Si YouTube lui offrait un revenu non négligeable, et que de toute évidence, elle s’y épanouissait, Diamond n’avait jamais mis de côté ses études de commerce. A ses yeux, avoir un diplôme, puis ensuite un travail, était la porte ouverte pour pouvoir survivre loin de son père. A défaut, elle aurait pu vivre avec sa mère. Mais elle ne voulait pas…La déranger ? Ou alors, montrer une faiblesse, plutôt. Ainsi, elle s’était dit que pour le moment, elle resterait avec son père. Heureusement, le logement était grand.
Dans tous les cas, Diamond ne mettait donc pas de côté ses études. Et notamment ses recherches de stage. Normalement, elle n’aurait dû avoir aucune difficulté à en trouver, mais la demoiselle était exigeante envers elle-même. Et, elle voulait aller intégrer une entreprise plutôt cotée, en terme de commerce. Seulement, l’entreprise n’avait pas envie de la prendre, et malgré une lettre de motivation et un dossier irréprochable, Diamond n’avait pas apprécié cette défaite.
Elle se retrouvait dans la panade : pouvait-elle retenter sa chance ? Elle était du genre bornée, mais n’avait pas non plus envie de se compromettre. Grimaçant, elle détestait cette sensation d’être bloquée. Elle ne pouvait en soit pas vraiment demander de l’aide. A qui aurait elle pu ? Diamond Lebenstraum s’était toujours assurée de faire les choses par elle même, notamment le jour où elle avait compris que son père ne pourrait jamais l’aider. Et que sa mère était bien trop occupée pour ça. Et puis, elle était une Lebenstraum. Donc, c’était de son devoir de se débrouiller toute seule.
Même là. Même maintenant. Elle rentra finalement chez son père, mais cette situation était loin de lui plaire. Là, elle leva les yeux de son téléphone. A l’entrée, probablement à sortir où à entrer, se tenait un homme. Elle mis un peu de temps à le replacer. Nathanaël… Wellington? Quelque chose du genre. Une histoire de connaissance à son paternel. De ce genre de connaissance dont elle se passerait d’ordinaire. Pourtant, ici, il ne lui avait jamais été désagréable. Même si elle aurait dû être payée très cher pour le reconnaître. Enfin. Dans tous les cas, il se trouvait ici. Maintenant. Et il devait suffisamment s’y connaître pour peut-être l’aider.
L’aider. Difficile à vouloir, à admettre, à… Demander. Alors, Diamond établissait déjà un stratagème. A la place, elle s’approcha de lui.
- Monsieur Wellington. Quel plaisir de vous voir ! Vous étiez…ou allez voir mon père ?
Elle ne voulait pas paraître d’une enfant immature, aussi se tenait-elle relativement droite, souriante sans trop l’être, et sa tenue toujours aussi parfaite sur elle.
- Cela fait longtemps que je ne vous avais pas vu.
Elle savait avoir son téléphone (mais ne se rappelait plus pourquoi, probablement une histoire liée à une dernière visite ici ?), mais ne l’avait jamais appelé, comme souvent. Sauf si ça pouvait aider à son réseau, elle ne se serait jamais permise.
- Vous êtes pressé ? demanda-t-elle finalement en se disant que son stratagème pourrait bien marcher si elle se débrouillait bien.
PrettyGirl
La mafia italienne
Célébrité : Jamie Dornan
DC : Matt Roja - Enzo Forzalli - Billie Davis - Diego Arriaga - Jackson Blake - Liam Keller
Crédits : Avatars : n-dia
Infos diverses : - Vous ne le verrez que très rarement sans une barbe de quelques jours, il trouve que son visage ressemble à celui d'un adolescent sans ça.
- Quand il est stressé, il fait les cent pas, et dès lors qu'il s'assoit, sa jambe droite tressaute.
- Il a une peur bleue des piqûres. Pourtant, Nate donne régulièrement son sang pour la bonne cause. À chaque fois, c'est une épreuve sans nom ; mains tremblantes, palpitant qui s'emballe, cela peut aller jusqu'à la crise d'angoisse.
- Ayant reçu une éducation très religieuse, il se rend encore régulièrement à l'église et écoute attentivement les sermons du curé qui officie dans sa paroisse depuis qu'il est môme.
- Il a grandi entouré d'œuvres d'art. Que ce soit dans les différentes propriétés familiales ou dans les galeries portant leur nom, les Wellington ont toujours apprécié les jolies pièces. Nate, lui, n'est pas un grand fervent de cet univers, son âme d'artiste ne s'étant jamais réveillée contrairement à ses frères. Le fait est qu'il a acquis une certaine connaissance dans le domaine, et que la décoration de son penthouse est agrémentée de quelques oeuvres faites autant par des artistes de renom que par des illustres inconnus.
