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Un moment de tranquillité - Ft Alexis McKinney

Enzo Forzalli
Le geek
Célébrité : Francisco Lachowski
DC : Matt Roja - Billie Davis - Elena Flores - Diego Arriaga - Jackson Blake
Crédits : Avatars : @lionheart-ress
Infos diverses : - Second héritier de la mafia italienne de la ville, Enzo aurait trahi les siens, mais qui a lancé les hostilités en premier ?

- Il a peu d'amis mais il donnerait sa vie pour eux. C'est un solitaire qui apprécie plus la compagnie d'un bon bouquin, d'un ordinateur ou d'un damier pour pions d'échecs que celle de personnes déblatératants sur des sujets inintéressants.

- Sa vie, il l'a en horreur. Enzo aurait voulu naitre dans une autre famille, avoir un avenir différent et vivre une existence normale, mais il a cessé de penser à cela en grandissant, étant trop terre à terre pour se laisser piéger par des rêveries inutiles.

- Les surprises, ce n'est pas pour lui ! Son amour pour les choses prévues et organisées fait que l'inattendu le rend mal à l'aise.

- Il ne dort que trois à cinq heures par nuit, son repos étant agité par des cauchemars. Pour pallier à ça, il a sa drogue : le café, noir et aussi serré que possible, sans sucre évidemment ! Le jeune abuse également de cigarettes.

- Il adore les lieux bruyants, le calme l'empêchant de se concentrer.

- Bien que vous ne le verrez que très rarement sur une piste, c'est un très bon danseur.

- Polyglotte, Enzo maitrise un bon nombre de langues dont les suivantes : l'anglais, l'italien, l'espagnol et le français. Il a certaines lacunes en mandarin, en allemand et en russe mais pourra tout de même tenir une conversation, il lui faudra néanmoins se concentrer et chercher quelques mots de vocabulaire. Le grec fait partie, depuis peu, de sa liste d’apprentissage.

- En dehors de son intelligence au-dessus de la moyenne, Enzo possède également une mémoire impressionnante. Il n'oublie jamais rien, ni un visage, ni un nom, et sûrement pas les coups foireux qu'on a pu lui faire. Il ne met pas de côté non plus les aides qu'il a reçus et sans doute que cette incapacité qui est la sienne à oublier quoi que ce soit explique en grande partie la fidélité dont il est capable tout comme l'esprit revanchard qui est le sien.


Un moment de tranquillité - Ft Alexis McKinney - Page 2 Qxc7
Un moment de tranquillité - Ft Alexis McKinney - Page 2 C7uh

Habitation : Appartement en roof top avec vue sur le Brooklyn Bridge
Célébrité : Francisco Lachowski
DC : Matt Roja - Billie Davis - Elena Flores - Diego Arriaga - Jackson Blake
Crédits : Avatars : @lionheart-ress
Infos diverses : - Second héritier de la mafia italienne de la ville, Enzo aurait trahi les siens, mais qui a lancé les hostilités en premier ?

- Il a peu d'amis mais il donnerait sa vie pour eux. C'est un solitaire qui apprécie plus la compagnie d'un bon bouquin, d'un ordinateur ou d'un damier pour pions d'échecs que celle de personnes déblatératants sur des sujets inintéressants.

- Sa vie, il l'a en horreur. Enzo aurait voulu naitre dans une autre famille, avoir un avenir différent et vivre une existence normale, mais il a cessé de penser à cela en grandissant, étant trop terre à terre pour se laisser piéger par des rêveries inutiles.

- Les surprises, ce n'est pas pour lui ! Son amour pour les choses prévues et organisées fait que l'inattendu le rend mal à l'aise.

- Il ne dort que trois à cinq heures par nuit, son repos étant agité par des cauchemars. Pour pallier à ça, il a sa drogue : le café, noir et aussi serré que possible, sans sucre évidemment ! Le jeune abuse également de cigarettes.

- Il adore les lieux bruyants, le calme l'empêchant de se concentrer.

- Bien que vous ne le verrez que très rarement sur une piste, c'est un très bon danseur.

