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Ce qui es à toi est à moi...

Carmelo Greco
If it fits, I sits !
Célébrité : Rob Raco
DC : //
Crédits : Babs
Habitation : Un appartement miteux dans Brooklyn officiellement. Offieusement il squatte chez son meilleur ami Roman, chez qui le frigo est plus remplis que le sien...!
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# Ven 1 Mar 2024 - 11:04 • •
>> Carmelo Greco


...Et ce qui est à moi est à moi aussi.

Le Bronx. Il y avait à boire et à manger ici. D’un côté des quartiers qui essayaient de se réhabiliter et de l’autre une population criminelle grandissante. Et tout ça semblait se mélanger dans une sorte de melting pot assez indigeste. Carmelo n’y passait pas toujours de longs moments. Il avait beaucoup faire partit de la coure des miracles si l’on peut dire, il n’était qu’un tout petit poisson. Il y avait des quartiers moins dangereux et parfois aussi plus intéressant pour lui lorsqu’il était question d’arnaquer quelques touristes ou campagnard venant tester l’adrénaline de la grande New-York !

Mais voilà, il s’était déplacé dans le coin pour voir un vieux pote -façon de parler- et puisqu’il était là, il n’allait pas cracher sur l’occasion de faire une ou deux poches au hasard d’une bousculade ou de l’attente à un feu rouge. Et puis ça lui permettait de faire aller ses doigts qui étaient en train de geler. Avec de la chance il accumulerait quelques dollars. De quoi prendre un verre quelque part avec Roman si ce dernier était d’humeur à sortir. Ou de quoi leur payer une pizza, histoire que son meilleur ami cesse de dire qu’il vivait à ses crochets !

A ce stade, Carmelo est un peu sur pilote automatique. Pèle mêle dans ses poches il a une montre sans valeur, un étui de lunettes de soleil bon marché et même un sachet d’herbe donc il se débarrasse très rapidement d’ailleurs. Carmelo s’est déjà fait attraper et avoir de la drogue ça pose carrément plus que de la pacotille qu’il peut prétendre avoir ramassé par terre, croyez-le !

En s’arrêtant à l’angle d’une rue, Carmelo vient observer sa dernière acquisition. Un type qu’il avait bousculé un tout petit peu plus loin. Poches vide si ce n’était… Des clefs. Carmelo les fait tourner entre ses doigts, dubitatif. Il allait pas piquer une voiture. Trop, trop encombrant, demandait de passer par trop d’intermédiaires pour s’en débarrasser… Pas son business ! Par contre il était motivé à l’idée de regarder ce qui pouvait se trouver sur la banquette arrière, dans le coffre, la boîte à gants…

En retournant la clef, Carmelo peut connaitre le model du véhicule. Peu de chance pour que ce soit une voiture vu le modèle. Plutôt un utilitaire ou quelque chose comme ça. Son esprit carbure un peu, tentant de calculer ses chances de trouver le véhicule à proximité. Le propriétaire pouvait venir de n’importe où… Mais il a un peu de temps à perdre, personne ne l’attendait et ça allait tromper l’ennui !

Alors Carmelo tourne un peu, fait le pâté de maison. Il n’y a pas tant de fourgonnette dans le coin à cette heure. Mes ses premiers essais sont infructueux. Il a une bonne étoile mais fallait pas pousser la chance comme on dit. A deux doigts d’arrêter de chercher et de jeter la clef dans le premier caniveau venu, Carmelo a finalement une exclamation victorieuse !

Un « ah-ha ! » victorieux avait franchit ses lèvres en même temps qu’il jetait le mégot de sa dernière cigarette sur le trottoir, l’écrasant de son talon. La clef était rentrée parfaitement dans la serrure de la portière et Carmelo l’avait ouvert sans avoir à forcer ! Victoire ! Mais il n’a pas encore pris le temps de grimper sur la banquette qu’un type s’approche. S’il avait été plus attentif un peu plus tôt, Carmelo l’aurait reconnu. Il avait une bonne mémoire des visages. Mais le côté « pilote automatique » du petit pickpocket qu’il était avait ses limites.

