Habitation : Un appartement que je loue dans Brooklyn. C'est un trois pièces, même si je n'ai pas encore vraiment décidé quoi faire de cette troisième pièce.
Célébrité : Jack Falahee
DC : Aucun
Crédits : blip-in-time
Habitation : Un appartement que je loue dans Brooklyn. C'est un trois pièces, même si je n'ai pas encore vraiment décidé quoi faire de cette troisième pièce.
Célébrité : Jack Falahee
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Habitation : Un appartement que je loue dans Brooklyn. C'est un trois pièces, même si je n'ai pas encore vraiment décidé quoi faire de cette troisième pièce.
Ca, c’était ma routine habituelle de tous les matins : aller me balader à Central Park avec Doppler, mon labrador âgé de quelques mois. J’y allais toujours avant le boulot, ça me permettait de prendre l’air et, généralement, ça me faisait pas de mal. Puis assez franchement, ça faisait quand même carrément plaisir de voir Doppler courir partout, donc bon. Aujourd’hui ne faisait pas exception. Malgré la météo presque déplorable de ces derniers jours, j’avais gardé mes habitudes, préférant que la petite -plus si petite- boule de poils qui m’accompagnait puisse se dégourdir les pattes. Puis bon, c’est pas comme si j’avais peur d’un peu de pluie, de toute manière. Le vent, à la limite, ça pouvait être désagréable, mais c’était pas bien grave non plus. L’avantage, c’est que le parc était un peu plus vide que d’habitude, le tout causé par le fait qu’il soit encore tôt, et le fait que le vent se soit déjà levé. Tant mieux, Central Park pouvait vite se retrouver à être bien trop rempli, ou en tout cas trop à mon goût.
Une fois dans l’enceinte du parc, j’avais fait ce que je faisais toujours : j’avais défait la laisse de Doppler et je l’avais laissé gambader. Le fait qu’il ne soit plus réellement un bébé faisait qu’il était un peu moins foufou et que, de manière générale, il faisait en sorte de rester près de moi. Mais disons que c’était sacrément important de préciser qu’il était question de « de manière générale ». Parce qu’il y avait des fois, comme maintenant, où il décidait que quelque chose l’attirait énormément et, évidemment, il partait en courant. A chaque fois, je me retrouvais à devoir le suivre, moi aussi en courant, tout en l’appelant, dans l’espoir qu’il finisse par se calmer. Des fois, ça fonctionnait. Mais des fois, comme aujourd’hui, c’était l’extrême inverse. Pas manqué, malgré le fait que je lui ai couru après, il a quand même fini par percuter de plein fouet une autre personne présente dans le parc. Je jure silencieusement, soupirant avant de parcourir les quelques mètres qui me séparaient de la personne en question, mais aussi de Doppler qui semblait particulièrement intéressé par l’odeur de son pantalon. Allez savoir pourquoi, tiens. « Doppler, reviens là ! » C’est ce que je dis quelques pas avant d’arriver à leurs niveaux. Je me prépare déjà à potentiellement recevoir des remarques quant à ma capacité à tenir mon chien en laisse, tout en me préparant également à m’excuser, quand je reconnais finalement la personne qui se trouve à présent en face de moi : Enzo. Et bah bordel, le hasard faisait bien les choses. Je dois m’évertuer, comme bien souvent, à me rappeler que non, il ne sait pas qui je suis, ou en tout cas pas réellement. Alors je me contente de lui adresser un sourire plein d’excuses avant de prendre la parole. « Je suis vraiment désolé, je sais pas pourquoi il a fait ça. En général, il reste asse calme, mais là… Il t’a pas fait mal, au moins ? » Il avait beau ne pas avoir atteint sa taille adulte, quand il se mettait à courir, il pouvait très vite faire ne serait-ce qu’un petit peu mal aux autres en les percutant.
( Pando )
Le geek
Célébrité : Francisco Lachowski
DC : Matt Roja - Billie Davis - Elena Flores - Diego Arriaga - Jackson Blake
Crédits : Avatars : @lionheart-ress
Infos diverses : - Second héritier de la mafia italienne de la ville, Enzo aurait trahi les siens, mais qui a lancé les hostilités en premier ?
- Il a peu d'amis mais il donnerait sa vie pour eux. C'est un solitaire qui apprécie plus la compagnie d'un bon bouquin, d'un ordinateur ou d'un damier pour pions d'échecs que celle de personnes déblatératants sur des sujets inintéressants.
- Sa vie, il l'a en horreur. Enzo aurait voulu naitre dans une autre famille, avoir un avenir différent et vivre une existence normale, mais il a cessé de penser à cela en grandissant, étant trop terre à terre pour se laisser piéger par des rêveries inutiles.
- Les surprises, ce n'est pas pour lui ! Son amour pour les choses prévues et organisées fait que l'inattendu le rend mal à l'aise.
- Il ne dort que trois à cinq heures par nuit, son repos étant agité par des cauchemars. Pour pallier à ça, il a sa drogue : le café, noir et aussi serré que possible, sans sucre évidemment ! Le jeune abuse également de cigarettes.