- Trois photos ne quittent jamais son portefeuille. La première date du 3 juin 2004, jour de naissance de sa fille et on peut le voir tenant cette dernière dans ses bras. Dessus, Nate est rayonnant, mais il a également l'air totalement effrayé par ce petit être si fragile. La seconde image représente les mêmes protagonistes, fille et père se serrant dans leurs bras, un gâteau d'anniversaire contenant 18 bougies. La date écrite au dos indique le 3 juin 2022. La troisième et dernière photo dont il ne se sépare jamais met en scène deux jeunes hommes souriants d'environ vingt-cinq ans, ils chahutent gentiment avec les pieds plongés dans l'eau d'un lac.
-Nathanaël adore les films, mais pas uniquement ceux d'Hollywood. Ceux qu'il affectionne particulièrement, ce sont ceux mettant en scène des instants de vie, de sa propre vie. Il a une collection impressionnante de films de famille, de rencontres amicales et des bons moments. Il préfère capturer ses souvenirs en mouvement plutôt qu'en simple photographie, cela lui permet de retrouver l'ambiance, les émotions et d'avoir l'impression d'être propulsé directement à l'instant où la caméra s'est mise en route.
Habitation : Un penthouse dans Upper East Side avec vue sur Central Park
Célébrité : Jamie Dornan
DC : Matt Roja - Enzo Forzalli - Billie Davis - Diego Arriaga - Jackson Blake - Liam Keller
Crédits : Avatars : n-dia
Infos diverses : - Vous ne le verrez que très rarement sans une barbe de quelques jours, il trouve que son visage ressemble à celui d'un adolescent sans ça.
- Quand il est stressé, il fait les cent pas, et dès lors qu'il s'assoit, sa jambe droite tressaute.
- Il a une peur bleue des piqûres. Pourtant, Nate donne régulièrement son sang pour la bonne cause. À chaque fois, c'est une épreuve sans nom ; mains tremblantes, palpitant qui s'emballe, cela peut aller jusqu'à la crise d'angoisse.
- Ayant reçu une éducation très religieuse, il se rend encore régulièrement à l'église et écoute attentivement les sermons du curé qui officie dans sa paroisse depuis qu'il est môme.
- Il a grandi entouré d'œuvres d'art. Que ce soit dans les différentes propriétés familiales ou dans les galeries portant leur nom, les Wellington ont toujours apprécié les jolies pièces. Nate, lui, n'est pas un grand fervent de cet univers, son âme d'artiste ne s'étant jamais réveillée contrairement à ses frères. Le fait est qu'il a acquis une certaine connaissance dans le domaine, et que la décoration de son penthouse est agrémentée de quelques oeuvres faites autant par des artistes de renom que par des illustres inconnus.
- Trois photos ne quittent jamais son portefeuille. La première date du 3 juin 2004, jour de naissance de sa fille et on peut le voir tenant cette dernière dans ses bras. Dessus, Nate est rayonnant, mais il a également l'air totalement effrayé par ce petit être si fragile. La seconde image représente les mêmes protagonistes, fille et père se serrant dans leurs bras, un gâteau d'anniversaire contenant 18 bougies. La date écrite au dos indique le 3 juin 2022. La troisième et dernière photo dont il ne se sépare jamais met en scène deux jeunes hommes souriants d'environ vingt-cinq ans, ils chahutent gentiment avec les pieds plongés dans l'eau d'un lac.
-Nathanaël adore les films, mais pas uniquement ceux d'Hollywood. Ceux qu'il affectionne particulièrement, ce sont ceux mettant en scène des instants de vie, de sa propre vie. Il a une collection impressionnante de films de famille, de rencontres amicales et des bons moments. Il préfère capturer ses souvenirs en mouvement plutôt qu'en simple photographie, cela lui permet de retrouver l'ambiance, les émotions et d'avoir l'impression d'être propulsé directement à l'instant où la caméra s'est mise en route.
Habitation : Un penthouse dans Upper East Side avec vue sur Central Park
Célébrité : Jamie Dornan
DC : Matt Roja - Enzo Forzalli - Billie Davis - Diego Arriaga - Jackson Blake - Liam Keller
Crédits : Avatars : n-dia
Infos diverses : - Vous ne le verrez que très rarement sans une barbe de quelques jours, il trouve que son visage ressemble à celui d'un adolescent sans ça.
- Quand il est stressé, il fait les cent pas, et dès lors qu'il s'assoit, sa jambe droite tressaute.
