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Une semaine, c'est court. Mais tu m'as manqué quand même. - Diamond L. Lebenstraum

Luna-Sophia Cunningham
New-Yorkais
Célébrité : Josephine Langford
DC : -
Crédits : Avatar : Moore
Infos diverses : 1/ Tu te mets beaucoup de pression, et ça ressort dans de violentes crises d'angoisse. Tu commences par bégayer légèrement, puis tu suffoques, ton coeur s'emballe, tu pleurs. Tu perds le contrôle de tes émotions.

2/ Tu es une artiste dans l'âme. Tu dessines merveilleusement bien, cet art te porte et tu le combines à la perfection avec les nouvelles technologie, créant des œuvres parfaites mêlant classicisme et modernité grâce à des logiciels perfectionnés. En dehors de ton coup de crayon, tu pratiques également la musique. Violon, piano et harpe ont ta préférence, mais tu apprécies de te défouler sur les tambours d'une batterie quand l'occasion se présente.

3/ Tu es Néerlandaise par ta mère. Elle n'a pas beaucoup participé à ton éducation, mais elle t'a tout de même inculqué le savoir-vivre d’Amsterdam, ville où elle a grandi avant de venir s'installer à New York ; c'est pourquoi, dans ta vie de tous les jours, tu préfères la marche à pied ou le vélo aux longs trajets en taxi. La circulation dans la Grande Pomme est dense, mais cela ne t'inquiète pas et tu slalomes entre les voitures au rythme des tours de pédales de ton vélo électrique avec l'insouciance de ton âge.

4/ Durant l’été de tes 15 ans, tu as fait la connaissance d’un homme. Grand, avec de la prestance et un sourire à tomber à la renverse. Il s’est installé debout à côté de toi tandis que tu observais attentivement une sculpture de l’exposition temporaire du Guggenheim. Vous avez parlé, longuement. Vous avez ri, beaucoup. Tu as senti ton cœur s’emballer tant vous partagiez d’avis similaires. La conversation s’est éternisée sans que tu ne t’en rendes compte, l’un des vigiles du musée avait dû venir vous dire qu’il était temps de partir, que la fermeture avait sonné. Une fois à l’extérieur, vous vous étiez quittés en vous saluant poliment, mais tu ne pus te résoudre à le laisser s’évaporer dans la nature alors tu rebroussas chemin pour lui confier ton numéro de téléphone, puis tu le regardas dans les yeux pour lui dire de te contacter rapidement. Tes mains devenues moites, tu peinais à respirer calmement. Luna, tu n’avais jamais ressentie cela auparavant, et tu rentras bouleversée par ces émotions. La porte de ton appartement n’avait pas été ouverte, tu n’eus pas l’envie de te retrouver seule et c’est tout naturellement que tu avais rejoint ta meilleure amie et sa famille. Ton étrange silence au cours de la soirée ne passa pas inaperçu, ton retrait dans la bibliothèque non plus. Erik, que tu considérais alors comme le père que tu n’as jamais eus, vint te voir. Tu lui expliquas ton après-midi, tu lui parlas de cet homme, de cette voix, de ces yeux si perturbant. C’est en évoquant ce détail que l’évidence te frappa. Cette couleur, tu la connaissais. C’était la même que celle que tu pouvais voir dans le miroir. Tu venais de rencontrer ton géniteur, tu en étais persuadée. La dure réalité de cette histoire, c’est que tu ne reçus jamais aucun appel, ni aucun message, cette rencontre fut unique. Elle resta gravée dans ta mémoire.

5/ Tu as toujours mis un point d'honneur à ne pas t'offrir à n'importe qui, après tout, tu es le fruit d'une histoire sans lendemain, une enfant surprise, non désirée, et tu préfères ne pas réitérer les erreurs de tes parents. Ta virginité était précieuse à tes yeux, et tu ne voulais pas que le premier venu puisse venir la cueillir. Il te fallait quelqu'un de spécial. Ton professeur de piano, ce fut sur lui que tu jetas ton dévolu. Il était beau et talentueux. Il avait le double de ton âge, soit 34 ans tandis que toi, tu en avais 17. Cet homme, il parvenait à provoquer en toi un sentiment particulier. Lorsqu'il déposait ses yeux sur toi, tu les sentais te brûler la peau. Quand ses larges mains prenaient place sur tes épaules, son torse contre ton dos, tu frémissais systématiquement. Il ne faisait que te féliciter pour le passage délicat que tu avais réussi à jouer, et toi, tu lui répondais que c'était grâce à lui, uniquement grâce à lui. Pourtant, tu t'étais acharnée à pianoter ces notes durant des heures, juste pour le voir sourire et être fier de toi. Tu l'avais désiré, et tu l'avais eu. C'eut été doux, tendre. Au début. Car rapidement, ses gestes s'étaient faits plus fermes, sa voix plus tranchante alors qu'il t'avoua avoir envie de te goûter depuis des mois. Tu n'étais pas dupe, tu le savais parfaitement et tu n'avais fait qu'attiser sa convoitise depuis que vos regards s'étaient croisés pour la première fois.

6/ Fut une époque où tu pouvais prétendre avoir accès à tout. Ta mère avait une belle carrière dans le mannequinat et le nombre incroyable de beaux-pères s'étant succédé les uns après les autres lui avait permis de s'offrir un joli train de vie. Elle t'en faisait bénéficier en remplissant généreusement ton compte en banque. Si ton porte-monnaie ne manquait pas de son soutien, pour toi par contre, elle restait un fantôme beaucoup trop absent. Cependant, c'est une époque révolue. Son énième fiancé est parti, s'essoufflant sous ses caprices et un nouveau a débarqué. Ce dernier est sans le sou, ce qui est une grande première pour ta matérialiste de mère. Peut-être a-t-elle trouvé le grand amour cette fois-ci... Tu pourrais être heureuse pour elle si seulement elle n'était pas allée s'installer à Los Angeles, te laissant seule - encore - alors que des huissiers viennent frapper à la porte de votre appartement new-yorkais. Ta mère ne paie plus le loyer depuis des mois, et il t'est demandé de quitter les lieux d'ici quelques semaines si aucun règlement n'est effectué. Tu as accumulé un petit pécule, ne dépensant pas l'intégralité de ton argent de poche, mais celui-ci risque de rapidement s'émietter.

7/ Tu adores la mode. Ton style soigné s'en ressent, et tu agrémentes souvent tes tenues de pièces fortes. Tu accessoirises, tu découds, tu recouds, tu modifies, tu ajoutes. Tu as longtemps boudé cet univers qui t'a privé de ta mère, puis tu as finalement compris que les podiums, les magazines ou les shootings n'étaient pas les responsables de son désintérêt pour toi. Alors tu as commencé à te rendre à des défilés, profitant de ton nom et de tes entrées pour avoir des accès privilégiés.

8/ Ton compte Instagram est rempli de clichés. Parfois sombres, parfois colorés, cela dépend de ton humeur. Tu montres ta vie comme tu l'entends, tu es reine de ton image et cela te réussit. Des dizaines de milliers de personnes te suivent. C'est grisant, réjouissant de constater qu'on t'aime sans même te connaître. Parfois, cette aventure est angoissante. Les commentaires désagréables sont réguliers, ils te minent, te déconcentrent, t'empêchent d'être lucide et te torpillent le moral quelques instants. Mais tu as la sensation d'être reconnue. On te voit, et finalement, c'est le plus important.

