Il vient masser la sienne brièvement, jetant un dernier coup d’œil au gros con avant d'en revenir à Roman, avec qui il était en sortie « chasse à la gazelle ». C'était toujours un moment de franche camaraderie et puis si en plus ils pouvaient rentrer accompagnés ben... Ils ne crachaient pas dessus disons ! Ok, Carmelo était encore obnubilé par Trevino. Il lui avait même piqué sa montre dans l'espoir de le revoir (grande technique de la bible du romantisme). Mais en attendant ses nuits n'étaient pas privées alors... Pourquoi pas déployer ses grands charmes latins ?
Roman repère vite les gazelles sur le bord du fleuve -aka le bar- et Carmelo pose les yeux dessus en l'écoutant. Roman choisit direct mais Carmelo est beau joueur : il les avait repéré le premier. D'ailleurs, alors qu'il target ma plus petite des gazelles, Carmelo ricane.
« Ça m'étonne pas que tu choisisses la timide ! »
Lui n'avait rien contre sa copine, au contraire ! Elle portait une robe qui mettait en avant tous ses attributs et elle aurait eu tort de ne pas le faire. Des hanches en sablier, une poitrine généreuse dont il se demandait déjà si elle tenait dans la paume de sa main... Et lorsqu'il s'approche, elle arbore un sourire carmin qui faisait moins d'elle une proie façon gazelle au bord du fleuve qu'un prédateur façon crocodile sortant des eaux...
« Oh Bella... »
Carmelo flash un sourire, la quittant juste un instant des yeux pour aviser Roman qui faisait son petit pompier tout poli à base de « vous » et de autres politesses informelles ! Carmelo lève les yeux au ciel, faisant un petit signe de la main à la fille que Roman venait d'aborder. Et à l'intention de la beauté près de lui :
« Celui qui ne juge pas bon de se présenter c'est Roman. C'est un mal élevé. »
Il a un petit clin d’œil pour la jeune femme, assurant très franchement :
« Le bar est ignifugé non ? Parce que chérie, t'es un véritable lance-flamme.... »
Sur ces bons mots Carmelo sort sa carte de crédit en annonçant :
« La première tournée est pour moi ! »
L'italien fait signe au barman et Carmelo a un sourire gouailleur pour Roman qui devait commencer à comprendre. Comprendre quoi ? C'était pas sa carte mais celle d'un certain « John Kellerman ». Quoi ? Fallait pas lui rentrer dedans bourré... Carmelo avait les mains baladeuses...
New-Yorkais
Célébrité : Eliza Dushku
DC : Je vous laisse deviner...
Infos diverses : Elle a un tatouage avec une trentaine d'oiseaux noirs en pleine envolée qui lui traversent le haut du dos, ils représentent le nombre d'hommes qu'elle a abattus.
Tous ses employeurs croient qu'elle est un homme du fait de son prénom, et de toutes façons, comment une femme pourrait-elle être capable de remplir ces contrats correctement ?...
Son père a des origines italiennes et sa mère est américaine avec des origines albanaises.
Son père était lui aussi un mercenaire. Il l'a formée dès son plus jeune age, à vrai dire, il ne savait rien faire d'autre. Il a cependant été un bon père, palliant au manque du mieux qu'il le pouvait quand sa mère est décédée.
Son père a été tué par Lorenzo Forzalli et la brune s'est mis en tête de le venger. Il lui a fallu du temps pour savoir qui était le commanditaire, et lorsqu'elle l'a su, elle a appris qu'il s'était fait tuer. S'attaquer directement à une telle famille sur l'instant aurait été suicidaire, elle a pris le parti de prendre son temps, d'apprendre, de s'entrainer...Après tout, la vengeance est un plat qui se mange froid, non ?
Elle a été formée aux armes à feu mais également au combat rapproché. Si elle a tenté de nombreux types d'arts martiaux, elle a une nette préférence pour le kick-boxing. Côté armes, elle a récupéré le DAN.338 de son père, un fusil de haute précision qu'elle utilise lorsque la cible est difficilement atteignable. En temps normal, elle se balade toujours avec son Glock19 et un poignard de combat Savage BlackField dissimulé dans sa botte droite.
Le coffre de sa voiture, une Impala 67, dispose d'un double fond rempli d'armes diverses.
Elle a été élevée par son père qui l'a éduquée comme un garçon manqué. Son prénom même en est la preuve. Il espérait avoir un fils et, à sa naissance, qu'importait que son appareil génital ne corresponde pas à ses attentes, il l'a formée comme si elle était un gars. Il n'y a jamais eu la moindre remarque machiste ou misogyne de sa part. Elle était une fille ? Et alors ? Elle serait capable de faire aussi bien et même mieux qu'un homme. Il l'a poussée à se surpasser, l'envoyant dans des missions dangereuses qui lui ont valu pas mal de coups et de cicatrices. Elle a d'ailleurs une faiblesse dans la jambe gauche suite à un coup de couteau qui a endommagé un nerf.
Elle a horreur des hôpitaux et des médicaments, elle tâche de se soigner par elle même autant que ce soit possible.
Habitation : Elle n'a pas d'endroit fixe ou vivre. Elle passe sa vie sur les routes et dort dans des motels, dans sa voiture, ou squatte là où elle trouve
Célébrité : Eliza Dushku
DC : Je vous laisse deviner...
Infos diverses : Elle a un tatouage avec une trentaine d'oiseaux noirs en pleine envolée qui lui traversent le haut du dos, ils représentent le nombre d'hommes qu'elle a abattus.
Tous ses employeurs croient qu'elle est un homme du fait de son prénom, et de toutes façons, comment une femme pourrait-elle être capable de remplir ces contrats correctement ?...
Son père a des origines italiennes et sa mère est américaine avec des origines albanaises.
Son père était lui aussi un mercenaire. Il l'a formée dès son plus jeune age, à vrai dire, il ne savait rien faire d'autre. Il a cependant été un bon père, palliant au manque du mieux qu'il le pouvait quand sa mère est décédée.
Son père a été tué par Lorenzo Forzalli et la brune s'est mis en tête de le venger. Il lui a fallu du temps pour savoir qui était le commanditaire, et lorsqu'elle l'a su, elle a appris qu'il s'était fait tuer. S'attaquer directement à une telle famille sur l'instant aurait été suicidaire, elle a pris le parti de prendre son temps, d'apprendre, de s'entrainer...Après tout, la vengeance est un plat qui se mange froid, non ?
Elle a été formée aux armes à feu mais également au combat rapproché. Si elle a tenté de nombreux types d'arts martiaux, elle a une nette préférence pour le kick-boxing. Côté armes, elle a récupéré le DAN.338 de son père, un fusil de haute précision qu'elle utilise lorsque la cible est difficilement atteignable. En temps normal, elle se balade toujours avec son Glock19 et un poignard de combat Savage BlackField dissimulé dans sa botte droite.
Le coffre de sa voiture, une Impala 67, dispose d'un double fond rempli d'armes diverses.