- Il a une peur bleue des piqûres. Pourtant, Nate donne régulièrement son sang pour la bonne cause. À chaque fois, c'est une épreuve sans nom ; mains tremblantes, palpitant qui s'emballe, cela peut aller jusqu'à la crise d'angoisse.
- Ayant reçu une éducation très religieuse, il se rend encore régulièrement à l'église et écoute attentivement les sermons du curé qui officie dans sa paroisse depuis qu'il est môme.
- Il a grandi entouré d'œuvres d'art. Que ce soit dans les différentes propriétés familiales ou dans les galeries portant leur nom, les Wellington ont toujours apprécié les jolies pièces. Nate, lui, n'est pas un grand fervent de cet univers, son âme d'artiste ne s'étant jamais réveillée contrairement à ses frères. Le fait est qu'il a acquis une certaine connaissance dans le domaine, et que la décoration de son penthouse est agrémentée de quelques oeuvres faites autant par des artistes de renom que par des illustres inconnus.
- Trois photos ne quittent jamais son portefeuille. La première date du 3 juin 2004, jour de naissance de sa fille et on peut le voir tenant cette dernière dans ses bras. Dessus, Nate est rayonnant, mais il a également l'air totalement effrayé par ce petit être si fragile. La seconde image représente les mêmes protagonistes, fille et père se serrant dans leurs bras, un gâteau d'anniversaire contenant 18 bougies. La date écrite au dos indique le 3 juin 2022. La troisième et dernière photo dont il ne se sépare jamais met en scène deux jeunes hommes souriants d'environ vingt-cinq ans, ils chahutent gentiment avec les pieds plongés dans l'eau d'un lac.
-Nathanaël adore les films, mais pas uniquement ceux d'Hollywood. Ceux qu'il affectionne particulièrement, ce sont ceux mettant en scène des instants de vie, de sa propre vie. Il a une collection impressionnante de films de famille, de rencontres amicales et des bons moments. Il préfère capturer ses souvenirs en mouvement plutôt qu'en simple photographie, cela lui permet de retrouver l'ambiance, les émotions et d'avoir l'impression d'être propulsé directement à l'instant où la caméra s'est mise en route.
Habitation : Un penthouse dans Upper East Side avec vue sur Central Park
“Tout groupe humain prend sa richesse dans la communication, l’entraide et la solidarité visant à un but commun : l’épanouissement de chacun dans le respect des différences.” - Françoise Dolto
Le travail, le travail et encore le travail. Toujours le travail. C’est à croire que tu ne sais rien faire d’autre Nathanaël ! Et ce n’est pas tout à fait faux… Tu vis littéralement pour ton travail. La politique, c’est ça. C’est de l’abnégation. Du don de soi. De l’acharnement. De la persévérance. Et beaucoup de passion aussi. Il faut croire en ce qu’on prône. En chacun de ses projets. En chacune de ses paroles. Et, là encore, c’est une description qui te colle parfaitement à la peau. Oui, tu es un bourreau de travail, mais uniquement parce que tu considères ce que tu fais comme important. Urgent. Indispensable. Nécessaire. Utile. Tant de qualificatifs indissociable à tous tes discours. Même lorsque tu es dans ta sphère privée, tu donnes parfois l’impression d’être en représentation ou en débat. Tu crois fermement en ce que tu dis, et tu es passionné par tes inspirations. Il y a donc peu de place dans ton existence pour les loisirs, la procrastination ou les moments désinvoltes. Tu vois en chacune de tes expériences de vie une leçon à prendre, un apprentissage à recevoir ou une idée à faire évoluer. Le travail donc. Encore et toujours le travail.
Aujourd’hui ne déroge pas à la règle. Tu es venu jusque chez Erik Lebenstraum pour parler affaires. Qu’est-ce que le diplomate peut bien t’apporter ? Du soutien et une voix forte pour t’aider à porter la tienne. En parlant de porter, ou de porte… Celle devant laquelle tu trouves à l’instant vient tout juste de se refermer après des salutations en règle, et tu t’apprêtes à faire volte-face pour repartir au bureau. Oui oui, encore et toujours ce fameux travail qui te prend tant de temps.
Mais, lorsque tu te retournes, c’est face à une charmante demoiselle à la chevelure rousse que tu te retrouves.
« Miss Lydia, le plaisir est partagé. », sourire de rigueur, tu ne fais qu’énoncer la réalité, « Effectivement, ton père et moi avions rendez-vous. Je ne vais plus te l’accaparer, il est tout à toi à présent. ». Bon dieu, qu’est-ce que tu aimerais pouvoir passer plus de temps avec ta fille ! Tu as vraiment la volonté de le faire, mais le tourbillon de la vie à tendance à t’emporter sans que tu ne parviennes à réussir véritablement à faire tout ce que tu désires.