Habitation : Chelsea, New York. Dans un appartement avec vue sur la High Line
Célébrité : Josephine Langford
DC : -
Crédits : Avatar : Moore
Infos diverses : 1/ Tu te mets beaucoup de pression, et ça ressort dans de violentes crises d'angoisse. Tu commences par bégayer légèrement, puis tu suffoques, ton coeur s'emballe, tu pleurs. Tu perds le contrôle de tes émotions.

2/ Tu es une artiste dans l'âme. Tu dessines merveilleusement bien, cet art te porte et tu le combines à la perfection avec les nouvelles technologie, créant des œuvres parfaites mêlant classicisme et modernité grâce à des logiciels perfectionnés. En dehors de ton coup de crayon, tu pratiques également la musique. Violon, piano et harpe ont ta préférence, mais tu apprécies de te défouler sur les tambours d'une batterie quand l'occasion se présente.

3/ Tu es Néerlandaise par ta mère. Elle n'a pas beaucoup participé à ton éducation, mais elle t'a tout de même inculqué le savoir-vivre d’Amsterdam, ville où elle a grandi avant de venir s'installer à New York ; c'est pourquoi, dans ta vie de tous les jours, tu préfères la marche à pied ou le vélo aux longs trajets en taxi. La circulation dans la Grande Pomme est dense, mais cela ne t'inquiète pas et tu slalomes entre les voitures au rythme des tours de pédales de ton vélo électrique avec l'insouciance de ton âge.

4/ Durant l’été de tes 15 ans, tu as fait la connaissance d’un homme. Grand, avec de la prestance et un sourire à tomber à la renverse. Il s’est installé debout à côté de toi tandis que tu observais attentivement une sculpture de l’exposition temporaire du Guggenheim. Vous avez parlé, longuement. Vous avez ri, beaucoup. Tu as senti ton cœur s’emballer tant vous partagiez d’avis similaires. La conversation s’est éternisée sans que tu ne t’en rendes compte, l’un des vigiles du musée avait dû venir vous dire qu’il était temps de partir, que la fermeture avait sonné. Une fois à l’extérieur, vous vous étiez quittés en vous saluant poliment, mais tu ne pus te résoudre à le laisser s’évaporer dans la nature alors tu rebroussas chemin pour lui confier ton numéro de téléphone, puis tu le regardas dans les yeux pour lui dire de te contacter rapidement. Tes mains devenues moites, tu peinais à respirer calmement. Luna, tu n’avais jamais ressentie cela auparavant, et tu rentras bouleversée par ces émotions. La porte de ton appartement n’avait pas été ouverte, tu n’eus pas l’envie de te retrouver seule et c’est tout naturellement que tu avais rejoint ta meilleure amie et sa famille. Ton étrange silence au cours de la soirée ne passa pas inaperçu, ton retrait dans la bibliothèque non plus. Erik, que tu considérais alors comme le père que tu n’as jamais eus, vint te voir. Tu lui expliquas ton après-midi, tu lui parlas de cet homme, de cette voix, de ces yeux si perturbant. C’est en évoquant ce détail que l’évidence te frappa. Cette couleur, tu la connaissais. C’était la même que celle que tu pouvais voir dans le miroir. Tu venais de rencontrer ton géniteur, tu en étais persuadée. La dure réalité de cette histoire, c’est que tu ne reçus jamais aucun appel, ni aucun message, cette rencontre fut unique. Elle resta gravée dans ta mémoire.

5/ Tu as toujours mis un point d'honneur à ne pas t'offrir à n'importe qui, après tout, tu es le fruit d'une histoire sans lendemain, une enfant surprise, non désirée, et tu préfères ne pas réitérer les erreurs de tes parents. Ta virginité était précieuse à tes yeux, et tu ne voulais pas que le premier venu puisse venir la cueillir. Il te fallait quelqu'un de spécial. Ton professeur de piano, ce fut sur lui que tu jetas ton dévolu. Il était beau et talentueux. Il avait le double de ton âge, soit 34 ans tandis que toi, tu en avais 17. Cet homme, il parvenait à provoquer en toi un sentiment particulier. Lorsqu'il déposait ses yeux sur toi, tu les sentais te brûler la peau. Quand ses larges mains prenaient place sur tes épaules, son torse contre ton dos, tu frémissais systématiquement. Il ne faisait que te féliciter pour le passage délicat que tu avais réussi à jouer, et toi, tu lui répondais que c'était grâce à lui, uniquement grâce à lui. Pourtant, tu t'étais acharnée à pianoter ces notes durant des heures, juste pour le voir sourire et être fier de toi. Tu l'avais désiré, et tu l'avais eu. C'eut été doux, tendre. Au début. Car rapidement, ses gestes s'étaient faits plus fermes, sa voix plus tranchante alors qu'il t'avoua avoir envie de te goûter depuis des mois. Tu n'étais pas dupe, tu le savais parfaitement et tu n'avais fait qu'attiser sa convoitise depuis que vos regards s'étaient croisés pour la première fois.

6/ Fut une époque où tu pouvais prétendre avoir accès à tout. Ta mère avait une belle carrière dans le mannequinat et le nombre incroyable de beaux-pères s'étant succédé les uns après les autres lui avait permis de s'offrir un joli train de vie. Elle t'en faisait bénéficier en remplissant généreusement ton compte en banque. Si ton porte-monnaie ne manquait pas de son soutien, pour toi par contre, elle restait un fantôme beaucoup trop absent. Cependant, c'est une époque révolue. Son énième fiancé est parti, s'essoufflant sous ses caprices et un nouveau a débarqué. Ce dernier est sans le sou, ce qui est une grande première pour ta matérialiste de mère. Peut-être a-t-elle trouvé le grand amour cette fois-ci... Tu pourrais être heureuse pour elle si seulement elle n'était pas allée s'installer à Los Angeles, te laissant seule - encore - alors que des huissiers viennent frapper à la porte de votre appartement new-yorkais. Ta mère ne paie plus le loyer depuis des mois, et il t'est demandé de quitter les lieux d'ici quelques semaines si aucun règlement n'est effectué. Tu as accumulé un petit pécule, ne dépensant pas l'intégralité de ton argent de poche, mais celui-ci risque de rapidement s'émietter.

7/ Tu adores la mode. Ton style soigné s'en ressent, et tu agrémentes souvent tes tenues de pièces fortes. Tu accessoirises, tu découds, tu recouds, tu modifies, tu ajoutes. Tu as longtemps boudé cet univers qui t'a privé de ta mère, puis tu as finalement compris que les podiums, les magazines ou les shootings n'étaient pas les responsables de son désintérêt pour toi. Alors tu as commencé à te rendre à des défilés, profitant de ton nom et de tes entrées pour avoir des accès privilégiés.

