Habitation : Un appartement que je loue dans Brooklyn. C'est un trois pièces, même si je n'ai pas encore vraiment décidé quoi faire de cette troisième pièce.
Célébrité : Jack Falahee
DC : Aucun
Crédits : blip-in-time
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Habitation : Un appartement que je loue dans Brooklyn. C'est un trois pièces, même si je n'ai pas encore vraiment décidé quoi faire de cette troisième pièce.
Je n’avais plus de montre depuis quelques temps. J’aurais pu m’en racheter une, évidemment, mais pourquoi m’embêter avec ça ? L’idée de la récupérer auprès de la personne qui me l’avait volée était beaucoup plus tentant. Carmelo Greco, pickpocket que j’aurais pu considérer comme étant de pacotille, vu sa tentative inutile avec mon portefeuille, mais qui savait apparemment se servir de l’inattention de ses cibles, comme il l’avait prouvé avec ma montre. Ceci dit, ça ne changeait rien aux faits : on avait passé une très bonne soirée ensemble et, au niveau physique, disons simplement que l’on était plus que compatibles. Mais bordel, il avait fallu que cet idiot me vole ma montre. Heureusement que j’avais toujours mon téléphone sur moi, sinon j’ose pas imaginer le nombre de fois où j’aurais été capable d’arriver en retard. Mais disons que sur le terrain, c’était bien plus pratique d’avoir une montre qu’un téléphone, donc merci Carmelo. J’avais, bien évidemment, essayé de le retrouver. Peut-être bien que j’avais récupéré son adresse grâce aux dossiers qu’on avait en ligne, au commissariat. Le truc, c’est que quand j’avais débarqué chez lui, disons qu’il était aux abonnés absents. J’avais été tenté de réessayer plus tard mais, une discussion avec sa voisine, une personne âgée que j’avais croisée en repartant, m’avait indiqué qu’il n’était jamais là. Probablement qu’il créchait ailleurs, je suppose, mais difficile de savoir où. J’avais donc décidé d’attendre et de réfléchir à une autre manière de faire et, visiblement, le destin avait voulu me filer un petit coup de main.
En pause café, j’avais entendu parler d’un gars qui, visiblement, avait cinq montres présumées volées avec lui. J’avais gardé le silence, me contenant de suivre la conversation qui se déroulait sous mes yeux, me retenant de sourire au passage, d’autant plus une fois que j’avais entendu le nom de la personne concernée : Carmelo Greco. Bah tiens. Il faisait le coup à tous ses plans cul l’imbécile, ou quoi ? J’avais pas appris grand-chose, ceci dit, mais ça m’avait au moins permis d’avoir une forme de confirmation dans le fait qu’il était toujours dans le coin, même s’il fallait dire que je ne le voyais clairement pas tenter de quitter la ville, ou un truc de ce genre. J’avais rapidement décidé de ne pas tenter de retourner chez lui, considérant qu’il n’y était jamais, mais plutôt d’attendre de le croiser. New York était grand, les chances que ça arrive étaient faibles, mais j’osais y croire. Et finalement, après quelques temps, mon attente avait été félicitée, disons, étant donné que je l’avais croisé. J’étais en pleine pause dans mon service, parti me racheter des clopes et un café -celui du commissariat était dégueulasse bordel-, quand je l’avais vu de l’autre côté de la rue. Argent filé au vendeur en vitesse, j’étais ressorti du bureau de tabac, sortant directement une clope de mon nouveau paquet, la portant à mes lèvres avant de l’allumer. J’avais traversé dès que possible, rejoignant le duo composé de Carmelo et de je ne sais quel autre interlocuteur.