- Il adore les lieux bruyants, le calme l'empêchant de se concentrer.
- Bien que vous ne le verrez que très rarement sur une piste, c'est un très bon danseur.
- Polyglotte, Enzo maitrise un bon nombre de langues dont les suivantes : l'anglais, l'italien, l'espagnol et le français. Il a certaines lacunes en mandarin, en allemand et en russe mais pourra tout de même tenir une conversation, il lui faudra néanmoins se concentrer et chercher quelques mots de vocabulaire. Le grec fait partie, depuis peu, de sa liste d’apprentissage.
- En dehors de son intelligence au-dessus de la moyenne, Enzo possède également une mémoire impressionnante. Il n'oublie jamais rien, ni un visage, ni un nom, et sûrement pas les coups foireux qu'on a pu lui faire. Il ne met pas de côté non plus les aides qu'il a reçus et sans doute que cette incapacité qui est la sienne à oublier quoi que ce soit explique en grande partie la fidélité dont il est capable tout comme l'esprit revanchard qui est le sien.
Habitation : Appartement en roof top avec vue sur le Brooklyn Bridge
Célébrité : Francisco Lachowski
DC : Matt Roja - Billie Davis - Elena Flores - Diego Arriaga - Jackson Blake
Crédits : Avatars : @lionheart-ress
Infos diverses : - Second héritier de la mafia italienne de la ville, Enzo aurait trahi les siens, mais qui a lancé les hostilités en premier ?
- Il a peu d'amis mais il donnerait sa vie pour eux. C'est un solitaire qui apprécie plus la compagnie d'un bon bouquin, d'un ordinateur ou d'un damier pour pions d'échecs que celle de personnes déblatératants sur des sujets inintéressants.
- Sa vie, il l'a en horreur. Enzo aurait voulu naitre dans une autre famille, avoir un avenir différent et vivre une existence normale, mais il a cessé de penser à cela en grandissant, étant trop terre à terre pour se laisser piéger par des rêveries inutiles.
- Les surprises, ce n'est pas pour lui ! Son amour pour les choses prévues et organisées fait que l'inattendu le rend mal à l'aise.
- Il ne dort que trois à cinq heures par nuit, son repos étant agité par des cauchemars. Pour pallier à ça, il a sa drogue : le café, noir et aussi serré que possible, sans sucre évidemment ! Le jeune abuse également de cigarettes.
- Il adore les lieux bruyants, le calme l'empêchant de se concentrer.
- Bien que vous ne le verrez que très rarement sur une piste, c'est un très bon danseur.
- Polyglotte, Enzo maitrise un bon nombre de langues dont les suivantes : l'anglais, l'italien, l'espagnol et le français. Il a certaines lacunes en mandarin, en allemand et en russe mais pourra tout de même tenir une conversation, il lui faudra néanmoins se concentrer et chercher quelques mots de vocabulaire. Le grec fait partie, depuis peu, de sa liste d’apprentissage.
- En dehors de son intelligence au-dessus de la moyenne, Enzo possède également une mémoire impressionnante. Il n'oublie jamais rien, ni un visage, ni un nom, et sûrement pas les coups foireux qu'on a pu lui faire. Il ne met pas de côté non plus les aides qu'il a reçus et sans doute que cette incapacité qui est la sienne à oublier quoi que ce soit explique en grande partie la fidélité dont il est capable tout comme l'esprit revanchard qui est le sien.
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Infos diverses : - Second héritier de la mafia italienne de la ville, Enzo aurait trahi les siens, mais qui a lancé les hostilités en premier ?
- Il a peu d'amis mais il donnerait sa vie pour eux. C'est un solitaire qui apprécie plus la compagnie d'un bon bouquin, d'un ordinateur ou d'un damier pour pions d'échecs que celle de personnes déblatératants sur des sujets inintéressants.
- Sa vie, il l'a en horreur. Enzo aurait voulu naitre dans une autre famille, avoir un avenir différent et vivre une existence normale, mais il a cessé de penser à cela en grandissant, étant trop terre à terre pour se laisser piéger par des rêveries inutiles.
- Les surprises, ce n'est pas pour lui ! Son amour pour les choses prévues et organisées fait que l'inattendu le rend mal à l'aise.
- Il ne dort que trois à cinq heures par nuit, son repos étant agité par des cauchemars. Pour pallier à ça, il a sa drogue : le café, noir et aussi serré que possible, sans sucre évidemment ! Le jeune abuse également de cigarettes.
- Il adore les lieux bruyants, le calme l'empêchant de se concentrer.
- Bien que vous ne le verrez que très rarement sur une piste, c'est un très bon danseur.
- Polyglotte, Enzo maitrise un bon nombre de langues dont les suivantes : l'anglais, l'italien, l'espagnol et le français. Il a certaines lacunes en mandarin, en allemand et en russe mais pourra tout de même tenir une conversation, il lui faudra néanmoins se concentrer et chercher quelques mots de vocabulaire. Le grec fait partie, depuis peu, de sa liste d’apprentissage.