8/ Ton compte Instagram est rempli de clichés. Parfois sombres, parfois colorés, cela dépend de ton humeur. Tu montres ta vie comme tu l'entends, tu es reine de ton image et cela te réussit. Des dizaines de milliers de personnes te suivent. C'est grisant, réjouissant de constater qu'on t'aime sans même te connaître. Parfois, cette aventure est angoissante. Les commentaires désagréables sont réguliers, ils te minent, te déconcentrent, t'empêchent d'être lucide et te torpillent le moral quelques instants. Mais tu as la sensation d'être reconnue. On te voit, et finalement, c'est le plus important.
Habitation : Chelsea, New York. Dans un appartement avec vue sur la High Line
Célébrité : Josephine Langford
DC : -
Crédits : Avatar : Moore
Infos diverses : 1/ Tu te mets beaucoup de pression, et ça ressort dans de violentes crises d'angoisse. Tu commences par bégayer légèrement, puis tu suffoques, ton coeur s'emballe, tu pleurs. Tu perds le contrôle de tes émotions.

2/ Tu es une artiste dans l'âme. Tu dessines merveilleusement bien, cet art te porte et tu le combines à la perfection avec les nouvelles technologie, créant des œuvres parfaites mêlant classicisme et modernité grâce à des logiciels perfectionnés. En dehors de ton coup de crayon, tu pratiques également la musique. Violon, piano et harpe ont ta préférence, mais tu apprécies de te défouler sur les tambours d'une batterie quand l'occasion se présente.

3/ Tu es Néerlandaise par ta mère. Elle n'a pas beaucoup participé à ton éducation, mais elle t'a tout de même inculqué le savoir-vivre d’Amsterdam, ville où elle a grandi avant de venir s'installer à New York ; c'est pourquoi, dans ta vie de tous les jours, tu préfères la marche à pied ou le vélo aux longs trajets en taxi. La circulation dans la Grande Pomme est dense, mais cela ne t'inquiète pas et tu slalomes entre les voitures au rythme des tours de pédales de ton vélo électrique avec l'insouciance de ton âge.

4/ Durant l’été de tes 15 ans, tu as fait la connaissance d’un homme. Grand, avec de la prestance et un sourire à tomber à la renverse. Il s’est installé debout à côté de toi tandis que tu observais attentivement une sculpture de l’exposition temporaire du Guggenheim. Vous avez parlé, longuement. Vous avez ri, beaucoup. Tu as senti ton cœur s’emballer tant vous partagiez d’avis similaires. La conversation s’est éternisée sans que tu ne t’en rendes compte, l’un des vigiles du musée avait dû venir vous dire qu’il était temps de partir, que la fermeture avait sonné. Une fois à l’extérieur, vous vous étiez quittés en vous saluant poliment, mais tu ne pus te résoudre à le laisser s’évaporer dans la nature alors tu rebroussas chemin pour lui confier ton numéro de téléphone, puis tu le regardas dans les yeux pour lui dire de te contacter rapidement. Tes mains devenues moites, tu peinais à respirer calmement. Luna, tu n’avais jamais ressentie cela auparavant, et tu rentras bouleversée par ces émotions. La porte de ton appartement n’avait pas été ouverte, tu n’eus pas l’envie de te retrouver seule et c’est tout naturellement que tu avais rejoint ta meilleure amie et sa famille. Ton étrange silence au cours de la soirée ne passa pas inaperçu, ton retrait dans la bibliothèque non plus. Erik, que tu considérais alors comme le père que tu n’as jamais eus, vint te voir. Tu lui expliquas ton après-midi, tu lui parlas de cet homme, de cette voix, de ces yeux si perturbant. C’est en évoquant ce détail que l’évidence te frappa. Cette couleur, tu la connaissais. C’était la même que celle que tu pouvais voir dans le miroir. Tu venais de rencontrer ton géniteur, tu en étais persuadée. La dure réalité de cette histoire, c’est que tu ne reçus jamais aucun appel, ni aucun message, cette rencontre fut unique. Elle resta gravée dans ta mémoire.

5/ Tu as toujours mis un point d'honneur à ne pas t'offrir à n'importe qui, après tout, tu es le fruit d'une histoire sans lendemain, une enfant surprise, non désirée, et tu préfères ne pas réitérer les erreurs de tes parents. Ta virginité était précieuse à tes yeux, et tu ne voulais pas que le premier venu puisse venir la cueillir. Il te fallait quelqu'un de spécial. Ton professeur de piano, ce fut sur lui que tu jetas ton dévolu. Il était beau et talentueux. Il avait le double de ton âge, soit 34 ans tandis que toi, tu en avais 17. Cet homme, il parvenait à provoquer en toi un sentiment particulier. Lorsqu'il déposait ses yeux sur toi, tu les sentais te brûler la peau. Quand ses larges mains prenaient place sur tes épaules, son torse contre ton dos, tu frémissais systématiquement. Il ne faisait que te féliciter pour le passage délicat que tu avais réussi à jouer, et toi, tu lui répondais que c'était grâce à lui, uniquement grâce à lui. Pourtant, tu t'étais acharnée à pianoter ces notes durant des heures, juste pour le voir sourire et être fier de toi. Tu l'avais désiré, et tu l'avais eu. C'eut été doux, tendre. Au début. Car rapidement, ses gestes s'étaient faits plus fermes, sa voix plus tranchante alors qu'il t'avoua avoir envie de te goûter depuis des mois. Tu n'étais pas dupe, tu le savais parfaitement et tu n'avais fait qu'attiser sa convoitise depuis que vos regards s'étaient croisés pour la première fois.

6/ Fut une époque où tu pouvais prétendre avoir accès à tout. Ta mère avait une belle carrière dans le mannequinat et le nombre incroyable de beaux-pères s'étant succédé les uns après les autres lui avait permis de s'offrir un joli train de vie. Elle t'en faisait bénéficier en remplissant généreusement ton compte en banque. Si ton porte-monnaie ne manquait pas de son soutien, pour toi par contre, elle restait un fantôme beaucoup trop absent. Cependant, c'est une époque révolue. Son énième fiancé est parti, s'essoufflant sous ses caprices et un nouveau a débarqué. Ce dernier est sans le sou, ce qui est une grande première pour ta matérialiste de mère. Peut-être a-t-elle trouvé le grand amour cette fois-ci... Tu pourrais être heureuse pour elle si seulement elle n'était pas allée s'installer à Los Angeles, te laissant seule - encore - alors que des huissiers viennent frapper à la porte de votre appartement new-yorkais. Ta mère ne paie plus le loyer depuis des mois, et il t'est demandé de quitter les lieux d'ici quelques semaines si aucun règlement n'est effectué. Tu as accumulé un petit pécule, ne dépensant pas l'intégralité de ton argent de poche, mais celui-ci risque de rapidement s'émietter.

7/ Tu adores la mode. Ton style soigné s'en ressent, et tu agrémentes souvent tes tenues de pièces fortes. Tu accessoirises, tu découds, tu recouds, tu modifies, tu ajoutes. Tu as longtemps boudé cet univers qui t'a privé de ta mère, puis tu as finalement compris que les podiums, les magazines ou les shootings n'étaient pas les responsables de son désintérêt pour toi. Alors tu as commencé à te rendre à des défilés, profitant de ton nom et de tes entrées pour avoir des accès privilégiés.