L’avantage avec ma façon de faire, c’est que Carmelo était dos à moi, alors que son interlocuteur lui, était face à moi. Sourire en coin aux lèvres, j’avais fini de me rapprocher d’eux, mon sourire disparaissant rapidement alors que mon regard se posait sur l’interlocuteur de celui qui m’avait volé ma montre. Je l’avais rapidement vu baisser les yeux vers mon uniforme, trouver une raison plus que pathétique de partir, puis partir, m’adressant à peine un regard. De toute manière, j’avais pas besoin de plus, j’avais juste envie qu’il soit parti, c’était une affaire que l’on devait régler à deux, disons. Nouvelle taffe de tabac aspirée, je m’étais penchée vers Carmelo avant qu’il n’ait le temps de bouger, laissant mes lèvres atteindre son oreille, sans initier le moindre contact. Sourire en coin sur les lèvres, j’avais laissé les mots quitter la barrière de mes lèvres, en même temps que la fumée de ma clope. « T’es au courant que je pourrais te coffrer pour m’avoir volé ma montre ? » Je me recule, le laissant se retourner vers moi, mon regard se baladant le long de son corps avant que je ne me décide à reprendre la parole. « Puis faut dire que ça serait tentant, même si je pense que tu serais pas très fan des menottes. » Ni de ce qui finirait dans son casier, très clairement. Je ne le lâche pas du regard, arquant un sourcil, l’incitant -à ma manière- à me répondre. J’avoue, j’étais curieux de savoir ce qu’il allait bien pouvoir dire.
( Pando )
If it fits, I sits !
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Habitation : Un appartement miteux dans Brooklyn officiellement. Offieusement il squatte chez son meilleur ami Roman, chez qui le frigo est plus remplis que le sien...!
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Carmelo était en ville à faire… Un peu tout et n’importe quoi disons. Comme d’habitude il allait au gré de ses envies et errait en ville à la recherche d’une opportunité ou d’une activité qu’on pourrait qualifier d’agréable. Il n’était pas du genre à rechigner alors tout était un peu bon à prendre disons. Justement il parlait à cet instant précis avec une connaissance à lui. Un petit revendeur à la sauvette avec qui il échange sur ce qui se vend bien en ce moment et ce qui ne valait pas un rond. Carmelo avait quelques babioles à refourguer… Rien qu’il avait sur lui pour des raisons évidentes de sécurité. Les flics avaient parfois envie de lui fouiller les poches juste pour rigoler… ! En plus on n’était pas très loin d’un centre de police !
Sauf que son pote commence à fixer autre chose par-dessus son épaule. Carmelo vient claquer des doigts devant son regard pour tenter de le ramener à lui… Mais ni une ni deux voilà le coucou qui s’envole vers d’autres cieux. Une team Rocket de un.
Mais la situation prend très rapidement du sens. Evidemment au départ Carmelo se crispe et se tend en sentant quelqu’un se pencher sur lui. Mais la voix qui se rend à son oreille, dans un parfum de tabac brûlant, légèrement rocailleuse du froid et de la fumée, il la remet très très vite ! Antonio ! Le moment qu’ils avaient passé ensemble avait été délicieux. Plein de caresses, de baisers, d’empressement… Il avait assez aimé ça pour garder précieusement sa montre plutôt que de la revendre d’ailleurs. C’était vraiment pour « retrouver l’occasion ! ».
Carmelo se retourne finalement, avisant l’autre italien de pied en cape avant d’avoir un petit sifflement qui en disait long sur le fait qu’il aimait ce qu’il voyait.
« Ah ! Chéri la prochaine fois qu’on baise, faut que tu le portes cet uniforme… »
Il faisait partie de cette catégorie de la population qui avait le fantasme de l’uniforme. Et chez Antonio, il montrait tout ce qu’il y avait à montrer de sa silhouette… Et que dire de ce petit regard en obsidienne et pourtant ardent ? De cette mèche de cheveux un peu rebelle qui s’entortillait sur son front ?