- Polyglotte, Enzo maitrise un bon nombre de langues dont les suivantes : l'anglais, l'italien, l'espagnol et le français. Il a certaines lacunes en mandarin, en allemand et en russe mais pourra tout de même tenir une conversation, il lui faudra néanmoins se concentrer et chercher quelques mots de vocabulaire. Le grec fait partie, depuis peu, de sa liste d’apprentissage.

- En dehors de son intelligence au-dessus de la moyenne, Enzo possède également une mémoire impressionnante. Il n'oublie jamais rien, ni un visage, ni un nom, et sûrement pas les coups foireux qu'on a pu lui faire. Il ne met pas de côté non plus les aides qu'il a reçus et sans doute que cette incapacité qui est la sienne à oublier quoi que ce soit explique en grande partie la fidélité dont il est capable tout comme l'esprit revanchard qui est le sien.


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Célébrité : Francisco Lachowski
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Infos diverses : - Second héritier de la mafia italienne de la ville, Enzo aurait trahi les siens, mais qui a lancé les hostilités en premier ?

- Il a peu d'amis mais il donnerait sa vie pour eux. C'est un solitaire qui apprécie plus la compagnie d'un bon bouquin, d'un ordinateur ou d'un damier pour pions d'échecs que celle de personnes déblatératants sur des sujets inintéressants.

- Sa vie, il l'a en horreur. Enzo aurait voulu naitre dans une autre famille, avoir un avenir différent et vivre une existence normale, mais il a cessé de penser à cela en grandissant, étant trop terre à terre pour se laisser piéger par des rêveries inutiles.

- Les surprises, ce n'est pas pour lui ! Son amour pour les choses prévues et organisées fait que l'inattendu le rend mal à l'aise.

- Il ne dort que trois à cinq heures par nuit, son repos étant agité par des cauchemars. Pour pallier à ça, il a sa drogue : le café, noir et aussi serré que possible, sans sucre évidemment ! Le jeune abuse également de cigarettes.

- Il adore les lieux bruyants, le calme l'empêchant de se concentrer.

- Bien que vous ne le verrez que très rarement sur une piste, c'est un très bon danseur.

- Polyglotte, Enzo maitrise un bon nombre de langues dont les suivantes : l'anglais, l'italien, l'espagnol et le français. Il a certaines lacunes en mandarin, en allemand et en russe mais pourra tout de même tenir une conversation, il lui faudra néanmoins se concentrer et chercher quelques mots de vocabulaire. Le grec fait partie, depuis peu, de sa liste d’apprentissage.

- En dehors de son intelligence au-dessus de la moyenne, Enzo possède également une mémoire impressionnante. Il n'oublie jamais rien, ni un visage, ni un nom, et sûrement pas les coups foireux qu'on a pu lui faire. Il ne met pas de côté non plus les aides qu'il a reçus et sans doute que cette incapacité qui est la sienne à oublier quoi que ce soit explique en grande partie la fidélité dont il est capable tout comme l'esprit revanchard qui est le sien.


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# Ven 26 Avr 2024 - 21:07 • •
>> Enzo Forzalli

Un moment de tranquillité
Alexis McKinney & Enzo Forzalli


Te laisser guider par quelqu’un d’autre, ce n’est clairement pas dans tes habitudes. En temps normal, on te demande constamment de prévoir, de programmer, de préparer, d’anticiper le moindre aléa. Et dans ta vie privée, tu as tendance à te comporter exactement de la même façon que dans la professionnelle. Tout à toujours tendance à être millimétré. Tu fais en sorte d’échapper à l’imprévu en organisant tes journées, en pesant chacun de tes mots ou encore en analysant la portée de tes actions avant que ces dernières ne prennent vie. Il t’arrive de trouver tous ces plans éreintant, pourtant, tu ne peux t’empêcher d’agir ainsi. Tu as été élevé avec l’idée que les dérapages peuvent être mortels. Pour toi, les erreurs ont toujours été synonymes d’échec, de punitions, de représailles ou autres joyeusetés de ce style. Tu as compris gamin que le hasard n’aurait pas sa place dans ta vie et que tu ne pouvais pas te permettre de ne pas respecter les règles, de ne pas suivre la logique et de simplement te laisser vivre. La moindre petite glissade est terrible dans ton univers. Tu as vu de tes propres yeux d’enfants qu’un mauvais choix peut tuer, que la mauvaise association peut envoyer une horde de gros bras à tes trousses et que personne n’est à l’abri.