Elle a été élevée par son père qui l'a éduquée comme un garçon manqué. Son prénom même en est la preuve. Il espérait avoir un fils et, à sa naissance, qu'importait que son appareil génital ne corresponde pas à ses attentes, il l'a formée comme si elle était un gars. Il n'y a jamais eu la moindre remarque machiste ou misogyne de sa part. Elle était une fille ? Et alors ? Elle serait capable de faire aussi bien et même mieux qu'un homme. Il l'a poussée à se surpasser, l'envoyant dans des missions dangereuses qui lui ont valu pas mal de coups et de cicatrices. Elle a d'ailleurs une faiblesse dans la jambe gauche suite à un coup de couteau qui a endommagé un nerf.
Elle a horreur des hôpitaux et des médicaments, elle tâche de se soigner par elle même autant que ce soit possible.
Habitation : Elle n'a pas d'endroit fixe ou vivre. Elle passe sa vie sur les routes et dort dans des motels, dans sa voiture, ou squatte là où elle trouve
Célébrité : Eliza Dushku
DC : Je vous laisse deviner...
Infos diverses : Elle a un tatouage avec une trentaine d'oiseaux noirs en pleine envolée qui lui traversent le haut du dos, ils représentent le nombre d'hommes qu'elle a abattus.
Tous ses employeurs croient qu'elle est un homme du fait de son prénom, et de toutes façons, comment une femme pourrait-elle être capable de remplir ces contrats correctement ?...
Son père a des origines italiennes et sa mère est américaine avec des origines albanaises.
Son père était lui aussi un mercenaire. Il l'a formée dès son plus jeune age, à vrai dire, il ne savait rien faire d'autre. Il a cependant été un bon père, palliant au manque du mieux qu'il le pouvait quand sa mère est décédée.
Son père a été tué par Lorenzo Forzalli et la brune s'est mis en tête de le venger. Il lui a fallu du temps pour savoir qui était le commanditaire, et lorsqu'elle l'a su, elle a appris qu'il s'était fait tuer. S'attaquer directement à une telle famille sur l'instant aurait été suicidaire, elle a pris le parti de prendre son temps, d'apprendre, de s'entrainer...Après tout, la vengeance est un plat qui se mange froid, non ?
Elle a été formée aux armes à feu mais également au combat rapproché. Si elle a tenté de nombreux types d'arts martiaux, elle a une nette préférence pour le kick-boxing. Côté armes, elle a récupéré le DAN.338 de son père, un fusil de haute précision qu'elle utilise lorsque la cible est difficilement atteignable. En temps normal, elle se balade toujours avec son Glock19 et un poignard de combat Savage BlackField dissimulé dans sa botte droite.
Le coffre de sa voiture, une Impala 67, dispose d'un double fond rempli d'armes diverses.
Elle a été élevée par son père qui l'a éduquée comme un garçon manqué. Son prénom même en est la preuve. Il espérait avoir un fils et, à sa naissance, qu'importait que son appareil génital ne corresponde pas à ses attentes, il l'a formée comme si elle était un gars. Il n'y a jamais eu la moindre remarque machiste ou misogyne de sa part. Elle était une fille ? Et alors ? Elle serait capable de faire aussi bien et même mieux qu'un homme. Il l'a poussée à se surpasser, l'envoyant dans des missions dangereuses qui lui ont valu pas mal de coups et de cicatrices. Elle a d'ailleurs une faiblesse dans la jambe gauche suite à un coup de couteau qui a endommagé un nerf.
Elle a horreur des hôpitaux et des médicaments, elle tâche de se soigner par elle même autant que ce soit possible.
Habitation : Elle n'a pas d'endroit fixe ou vivre. Elle passe sa vie sur les routes et dort dans des motels, dans sa voiture, ou squatte là où elle trouve
Rafaele, en robe, c'était une chose rare. La brune était beaucoup plus à l'aise avec un jean et un cuir, chaussant des baskets pour déambuler dans les rues de la grande pomme. Si elle était dans cette ville, c'était pour une mission personnelle, et jamais elle n'aurait imaginé que, près d'elle, dans ce bar, il y avait la soeur du gamin qu'elle avait tenté d'aider. Le petit Diego s'était foutu dans la merde avec son cartel et elle...Eh bien...En voulant le secourir, elle l'a enfoncé encore plus dans son merdier ! Le mexicain ne semblait pas lui en vouloir pour autant, lui ayant offert le gite et le couvert. La brune avait beau bien gagner sa vie, elle dépensait peu, et squattait où elle pouvait. En réalité, elle savait qu'elle ne pourrait pas faire son job toute sa vie, que d'ici quelques années, ce serait terminé pour elle, ses réflexes ne seraient plus suffisant et les risques de se faire tuer seraient accrus. Alors, elle accumulait, et pour le reste, on lui donnait, ou elle volait. Elle n'avait aucun état d'âme à ça. En attestait la jolie robe rouge qu'elle avait sur le dos, sérieusement, qui aurait mis sept cent dollars dans un bout de tissu ? Pas elle en tous cas. Elle avait rendez-vous avec une amie, enfin...Ce qui s'apparentait le plus à une amie, car pour Rafaele, les relations humaines devaient être simples, c'est à dire aucun attachement, pas même amical. Les deux brunes devaient passer la soirée ensemble, mais quelques minutes plus tôt, Rafaele avait reçu un texto lui annonçant qu'elle avait un empêchement. Peu importait, elle n'avait jamais eu besoin de personne pour s'amuser, mais pour l'heure, elle avait surtout envie de tester les cocktails du bar.
Rafy n'avait pas spécialement prêté attention à la jeune femme qui se trouvait près d'elle, ce n'est que lorsqu'un type s'approcha, les interpellant qu'elle tourna la tête de ce côté avant d'entendre résonner une autre voix, plus près d'elle. Entre celui qui semblait vouloir tester son charme de façon soft, et celui qui balançait ce genre de phrases d'une lourdeuuuuur, Rafaele ne put que rire. S'il voulait jouer à ça, elle pouvait le faire aussi.
Tu as raison, si tu n'es pas pompier, tu ferais mieux de t'éloigner au risque de te consumer, c'est dangereux pour toi. Répliqua t-elle avec un petit sourire amusé alors qu'elle portait son verre à ses lèvres. Et sinon, pour un type qui relève les impolitesses, il me semble que t'as oublié quelque chose. Après tout, il venait de balancer le prénom de son pote, mais lui il ne s'était pas présenté !
Dancin' in the dark, in the pale moonlight I'm feelin' electric tonight
Summertime sadness
New-Yorkais
Célébrité : Hande Ercel
DC : //
Crédits : Neverland
Infos diverses : Elle est née au Mexique, elle est la 2eme d'une fratrie de 4 enfants. Ils ont eu une enfance compliquée, très pauvre, vivant dans un bidonville avec un père drogué et une mère qui a simplement abandonné et a fini en hôpital psychiatrique. La fratrie a atterri à New-York, chez une tante, après que leur géniteur ait été arrêté.