« Quoi ? »

Carmelo arque un sourcil alors que de toute évidence le type s’est arrêté pour lui. C’était un type pas très grand, mais plus que lui. Par contre ils étaient aussi épais l’un que l’autre vite vue comme ça. Le gang des cure-dents. Il avait le genre latin avec des traits un peu tombant et des orbites un peu enfoncé qui donnaient une sorte d’intensité à son regard.

« T’as un problème ? »

Et sans se démonter, parce qu’il fallait du culot dans la vie :

« Il te plaît mon fourgon ? Vas en voler un ailleurs. »

Non mais ! Les voleurs de nos jours… !




♠️
Diego Arriaga
New-Yorkais
Célébrité : Alejandro Speitzer
DC : Matt Roja - Enzo Forzalli - Billie Davis - Elena Flores - Jackson Blake - Liam Keller
Crédits : Avatars : Eden Memories
Infos diverses : ❧ Il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol.

❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.

❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père. C'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.

❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.

❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.

❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !

❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !

❧ Très bon cuisinier, même en dehors de son Food/Drugs-Truck



Ce qui es à toi est à moi... B2v4

Habitation : Son Food Truck dort dans un entrepôt de Jackson Heights. Lorsque Diego se réveille, il a une vue imprenable sur son outil de travail puisqu'il a aménagé un appartement en duplex de ce vieux hangar
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Infos diverses : ❧ Il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol.

❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.

❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père. C'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.

❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.

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❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !

❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !

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❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père. C'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.

❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.

❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.

❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !

❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !

❧ Très bon cuisinier, même en dehors de son Food/Drugs-Truck



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Habitation : Son Food Truck dort dans un entrepôt de Jackson Heights. Lorsque Diego se réveille, il a une vue imprenable sur son outil de travail puisqu'il a aménagé un appartement en duplex de ce vieux hangar
# Dim 10 Mar 2024 - 20:11 • •
>> Diego Arriaga

   
Ce qui es à toi est à moi...
@Carmelo Greco  & Diego Arriaga
“Le voyageur qui n'a rien passera en chantant devant les voleurs.” - De Juvénal
Les merdes, tu les accumules. C’est à croire que le mauvais œil s’est fait une joie de se pencher sur ton berceau à la maternité. Rectification, si on analyse vraiment ta situation, le mauvais œil, est venu te trouver avant même ton premier cris dans ce monde ! Parents défaillants, bicoque délabrée au milieu d’un bidonville mexicain, enfance merdique… Ouai, vraiment, Diego, tu es un poissard. Depuis ta naissance. Et rien ne s’arrange depuis. Dans ton malheur, tu as eu la chance de pouvoir changer de pays. Les États-Unis t’ont accueilli presque les bras ouverts pour t’offrir une vie meilleure. Quoi que. À regarder de plus près, on ne peut pas réellement dire que tu sois mieux ici que là-bas. Ou si, quand même. À New York, il n’y a plus de coups. Presque. Pas de la part de ton paternel en tout cas. À New York, il n’y a plus de drogues. En fait, si, carrément qu’il y a de la drogue dans ton quotidien. Tu n’es plus totalement sa victime, c’est la seule différence. Ici, tu es plus du côté du bourreau. Ce n’est pas mieux. Clairement pas mieux. À New York, il y a ta fratrie heureuse. Ah ça oui, et rien que pour ça, tu bénis ta vie, Diego. Malgré tout tes emmerdes, toutes tes embrouilles, toutes tes malchances, tu n’échangerais cette part de toi pour rien au monde. Parce que tu les aimes ces petites bouilles. Tout ce que tu fais depuis toujours, c’est pour eux. Pour leur offrir tranquillité, calme et sécurité. Quitte à ne jamais les avoir pour toi. Ça, ce n’est pas grave. Tout ce que tu veux, c’est que les autres Arriaga soient heureux.

Heureux, tu pourrais l’être. Il suffirait de quelques changements. Il te suffirait de voir un ou deux de tes vœux exaucés et ce serait bon. Tu ne demandes pas grand-chose. Tu te contentes de peu et… Et punaise, si déjà tu pouvais éviter d’oublier tes clés, tu serais le plus heureux. Attends, réfléchis deux secondes Diego. Tu es venu avec ta camionnette jusqu’ici. Tes clés, tu les as mis dans la poche de ton hoodies, et tu ne les en as pas ressorti depuis. Pourtant, alors que tu te rapproches de ton véhicule, tu ne les retrouves pas.