Pourtant, malgré toutes tes certitudes, tes blocages, tes doutes, tes horreurs et tes difficultés, tu es là. Au Salvador. Dans cette maison achetée il y a des années. Au sein même de ce havre de paix pour qui tu n’as jamais ouvert les portes pour personne. Personne sauf elle. Parce que c’est nécessaire. Parce que ça t’est indispensable de lui offrir cette parenthèse après l’épreuve traversée à New York. Parce que tu adores la voir sourire. Parce que tu adores l’entendre rire. Parce que tu voudrais pouvoir la voir heureuse constamment. Parce que tu voudrais réussir à lui dire ce que tu ressens autrement que par des paroles compliquées et tortueuses. Parce que tu voudrais être plus simple, plus accessible, plus transparent. Parce que tu voudrais qu’elle comprenne à quel point elle est importante. Parce que tu voudrais pouvoir changer. Tu voudrais pouvoir devenir celui qu’elle désire, celui qu’elle mérite. Le temps de votre escapade, tu dois pouvoir l’être ; ce mec insouciant et facile à vivre. Ce ne serait pas aisé, mais tu vas essayer. Tu te le promets, et si tu as une ribambelle de défauts, tu as la qualité d’être droit et de respecter la parole donnée, quand bien même celle-ci soit de toi à toi.

Le petit-déjeuner terminé, tu l’aides à se lever en lui tendant la main, appréciant de l’avoir à tes côtés. Tu es souriant, tellement que tu peux presque parier que, ce soir, tu auras mal aux zygomatiques. Alexis te propose de commencer par un baiser, puis elle poursuit malicieusement en parlant de la journée difficile qu’elle va te faire vivre, « Je suis sûr que je vais prendre beaucoup de plaisir à être mené par le bout du nez... ». Tes lipes sont pincées, tu sais que ce n’est pas le cas, qu’il te serait compliqué de la laisser diriger, mais tu t’es fait une promesse que tu comptes bien tenir, et puis, cela t’amuse de la voir te taquiner. Finalement, tes lèvres se déposent sur les siennes. Un peu trop chastement à ton goût, mais il semblerait qu’elle ait une idée assez précise de la suite des événements, et qu’elle tienne à découvrir le village rapidement.

Tu la regardes s’éloigner, et tu attends qu’elle ne soit plus à porté de tes yeux avant de commencer à débarrasser la table. Tu ranges le tout. Placards, frigo, lave-vaisselle. Non, pas le lave-vaisselle. Tu déposes les couverts et les assiettes dans le lavabo afin de mettre la main à la pâte. Cela peut paraître étrange, mais tu as toujours trouvé cela apaisant. Le bruit de l’eau, l’odeur du savon et la satisfaction du travail bien fait en voyant les ustensiles briller, tu es simplement satisfait.

Tu entends les pas de la brune dans ton dos, et tu n’as pas le temps de lui répondre que vous pouvez y aller qu’elle t’entraîne déjà vers l’extérieur. Une fois encore, tu l’observes en silence tandis qu’elle semble ailleurs. Elle a l’air si apaisé. C’est beau à voir. Encore plus que le paysage qui est pourtant à couper le souffle.

Un sourire amusé vient timidement égayer ton visage, « Le deal, ce n'était pas que tu te charges de tout ? ». Si tu étais différent, tu pourrais éclater de rire, mais tu conserves cette retenue qui te caractérise tant et tu te contentes de désigner d’un mouvement de tête la direction à suivre pour rejoindre le village.

Il faut que vous ayez fait plusieurs mètres avant que tu ne te rendes compte que vos mains sont jointes, que vos doigts sont entrelacés. C’est con, mais tu ne peux t’empêcher de baisser les yeux, comme si ce simple geste t’était totalement étranger. C’est le cas. Tu… Tu ne t’es jamais baladé ainsi avec quiconque. Ton pouce vient pourtant naturellement profiter de la douceur de la peau d’Alexis tandis qu’il fait de légers cercles sur le dessus de sa main puis tu réalises qu’une question t’a été posée.