8/ Ton compte Instagram est rempli de clichés. Parfois sombres, parfois colorés, cela dépend de ton humeur. Tu montres ta vie comme tu l'entends, tu es reine de ton image et cela te réussit. Des dizaines de milliers de personnes te suivent. C'est grisant, réjouissant de constater qu'on t'aime sans même te connaître. Parfois, cette aventure est angoissante. Les commentaires désagréables sont réguliers, ils te minent, te déconcentrent, t'empêchent d'être lucide et te torpillent le moral quelques instants. Mais tu as la sensation d'être reconnue. On te voit, et finalement, c'est le plus important.
Habitation : Chelsea, New York. Dans un appartement avec vue sur la High Line
# Mar 23 Jan 2024 - 20:22 • •
>> Luna-Sophia Cunningham
♛ Une semaine, c'est court. Mais tu m'as manqué quand même.


@Diamond L. Lebenstraum

“Je ne crée pas des vêtements, je crée des rêves.” - Ralph Lauren

▼▲▼

The Met. Metropolitan Museum of Art. Le mythe. Le légendaire. Le grandiose. Le parfait. Tu adores aller te perdre dans les différentes salles de ce musée gigantesque et magnifique. Il y règne une ambiance particulière, une de celles que tu aimes. Entre ces murs, tu es baignée dans l’histoire, dans le beau. La culture t’inonde. L’art te submerge et tu t’exaltes. Tu te souviens d’une conversation aussi étrange que plaisante avec un inconnu alors que tu t’extasais devant une peinture. Tu étais presque en larmes devant toute la passion mise par l’artiste dans son œuvre. Tu t’en souviens comme si c’était hier, alors que cela fait plusieurs années à présent. Pourtant, tu repenses à cette rencontre à chacune de tes visites. L’homme a laissé un souvenir étonnamment vivace dans ton esprit, mais si tu es là aujourd’hui, ce n’est pas pour te perdre dans ta mémoire. Non, si tu es face aux impressionnantes marches servant de promontoire à ce lieu incontournable de la Grande Pomme, c’est pour retrouver ton amie. Pas n’importe laquelle. Ta meilleure amie. La plus importante. Diamond – Lydia – Lebenstraum.

Vous vous êtes vu il n’y a pas très longtemps. Environ une semaine. Sur le moment, vous avez beaucoup ris en extrapolant sur le week-end à venir. Vous deviez vous échapper de la pollution de la ville pour aller vous réfugier dans un splendide hôtel en bordure de forêt. Le programme était alléchant ; spa, massages, ballade dans les somptueux jardins de la résidence, restaurant étoilé, pâtissier de renom et moments entre filles étaient sur votre to-do list. Le tout sans débourser un centime ! Afin de faire venir une clientèle différente de celle habituelle, l’établissement t’avait convié à venir passer quelques jours chez eux via tes réseaux sociaux. Tu n’avais pas hésité une seule seconde, la deuxième invitation serait, et a été, pour la seule personne avec qui tu avais envie de partager cet instant. Mais le planning a été bousculé. En arrivant chez Diamond, elle n’était pas là. Tu n’as reçu qu’un simple texto pour t’avertir de son impossibilité à se joindre à toi. En somme, elle t’a planté sans plus de cérémonie, se moquant bien que tu n’aies aucun moyen de locomotion pour te rendre sur place et foutant ainsi ton week-end – et ton gagne pain - en l’air. Évidemment, elle n’a aucune idée de tes soucis financiers, et elle ne peut pas s’imaginer à quel point son lapin aurait pu être problématique pour toi. Mais ce n’est pas le plus important. Elle t’a planté ! Alors, certes, tu as trouvé une solution de repli plus qu’agréable en la personne d’Erik, mais tu dois avouer garder cet abandon en travers de la gorge. Tu as toujours eu du mal à accepter d’être reléguée au second plan, et pourtant, ce n’est pas faute d’en avoir l’habitude… Tu n’existes pas aux yeux de ta mère et ton père n’a même jamais daigné s’intéresser à toi. Il n’y a qu’avec Lydia que tu as l’impression de compter. Parfois. Souvent. Mais pas tout le temps. Le week-end dernier, ce fut dans les yeux de son père que cette impression à vu le jour, et tu gardes une certaine rancœur à l’encontre de ta meilleure amie.

Tiens, je t’ai pris ça sur la route, regardant l’entrée du musée, ton regard scrutant l’affiche présentant l’exposition qui t’intéresse, tu tends à la rouquine un gobelet contenant sa boisson préférée. Vous aviez prévu de venir flâner au milieu du Women dressing women depuis que tu as lu, il y a des mois, un article sur cette présentation. Totalement euphorique sur le moment, ton enthousiasme est quelque peur retombée tandis qu’une inhabituelle froideur s’immisce entre ton amie et toi. La température n’a rien à voir avec la brise de ce début d’année, et, au fond de toi, tu espères que la chaleur reviendra rapidement. Tu détestes bien plus être en colère contre elle que le sentiment d’abandon qu’elle t’a fait ressentir, néanmoins, tu n’arrives pas à passer outre, tes peurs et tes traumatismes écrasant malgré toi encore ta cage thoracique.


CODAGE PAR AMATIS






Youth Madness
Diamond L. Lebenstraum
New-Yorkais
Célébrité : Sadie Sink
DC : //
Crédits : KoalaVolant
Habitation : Avec son popa chéri donc je cite " Une townhouse au 926 de la 5th Avenue, Upper East Side Manhattan"
Célébrité : Sadie Sink
DC : //
Crédits : KoalaVolant
Habitation : Avec son popa chéri donc je cite " Une townhouse au 926 de la 5th Avenue, Upper East Side Manhattan"
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Crédits : KoalaVolant
Habitation : Avec son popa chéri donc je cite " Une townhouse au 926 de la 5th Avenue, Upper East Side Manhattan"
# Mer 27 Mar 2024 - 13:01 • •
>> Diamond L. Lebenstraum
Gif
Une semaine c'est court, mais tu m'as manqué quand même
[Je m’excuse du retard x.x Déménagement tout ça x.x]

Ok. Sur ce coup, Diamond avait été loin d’être parfaite. Elle aurait pu faire plus gaffe, ne pas foutre un lapin à sa meilleure pote, être là pour elle… Mais bon. Ce n’était pas sa faute si elle avait une occas’ en or avec un partenariat géant. Ca allait lui rapporter un peu de fric, de popularité, quelques stories, etc. Donc en soit, peu importe. Luna saurait comprendre. Diamond en était certaine.
Donc, elle l’avait juste prévenu au dernier moment en mode “hey déso” puis le temps avait coulé sous les ponts.
Pour le moment, pourtant, elle ignorait avec qui sa meilleure amie était allée au final.
Pour le moment, elle se sentait juste bien, sans trop se rendre compte de l’erreur qu’elle avait commise.

Bien apprêtée, cheveux sublimes lâchés, et tenue irréprochable et féminine, mais sans être vulgaire, elle se dirigeait vers le Met.
Question de se rattraper de son lapin, elle revoyait Luna-Sophia pour profiter un peu d’elle. Elle adorait passer du temps avec son amie. Elle la trouvait admirable, quoiqu’en pense cette dernière.
Parfois, Diamond l’enviait, parfois, elle aurait aussi été prête à la protéger du moindre con ou obstacle sur son chemin.
Et, parfois, Diamond agissait comme une idiote qui ne savait pas s’attacher correctement.