Elle a deux tatouages : un papillon en bas de la nuque, représentant son envol, son envie de liberté et une petite étoile sur la main droite, près du poignet, qui représente son frère ainé.
Sa phobie des profondeurs lui vient d'une mauvaise expérience lors d'une sortie scolaire où l'un de ses camarades l'a poussée dans un lac aux eaux sombres alors qu'elle ne savait pas nager.
Elle fait de l'escalade, malheureusement, cela se limite à de la salle, n'ayant jamais eu l'opportunité d'en faire en montagne.
Elle monte régulièrement au Top of the Rock où elle retrouve son frère pour observer les étoiles grâce à l'observatoire. S'il y a une chose qui n'a pas changée, c'est leur besoin de se retrouver même si les étoiles ne sont plus visibles simplement en levant les yeux vers le ciel dans cette ville polluée qu'est la grande pomme.
Habitation : Un appartement dans South Jamaica
Célébrité : Hande Ercel
DC : //
Crédits : Neverland
Infos diverses : Elle est née au Mexique, elle est la 2eme d'une fratrie de 4 enfants. Ils ont eu une enfance compliquée, très pauvre, vivant dans un bidonville avec un père drogué et une mère qui a simplement abandonné et a fini en hôpital psychiatrique. La fratrie a atterri à New-York, chez une tante, après que leur géniteur ait été arrêté.
Elle a deux tatouages : un papillon en bas de la nuque, représentant son envol, son envie de liberté et une petite étoile sur la main droite, près du poignet, qui représente son frère ainé.
Sa phobie des profondeurs lui vient d'une mauvaise expérience lors d'une sortie scolaire où l'un de ses camarades l'a poussée dans un lac aux eaux sombres alors qu'elle ne savait pas nager.
Elle fait de l'escalade, malheureusement, cela se limite à de la salle, n'ayant jamais eu l'opportunité d'en faire en montagne.
Elle monte régulièrement au Top of the Rock où elle retrouve son frère pour observer les étoiles grâce à l'observatoire. S'il y a une chose qui n'a pas changée, c'est leur besoin de se retrouver même si les étoiles ne sont plus visibles simplement en levant les yeux vers le ciel dans cette ville polluée qu'est la grande pomme.
Habitation : Un appartement dans South Jamaica
Célébrité : Hande Ercel
DC : //
Crédits : Neverland
Infos diverses : Elle est née au Mexique, elle est la 2eme d'une fratrie de 4 enfants. Ils ont eu une enfance compliquée, très pauvre, vivant dans un bidonville avec un père drogué et une mère qui a simplement abandonné et a fini en hôpital psychiatrique. La fratrie a atterri à New-York, chez une tante, après que leur géniteur ait été arrêté.
Elle a deux tatouages : un papillon en bas de la nuque, représentant son envol, son envie de liberté et une petite étoile sur la main droite, près du poignet, qui représente son frère ainé.
Sa phobie des profondeurs lui vient d'une mauvaise expérience lors d'une sortie scolaire où l'un de ses camarades l'a poussée dans un lac aux eaux sombres alors qu'elle ne savait pas nager.
Elle fait de l'escalade, malheureusement, cela se limite à de la salle, n'ayant jamais eu l'opportunité d'en faire en montagne.
Elle monte régulièrement au Top of the Rock où elle retrouve son frère pour observer les étoiles grâce à l'observatoire. S'il y a une chose qui n'a pas changée, c'est leur besoin de se retrouver même si les étoiles ne sont plus visibles simplement en levant les yeux vers le ciel dans cette ville polluée qu'est la grande pomme.
L'invitation était lancée et même si tu n'aimes pas spécialement ce genre d'endroits, tu t'es dit que refuser une énième fois finirait par être mal perçu. Tu as l'impression d'être une véritable ermite qui ne sort de son trou que pour aller travailler, et les boulots, tu les cumules entre la Bella Muerte, tes services dans l'évènementiel et ton job au Behind The Door. Ce dernier ne devait être que temporaire, et finalement, ça commençait à durer. Combien de temps tiendrais-tu avant de claquer la porte tant ton collègue était insupportable ? Tu l'ignorais et pour l'instant, tu prenais sur toi en essayant de te persuader qu'il n'était pas toujours totalement infecte. Tu avais du mal à t'intégrer et à créer du lien avec les gens, on te disait souvent trop fermée, trop timide et trop sérieuse. Tu n'avais que vingt cinq ans et on aurait dit que tu en avais plus de quarante tant tu t'enfermais dans ta routine. Il était clair que tu faisais l'autruche. Tu te répétais sans cesse que tu faisais ça pour tes frères et soeurs, pour qu'ils aient la chance que tu n'as pas eue, mais la réalité est bien plus complexe que ça. Ce sont tes traumatismes qui te coupent des gens et du monde, au fond, tu le sais bien, mais tu refuses de le voir et il faut te faire violence pour sortir de ta routine, comme ce soir. Tu attends donc à ce bar que tes collègues te rejoignent et quand tu sens quelqu'un s'approcher de toi, prenant la parole, tu crois que c'est l'un d'eux, jusqu'à ce que tu relèves le nez et te rende compte que c'est le type que tu avais croisé dans ce pub près de Central Park. Tu ne peux masquer ton étonnement de le revoir. Tu mets quelques secondes à réaliser qu'il te parle et que la personne qu'il évoque se trouve à quelques mètres de toi.
Heu... Non, c'est la première fois, j'attends des collègues qui ne devraient pas tarder à arriver.
Tu te tournes alors légèrement, adressant un sourire et un léger signe de la main à son coloc qu'il venait de désigner alors qu'il te demande si la brune à tes côtés est une de tes amies. Tu secoues légèrement la tête de façon négative, la jeune femme est très classe et sexy, toi, tu n'avais pas du tout prévu de venir là et même si ça avait été le cas, on voit bien que vous êtes très différentes. Tu ne peux t'imaginer à quel point vous êtes opposées même. Toi, tu t'es presque crue au McDo avec leur fameux slogan "venez comme vous êtes", tu as eu de la chance qu'on te laisse entrer d'ailleurs car ta tenue est vraiment très simple. Tu entends le duo à côté de toi se lancer dans un match de répliques et ça te fait doucement sourire. Toi, tu as du mal à faire ça, ça ne t'arrive que lorsque tu es réellement énervée ou quand tu es déguisée. Là, tu as l'impression d'être une autre et au final, paradoxalement, ça devient beaucoup plus facile d'être toi même.
Je crois que votre ami va avoir du fil à retordre. Sérieusement, ça marche ce genre d'approche ?
J’avais gardé un bon souvenir de Gabriela lors des inscriptions a l’association, aussi, je n’ai pas a me forcer pour lui sourire. Malicieusement, je lui glisse :
« J’espère que vous ne le prendrez pas mal si je vais croiser les doigts pour que vos collègues soient en retard ? »
Voir qu’ils ou elles ne viennent pas du tout. Ca serait pas mal.