- En dehors de son intelligence au-dessus de la moyenne, Enzo possède également une mémoire impressionnante. Il n'oublie jamais rien, ni un visage, ni un nom, et sûrement pas les coups foireux qu'on a pu lui faire. Il ne met pas de côté non plus les aides qu'il a reçus et sans doute que cette incapacité qui est la sienne à oublier quoi que ce soit explique en grande partie la fidélité dont il est capable tout comme l'esprit revanchard qui est le sien.
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Habitation : Un appartement que je loue dans Brooklyn. C'est un trois pièces, même si je n'ai pas encore vraiment décidé quoi faire de cette troisième pièce.
Célébrité : Jack Falahee
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Habitation : Un appartement que je loue dans Brooklyn. C'est un trois pièces, même si je n'ai pas encore vraiment décidé quoi faire de cette troisième pièce.
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Habitation : Un appartement que je loue dans Brooklyn. C'est un trois pièces, même si je n'ai pas encore vraiment décidé quoi faire de cette troisième pièce.
Quand je m’étais dirigé vers mon chien dans l’espoir de le calmer, j’avais plus qu’espéré que je n’aurais pas besoin de m’expliquer auprès de la personne qu’il avait bousculé. Mais en arrivant sur place, et en reconnaissant celui qui était -sans le savoir- mon demi-frère, je m’étais senti m’apaiser. Ca faisait une éternité que je ne l’avais pas vu et, visiblement, on était prêt à me donner un petit coup de main. Alors évidemment, il y avait cette foutue promesse que j’avais faite à notre paternel, celle de ne rien dire à Enzo quant au lien que l’on partageait. Et, pour le coup, j’étais un homme de parole. Dans le cas présent, ça ne m’arrangeait pas, mais j’étais un homme de parole. Surtout que dans tous les cas, je ne savais absolument pas comment Enzo réagirait à cette aveu -s’il l’apprenait un jour ?-, mais je savais que notre père n’apprécierait définitivement pas que je n’ai pas été capable de tenir ma langue. Donc oui, comme je le lui avais déjà dit plusieurs fois, je comptais bien tenir ma langue, même si ça ne m’arrangeait pas vraiment. Et si une partie de moi voulait le pousser un peu et le convaincre d’être honnête avec son fils, je n’étais pas assez idiot pour tenter le coup, pour deux raisons : la première, c’est que je savais pertinemment qu’il ne m’écouterait pas. La seconde, c’est que je me doutais bien qu’il risquait de se braquer. M’enfin, peu importe. Je me retiens de froncer les sourcils quand je le vois faire un pas en arrière, me retenant de faire la moindre remarque sur le sujet, préférant faire comme si de rien n’était. « Tant mieux. » Doppler était pas vraiment du genre à être capable de blesser qui que ce soit mais, techniquement, on sait jamais.
La question qu’il me pose par la suite m’interpelle, par contre. Si elle est posée le plus naturellement possible -et là-dessus, bravo-, je me doute bien que ce n’est pas une simple question de ce genre-là. Je n’irais pas jusqu’à dire que c’était une forme de test, parce que je n’en savais absolument rien, mais disons que d’après moi, la question se posait. Mais, encore une fois, je préférais continuer de faire comme si de rien n’était. « Tous les matins, oui, c’est ma routine avant d’aller au boulot, en général. Puis ça permet à Doppler de se dégourdir les pattes, c’est pas plus mal. » Quand je peux, j’essaye de repasser chez moi entre midi et deux, mais j’ai rarement vraiment le temps de le faire et, du coup, je me retrouve à ne pouvoir le refaire se balader que le soir. En soi, il s’est habitué à se rythme, mais disons que j’essaie d’en faire le plus possible, il est clairement la prunelle de mes yeux, ce petit chiot. « Et toi ? » Je ne l’avais jamais croisé dans le coin, à vrai dire. Mais à la fois, Central Park est immense, donc c’est plus que possible que l’on ait été dans le même parc à plusieurs reprises sans pour autant se croiser. Il faut dire qu’en général, le matin, j’ai tendance à être dans mes pensées et à ne pas faire penser à mon entourage. Du coup, évidemment, c’est même possible qu’on ait été dans la même zone du parc sans que l’on se croise pour autant. Doppler, pendant ce temps-là, finit par revenir à mes pieds, frottant sa tête contre ma main, comme en recherche d’affection, probablement parce que je ne lui portais pas assez d’attention. Je baisse la tête vers lui, commençant à lui gratter la tête, un petit sourire s’étendant sur mes lèvres en le regardant. Je finis par relever la tête vers Enzo, continuant de caresser Doppler. « Je suis vraiment désolé pour lui, en tout cas. Il est du genre à être un peu surexcité, il est encore jeune.. Il a dû voir un truc qui l’intéressait chez toi, je sais pas trop. » Parce que clairement, il ne faisait pas ce genre de choses avec tout le monde, ça, c’était une certitude. Il avait eu sa phase quand il était bébé, mais elle avait fini par s’atténuer, même si je ne pouvais pas prétendre qu’elle avait complètement disparu, la preuve ce matin.
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