Tu tires la poche avant de ton sweat sur l’extérieur, rien. Tu vérifies dans les poches de ton jean, rien. Ce n’est pas possible ! Ton food truck est en vue, et là, tu fronces les sourcils. Il y a un type qui serre la poignée de la portière dans sa main, et qui parvient sans aucune difficulté à l’ouvrir. Tu… Ce visage. Puta*n ! Tu le reconnais, il t’a bousculé il y a quelques minutes. Mais comment et pourquoi ouvre-t-il ta camionnette ?! Tu accélères le pas sans le quitter des yeux, puis tu remarques que, à son tour, il te voit arriver.

Quand il te conseille d'aller voler un autre fourgon, ton regard se baisse, et dans sa main, tu peux aviser un jeu de clés, « Tu te fous de ma gueule ? ».

Tu n’es pas du genre violent. Habituellement, c’est plutôt toi qui te fais chahuter. D’ailleurs, cela t’arrive beaucoup trop souvent depuis ce petit souci de dette envers les Alvarez. En réalité, tu te fais chahuter depuis beaucoup trop longtemps tout court. Et le gamin de bidonville que tu es, commence à sérieusement en avoir ras la casquette. Tu subis ta vie, constamment. Tu fais un beau punching-ball, le parfait petit martyr. Et tu en as marre.

« Non, non, je n’ai pas de problème. Tu sais quoi, tu n’as qu’à garder mes clés, te casser avec ma caisse et... Tu sais quoi, je vais te filer mon numéro comme ça tu pourras m'envoyer la note de la prochaine station service, ça te va ? », le sarcasme, ça non plus ça ne te ressemble pas.

Et de deux choses qui ne te ressemblent pas, Diego, tu en fais ton portrait craché. Poussant celui que tu comprends être un voleur éhonté contre la carrosserie de ta camionnette, tu attrapes sans grand ménagement son poignet pour récupérer ton bien.

« Il me semble que cela, ça m’appartient. »
, soudainement, ta voix se fait moins sûre. Tu percutes ton geste. Et le naturel revient au triple galop. Alors que ton avant-bras bloque le chapardeur, tes pommettes se teintent d’une teinte de rouge. Tu n’es pas aussi cramoisie qui peut t’arriver de l’être, parce qu’il y a encore cette part de colère en toi qui amoindrit ta gêne, mais ton emprise sur le corps de l’inconnu se fait moins forte, « Je... ». Merde, tu es vraiment un putain de crétin ! « Rends-moi simplement mes clés et on en parle plus. », ouai, vraiment, tu es un crétin. Le gars te vole, il s’apprêtait à se casser avec ton gagne-pain rempli de dopes, ce qui allait clairement ne faire que t’enfoncer encore un peu plus dans la merde voire te balancer tout droit au fond d’un trou, et toi, tu es à deux doigts de t’excuser pour ton emportement. Y’a vraiment un truc qui ne tourne pas rond chez toi !


En Espagnol dans le texte

   
(c) princessecapricieuse

   




   
Drugs in Food
Carmelo Greco
If it fits, I sits !
Célébrité : Rob Raco
DC : //
Crédits : Babs
Habitation : Un appartement miteux dans Brooklyn officiellement. Offieusement il squatte chez son meilleur ami Roman, chez qui le frigo est plus remplis que le sien...!
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# Lun 11 Mar 2024 - 13:38 • •
>> Carmelo Greco


Carmelo arque un sourcil alors que le type s’énerve un brin. Il aurait déjà dû faire A+B, et sûrement que c’est fait dans un coin de sa tête… Mais aussi spontanément que l’autre lui avait demandé s’il se foutait de sa gueule, Carmelo s’entend répondre :

« Ben pas encore mais insiste un peu, ça va venir. »

Sauf que Averell Dalton se transforme deux secondes en Joe Dalton pour venir le plaquer contre le fourgon et Carmelo a un « wow wow wow ! » de surprise pure ! Il était plus vif qu’il en avait l’air le latino !