« Est-ce indiscret de vous demander dans quoi vous travaillez ? »
Je ne la quitte pas des yeux, même quand mon colloc va s’assoir a coté de l’autre jeune femme dont les vêtements semblent suggérer une plus grande « ouverture pas que d’esprit » que celle a qui se parle. Il faut croire que Carmelo est tombé sur une physiquement intelligente vu qu’elle n’a pas l’air d’avoir percuté son nom a moins que ca ne soit un autre souci. Enfin, ca ne sera surement pas un problème pour lui. Dans tous les cas, je suis confiant pour la suite vu qu’elle a l’air de se marrer.
A sa repartie je sens venir une réplique dans la bouche de celui que je ne connais que trop. D’un regard, je dissuade Carmelo de me mêler a son histoire de pompier, hors de question que finisse par tenir la chandelle a défaut d’autre chose. De la même façon, son élan de générosité alors qu’il a tendance a être assis sur la caisse quand il s’agit de son propre argent me fait craindre le pire. Discrètement, je vérifie mon portefeuille avant de reporter toute mon attention sur la jolie brune a côté de moi quand elle a l’air de s’étonner de cette entrée a la matière digne de Carmelo.
« Moi je pense qu’il a trouvé la personne parfaite pour lui et que ca va bien se passer. Mais pour être honnête, j’ai plus envie de profiter de votre présence que de l’écouter faire le joli cœur. D’ailleurs, profitons de la première tournée, qu’est ce qu’il vous ferait plaisir de boire ? »
Je suis prêt à héler le barman et me prendre une bière par la même occasion. La commande faite, c’est nonchalamment que je me penche vers ma voisine pour lui confier :
« J’ai tendance à ne pas croire au hasard, c’est presque fou de vous recroiser ici. Je ne sais pas pour vous, mais moi, j’ai envie d’un voir un signe. »
C’est sûr que ce n’est pas la même façon de jouer entre Carmelo et moi. Deux salles, deux ambiances. Ce sont toujours mes prunelles plongées dans les siennes, alors que je suis légèrement pencher vers elle et avec le plus charmant de mes sourires que je continue :
« J’ai très envie de mieux connaitre Gabriela. Si je peux vous tenir compagnie le temps que vos collègues arrivent, je crois que vous illumineriez ma soirée. »
L’offre est valable aussi pendant et après, mais je préfère y aller doucement. Tout est moins savoureux quand on va trop vite.
Like fire
ANAPHORE
If it fits, I sits !
Célébrité : Rob Raco
DC : //
Crédits : Babs
Habitation : Un appartement miteux dans Brooklyn officiellement. Offieusement il squatte chez son meilleur ami Roman, chez qui le frigo est plus remplis que le sien...!
Célébrité : Rob Raco
DC : //
Crédits : Babs
Habitation : Un appartement miteux dans Brooklyn officiellement. Offieusement il squatte chez son meilleur ami Roman, chez qui le frigo est plus remplis que le sien...!
Célébrité : Rob Raco
DC : //
Crédits : Babs
Habitation : Un appartement miteux dans Brooklyn officiellement. Offieusement il squatte chez son meilleur ami Roman, chez qui le frigo est plus remplis que le sien...!
Carmelo a le regard qui pétille carrément lorsque Carmen -tant qu'il aura pas son prénom ce sera Carmen oui- répond à sa petite entrée en matière ! En vrai elle était déjà plus intéressante que la plupart des nénettes qui venaient ici pour s'encanailler mais refusaient de l'assumer ! Et tout en faisant de son mieux pour éviter le regard dissuasif de Roman, Carmelo assure :
« Mon pote est pompier. Mais comme tu peux l'entendre, lui il éteint les incendies. Moi ma belle, je les allume... ! »
Il a un petit clin d’œil très amusé, reportant deux secondes son regard sur la demoiselle que Roman avait abordé. Elle était jolie, un charme quasi juvénile. Il la voyait mal mais ça ne l'étonnait pas trop que son meilleur ami cherche à lui faire du gringue. Il pouvait y arriver en plus : Roman était le genre « gendre parfait ». Cette nana devait sentir bon la vanille et les muffins. Carmen, elle, elle sentait la poudre et le piment ! Et faisait déjà BOUM !
En tout cas, Carmen n'a pas capté que Carmelo c'était lui. C'est pas grave. Il hausse les épaules en lui assurant :
« Moi c'est Carmelo mon ange, mais ce soir tu peux crier le nom que tu veux je suis pas jaloux. »
Son regard bifurque sur la robe grenat qu'elle portait et qui moulait... En fait elle avait presque l'air peinte sur elle. Carmelo matte deux secondes la poitrine généreuse compresser dans la partie bustier de la robe, devinant le contour de ses tétons et se passant même déjà un peu la langue sur les lèvres à l'idée de les suçoter ! Quoi ? Elle avait pas l'air du genre de nana à s'effaroucher. Mais plutôt de celles qui montre la carrosserie et cherchent le bon conducteur pour lui mettre quelques bons coups.. De volant bien sûr.
Roman commande pour lui, dans l'attente de ce que sa camarade de jeu prendra. Carmelo va sur un très traditionnel whisky-coca... Et à l'intention de Carmen :
« Tu reprends la même chose ? »
Son index s'égare sur le dessus d'une cuisse, sur la robe écarlate... Descend jusqu'à retrouver l'épiderme doux et bouillant jusqu'à son genoux et il fait mine de le retirer très vite, secouant la main avant de venir sucer son doigt, taquinant :
« Brûlante... ! »
Il rigole alors que celles qu'ils avaient pris pour une amie de Carmen ne lui donne aucune chance. Roman lui en redonne un peu lui au moins ! Mais clairement, s'ils avaient échangé les filles, Carmelo aurait dû être « un poil moins généreux » dans ses compliments.
« Alors dit moi. Être un volcan ça paie pas les factures je suppose. Du coup tu fais quoi dans la vie ? »
Carmelo n'irait pas prétendre que c'était super important. Mais il aimait la conversation, le contact des gens (pas forcément charnel même si bon là...), les soirées... Puis il avait envie de garder une oreille sur la conversation entre les deux autres, faisant remarquer à sa propre camarade de jeu :
« Je me sens un peu comme un chaperon, ça te fait pas ça ? »
New-Yorkais
Célébrité : Eliza Dushku
DC : Je vous laisse deviner...
Infos diverses : Elle a un tatouage avec une trentaine d'oiseaux noirs en pleine envolée qui lui traversent le haut du dos, ils représentent le nombre d'hommes qu'elle a abattus.
Tous ses employeurs croient qu'elle est un homme du fait de son prénom, et de toutes façons, comment une femme pourrait-elle être capable de remplir ces contrats correctement ?...
Son père a des origines italiennes et sa mère est américaine avec des origines albanaises.
Son père était lui aussi un mercenaire. Il l'a formée dès son plus jeune age, à vrai dire, il ne savait rien faire d'autre. Il a cependant été un bon père, palliant au manque du mieux qu'il le pouvait quand sa mère est décédée.