Elle vit Luna lui tendre un gobelet, et fit un sourire ravi. Oh, de son côté elle ne lui avait rien pris, mais elle n’avait pas l’habitude de ce genre d’attention, sauf quand il y avait un intérêt à ses yeux.

- Oh chouette ! Merci Luna.

Passant son nez pour s’enivrer de l’odeur de la boisson, elle paru soudain plus naturelle, un large sourire de joie apparaissant sur son visage

- Tu es la meilleure !

La meilleure, qu’elle avait lâché, pourtant. Mais elle n’avait toujours pas conscience de la “gravité”, disons, de ses actes.
Diamond avait hâte de voir l’exposition, de savoir si Luna-Sophia allait en sortir des dessins ou pas, de pouvoir admirer son travail, de surtout pouvoir commenter avec elle, tout ce qui était mode, etc.
Elle sentait que ce moment en serait un bon.

Pourtant, une impression en fond lui était désagréable. Elle n’aurait su dire quoi. Encore moins pourquoi.
Attrapant doucement le bras de son amie, elle se dirigea vers l’entrée, ayant déjà des entrées de haut level.

- Ca va être dément, je le sens. Tu as pris de quoi dessiner, au fait ? Ou bien on va juste profiter ? Après, j’adore tes dessins.

Elle avançait déjà clairement vers ce qui les intéressait toutes les deux. Sans avoir conscience de l’éventuelle lourdeur de tout ceci.

- Je pourrais en faire une vidéo…. murmura-t-elle en même temps, intéressée.
Luna-Sophia Cunningham
New-Yorkais
Célébrité : Josephine Langford
DC : -
Crédits : Avatar : Moore
Infos diverses : 1/ Tu te mets beaucoup de pression, et ça ressort dans de violentes crises d'angoisse. Tu commences par bégayer légèrement, puis tu suffoques, ton coeur s'emballe, tu pleurs. Tu perds le contrôle de tes émotions.

2/ Tu es une artiste dans l'âme. Tu dessines merveilleusement bien, cet art te porte et tu le combines à la perfection avec les nouvelles technologie, créant des œuvres parfaites mêlant classicisme et modernité grâce à des logiciels perfectionnés. En dehors de ton coup de crayon, tu pratiques également la musique. Violon, piano et harpe ont ta préférence, mais tu apprécies de te défouler sur les tambours d'une batterie quand l'occasion se présente.

3/ Tu es Néerlandaise par ta mère. Elle n'a pas beaucoup participé à ton éducation, mais elle t'a tout de même inculqué le savoir-vivre d’Amsterdam, ville où elle a grandi avant de venir s'installer à New York ; c'est pourquoi, dans ta vie de tous les jours, tu préfères la marche à pied ou le vélo aux longs trajets en taxi. La circulation dans la Grande Pomme est dense, mais cela ne t'inquiète pas et tu slalomes entre les voitures au rythme des tours de pédales de ton vélo électrique avec l'insouciance de ton âge.

4/ Durant l’été de tes 15 ans, tu as fait la connaissance d’un homme. Grand, avec de la prestance et un sourire à tomber à la renverse. Il s’est installé debout à côté de toi tandis que tu observais attentivement une sculpture de l’exposition temporaire du Guggenheim. Vous avez parlé, longuement. Vous avez ri, beaucoup. Tu as senti ton cœur s’emballer tant vous partagiez d’avis similaires. La conversation s’est éternisée sans que tu ne t’en rendes compte, l’un des vigiles du musée avait dû venir vous dire qu’il était temps de partir, que la fermeture avait sonné. Une fois à l’extérieur, vous vous étiez quittés en vous saluant poliment, mais tu ne pus te résoudre à le laisser s’évaporer dans la nature alors tu rebroussas chemin pour lui confier ton numéro de téléphone, puis tu le regardas dans les yeux pour lui dire de te contacter rapidement. Tes mains devenues moites, tu peinais à respirer calmement. Luna, tu n’avais jamais ressentie cela auparavant, et tu rentras bouleversée par ces émotions. La porte de ton appartement n’avait pas été ouverte, tu n’eus pas l’envie de te retrouver seule et c’est tout naturellement que tu avais rejoint ta meilleure amie et sa famille. Ton étrange silence au cours de la soirée ne passa pas inaperçu, ton retrait dans la bibliothèque non plus. Erik, que tu considérais alors comme le père que tu n’as jamais eus, vint te voir. Tu lui expliquas ton après-midi, tu lui parlas de cet homme, de cette voix, de ces yeux si perturbant. C’est en évoquant ce détail que l’évidence te frappa. Cette couleur, tu la connaissais. C’était la même que celle que tu pouvais voir dans le miroir. Tu venais de rencontrer ton géniteur, tu en étais persuadée. La dure réalité de cette histoire, c’est que tu ne reçus jamais aucun appel, ni aucun message, cette rencontre fut unique. Elle resta gravée dans ta mémoire.

5/ Tu as toujours mis un point d'honneur à ne pas t'offrir à n'importe qui, après tout, tu es le fruit d'une histoire sans lendemain, une enfant surprise, non désirée, et tu préfères ne pas réitérer les erreurs de tes parents. Ta virginité était précieuse à tes yeux, et tu ne voulais pas que le premier venu puisse venir la cueillir. Il te fallait quelqu'un de spécial. Ton professeur de piano, ce fut sur lui que tu jetas ton dévolu. Il était beau et talentueux. Il avait le double de ton âge, soit 34 ans tandis que toi, tu en avais 17. Cet homme, il parvenait à provoquer en toi un sentiment particulier. Lorsqu'il déposait ses yeux sur toi, tu les sentais te brûler la peau. Quand ses larges mains prenaient place sur tes épaules, son torse contre ton dos, tu frémissais systématiquement. Il ne faisait que te féliciter pour le passage délicat que tu avais réussi à jouer, et toi, tu lui répondais que c'était grâce à lui, uniquement grâce à lui. Pourtant, tu t'étais acharnée à pianoter ces notes durant des heures, juste pour le voir sourire et être fier de toi. Tu l'avais désiré, et tu l'avais eu. C'eut été doux, tendre. Au début. Car rapidement, ses gestes s'étaient faits plus fermes, sa voix plus tranchante alors qu'il t'avoua avoir envie de te goûter depuis des mois. Tu n'étais pas dupe, tu le savais parfaitement et tu n'avais fait qu'attiser sa convoitise depuis que vos regards s'étaient croisés pour la première fois.