Son regard ne quitte pas l’autre gars qui commence à lui péter un câble sérieusement. C’est drôle parce que j’en général ceux qui sont du genre à frapper font pas vraiment de longs discours avant. Ou alors ils ont l’air réellement menaçant. Lui… Ben il avait l’air menaçant comme Roman lorsqu’il lui demandait de faire la vaisselle quoi. C’est-à-dire qu’il avait « vraiment » l’air énervé et qu’en même pas il avait pas l’air de l’être assez pour lui enfoncer un tournevis dans le cœur ou un coupe-papier dans l’urètre. Rien que d’y songer, Carmelo a une petite grimace en serrant un brin les cuisses d’ailleurs…

« Alors déjà, comment ça pourrait être « ton fourgon » puisque c’est moi qui aie les clefs ? »

D’accord, peut être que juste là il commençait à le prendre pour un abruti. Mais si Carmelo avouait cash avoir volé ce type, c’était game over. Là il gagnait du temps. Ou alors il en faisait perdre à ce mec. En tout cas le gars vient lui arracher les clefs du fourgon en relâchant un peu sa prise… Mais par sécurité Carmelo fanfaronne quand même pas non plus, ne bougeant pas.

« Techniquement c’était à moi puisque tu viens de me le prendre. »

Il se retrouve à nouveau acculé, cette fois avec un avant-bras fort mal placé et Carmelo a un petit bruit de gorge tandis qu’il lui écrase un brin la trachée. Sa main libre vient attraper cet avant-bras pour tirer un peu dessus. Il pouvait encore respirer mais il allait virer bleu dans quelques minutes quand même s’il persistait. Carmelo c’était pas le roi du cardio. Et son cœur battait vite en plus là.

Sa main qui tenait les clefs s’ouvre pour laisser apparaître la clef du véhicule et tandis que la pression se fait un peu moins lourde sur sa gorge, il toussote pour récupérer son oxygène !

« Ah putain, le tueur timide quoi… »

Ses hésitations et le rouge qui lui était monté aux joues… Sans les lampadaires il n’y aurait peut-être vu que du feu mais là non.

« T’es tombé amoureux en collant ton nez à 10 centimètres du miens ou quoi ? »

Carmelo vient repousser plus sèchement l’autre type, massant sa gorge encore un brin douloureuse.

« J’ai une voiture, j’en veux pas de ton tas de ferrailles. »

Pas pour ça qu’il allait davantage s’expliquer sur ce qu’il cherchait ! Les aveux c’était rarement son truc !

« Tu défends ce truc comme si t’avais de l’or à l’arrière ! »

Et à cause du léger blanc qui s’installe, ou qu'il croit voir s'installer :

« Attends… t’as des lingots d’or à l’arrière ??? »




♠️
Diego Arriaga
New-Yorkais
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Infos diverses : ❧ Il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol.

❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.

❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père. C'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.

❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.

❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.

❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !

❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !

❧ Très bon cuisinier, même en dehors de son Food/Drugs-Truck



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Infos diverses : ❧ Il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol.

❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.

❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père. C'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.

❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.

❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.

❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !

❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !

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❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.

❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père. C'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.

❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.

❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.

❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !

❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !

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# Jeu 11 Avr 2024 - 18:51 • •
>> Diego Arriaga

   
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@Carmelo Greco  & Diego Arriaga
“Le voyageur qui n'a rien passera en chantant devant les voleurs.” - De Juvénal
La violence, tu détestes cela. Tu l’as bien trop subit pour l’accepter ou en être l’auteur. Baignant dedans depuis gamin, insidieusement. Amenée par ton propre père pour la violence physique et moral, tu préfères t’en tenir éloigné. Pourtant, elle te colle à la peau. Comme si tu étais voué à la côtoyer, à l’éprouver et à la supporter. Tu en pâtis depuis trop longtemps, la laissant mener ta vie sans broncher. Les coups, tu ne les as jamais rendus. Que ce soit ceux de ton géniteur ou de quiconque. Cette fichue violence, tu t’es toujours résigné à la voir gagner du terrain. Alors pourquoi est-ce que, aujourd’hui, tu t’autorises à plaquer ce type contre la carlingue de ton food truck ? Certainement pas par envie d’en découdre. Non, certainement pas. Ce n’est pas toi. Toi, Diego Arriaga, tu évites inlassablement de te servir de tes poings. Même lorsque tu devrais. Même lorsque l’injustice vient te frapper de plein fouet. Si, sur le moment, tu agis ainsi, c’est uniquement par peur. Peur de voir ta camionnette s’envoler au loin. Peur de voir ton gagne-pain se faire la malle. Peur de devoir expliquer à tes superviseurs une nouvelle perte de came… Peur de mourir à cause de ce mec qui croit que ce qui est à toi peut également être à lui. Peur d’abandonner les tiens, de les laisser en proie à ces problèmes qui t’appartiennent et qui leur retomberont forcément dessus en cas de pépin.