Un léger rire s’échappe d’entre tes lipes alors que, à son tour, elle énonce une réalité, « Nous sommes tous les deux très occupés. ». Et puis, vous ne naviguez pas vraiment dans les mêmes sphères. Quoi de plus normal au vu de vos différences ? À son âge, personne ne peut s’émouvoir de ne pas la voir écumer les meetings de la ville ou les autres endroits que tu fréquentes. Sans doute a-t-elle bien mieux à faire !
Pourtant, il est également vrai qu’il vous est déjà arrivé de partager plus qu’un simple moment de courtoisie avec la fille de ton ancien maître de stage. N’allez pas vous imaginer des trucs graveleux ! Tu ne fais qu’évoquer un jour où tu étais tombé sur elle alors que la tristesse semblait s’être emparée de son être. Vous aviez discuté. Tu avais fait en sorte de lui changer les idées et de la faire sourire avant de lui donner une carte de visite avec ton numéro de téléphone dessus en lui disant de ne pas hésiter en cas de besoin. Jamais tu n’avais reçu le moindre appel ou le moindre sms. Et tu t’étais tout bonnement dit que ce n’était qu’un coup de blues passagé ou qu’elle avait une oreille plus attentive et plus adéquate à disposition.
Alors que tu t’apprêtes à lui souhaiter une belle journée et à repartir pour t’enfermer dans ton univers, tes pas se stoppent sous la question de la demoiselle.
Tes yeux se posent un instant sur elle avant de regarder l’heure à ton poignet, puis tu lui souris. De ce sourire avenant et sincère qui te caractérise, « Je dois pouvoir faire un peu de place dans mon agenda. ». Sans trop savoir pourquoi, tu repenses à ce jour où tu lui as laissé ton numéro, et tu te dis que, si elle te pose cette question, c’est qu’elle doit avoir besoin de revivre ne serait-ce que quelques minutes de cette conversation que vous aviez eu. « Mon chauffeur m’attend au bout de la rue, tu m’accompagnes ? », ainsi, il n’y a rien de trop formel ou d’inquiétant dans votre situation. Non pas que tu craignes la moindre rumeur indécente, c’est plutôt que tu parviens relativement bien à cerner les gens habituellement et que Lydia – tu ne sais pas qu’elle préfère qu’on l’appelle Diamond – semble être le genre de jeune femme à avoir un peu de mal à se confier à cœur ouvert à quelqu’un. D’autant que vous ne pouvez pas vous targuer d’être particulièrement proche.
Avant même d’arriver en bas des escaliers du perron, tu reprends rapidement, « Tu voulais me parler d’une chose en particulier ? ».
(c) princessecapricieuse
if you're going to try go all the way
How can I say this without breaking, taking over. How can I put it down into words, When it's almost too much for my soul alone. Dreams fight with machines Inside my head like adversaries. Come wrestle me free Clean from the war. + aeairiel.
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Le travail, le travail et encore le travail. Toujours le travail. C’est à croire que tu ne sais rien faire d’autre Nathanaël ! Et ce n’est pas tout à fait faux… Tu vis littéralement pour ton travail. La politique, c’est ça. C’est de l’abnégation. Du don de soi. De l’acharnement. De la persévérance. Et beaucoup de passion aussi. Il faut croire en ce qu’on prône. En chacun de ses projets. En chacune de ses paroles. Et, là encore, c’est une description qui te colle parfaitement à la peau. Oui, tu es un bourreau de travail, mais uniquement parce que tu considères ce que tu fais comme important. Urgent. Indispensable. Nécessaire. Utile. Tant de qualificatifs indissociable à tous tes discours. Même lorsque tu es dans ta sphère privée, tu donnes parfois l’impression d’être en représentation ou en débat. Tu crois fermement en ce que tu dis, et tu es passionné par tes inspirations. Il y a donc peu de place dans ton existence pour les loisirs, la procrastination ou les moments désinvoltes. Tu vois en chacune de tes expériences de vie une leçon à prendre, un apprentissage à recevoir ou une idée à faire évoluer. Le travail donc. Encore et toujours le travail.
« Miss Lydia, le plaisir est partagé. », sourire de rigueur, tu ne fais qu’énoncer la réalité, « Effectivement, ton père et moi avions rendez-vous. Je ne vais plus te l’accaparer, il est tout à toi à présent. ». Bon dieu, qu’est-ce que tu aimerais pouvoir passer plus de temps avec ta fille ! Tu as vraiment la volonté de le faire, mais le tourbillon de la vie à tendance à t’emporter sans que tu ne parviennes à réussir véritablement à faire tout ce que tu désires. 