6/ Fut une époque où tu pouvais prétendre avoir accès à tout. Ta mère avait une belle carrière dans le mannequinat et le nombre incroyable de beaux-pères s'étant succédé les uns après les autres lui avait permis de s'offrir un joli train de vie. Elle t'en faisait bénéficier en remplissant généreusement ton compte en banque. Si ton porte-monnaie ne manquait pas de son soutien, pour toi par contre, elle restait un fantôme beaucoup trop absent. Cependant, c'est une époque révolue. Son énième fiancé est parti, s'essoufflant sous ses caprices et un nouveau a débarqué. Ce dernier est sans le sou, ce qui est une grande première pour ta matérialiste de mère. Peut-être a-t-elle trouvé le grand amour cette fois-ci... Tu pourrais être heureuse pour elle si seulement elle n'était pas allée s'installer à Los Angeles, te laissant seule - encore - alors que des huissiers viennent frapper à la porte de votre appartement new-yorkais. Ta mère ne paie plus le loyer depuis des mois, et il t'est demandé de quitter les lieux d'ici quelques semaines si aucun règlement n'est effectué. Tu as accumulé un petit pécule, ne dépensant pas l'intégralité de ton argent de poche, mais celui-ci risque de rapidement s'émietter.

7/ Tu adores la mode. Ton style soigné s'en ressent, et tu agrémentes souvent tes tenues de pièces fortes. Tu accessoirises, tu découds, tu recouds, tu modifies, tu ajoutes. Tu as longtemps boudé cet univers qui t'a privé de ta mère, puis tu as finalement compris que les podiums, les magazines ou les shootings n'étaient pas les responsables de son désintérêt pour toi. Alors tu as commencé à te rendre à des défilés, profitant de ton nom et de tes entrées pour avoir des accès privilégiés.

8/ Ton compte Instagram est rempli de clichés. Parfois sombres, parfois colorés, cela dépend de ton humeur. Tu montres ta vie comme tu l'entends, tu es reine de ton image et cela te réussit. Des dizaines de milliers de personnes te suivent. C'est grisant, réjouissant de constater qu'on t'aime sans même te connaître. Parfois, cette aventure est angoissante. Les commentaires désagréables sont réguliers, ils te minent, te déconcentrent, t'empêchent d'être lucide et te torpillent le moral quelques instants. Mais tu as la sensation d'être reconnue. On te voit, et finalement, c'est le plus important.

Habitation : Chelsea, New York. Dans un appartement avec vue sur la High Line
Célébrité : Josephine Langford
DC : -
Crédits : Avatar : Moore
Infos diverses : 1/ Tu te mets beaucoup de pression, et ça ressort dans de violentes crises d'angoisse. Tu commences par bégayer légèrement, puis tu suffoques, ton coeur s'emballe, tu pleurs. Tu perds le contrôle de tes émotions.

2/ Tu es une artiste dans l'âme. Tu dessines merveilleusement bien, cet art te porte et tu le combines à la perfection avec les nouvelles technologie, créant des œuvres parfaites mêlant classicisme et modernité grâce à des logiciels perfectionnés. En dehors de ton coup de crayon, tu pratiques également la musique. Violon, piano et harpe ont ta préférence, mais tu apprécies de te défouler sur les tambours d'une batterie quand l'occasion se présente.

3/ Tu es Néerlandaise par ta mère. Elle n'a pas beaucoup participé à ton éducation, mais elle t'a tout de même inculqué le savoir-vivre d’Amsterdam, ville où elle a grandi avant de venir s'installer à New York ; c'est pourquoi, dans ta vie de tous les jours, tu préfères la marche à pied ou le vélo aux longs trajets en taxi. La circulation dans la Grande Pomme est dense, mais cela ne t'inquiète pas et tu slalomes entre les voitures au rythme des tours de pédales de ton vélo électrique avec l'insouciance de ton âge.

4/ Durant l’été de tes 15 ans, tu as fait la connaissance d’un homme. Grand, avec de la prestance et un sourire à tomber à la renverse. Il s’est installé debout à côté de toi tandis que tu observais attentivement une sculpture de l’exposition temporaire du Guggenheim. Vous avez parlé, longuement. Vous avez ri, beaucoup. Tu as senti ton cœur s’emballer tant vous partagiez d’avis similaires. La conversation s’est éternisée sans que tu ne t’en rendes compte, l’un des vigiles du musée avait dû venir vous dire qu’il était temps de partir, que la fermeture avait sonné. Une fois à l’extérieur, vous vous étiez quittés en vous saluant poliment, mais tu ne pus te résoudre à le laisser s’évaporer dans la nature alors tu rebroussas chemin pour lui confier ton numéro de téléphone, puis tu le regardas dans les yeux pour lui dire de te contacter rapidement. Tes mains devenues moites, tu peinais à respirer calmement. Luna, tu n’avais jamais ressentie cela auparavant, et tu rentras bouleversée par ces émotions. La porte de ton appartement n’avait pas été ouverte, tu n’eus pas l’envie de te retrouver seule et c’est tout naturellement que tu avais rejoint ta meilleure amie et sa famille. Ton étrange silence au cours de la soirée ne passa pas inaperçu, ton retrait dans la bibliothèque non plus. Erik, que tu considérais alors comme le père que tu n’as jamais eus, vint te voir. Tu lui expliquas ton après-midi, tu lui parlas de cet homme, de cette voix, de ces yeux si perturbant. C’est en évoquant ce détail que l’évidence te frappa. Cette couleur, tu la connaissais. C’était la même que celle que tu pouvais voir dans le miroir. Tu venais de rencontrer ton géniteur, tu en étais persuadée. La dure réalité de cette histoire, c’est que tu ne reçus jamais aucun appel, ni aucun message, cette rencontre fut unique. Elle resta gravée dans ta mémoire.

5/ Tu as toujours mis un point d'honneur à ne pas t'offrir à n'importe qui, après tout, tu es le fruit d'une histoire sans lendemain, une enfant surprise, non désirée, et tu préfères ne pas réitérer les erreurs de tes parents. Ta virginité était précieuse à tes yeux, et tu ne voulais pas que le premier venu puisse venir la cueillir. Il te fallait quelqu'un de spécial. Ton professeur de piano, ce fut sur lui que tu jetas ton dévolu. Il était beau et talentueux. Il avait le double de ton âge, soit 34 ans tandis que toi, tu en avais 17. Cet homme, il parvenait à provoquer en toi un sentiment particulier. Lorsqu'il déposait ses yeux sur toi, tu les sentais te brûler la peau. Quand ses larges mains prenaient place sur tes épaules, son torse contre ton dos, tu frémissais systématiquement. Il ne faisait que te féliciter pour le passage délicat que tu avais réussi à jouer, et toi, tu lui répondais que c'était grâce à lui, uniquement grâce à lui. Pourtant, tu t'étais acharnée à pianoter ces notes durant des heures, juste pour le voir sourire et être fier de toi. Tu l'avais désiré, et tu l'avais eu. C'eut été doux, tendre. Au début. Car rapidement, ses gestes s'étaient faits plus fermes, sa voix plus tranchante alors qu'il t'avoua avoir envie de te goûter depuis des mois. Tu n'étais pas dupe, tu le savais parfaitement et tu n'avais fait qu'attiser sa convoitise depuis que vos regards s'étaient croisés pour la première fois.