Ton bras sur sa gorge, c’est cela qui te fait revenir petit à petit à la réalité. Cette situation, tu l’as déjà vécu, mais dans le sens inverse. C’est toi qui es habituellement acculé. La différence reste néanmoins énorme ; toi, tu n’as jamais été prise sur le fait, pris la main dans le sac en plein vol de véhicule. Ça aurait pu, à l’époque où tu piquais quelques médicaments à droite, à gauche, dans diverses pharmacies de la ville afin de lancer un business qui te coûterait bien plus cher plus tard. Qui te coûte si cher aujourd’hui.

Tu ne trouves rien à redire à son baratin. Il se fout littéralement de ta gueule en insinuant que tu lui piques ce qui lui appartient. Pour autant, prenant conscience de ton geste, tu remets les pieds sur terre pour relâcher quelque peu ta prise. Continuant de lorgner sur les clés que tu finis par récupérer alors qu’il les libère, tu grimaces quand il te qualifie de tueur, puis tu rougis de plus belle alors qu’il discerne ta timidité. Puta*n, tu fais vraiment un piètre bad boy !

La phrase qui suit ne fait qu’augmenter ton malaise, « Que… Quoi ? Mais non ! ». Ouai, ta défense est merdique. Amoureux. Toi. De lui. D’un homme. En dix secondes. Il n'est clairement pas bien dans sa tête ce type ! Tes joues rouges n’ont rien à voir avec ça. Tu es juste en colère. Et… Pourtant ta véhémence d’un peu plus tôt retombe comme un soufflé. Les bras ballants, tu le laisses te pousser en opposant aucune résistance aux quelques pas que tu fais en arrière. Encore une fois, tu es presque sur le point de t’excuser, alors que c’est lui qui fait de la merde. Diego, t’es qu’un crétin. Un faible. Un… Tu n’as même pas les mots pour décrire ta stupidité et ton incapacité à te protéger.

« Casse-toi, mon tas de ferraille et moi on a d’autres choses à faire que de perdre notre temps avec une andouille. », tu reprends un peu du poil de la bête tandis que, d’une main sur son épaule, tu le pousses légèrement pour libérer le passage vers la portière du conducteur.

Alors que tu t’apprêtes à monter dans ton véhicule à te barrer fissa d’ici, tu te figes. Merde, est-ce qu’il aurait la moindre idée de ce que tu transportes ? Impossible. Tu en es certain, c’est la première fois de ta vie que tu le vois, il n’ai jamais venu te commander la moindre dope. Ce n’est pas marqué sur ton visage que tu te ballades avec tout plein de pilules sympathiques qui valent la peau des fesses. Si ? Non ! Franchement, tu devrais prendre des cours de théâtre, ça ne te ferait pas de mal Diego… Parce que, quand tu te pivotes dans sa direction, ton air inquiet doit être plus visible que le gyrophare d’une ambulance en pleine nuit.

« Si j’avais de l’or, tu crois vraiment que je roulerais dans ce machin qui est à deux doigts de perdre une roue ? »
, tu dis ça la mort dans l'âme, car ton food truck, tu en es fier. Tu l’as retapé à la seule force de ton entêtement, et, à présent, il ressemble vraiment à quelque chose ! Car lorsque tu l’as récupéré dans cette décharge, la camionnette faisait réellement peine à voir et personne n’aurait misé sur elle. Toi, c’est tout ce qui rentrait dans tes moyens, et tu t’acharnes encore aujourd’hui à la maintenir en parfait état de fonctionnement tout en lui prêtant une allure agréable pour ameuter de futurs potentiels clients. D’un mouvement du menton, tu désignes l’enseigne peinte à même la carrosserie ; Burrito Ambulant et Cie, « Je n’ai que des avocats et du mezcal. Pas de quoi faire fortune. ».