Son père a été tué par Lorenzo Forzalli et la brune s'est mis en tête de le venger. Il lui a fallu du temps pour savoir qui était le commanditaire, et lorsqu'elle l'a su, elle a appris qu'il s'était fait tuer. S'attaquer directement à une telle famille sur l'instant aurait été suicidaire, elle a pris le parti de prendre son temps, d'apprendre, de s'entrainer...Après tout, la vengeance est un plat qui se mange froid, non ?
Elle a été formée aux armes à feu mais également au combat rapproché. Si elle a tenté de nombreux types d'arts martiaux, elle a une nette préférence pour le kick-boxing. Côté armes, elle a récupéré le DAN.338 de son père, un fusil de haute précision qu'elle utilise lorsque la cible est difficilement atteignable. En temps normal, elle se balade toujours avec son Glock19 et un poignard de combat Savage BlackField dissimulé dans sa botte droite.
Le coffre de sa voiture, une Impala 67, dispose d'un double fond rempli d'armes diverses.
Elle a été élevée par son père qui l'a éduquée comme un garçon manqué. Son prénom même en est la preuve. Il espérait avoir un fils et, à sa naissance, qu'importait que son appareil génital ne corresponde pas à ses attentes, il l'a formée comme si elle était un gars. Il n'y a jamais eu la moindre remarque machiste ou misogyne de sa part. Elle était une fille ? Et alors ? Elle serait capable de faire aussi bien et même mieux qu'un homme. Il l'a poussée à se surpasser, l'envoyant dans des missions dangereuses qui lui ont valu pas mal de coups et de cicatrices. Elle a d'ailleurs une faiblesse dans la jambe gauche suite à un coup de couteau qui a endommagé un nerf.
Elle a horreur des hôpitaux et des médicaments, elle tâche de se soigner par elle même autant que ce soit possible.
Habitation : Elle n'a pas d'endroit fixe ou vivre. Elle passe sa vie sur les routes et dort dans des motels, dans sa voiture, ou squatte là où elle trouve
Célébrité : Eliza Dushku
DC : Je vous laisse deviner...
Infos diverses : Elle a un tatouage avec une trentaine d'oiseaux noirs en pleine envolée qui lui traversent le haut du dos, ils représentent le nombre d'hommes qu'elle a abattus.
Tous ses employeurs croient qu'elle est un homme du fait de son prénom, et de toutes façons, comment une femme pourrait-elle être capable de remplir ces contrats correctement ?...
Son père a des origines italiennes et sa mère est américaine avec des origines albanaises.
Son père était lui aussi un mercenaire. Il l'a formée dès son plus jeune age, à vrai dire, il ne savait rien faire d'autre. Il a cependant été un bon père, palliant au manque du mieux qu'il le pouvait quand sa mère est décédée.
Son père a été tué par Lorenzo Forzalli et la brune s'est mis en tête de le venger. Il lui a fallu du temps pour savoir qui était le commanditaire, et lorsqu'elle l'a su, elle a appris qu'il s'était fait tuer. S'attaquer directement à une telle famille sur l'instant aurait été suicidaire, elle a pris le parti de prendre son temps, d'apprendre, de s'entrainer...Après tout, la vengeance est un plat qui se mange froid, non ?
Elle a été formée aux armes à feu mais également au combat rapproché. Si elle a tenté de nombreux types d'arts martiaux, elle a une nette préférence pour le kick-boxing. Côté armes, elle a récupéré le DAN.338 de son père, un fusil de haute précision qu'elle utilise lorsque la cible est difficilement atteignable. En temps normal, elle se balade toujours avec son Glock19 et un poignard de combat Savage BlackField dissimulé dans sa botte droite.
Le coffre de sa voiture, une Impala 67, dispose d'un double fond rempli d'armes diverses.
Elle a été élevée par son père qui l'a éduquée comme un garçon manqué. Son prénom même en est la preuve. Il espérait avoir un fils et, à sa naissance, qu'importait que son appareil génital ne corresponde pas à ses attentes, il l'a formée comme si elle était un gars. Il n'y a jamais eu la moindre remarque machiste ou misogyne de sa part. Elle était une fille ? Et alors ? Elle serait capable de faire aussi bien et même mieux qu'un homme. Il l'a poussée à se surpasser, l'envoyant dans des missions dangereuses qui lui ont valu pas mal de coups et de cicatrices. Elle a d'ailleurs une faiblesse dans la jambe gauche suite à un coup de couteau qui a endommagé un nerf.
Elle a horreur des hôpitaux et des médicaments, elle tâche de se soigner par elle même autant que ce soit possible.
Habitation : Elle n'a pas d'endroit fixe ou vivre. Elle passe sa vie sur les routes et dort dans des motels, dans sa voiture, ou squatte là où elle trouve
Célébrité : Eliza Dushku
DC : Je vous laisse deviner...
Infos diverses : Elle a un tatouage avec une trentaine d'oiseaux noirs en pleine envolée qui lui traversent le haut du dos, ils représentent le nombre d'hommes qu'elle a abattus.
Tous ses employeurs croient qu'elle est un homme du fait de son prénom, et de toutes façons, comment une femme pourrait-elle être capable de remplir ces contrats correctement ?...
Son père a des origines italiennes et sa mère est américaine avec des origines albanaises.
Son père était lui aussi un mercenaire. Il l'a formée dès son plus jeune age, à vrai dire, il ne savait rien faire d'autre. Il a cependant été un bon père, palliant au manque du mieux qu'il le pouvait quand sa mère est décédée.
Son père a été tué par Lorenzo Forzalli et la brune s'est mis en tête de le venger. Il lui a fallu du temps pour savoir qui était le commanditaire, et lorsqu'elle l'a su, elle a appris qu'il s'était fait tuer. S'attaquer directement à une telle famille sur l'instant aurait été suicidaire, elle a pris le parti de prendre son temps, d'apprendre, de s'entrainer...Après tout, la vengeance est un plat qui se mange froid, non ?
Elle a été formée aux armes à feu mais également au combat rapproché. Si elle a tenté de nombreux types d'arts martiaux, elle a une nette préférence pour le kick-boxing. Côté armes, elle a récupéré le DAN.338 de son père, un fusil de haute précision qu'elle utilise lorsque la cible est difficilement atteignable. En temps normal, elle se balade toujours avec son Glock19 et un poignard de combat Savage BlackField dissimulé dans sa botte droite.
Le coffre de sa voiture, une Impala 67, dispose d'un double fond rempli d'armes diverses.
Elle a été élevée par son père qui l'a éduquée comme un garçon manqué. Son prénom même en est la preuve. Il espérait avoir un fils et, à sa naissance, qu'importait que son appareil génital ne corresponde pas à ses attentes, il l'a formée comme si elle était un gars. Il n'y a jamais eu la moindre remarque machiste ou misogyne de sa part. Elle était une fille ? Et alors ? Elle serait capable de faire aussi bien et même mieux qu'un homme. Il l'a poussée à se surpasser, l'envoyant dans des missions dangereuses qui lui ont valu pas mal de coups et de cicatrices. Elle a d'ailleurs une faiblesse dans la jambe gauche suite à un coup de couteau qui a endommagé un nerf.