6/ Fut une époque où tu pouvais prétendre avoir accès à tout. Ta mère avait une belle carrière dans le mannequinat et le nombre incroyable de beaux-pères s'étant succédé les uns après les autres lui avait permis de s'offrir un joli train de vie. Elle t'en faisait bénéficier en remplissant généreusement ton compte en banque. Si ton porte-monnaie ne manquait pas de son soutien, pour toi par contre, elle restait un fantôme beaucoup trop absent. Cependant, c'est une époque révolue. Son énième fiancé est parti, s'essoufflant sous ses caprices et un nouveau a débarqué. Ce dernier est sans le sou, ce qui est une grande première pour ta matérialiste de mère. Peut-être a-t-elle trouvé le grand amour cette fois-ci... Tu pourrais être heureuse pour elle si seulement elle n'était pas allée s'installer à Los Angeles, te laissant seule - encore - alors que des huissiers viennent frapper à la porte de votre appartement new-yorkais. Ta mère ne paie plus le loyer depuis des mois, et il t'est demandé de quitter les lieux d'ici quelques semaines si aucun règlement n'est effectué. Tu as accumulé un petit pécule, ne dépensant pas l'intégralité de ton argent de poche, mais celui-ci risque de rapidement s'émietter.

7/ Tu adores la mode. Ton style soigné s'en ressent, et tu agrémentes souvent tes tenues de pièces fortes. Tu accessoirises, tu découds, tu recouds, tu modifies, tu ajoutes. Tu as longtemps boudé cet univers qui t'a privé de ta mère, puis tu as finalement compris que les podiums, les magazines ou les shootings n'étaient pas les responsables de son désintérêt pour toi. Alors tu as commencé à te rendre à des défilés, profitant de ton nom et de tes entrées pour avoir des accès privilégiés.

8/ Ton compte Instagram est rempli de clichés. Parfois sombres, parfois colorés, cela dépend de ton humeur. Tu montres ta vie comme tu l'entends, tu es reine de ton image et cela te réussit. Des dizaines de milliers de personnes te suivent. C'est grisant, réjouissant de constater qu'on t'aime sans même te connaître. Parfois, cette aventure est angoissante. Les commentaires désagréables sont réguliers, ils te minent, te déconcentrent, t'empêchent d'être lucide et te torpillent le moral quelques instants. Mais tu as la sensation d'être reconnue. On te voit, et finalement, c'est le plus important.
Habitation : Chelsea, New York. Dans un appartement avec vue sur la High Line
Célébrité : Josephine Langford
DC : -
Crédits : Avatar : Moore
Infos diverses : 1/ Tu te mets beaucoup de pression, et ça ressort dans de violentes crises d'angoisse. Tu commences par bégayer légèrement, puis tu suffoques, ton coeur s'emballe, tu pleurs. Tu perds le contrôle de tes émotions.

2/ Tu es une artiste dans l'âme. Tu dessines merveilleusement bien, cet art te porte et tu le combines à la perfection avec les nouvelles technologie, créant des œuvres parfaites mêlant classicisme et modernité grâce à des logiciels perfectionnés. En dehors de ton coup de crayon, tu pratiques également la musique. Violon, piano et harpe ont ta préférence, mais tu apprécies de te défouler sur les tambours d'une batterie quand l'occasion se présente.

3/ Tu es Néerlandaise par ta mère. Elle n'a pas beaucoup participé à ton éducation, mais elle t'a tout de même inculqué le savoir-vivre d’Amsterdam, ville où elle a grandi avant de venir s'installer à New York ; c'est pourquoi, dans ta vie de tous les jours, tu préfères la marche à pied ou le vélo aux longs trajets en taxi. La circulation dans la Grande Pomme est dense, mais cela ne t'inquiète pas et tu slalomes entre les voitures au rythme des tours de pédales de ton vélo électrique avec l'insouciance de ton âge.

4/ Durant l’été de tes 15 ans, tu as fait la connaissance d’un homme. Grand, avec de la prestance et un sourire à tomber à la renverse. Il s’est installé debout à côté de toi tandis que tu observais attentivement une sculpture de l’exposition temporaire du Guggenheim. Vous avez parlé, longuement. Vous avez ri, beaucoup. Tu as senti ton cœur s’emballer tant vous partagiez d’avis similaires. La conversation s’est éternisée sans que tu ne t’en rendes compte, l’un des vigiles du musée avait dû venir vous dire qu’il était temps de partir, que la fermeture avait sonné. Une fois à l’extérieur, vous vous étiez quittés en vous saluant poliment, mais tu ne pus te résoudre à le laisser s’évaporer dans la nature alors tu rebroussas chemin pour lui confier ton numéro de téléphone, puis tu le regardas dans les yeux pour lui dire de te contacter rapidement. Tes mains devenues moites, tu peinais à respirer calmement. Luna, tu n’avais jamais ressentie cela auparavant, et tu rentras bouleversée par ces émotions. La porte de ton appartement n’avait pas été ouverte, tu n’eus pas l’envie de te retrouver seule et c’est tout naturellement que tu avais rejoint ta meilleure amie et sa famille. Ton étrange silence au cours de la soirée ne passa pas inaperçu, ton retrait dans la bibliothèque non plus. Erik, que tu considérais alors comme le père que tu n’as jamais eus, vint te voir. Tu lui expliquas ton après-midi, tu lui parlas de cet homme, de cette voix, de ces yeux si perturbant. C’est en évoquant ce détail que l’évidence te frappa. Cette couleur, tu la connaissais. C’était la même que celle que tu pouvais voir dans le miroir. Tu venais de rencontrer ton géniteur, tu en étais persuadée. La dure réalité de cette histoire, c’est que tu ne reçus jamais aucun appel, ni aucun message, cette rencontre fut unique. Elle resta gravée dans ta mémoire.

5/ Tu as toujours mis un point d'honneur à ne pas t'offrir à n'importe qui, après tout, tu es le fruit d'une histoire sans lendemain, une enfant surprise, non désirée, et tu préfères ne pas réitérer les erreurs de tes parents. Ta virginité était précieuse à tes yeux, et tu ne voulais pas que le premier venu puisse venir la cueillir. Il te fallait quelqu'un de spécial. Ton professeur de piano, ce fut sur lui que tu jetas ton dévolu. Il était beau et talentueux. Il avait le double de ton âge, soit 34 ans tandis que toi, tu en avais 17. Cet homme, il parvenait à provoquer en toi un sentiment particulier. Lorsqu'il déposait ses yeux sur toi, tu les sentais te brûler la peau. Quand ses larges mains prenaient place sur tes épaules, son torse contre ton dos, tu frémissais systématiquement. Il ne faisait que te féliciter pour le passage délicat que tu avais réussi à jouer, et toi, tu lui répondais que c'était grâce à lui, uniquement grâce à lui. Pourtant, tu t'étais acharnée à pianoter ces notes durant des heures, juste pour le voir sourire et être fier de toi. Tu l'avais désiré, et tu l'avais eu. C'eut été doux, tendre. Au début. Car rapidement, ses gestes s'étaient faits plus fermes, sa voix plus tranchante alors qu'il t'avoua avoir envie de te goûter depuis des mois. Tu n'étais pas dupe, tu le savais parfaitement et tu n'avais fait qu'attiser sa convoitise depuis que vos regards s'étaient croisés pour la première fois.