Tu n’as jamais été un très bon menteur. Avec tes frangin-es tu t’en sors parce qu’ils te pensent incapable de leur sortir le moindre bobard et qu’ils te font entièrement confiance, mais rien ne garantit que ce sera la même chose pour ce type. Qu’importe, tout ce qui compte, c’est qu’il te lâche les baskets alors tu ouvres la portière afin de t’installer sur le fauteuil conducteur, « Si tu veux des lingots, va braquer une banque. Je ne te dis pas à bientôt ! ». Pourtant, tu ne refermes pas immédiatement la portière. Tu jettes un coup d’œil dans sa direction, sur sa gorge plus précisément, « Mets un linge froid, ça évitera le gonflement. »



En Espagnol dans le texte

   
(c) princessecapricieuse

   




   
Drugs in Food
Carmelo Greco
If it fits, I sits !
Célébrité : Rob Raco
DC : //
Crédits : Babs
Habitation : Un appartement miteux dans Brooklyn officiellement. Offieusement il squatte chez son meilleur ami Roman, chez qui le frigo est plus remplis que le sien...!
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Habitation : Un appartement miteux dans Brooklyn officiellement. Offieusement il squatte chez son meilleur ami Roman, chez qui le frigo est plus remplis que le sien...!
# Lun 15 Avr 2024 - 12:03 • •
>> Carmelo Greco


Carmelo trouverait presque la situation amusante, si elle n'avait pas un côté dangereux et/ou risqué. C'est juste que le type en face de lui à l'air d'être du genre à pas trop savoir sur quel pied danser. Dans une série policière il serait à la fois le bad cop et le good cop. Il rougit, il bafouille, il grogne. Et Carmelo se fait agaçant sûrement en imitant un peu ces marques d'hésitation et d’appréhension. Mais c'est un peu la rue qui veut ça. Dans un duel, faut pas se montre comme étant le plus petit poisson. Ils le savent tous les deux et quelque chose lui dit qu'ils ne sont pas plus violent l'un que l'autre en réalité. Mais Carmelo a moins d'hésitation peut être. Moins de culpabilité à agir contre les intérêts du mec en face de lui si ça veut dire sauver sa peau ou ne pas complètement perdre la bataille.

« C'est sûr t'as l'air crédible mon bichon. »

Et histoire de railler un peu :

« Tu prends combien pour une petite pipe sur le siège du fourgon ? »

En vrai Carmelo payait pas pour ça. On avait tous une limite plus ou moins définie. La sienne elle était là. Monnayer un truc pareil ça lui semblait improbable. Mais il était un grand parleur quoi ! Les clefs changent de mains. L'italien ne dit rien au début, toujours avec une petite gouaille assassine. Si ce type avait une arme, il l'aurait déjà sortit n'est-ce pas ? Il faut beaucoup de colère pour en venir aux poings. Et l'intention nette dès le départ de faire mal. C'était plus facile de sortir un flingue ou même à la rigueur une arme blanche pour impressionner. Faire parler la peur avant d'aligner soi-même trois mots.

« Sérieux ? Une andouille ? Mais t'es le bad boy de la maternelle du quartier ou quoi ? Ton meilleur fait de gloire c'est d'avoir volé son goûter à Jordan le caïd des 5-8 ans ? Et avant « pas trop de bleus » encore ! »

Ils se bousculent un peu... Et désolé, c'est plus fort que lui, Carmelo chipe les clefs du mec une seconde fois, tout en discrétion. Il est tellement énervé que c'est presque « plus facile » de toute façon.

Mais le pire, ça reste ce bug qui semble se prendre de lui à propos de ce que contient la fourgonnette. Pas vraiment une fourgonnette d'ailleurs ! C'est un food-truck. Carmelo en ricane un peu en lisant la peinture écaillé par endroit, pas franchement flambante neuve... ! Un peu comme la carlingue générale quoi.