« Même sobre tu me donnes envie de toi, dans un jeu de cartes tu serais sûrement le joker ! »
Quant aux menottes :
« Si c’est toi et si c’est le montant du lit, je suis incroyablement fan des menottes tu veux dire ! »
Et pour en revenir à la montre d’Antonio, dont il semblait plutôt bien prendre la disparition, Carmelo convient :
« J’ai vu par hasard en rentrant chez moi que tu avais oublié ta montre dans ma poche. Je comptais venir te la porter au post bientôt. »
Mais se penchant, comme sur le ton de la confidence :
« Mais j’ai eu un petit problème de montres dernièrement par là-bas, j’ai jugé plus prudent d’attendre un peu… ! »
Surtout si finalement Antonio avait réellement voulu l’arrêter ! De là à ce qu’il puisse prouver c’était autre chose mais hé… !
« C’est un café que tu as ? Nah, c’est du jus de chaussette, les américains ne savent pas faire le café. »
Mais de convenir :
« Plus loin il y a traiteur italien que je connais bien qui fait du « vrai » café. Tu m’en offres un ? »
Et rieur :
« D’accord, d’accord. Disons que celui-là je te l’offre, en souvenir d’un agréable moment en ta compagnie. Il faudra remettre ça d’ailleurs. »
New-Yorkais
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Est-ce que je suis satisfait par la réaction qu’il a quand il me voit ? Bien sûr que oui. La nuit que l’on avait passée ensemble avait été ardente et encore, le mot était faible. Je n’étais pas du genre à facilement vouloir renouveler l’expérience avec la plupart de mes partenaires d’une nuit mais, dans le cas présent, Carmelo me donnait bien envie de tenter. Enfin, disons que ça serait le cas s’il avait une bonne raison pour avoir décidé de me subtiliser ma montre. Est-ce qu’il l’avait déjà revendue ? Une part de moi en doutait fortement. Un sourire en coin s’étire sur mes lèvres face à sa première remarque, alors que j’arque un sourcil en l’avisant de haut en bas. « Qu’est-ce qui te fait dire qu’il y aura une prochaine fois ? Je te trouve bien sûr de toi. » Ceci dit, il fait clairement partie de ceux qui peuvent très facilement l’être, en toute objectivité. Un petit rire m’échappe, plus amusé qu’autre chose par la situation et par le fait que, visiblement, la raison pour laquelle je suis venu le voir ne le dérange pas le moins du monde. « Et si c’est toujours moi, mais cette fois dans une cellule au poste ? Avec beaucoup plus de fringues, aussi. » Je le titillais mais, clairement, je ne comptais absolument pas le ramener au poste. Disons que quitte à choisir, je préférais encore régler les choses à ma manière, double avantage dans le fait d’avoir pu le croiser pendant mon créneau de pause et donc, pendant le moment où la caméra fixée à mon uniforme de filme pas et, par conséquent, où nos échanges n’ont aucune chance d’être observés.
Quant à son explication vis-à-vis de la disparition de ma montre, elle me fait lever les yeux au ciel, sans pour autant que ça ne m’amuse pas. On sait tous les deux qu’il n’y a aucune chance pour que je crois à sa version de l’histoire et pourtant, il essaye quand même, et je dois dire que c’est.. Soit admirable, soit complètement idiot. « Dans ta poche, tu dis ? C’est dingue, quelle coïncidence. M’enfin, je doute fortement que tu ne lui aies pas filé un coup de main, à ma montre, pour qu’elle finisse dans ta poche. » Ce n’était pas un reproche, pas réellement. Ca devrait en être un, mais ça n’en était pas. En même temps, j’avais toutes les raisons de vouloir rester en bons termes avec lui, alors faire tout un drame de la disparition d’une montre qui, en plus, n’avait pas la moindre valeur sentimentale pour moi, ça n’avait aucun intérêt. Quoique non, à vrai dire, c’était même mieux que ça. Sans le savoir, il avait subtilisé la montre qui m’avait été offerte par mon ex et que j’avais gardé non pas en guise de souvenir, mais en guise de praticité. Certains s’arrêteraient peut-être sur le symbolisme mais personnellement, ça m’amuse plus qu’autre chose. « J’ai cru entendre parler de ton aventure au poste, oui. Je suis curieux de savoir comment tu as fini avec cinq montres en ta possession, d’ailleurs. A ce stade-là, c’est juste triste que tu te fasses choper par les flics. » Mais, assez franchement, il avait aussi beaucoup de chance que ma montre n’ait pas été reconnue par mes collègues. Ca aurait pu être drôle mais, à la fois, je suis pas certain que ça aurait été la meilleure chose, surtout pour moi.