6/ Fut une époque où tu pouvais prétendre avoir accès à tout. Ta mère avait une belle carrière dans le mannequinat et le nombre incroyable de beaux-pères s'étant succédé les uns après les autres lui avait permis de s'offrir un joli train de vie. Elle t'en faisait bénéficier en remplissant généreusement ton compte en banque. Si ton porte-monnaie ne manquait pas de son soutien, pour toi par contre, elle restait un fantôme beaucoup trop absent. Cependant, c'est une époque révolue. Son énième fiancé est parti, s'essoufflant sous ses caprices et un nouveau a débarqué. Ce dernier est sans le sou, ce qui est une grande première pour ta matérialiste de mère. Peut-être a-t-elle trouvé le grand amour cette fois-ci... Tu pourrais être heureuse pour elle si seulement elle n'était pas allée s'installer à Los Angeles, te laissant seule - encore - alors que des huissiers viennent frapper à la porte de votre appartement new-yorkais. Ta mère ne paie plus le loyer depuis des mois, et il t'est demandé de quitter les lieux d'ici quelques semaines si aucun règlement n'est effectué. Tu as accumulé un petit pécule, ne dépensant pas l'intégralité de ton argent de poche, mais celui-ci risque de rapidement s'émietter.

7/ Tu adores la mode. Ton style soigné s'en ressent, et tu agrémentes souvent tes tenues de pièces fortes. Tu accessoirises, tu découds, tu recouds, tu modifies, tu ajoutes. Tu as longtemps boudé cet univers qui t'a privé de ta mère, puis tu as finalement compris que les podiums, les magazines ou les shootings n'étaient pas les responsables de son désintérêt pour toi. Alors tu as commencé à te rendre à des défilés, profitant de ton nom et de tes entrées pour avoir des accès privilégiés.

8/ Ton compte Instagram est rempli de clichés. Parfois sombres, parfois colorés, cela dépend de ton humeur. Tu montres ta vie comme tu l'entends, tu es reine de ton image et cela te réussit. Des dizaines de milliers de personnes te suivent. C'est grisant, réjouissant de constater qu'on t'aime sans même te connaître. Parfois, cette aventure est angoissante. Les commentaires désagréables sont réguliers, ils te minent, te déconcentrent, t'empêchent d'être lucide et te torpillent le moral quelques instants. Mais tu as la sensation d'être reconnue. On te voit, et finalement, c'est le plus important.
Habitation : Chelsea, New York. Dans un appartement avec vue sur la High Line
# Mer 1 Mai 2024 - 15:30 • •
>> Luna-Sophia Cunningham
♛ Une semaine, c'est court. Mais tu m'as manqué quand même.


@Diamond L. Lebenstraum

“Je ne crée pas des vêtements, je crée des rêves.” - Ralph Lauren

▼▲▼

Cette sensation horrible d’être seule, tu ne la connais que trop. Tu l’as subi depuis toujours. Depuis que ta mère ne te porte pas l’intérêt qu’une mère doit porter à son enfant. Depuis que ton père ne t’a pas reconnu. Depuis que ce dernier est totalement absent de ta vie. Depuis que ta mère t’a inscrite dans cette école afin de vivre tranquillement sans toi. Depuis qu’elle enchaîne les mecs pour trouver le bon. Depuis qu’elle en a trouvé un énième qui se moque de ton existence. Depuis que tu es devenue plus gênante qu’autre chose. Depuis ta naissance. Il n’y a qu’auprès de ceux qui sont devenus ta famille par choix que tu ne la ressens pas. Que tu ne la ressens plus. Sauf dans de rares cas. Comme depuis une semaine. Depuis que ta meilleure amie a trouvé mieux à faire que de passer le week-end avec toi alors que c’était prévu depuis des lustres. Oui, Luna, tu détestes ce sentiment d’abandon, mais tu es bien trop fière pour l’avouer à quiconque, pas même à toi. Tu mets ta colère intérieure sur la déception de ne pas avoir pu partager ce moment avec Diamond et non sur l’inconfort intense que sa désertion a créée en toi.

En arrivant près de la rouquine, tu es plus froide que d’habitude. Tu n’arrives pas à vraiment chasser tes pensées, ni ta contrariété. Néanmoins, tu as quand même eu l’idée de lui prendre sa boisson préférée en t’arrêtant pour commander la tienne. Tu es comme ça, Luna. Tu fais toujours en sorte d’arranger les choses afin de ne pas être totalement rejetée. Tu veux être parfaite, tu veux être aimée, et l’amitié de Lydia compte plus que tout pour toi. Plus que ton orgueil souvent haut perché. Tu as besoin d’elle, mais ça non plus, tu ne l’avoueras pas.

Quand elle te dit que tu es la meilleure en récupérant son verre en carton, tu as une petite grimace qui vient tordre les traits de ton visage. Abandonne-t-on la meilleure ? Laisse-t-on tomber la meilleure ? Plante-t-on la meilleure ? Mais son sourire te ravit, et il te rappelle également que, finalement, malgré son absence, tu as passé un excellent week-end. Tu lui as trouvé un suppléant de qualité et ton séjour dans cet hôtel a été des plus agréables. Du coup… Peux-tu lui en vouloir ? Ne serait-ce pas immature et un peu bête de lui en tenir rigueur ? Luna , tu es en train de flancher. Face à ta meilleure amie, tu t’écrases. Parce qu’elle est au-dessus. Au-dessus de tout, toi compris.

Regardant les marches du MET tandis qu’elle te guide vers l’entrée, tu laisses tomber ta rancœur. Un peu. Rien qu’un tout petit peu pour ne pas trop gâcher votre journée.

J’ai pris ma tablette, oui, mais rien ne m’oblige à la sortir ! Tu es prête à ne faire que profiter de ce moment ensemble. Mais ta soudaine légèreté retombe aussitôt. Elle mentionne une vidéo qu’elle pourrait faire, et tu repenses instantanément à la lourdeur qui t’a envahi une semaine plus tôt alors que ton cerveau acceptait le fait qu’elle ne viendrait pas à votre rendez-vous. Tu ne voudrais pas lâcher ton appareil un peu pour qu’on soit juste toi et moi ? Ta voix est plus tranchante que ce que tu ne le veux alors que tes paroles résonnent étrangement à tes propres tympans. Elles… Oui, c’est ça, elles font écho à celles prononcées par Erik tandis que tu mentionnais les photos qu’il devrait prendre pendant votre escapade afin que tu nourrisses tes réseaux. Cette pensée te fait sourire. Ce souvenir te fait sourire.

Tu soupires comme pour chasser ta frustration puis, une fois dans la file d’attente pour entrer dans le musée, tu glisses ta main sous le bras de Diamond. Ce geste est naturel, et tu le fais sans réfléchir, espérant tout de même chasser le malaise qui vous étreint. Mais pour arriver à faire taire ce sentiment désagréable, ne faudrait-il pas percer l’abcès ?

Alors dis-moi, tu as fait quoi de beau de ta semaine ? A nouveau, tes lèvres s’étirent. Finalement, tu ne souhaites pas lui demander ce qu’elle a fait de son week-end passé parce que tu sais que des questions concernant le tien viendraient, et que tu préfères ne pas savoir si son père lui a parlé ou non des moments que vous avez passé ensemble à cette occasion…



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