« Ça se remarquerait moins que dans un véhicule blindé dans le quartier en tout cas. »

Ceci étant dit, ne manquant jamais de culot :

« J'ai un p'tit creux. Laisse l'alcool, mais je veux bien un truc à becter. »

Carmelo ignore la réflexion sur la banque. Le type n'allait pas aller très loin sans ses clefs. Du coup il ne se presse pas, passant juste sa main libre sur sa gorge alors que l'autre en parle. Et toujours un peu taquin :

« T'as l'habitude ? T'es du genre sado-maso du coup ? L'étranglement érotique, tout ça... »

Ceci étant dit :

« J'crois le linge froid le plus proche il doit pas être loin d'être dans ton garde manger. »

En plus il était toujours un peu curieux de voir ce qu'il y avait à l'intérieur. Et levant sa seconde main pour montrer les clefs qui pendaient au bout de ses doigts à nouveau.

« T'as fait tomber un truc. »

Il s'éloigne d'un pas, rejoignant ses deux mains avant de les ouvrir vide devant la tête du mec dans son fourgon.

« Oups ! Disparues ! »

Et de redemander encore :

« J'ai faim ! »

Carmelo refusait pas la bouffe gratuite.




♠️
Diego Arriaga
New-Yorkais
Célébrité : Alejandro Speitzer
DC : Matt Roja - Enzo Forzalli - Billie Davis - Elena Flores - Jackson Blake - Liam Keller
Crédits : Avatars : Eden Memories
Infos diverses : ❧ Il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol.

❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.

❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père. C'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.

❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.

❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.

❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !

❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !

❧ Très bon cuisinier, même en dehors de son Food/Drugs-Truck



Ce qui es à toi est à moi... B2v4

Habitation : Son Food Truck dort dans un entrepôt de Jackson Heights. Lorsque Diego se réveille, il a une vue imprenable sur son outil de travail puisqu'il a aménagé un appartement en duplex de ce vieux hangar
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Infos diverses : ❧ Il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol.

❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.

❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père. C'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.

❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.

❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.

❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !

❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !

❧ Très bon cuisinier, même en dehors de son Food/Drugs-Truck



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Infos diverses : ❧ Il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol.

❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.

❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père. C'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.

❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.

❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.

❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !

❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !

❧ Très bon cuisinier, même en dehors de son Food/Drugs-Truck



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# Dim 28 Avr 2024 - 16:17 • •
>> Diego Arriaga

   
Ce qui es à toi est à moi...
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“Le voyageur qui n'a rien passera en chantant devant les voleurs.” - De Juvénal
Si son allusion quant au fait qu’il puisse te plaire t’a fait monter le rouge aux joues, celle qui suit, celle parlant d’une gâterie que tu pourrais lui prodiguer dans ta camionnette, te fait devenir totalement cramoisie. Cramoisie et figé. Plus figé que la Statue de la Liberté ! Il est complètement fade et… Bon sang, pourquoi ton cœur s’emballe comme ça ? Pourquoi tu… « Ne prends pas tes rêves pour la réalité. ». Ta phrase est dite mollement, parce que tu es plutôt stupéfait de la tournure de la conversation et que tu n’as jamais été très doué dès que de tels sujets sont mis sur le tapis. Toi, ça te gêne. Et si ça te gêne, ce n’est pas parce que tu es totalement novice en la matière – contrairement à ta sœur – mais plutôt parce que tu es pudique. Pudique et … Merde, c’est un mec quoi ! Jamais tu… Diego, ferme là et arrête de ressasser ces conneries.

Tu récupères tes clés. Ton but est simple : couper court à cette discussion sans queue ni tête et te casser rapidement. Mais, une fois encore, tes mots sont ridicules. Tu ne sais pas te montrer méchant, blessant, cassant ou quoi que ce soit de ce genre. Alors oui, tu viens de le traiter d’andouille alors qu’il essaie de te voler… T’es vraiment un naze !