Quant à mon café.. Ouais, bon, clairement je peux rien dire, c’est clairement du jus de chaussette. Mais à la fois ça fait le taff pour me tenir éveillé donc, même si ce n’est pas idéal, disons que je ferai avec. « Tant que ça tient un minimum éveillé pendant les périodes de garde, ça me va. » La journée d’aujourd’hui serait longue et, clairement, un petit café ne ferait que m’aider. Mais ceci dit, face à sa proposition.. Ouais, c’est tentant. « Ca me va. Mais je te préviens, je suis en pause, donc j’ai pas tout mon temps. Il doit me rester quoi, un peu moins d’une vingtaine de minutes ? » Ca pourrait peut-être se négocier jusqu’à une trentaine de minutes, mais simplement parce que je n’étais absolument pas du genre à prendre des pauses fréquemment. A vrai dire, c’était même l’inverse, j’en prenais rarement et elles étaient généralement plutôt courtes. Clairement, si je n’avais pas eu besoin de me racheter des clopes, je ne serai probablement pas en pause actuellement. « J’ose espérer, ceci dit, que tu rendras ces petites dizaines de minutes un minimum.. Rentables, disons. Tu penses que tu en es capable ? » Petit défi lancé en sa direction, alors que j’arque un sourcil au passage, sourire en coin toujours planté sur mes lèvres, histoire de lui faire comprendre que j’attendais clairement une réponse de sa part.
( Pando )
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Habitation : Un appartement miteux dans Brooklyn officiellement. Offieusement il squatte chez son meilleur ami Roman, chez qui le frigo est plus remplis que le sien...!
Carmelo a un sourire très amusé, les yeux dans ceux du policier, un peu hypnotisé pour rien ou pas grand chose. Peut-être juste heureux de retomber sur lui dans un moment où il s'y attendait le moins. Carmelo était un homme de surprise et il aimait en causer autant qu'en recevoir sans doute ! Et puis juste : Antonio était beau, dans son petit orgueil joueur. Exit le parfum de l'alcool, celui de son mauvais café l'embaumait. Mais si le café était mauvais, l'odeur ne l'était pas et il en aurait léché les grains à même sa peau.
« Je suis très très sûr de moi... ! »
S'il en avait envie et que ça brillait un peu dans son regard sûrement, ça brillait aussi dans celui d'Antonio. Et ce désir réciproque était assez délicieux. Trop de couples -même si eux n'en était pas un- perdaient cette petite flamme. Beaucoup ne l'avait même pas dès leurs débuts. Cliquer comme ça c'était rare ! Lui s'en rendait compte ! Et Antonio avait donné une saveur ennuyeuse à ses nouvelles rencontres déjà. Carmelo draguait, jouait... Mais ce n'était plus pareil. Pour ça, il lui en voulait un tout petit peu aussi ! Mais là tout de suite, sous ses beaux yeux, tout était déjà oublié.
« Tu veux me prendre tout habillé ? En public ? Je ne te connaissais pas comme ça ! »
Carmelo a un éclat de rire. Merci il avait bien compris que c'était pas du tout l'idée hein. Et puis malgré tout ses vices, Carmelo ne possédait pas celui de l'exhibition sexuelle.