« J’ai acheté cette maison il y a quelques années. Enfin… Plus de dix ans maintenant. », tu t’en souviens parfaitement, c’était quelques mois après le décès de ta mère. Tu avais besoin d’un endroit rien qu’à toi. D’un endroit où tu ne te sentirais pas contrôlé. « J’essaie de venir le plus souvent possible, mais ça fait un petit moment que je n’en ai pas eu l’occasion. », depuis ta rencontre avec Alexis pour dire vrai. Comme si, la savoir dans ta vie te suffisait à présent. Comme si, désormais, l’endroit où tu te sentais le mieux au monde, c’était à ses côtés.

Chassez le naturel, il revient au galop. Tandis que tu aperçois le village et ses premiers habitants non loin, tu brises le contact d’avec la jeune femme. Tes doigts retrouvent leur liberté sans que tu ne trouves cela appréciable et pour ne rien laisser paraître, tu feins de regarder ta montre qui, pourtant, se trouve à ton poignet opposé. C’est totalement idiot, mais tu refuses que quelqu’un puisse ne serait-ce qu’entrapercevoir les sentiments que tu nourris pour Alexis. Tu sais cela trop dangereux. Même perdu au fin fond d’une île salvadorienne, tu crains que le risque ne soit que trop grand. Mais est-ce uniquement cela ? Crois-tu sérieusement qu’un sbire de Vittorio pourrait se cacher derrière un de ces fourrés ? Non, évidemment. Alors pourquoi réagis-tu ainsi ?

Alors que la chevelure de la brune se retrouve parée d’une jolie fleur, tu te saisis délicatement de sa paume, et tu replaces vos doigts à l’identique. Entrelacés. Votre relation visible aux yeux du monde.

« Fais attention à ce que je ne te pique pas la tienne. »
, le visage tourné dans sa direction, tu te penches vers elle en levant ta main de libre comme pour mimer ton vol odieux. Il va de soi que tu n’en fais rien, « Finalement, je préfère que tu la gardes. ». Cette fois, ta bouche murmure à son oreille, « Tu es magnifique. ». Puis tu reprends une attitude plus adulte, moins énamouré en marchant dans les ruelles faites de terre et de murs colorés.

Ici, tu es plus détendu. L’ambiance te pousse à sourire davantage et tu sens tes épaules se décrisper quelque peu.

« Décidément, mademoiselle McKinney, vous me demandez de beaucoup participer à notre escapade... », un petit rire s’échappe de ta gorge, « Qui te dis que je ne connais pas que deux mots d’Espagnol ? On va peut-être devoir se débrouiller en faisant des signes pour se faire comprendre. ». Il faut avouer que ce serait assez amusant, mais tu n’es pas du genre à faire tourner les gens en bourrique.

Le village est en fête. La musique accompagne votre route et des petites échoppes bordent la rue. L’une d’elles attire ton attention et tu tires délicatement sur les doigts d’Alexis – toujours entrelacés aux tiens – pour la faire te suivre, « Ils font tout à la main. Regarde, tu vois là-bas ? Il y a leurs ateliers artisanaux. Leur technique est assez particulière et ils font avec les moyens du bord, c’est pour ça que chaque bijou est unique, ce sont leurs petits défauts qui font leur beauté. ». Tu désignes l’arrière de ce qu’on pourrait appeler leur boutique avant de délaisser à nouveau les phalanges de la brune pour te saisir d’un collier, « Tu aimes ? ». En réalité, tu n’attends pas d’avoir une réponse que tu le lui passes autour du cou pour qu’elle puisse voir le rendu sur elle, « N’est-ce pas la plus belle femme du monde ? Votre bijou la sublime merveilleusement bien. 200 dollars, ça vous convient ? ». Tu sais pertinemment que si tu lui avais demandé le prix, la somme aurait été nettement moindre, mais tu lui tends tes billets avant de te concentrer à nouveau sur la styliste, « Garde-le, il te va beaucoup trop bien pour que tu repartes d’ici sans. ».



« En espagnol dans le texte »

code by bat'phanie



breathe and think
Ma vengeance est perdue s'il ignore en mourant que c'est moi qui le tue. ▬ Contre la véritable souffrance on ne trouve satisfaction que de deux seules manières : le pardon absolu ou la vengeance mortelle. Mon histoire n'est pas une histoire sur le pardon.

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