Tes sourcils se froncent. Le brun parle vite, et tu ne saisis pas l’intégralité de ces paroles. Tu comprends qu’il se moque allègrement de toi, mais tu ne parviens pas à voir le lien entre le goûter d’un môme et ta personne. Au fond, tu bouillonnes, mais tu ne trouves rien à répliquer, car tu sais pertinemment qu’il continuera à se foutre de ta gueule. Puis vient le sujet de ton food truck. Il mentionne l’arrière de la camionnette qu’il allait voler comme si celle-ci contenait un gros trésor, et, là encore, tu es plus lisible que la couverture d’un livre.

Te défendant comme tu le peux pour lui prouver que son idée est stupide, il te fait remarqué que se balader avec un fourgon blindé serait nettement moins discret et que donc tu as peut-être trouvé le parfait camouflage. Il ne croit pas si bien dire ! Sauf que ce ne sont pas des lingots que tu transportes… Pour couper court à cette conversation qui t’agace de plus en plus, tu t’installes derrière le volant sans réagir à son envie de grignoter quelque chose. Tu ne vas tout de même pas être aussi stupide en proposant de remplir l’estomac du petit voyou qui tente de te dérober ton bien le plus précieux ! Si ? Non ! Pas dans l’immédiat en tout cas…

Mais si tu n’es pas prêt à le sustenter, tu te montres tout de même sous ton vrai jour en lui donnant un conseil pour sa gorge. Les coups, tu connais, et aussi crétin que cela puisse paraître, tu t’en voudrais de savoir qu’un type porte des marques liées à tes gestes… Sans doute aurais-tu dû t’abstenir ! Voilà que le rouge à tes joues revient de plus belle !

« Non ce n’est pas vraiment mon truc, mais on a tendance à aimer me prendre pour un punching-ball ! », merde, pourquoi tu lui balances ça toi ? Mais t’es vraiment con ma parole ! Puis tu lèves les yeux alors qu’il repart sur ton garde-manger, simplement parce qu’il doit avoir envie de vérifier sa théorie des lingots. Ce mec n'est pas croyable. Buté et insupportable.

Cherchant tes clés, tu ne les trouves pas. Attends… Pourtant, tu les avais dans la main, non ? Tu ne te souviens pas les avoir rangées dans une de tes poches et… Mais il se fout de toi !!! Tu le vois fanfaronner avec ton trousseau à nouveau entre ses doigts. Descendant de ton perchoir, tu sautes sur le trottoir afin de les récupérer ; Encore !

« Rends-les moi merde ! »
, tu fais un pas dans sa direction, la main levée pour te saisir de son bras quand tu le vois joindre ses paumes pour mieux les rouvrir. Tes yeux s’écarquillent, « Mais… Elles sont où ? ». Ses mains sont vides alors que tu ne les as pas quittées du regard. Diego, tu es partagé. Entre être ébahi, stupéfait, énervé, décontenancé, subjugué, impressionné. La magie, ce n’est pas quelque chose que tu connais. Gamin, dans ton bidonville, ce n’était pas vraiment le genre de spectacle auquel tu avais l’opportunité d’assister, et depuis ton arrivée au USA, tu as clairement d’autres chats à fouetter.

Il te redit qu’il a fait. Tu n’en fais pas cas, toujours abasourdi par la disparition de tes clés, « Co… Comment tu as fait ça ?! ». Doucement, tu t’approches de lui et, cette fois-ci, tu attrapes vraiment ses bras. Les deux. En même temps. Tu les soulèves tout en observant attentivement la silhouette du gars. Tu dois ressembler à un abruti sorti tout droit d’un asile pour fou ou alors à un imbécile qui sort tout juste de sa cambrousse dans laquelle il a passé toute sa vie. Qu’importe, il n’y a plus aucune colère ou aucun agacement. Tu es juste intrigué, ce qui te pousse à faire et à proposer ce que tu n’imaginais pas il y a ne serait-ce que quelques minutes, « Je te file un truc à manger si tu me dis comment tu as fait. ». Un sourire de grand enfant éberlué sur les lèvres et des yeux qui pétillent à la fois d'incompréhension et d'émerveillement, tu baisses ta garde pour redevenir ce jeune homme gentil, un peu trop crédule et sans la trace de méfiance que tu es.

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