Elle a horreur des hôpitaux et des médicaments, elle tâche de se soigner par elle même autant que ce soit possible.
Habitation : Elle n'a pas d'endroit fixe ou vivre. Elle passe sa vie sur les routes et dort dans des motels, dans sa voiture, ou squatte là où elle trouve
Rafaele, elle a le contact facile, et elle rit aisément, même si parfois, son rire se veut un tantinet moqueur, comme en cet instant. Quand il lui balance que, contrairement à son pote, il allume les feux, elle ne peut s'empêcher de sourire. Elle a rencontré un pompier quelques temps plus tôt qui lui avait fait tous les sous-entendus possibles et imaginable sur le sujet, et sur sa fameuse lance à incendie, donc, elle était rodée ! Elle ne savait pas ce qui la faisait le plus tiquer, entre l'appellation "mon ange" ou le fait qu'il lui dise de le nommer comme elle le souhaitait.
Ca commence avec un prénom et tu finis dans une situation que tu ne maitrises plus, je ne suis pas sûre que tu sois prêt pour ça.
Rafaele serait-elle un tantinet dominatrice ? Clairement. Et elle venait de le sous-entendre, mais le jeune homme ne semblait pas troublé outre mesure puisqu'il se rapprocha, s'osant à glisser ses doigts sur sa peau, faisant mine de s'y brûler. Elle releva un sourcil, un léger sourire venant ourler le coin de ses lèvres, le pire c'est que son sketch l'amusait, ce n'était absolument pas subtil, mais c'était distrayant, ça changeait de ces conneries de voleurs d'étoiles qui devaient davantage être l'apanage de son pote. Non, pas la même chose, je vais tester ce cocktail bleu que j'ai vu passer. Je suis du genre à aimer essayer toute une multitude de choses au risque de très vite me lasser.
Il essayait vraiment de lui faire la conversation et de savoir ce qu'elle faisait dans sa vie ? Rafaele eut un petit sourire, d'autant que des factures, en étant sans cesse sur la route, elle n'en payait pas beaucoup. Elle avait une petite maison perdue au fin fond du Colorado que ses parents avaient achetée à l'époque où ils étaient une "famille normale", mais Rafaele ne s'en occupait pas beaucoup et n'y allait même pas une fois par an. Alors les factures, en dehors de son carburant et l'entretien de son Impala, il n'y en avait pas tant que ça.
Mon job ? Je vends mes services au plus offrant. Mais en général, les types sont plus refroidis par ma présence que l'inverse.
Double sens et jeux de mots, comment pourrait-il comprendre ce qu'elle essayait de dire ? Au mieux, il pourrait la prendre pour une prostituée. Et franchement, ça ne l'offusquerait pas du tout. Ces nanas faisaient ce qu'elles avaient à faire pour survivre. Dans le pire des cas, il n'arriverait pas à voir ce que ça voudrait dire et penserait qu'elle se la joue mystérieuse peut-être, en tous cas, elle n'avait pas menti !
Il a plus l'air de faire dans l'eau de rose qu'autre chose, je pense que la vertu de la demoiselle ne risque rien et qu'une surveillance n'est pas nécessaire.
Dancin' in the dark, in the pale moonlight I'm feelin' electric tonight
Summertime sadness
New-Yorkais
Célébrité : Hande Ercel
DC : //
Crédits : Neverland
Infos diverses : Elle est née au Mexique, elle est la 2eme d'une fratrie de 4 enfants. Ils ont eu une enfance compliquée, très pauvre, vivant dans un bidonville avec un père drogué et une mère qui a simplement abandonné et a fini en hôpital psychiatrique. La fratrie a atterri à New-York, chez une tante, après que leur géniteur ait été arrêté.
Elle a deux tatouages : un papillon en bas de la nuque, représentant son envol, son envie de liberté et une petite étoile sur la main droite, près du poignet, qui représente son frère ainé.
Sa phobie des profondeurs lui vient d'une mauvaise expérience lors d'une sortie scolaire où l'un de ses camarades l'a poussée dans un lac aux eaux sombres alors qu'elle ne savait pas nager.
Elle fait de l'escalade, malheureusement, cela se limite à de la salle, n'ayant jamais eu l'opportunité d'en faire en montagne.
Elle monte régulièrement au Top of the Rock où elle retrouve son frère pour observer les étoiles grâce à l'observatoire. S'il y a une chose qui n'a pas changée, c'est leur besoin de se retrouver même si les étoiles ne sont plus visibles simplement en levant les yeux vers le ciel dans cette ville polluée qu'est la grande pomme.
Habitation : Un appartement dans South Jamaica
Célébrité : Hande Ercel
DC : //
Crédits : Neverland
Infos diverses : Elle est née au Mexique, elle est la 2eme d'une fratrie de 4 enfants. Ils ont eu une enfance compliquée, très pauvre, vivant dans un bidonville avec un père drogué et une mère qui a simplement abandonné et a fini en hôpital psychiatrique. La fratrie a atterri à New-York, chez une tante, après que leur géniteur ait été arrêté.
Elle a deux tatouages : un papillon en bas de la nuque, représentant son envol, son envie de liberté et une petite étoile sur la main droite, près du poignet, qui représente son frère ainé.
Sa phobie des profondeurs lui vient d'une mauvaise expérience lors d'une sortie scolaire où l'un de ses camarades l'a poussée dans un lac aux eaux sombres alors qu'elle ne savait pas nager.
Elle fait de l'escalade, malheureusement, cela se limite à de la salle, n'ayant jamais eu l'opportunité d'en faire en montagne.
Elle monte régulièrement au Top of the Rock où elle retrouve son frère pour observer les étoiles grâce à l'observatoire. S'il y a une chose qui n'a pas changée, c'est leur besoin de se retrouver même si les étoiles ne sont plus visibles simplement en levant les yeux vers le ciel dans cette ville polluée qu'est la grande pomme.
Habitation : Un appartement dans South Jamaica
Célébrité : Hande Ercel
DC : //
Crédits : Neverland
Infos diverses : Elle est née au Mexique, elle est la 2eme d'une fratrie de 4 enfants. Ils ont eu une enfance compliquée, très pauvre, vivant dans un bidonville avec un père drogué et une mère qui a simplement abandonné et a fini en hôpital psychiatrique. La fratrie a atterri à New-York, chez une tante, après que leur géniteur ait été arrêté.
Elle a deux tatouages : un papillon en bas de la nuque, représentant son envol, son envie de liberté et une petite étoile sur la main droite, près du poignet, qui représente son frère ainé.
Sa phobie des profondeurs lui vient d'une mauvaise expérience lors d'une sortie scolaire où l'un de ses camarades l'a poussée dans un lac aux eaux sombres alors qu'elle ne savait pas nager.
Elle fait de l'escalade, malheureusement, cela se limite à de la salle, n'ayant jamais eu l'opportunité d'en faire en montagne.