« Tu es une machine à fantasmes, finalement. Que penserait ta maman de savoir son fils si coquin ? »
Et si contre toute attente, Antonio était sérieux, il devrait expliquer comment il est si sûr que c'était lui qui avait sa montre alors qu'il ne l'avait pas sur lui et pourquoi il n'avait pas porté plainte plus tôt ! Carmelo était un habitué du post : ses petits copains auraient peut être directement commencé par lui !
« Est-ce que tu me traiterais de voleur ? Je suis vraiment super offensé... ! »
Pas qu'il en ai réellement l'air ! D'ailleurs ça le fait rire. Il avait bien payé leurs consommations avec le portefeuille d'un autre alors... !
« Par contre je l'ai pas sur moi. Il faudra venir chez moi pour la récupérer... ! »
Chez Roman !
« Je te donne l'adresse ? Oublie pas l'uniforme et les menottes hein. »
Carmelo ricane encore... Avant de grimacer et de grogner lorsqu'Antonio, visiblement au courant de son problème récent, revient dessus ! Il ne semble pas au courant de toute l'histoire néanmoins alors :
« Alors officiellement, déjà, ces montres étaient pour une œuvre de bienfaisance. »
Il en avait juste oublié le nom. Et Roman s'était vengé en le faisant écoper d'un rendez-vous romantique. Carmelo s'était bien amusé cependant ! Bref.
« Et je ne me suis pas fait choper comme tu dis. Pas pour les montres en tout cas. »
D'expliquer de fait :
« Un gros touriste à la con s'est à mon avis fait dépouiller par une call-girl et son petit ami. Et comme il est sûrement marié il est pas allé dire qui était la voleuse et celui qui lui avait causé ses bleus. Il a raconté que c'était « un rital de merde » et tes petits potes on la flemme et la vue basse alors... »
Alors lui, voilà.
« J'ai rencontré l'inspecteur Levi. Tu vas être surpris mais je crois qu'il ne m'aime pas beaucoup. »
Ou pas surpris du tout. Mais qui pouvait bien ne pas l'aimer ?
« Ta garde termine à quelle heure ? »
Carmelo tourne les talons, s'assurant que Tonio le suivait bien pour aller jusqu'au traiteur italien et sa machine à café et autres expresso. Il est un peu déçu par le temps qui leur reste. Carmelo aimait bien la compagnie d'Antonio. Pour le sexe évidemment mais pas seulement. Il avait cette personnalité ambiguë qui lui plaisait !
« Rentables ? »
Il tourne un regard fripon vers son compagnon, demandant :
« Est-ce que tu es en train d'extorquer ma liberté au prix d'une petite pipe Mr l'Agent ? »
Il aurait sûrement pu le demander avec moins de gourmandise et de jeu mais hé, parfois ça faisait du bien de le dire comme on le sentait !
« En vrai je pourrais. Mais on est dans ton secteur non ? Tu pourrais te faire griller par tes potes et moi me faire arrêter pour racolage, atteinte à la pudeur ou dieu sait quoi. »
Et c'était pas vraiment un truc qu'il avait envie de voir Roman défendre pour lui au poste de police là comme ça !
Ils bousculent une femme avec sa poussette et en arrivant devant le traiteur, Carmelo en pousse la porte tout en observant le contenu du portefeuille de l'heureuse maman. Le patron derrière un comptoir réfrigéré, les accueil en l'appelant fort et par son prénom !
« T'auras meilleur côte en sortant ton plus bel italien. »
D'ailleurs Carmelo y passe, tout son accent sicilien sortant avec naturel et force. Il adorait cet endroit pour ça aussi.
« Angelo, café pour mon ami. Chinotto comme d'habitude pour moi. »
Et montrant le portefeuille volé :
« Et deux sfogliatelles ! »
En se tournant à demi vers Antonio :
« Vingt minutes ça laisse un peu de temps pour une pâtisserie hm ? »
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