Elle monte régulièrement au Top of the Rock où elle retrouve son frère pour observer les étoiles grâce à l'observatoire. S'il y a une chose qui n'a pas changée, c'est leur besoin de se retrouver même si les étoiles ne sont plus visibles simplement en levant les yeux vers le ciel dans cette ville polluée qu'est la grande pomme.
Tu avais bien remarqué, lors de votre première rencontre, que Roman était un charmeur. Jusqu'à quel point ? Aucune idée. Est-ce qu'il sortait ce genre de baratin à toutes les femmes qu'il croisait ? Impossible à dire, et toi tu étais peu expérimentée en la matière. En général, les hommes qui te plaisaient ne te voyaient pas, quant aux autres...Ils ressemblaient plus à son ami Carmelo, à te sortir des phrases qui soit te faisaient rire et tu t'amusais de leur tentative, soit te mettaient véritablement mal à l'aise et tu fuyais à toute vitesse. Pour une fois, c'était un peu différent, plus subtil, et c'était bien plus dangereux. Tu n'étais pas naïve au point de croire qu'il ne réservait ce genre de discours que pour toi, mais sa façon de te regarder te troublait. Généralement, les dragueurs invétérés étaient déjà en train de targetter une autre cible alors même qu'ils te parlaient, ce qui ne semblait pas être le cas cette fois. Tu ne peux t'empêcher de sourire lorsqu'il te dit espérer que tes collègues ne soient en retard, et sa façon de t'aborder est si différente de la conversation que tu entends à tes côtés que s'en est d'autant plus perturbant.
Je suis serveuse, dans l'évènementiel. Ca m'amène un peu partout dans New-York mais principalement Manhattan et Brooklyn, entre les galas de charité, les expositions, ou même des soirées un peu plus professionnelles parfois. Ca n'a rien de très palpitant contrairement au votre, qui a une véritable utilité.
Tes oreilles avaient trainé suffisamment pour entendre son ami dire qu'il était pompier, à moins que ce ne soit juste pour sa répartie qu'il ait dit ça. Parler de travail, c'est facile, tu n'es jamais réticente à la conversation, mais il est vrai que lorsqu'on te porte de l'intérêt, tu es assez vite gênée. Cela est sans doute dû à ton passé et le fait que tu aies un grand manque de confiance en toi. Aussi, quand il te dit qu'il préfère profiter de ta présence, ton regard dévie un instant. Du peu que tu entends à tes côtés, tu aimerais être aussi sûre de toi que l'est ta voisine, avoir un minimum cette répartie et un certain "je m'en foutisme", mais tu es toi, et les relations humaines sont compliquées, encore plus avec les hommes.
Je me laisserais bien tenter par un Haiti, merci.
Un mocktail, parce que l'alcool et toi, ça fait deux. Tu n'as jamais vraiment aimé ça et tu préfères rester éloignée de tout ce qui peut être addictif ou te faire perdre tes moyens, tu as trop vu les dégâts que ça pouvait générer. Ce Roman n'a sans doute aucune idée de ce dans quoi il met les pieds, il espère probablement te ramener chez lui après quelques verres et une danse mais ça, il y a une chance sur un million pour que ça arrive. Tu es trop sur la défensive, encore plus avec ce qui t'es arrivé ces derniers mois, ton optimisme naturel semble s'être fait la malle après ton agression et même si son attitude te laisse à penser qu'il n'outrepassera pas les limites, tu gardes une certaine réserve. Il est vrai que la coincidence est surprenante...Vous ne seriez pas un dangereux psychopathe qui me suit partout j'espère !
Tu dis ça sur le ton de l'humour mais il s'avère que tu as déjà un malade qui te poursuit, au point que tu as fini par en parler à un inspecteur de police, celui-là même sur lequel tu étais tombée lors de cette fameuse tombola. Tu reprends rapidement, t'interrogeant sur la raison réelle qui a peu de chances d'être celle que tu viens d'évoquer ! Vous habitez dans le quartier peut-être ?
Si ça se trouve, il va croire que tu lui poses la question parce que tu penses à aller faire une petite visite de son appartement ! Rien que cette furtive pensée te fait rougir un peu plus et tu tentes de la chasser rapidement de ton esprit mais il ne te facilite pas la tâche alors qu'il se penche un peu plus vers toi, glissant quelques mots sur son envie de te connaitre. Tes démons sont toujours près de toi et tu ne peux t'empêcher de penser qu'il va vite s'ennuyer car ce qui jalonne ta vie n'a pas grand intérêt, quant au reste... Tu le gardes secret. En tous cas, ils sont déjà en retard. La vie d'une serveuse n'a rien de bien palpitant, parlez-moi plutôt de vous, Roman.
Tu lui renvoies la balle, c'est plus facile. Tu n'aimes pas mentir et ta vie en est emplie. Tu ne te vois pas lui dire que tu fais des extras pour un gang dans l'espoir de gagner assez d'argent pour que ta cadette réalise son rêve de devenir écrivain, entre autres choses !
Je reste mes yeux plongés dans les siens, alors que je vois l’esquisse d’un sourire se dessiner sur son joli visage. Ca compte plus que les rire gras a coté de nous. Je me concentre sur ce qu’elle m’explique de son métier, en essayant de ne pas écouter les envolés lyrique de Carmelo qui a trouvé une personne un peu trop réceptive a ses prestations. Au moins, il a le bon gout de ne pas me mêler a ca et je suis presque étonné qu’il ne nous ait pas déjà proposer de se joindre a eu, histoire de faire s’envoler l’ange devant moi.
« Je suis sûr que vous devez pourtant en avoir des anecdotes, autant de bonne de que sacrés moments de solitude quand on connait un peu les gens de New York. »
Quand on est pompier, malheureusement, on est souvent appelé pour les pires moments de vie des personnes. Malgré toutes ses années, j’ai encore des grands « mais pourquoi ? » quand je vois des personnes faires des choses incroyablement stupides et dangereuses juste pour « leur followers ». ou « pour le fun » Pour certains, je pense que ce n’est pas la peine de creuser jusqu’en Chine pour tenter de deviner ce qui leur ai passé par la tête. Quand on pense que se mettre la tête dans un micro-onde plein de ciment va faire le buzz sans même prévoir un plan de sortie…
« Effectivement, c’est le coté utile de ce métier qui m’a fait arrêter mes études d’avocat. Je voulais sauver des vies, empêcher des catastrophes… mais dans les faits, les journées sont loin de ressembler aux séries. »
Sauver des gens d’eux même, inlassablement, sans essayer de comprendre ou juger. C’est faux, impossible de ne pas juger certains accidents. Vu les stats des interventions, on devrait faire des messages de prévention style « attention, quand vous êtes nus a ou vous vous asseyez » . Comment garder son sérieux quand il type qu’on emmène aux urgences pour « accident de jardinage » tente de nous faire croire qu’il fait pousser des concombres en plein hiver et qu’il n’a pas fait attention en s’essayant dessus. Une histoire d’autant plus folle qu’il faudrait admettre que les concombres de son jardin poussent épluchés. Au moins, ca nous fait des sujets de conversation en salle de pause.
« Je serais bien curieux de savoir pourquoi vous pensez que votre métier n’a pas de véritable utilité ? D’ailleurs, si un jour vous avez besoin, pour veillez a la sécurité d’un de vos évènement, d’un pompier sympathique, amusant, plutôt beau garçon a ce qui se dit et pas mal désireux de passer plus de temps avec vous, je peux vous laissez mon numéro.»
Je lui fais un léger clin d’œil a cette pointe d’humour pour essayer de me vendre. Qui sait, sur un malentendu.
« Et en plus, je porte très bien le costume »
Rire de mes bêtises m’évite de lever les yeux au ciel en écoutant les surenchères entre Carmelo et sa nouvelle femme de sa vie. Je commande la boisson de Gabriella, sans tiquer sur le fait qu’elle préfère un cocktail. D’instinct je la sui et prend une bière sans alcool, me doutant bien que c’est encore moi qui vais faire celui qui conduit après que Carm aura eu ses trois minutes de romance je ne veux pas savoir ou dans ce pub. Je tente de garder un brin de sérieux a la remarque de Gabriela :
« Comment vous avez devinez ? C’est le 100 bars que je fais pour vous trouver. »
Oui, l’idée qu’on puisse me prendre pour un psychopathe me semble tellement absurde que je ne tente même pas de m’en défendre. On nous sert nos verres et je trinque avec elle, arquant un sourcil a sa question avant de lui demander, nous sans me retenir de rire :
« Est-ce une façon de me demander a venir prendre un café chez moi une prochaine fois ? Je ne suis pas un homme facile vous savez, jamais avant le 3e rencard, reste a savoir si celui-ci compte comme le 1er ou pas ? »
Je lance un regard a Carmelo en entendant la réponse de sa « sirène » et je le pense assez proche de moi pour lire ce qui est écrit dans mes prunelles : « c’est une escorte, tu vas te faire plumer et elle va te faire débourser pas comme tu le crois » . Je me disais bien qu’elle était un peu trop réceptive et en mode chaudière. Je bois une gorgée de ma bière tout en me replongeant dans la contemplation de ma voisine de tabouret.
« Je crois que j’adore déjà vos collègues pour le coup ! Il n’y a pas grand-chose a dire sur moi. Si on oublie qu’être pompier rempli pas mal ma vie, quand je ne suis pas en train de m’occupé de l’ado paumé qui me sert de colloc ou de junior, notre chien, je me partage entre le surf et la moto. Et vous, vous avez des passions en dehors de votre métier ? »
Like fire
ANAPHORE
If it fits, I sits !
Célébrité : Rob Raco
DC : //
Crédits : Babs
Habitation : Un appartement miteux dans Brooklyn officiellement. Offieusement il squatte chez son meilleur ami Roman, chez qui le frigo est plus remplis que le sien...!
Célébrité : Rob Raco
DC : //
Crédits : Babs
Habitation : Un appartement miteux dans Brooklyn officiellement. Offieusement il squatte chez son meilleur ami Roman, chez qui le frigo est plus remplis que le sien...!
Célébrité : Rob Raco
DC : //
Crédits : Babs
Habitation : Un appartement miteux dans Brooklyn officiellement. Offieusement il squatte chez son meilleur ami Roman, chez qui le frigo est plus remplis que le sien...!
« Ne me met pas au défi ma belle… T’as aucune idée de l’énergie que je peux dépenser quand j’ai envie de quelque chose… ! »
Carmelo n’avait pas de TDAH ni rien de ce style… Mais clairement il avait le genre de personnalité dont on pense qu’ils mettent les doigts dans la prise le matin avant de partir de chez eux. Quant au cocktail il s’assure que le barman ait compris et tout en revenant à elle :
« Moi je testerais bien ce cocktail à même ton nombril. »
Et pas que. Il lui semblait que le vallon de ses deux seins créait une zone propice pour boire un joli cocktail bleu. Ou rouge. Ou vert, jaune, qu’importe ! Même de l’eau aurait eu l’air épicée ou sucrée sur son corps non ?
Et lorsqu’elle lui parle de son job, il s’allume un petit truc dans le regard de Carmelo ! Sans déconner ? Une escorte ? Elle en avait l’allure, l’assurance, le sex appeal. Par contre ça lui tord un peu le cerveau qu’elle lui laisse entendre… Quoi ? Elle était un mauvais coup ? Ou alors :
« Tu les escroques ? »
Carmelo sort son sourire satisfait de lui-même alors qu’il assure :
« Je suis pas mauvais dans mon genre à ce petit jeu là… ! »
Et il avait pas une tune qu’elle pourrait lui piquer. Même sa montre était une contrefaçon tombée du camion. Par contre elle n’a sans doute pas tort à propos de Roman et de sa dulcinée. Ça lui semble même incroyablement lent pour Roman !
« Excuse-moi un instant Perséphone tu veux ? »
La mythologie lui allait bien aussi ! Peut-être même mieux que Carmen ! En tout cas Carmelo contourne la belle en robe rouge pour venir poser un bras en travers des épaules de Roman, observant Gabriela avec un petit sourire gouailleur. Puis de son autre main il pointe son meilleur ami, racontant :
« Il est trop modeste pour te le dire alors je vais le faire mais l’année dernière il a reçu une distinction pour acte de bravoure en sortant deux gamins d’un immeuble en flamme. »
Même pas besoin de mentir ! Roman était un vrai type bien. Mieux que simple « chic type ». Il était son bon karma, le truc fois mille même. Sortant son cellulaire, Carmelo l’ouvre sur une vidéo de Roman tentant de reprendre sa chaussette à Roman Jr.
« Et y a une dizaine de jour on a adopté un chien avec un seul œil et à qui il manque une patte parce que personne n’en voulait, qu’il risquait de se faire euthanasier et que Roman ne voulait pas laisser faire ça ! »
Voyez ? Un type méga bien.
« Ce soir ma belle c’est TOI qui as décroché le vrai gros lot. »
Mais sans offense, au jeu de la femme fatale c'était lui qui touchait le gros lot de son point de vue ! Par contre, profitant de son absence un crétin vient se poser à sa place à côté de Perséphone… Du coup :
« Désolé je dois y aller. Y a quelqu’un qui vient minauder auprès de ma petite fleur carnivore ! »
Il laisse donc les deux tourtereaux pour s’interposer entre la reine des enfers et son nouveau soupirant.
« Désolé mec. T’as pas assez de larmes pour éteindre l’incendie qu’elle te mettrait en un seul vrai regard. Tu risques la combustion spontanée là. »
C’est autours de ses épaules à elle qui vient alors passer son bras, remontant l’index de son autre main le long d’une courbe délicieuse de son bassin. Il déposer aussi un petit baiser au niveau d’une épaule, quelques centimètres au-dessus d’un vol d’oiseaux noirs.
« Enfin c’est toi qui décides ma chérie. Tu préfères l’exotisme méditerranéen ou… »
Accueil 
Calendrier 
Dernières images 
FAQ 
Rechercher 
Membres 
Groupes 
S'enregistrer 
Connexion 
