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Man, I love a gal who buys me dinner and doesn’t expect me to put out

James Trevino
New-Yorkais
Célébrité : Jeffrey Dean Morgan
DC : Charlie Cooper
Habitation : Rarement au même endroit, mais son pied à terre est au Mexique
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# Mar 24 Oct 2023 - 13:16 • •
>> James Trevino
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Man, I love a gal who buys me dinner and doesn’t expect me to put out


Arriaga, ce nom ne vous disait rien ? Eh bien à James non plus ! Il s’en fichait bien de qui était ce petit Diego Arriaga vivait dans un vieil entrepôt de Jackson Heights. D’après certaines rumeurs, lorsque le jeune homme se mettait à cuisiner, c’était le même effet qu’un bal d’anges à l’intérieur de votre bouche. Merde, qu’est-ce qu’il pouvait bien en foutre, les meilleurs enchiladas restaient ceux qu’il mangeait lorsqu’il retournait au Mexique, un petit cuisinier à la sauvette ne pouvait pas faire une aussi bonne cuisine que derrière un véritable four. Néanmoins, James restait pragmatique : si l’odeur était appétissante, il irait voir. Après tout c’était un peu comme pour le sexe d’une femme : si l’odeur est suspecte, alors n’y met pas la langue. La cuisine était un art de femme finalement.

James était avec Julian lorsque ce dernier lui annonça que le jeune homme semblait mettre un petit peu trop de temps, que le remboursement n’était toujours pas effectif après des mois de patience, mais également que cette putain de dette s’élevait à plus de 50 000$ ! Est-ce que ce petit fumier de cuisinier à la sauvette savait ce qu’on pouvait faire au Mexique avec 50 000$ ? Il n’y avait peut-être jamais mis les pieds ! Encore un de ces enfoirés d’américains qui se pensent Mexicain parce qu’un lointain grand-parent a engrossé ou s’est fait engrosser par un membre du pays voisin ! Lui ? Lui ce n’était pas un Mexicain, mais les Alvarez étaient sa famille, bien plus que les Forzalli ou bien que cet enfoiré de Mike.

Il avait donc hoché la tête, prenant sa batte sur son épaule, sifflant gaiement comme s’il allait faire du jardinage, pourtant les gens qui le connaissaient, eux, pouvaient savoir que l’activité qu’il s’apprêtait à accomplir n’était en rien du jardinage. Ou alors pour creuser le trou où Diego allait passer le restant de son éternité, c’était fort probable.

Quelques minutes avaient suffit pour que James arrive devant l’entrepôt que le jeune Ariagga avait réaménagé en magnifique duplex pour voir son Food-Truck. Quelques hommes gardaient la rue, toujours assurer ses arrières, James saurait si les flics arrivaient. Ces derniers n’étaient pas aussi corrompus qu’au Mexique, puis Julian ne voulait pas que le cartel de Las Chiapas fasse des vagues. Parfois, James devait ronger son frein, mais finalement le jeu en valait la chandelle.

Entrer par effraction dans l’entrepôt avait été un jeu d’enfant, ce n’est pas à un vieux singe qu’on apprend à faire des grimaces, et James avait avant tout arpenté les lieux. Diego semblait se trouver dans son appartement en duplex car les portes du food-trucks étaient ouvertes, une bonne odeur s’en dégageant, assez pour que James entre à l’intérieur.

Afin que le jeune Diego le remarque, il avait redressé l’ouverture, tel un commerçant attendant ses premiers clients, posant sa batte à côté de lieu – doucement pas bouger, le sang arrivera – et tournant avec une spatule ce qui était en train de doucement mijoter. Quelques secondes avaient été suffisantes pour qu’il entende du bruit, relevant son regard en direction du jeune homme, un sourire en coin, l’œil rieur d’un ami de longue date.

- Damn ! on m’avait dit que tu cuisinais bien, et putain c’est vrai que c’est bon ! J’en ai presque la trique !

James posa sa batte sur le comptoir avant de sortir une assiette et de se servir une part.

- J’imagine que tu ne sais pas qui je suis hein ? Merde, petit, je suis Pyrites. Je suis le gars qu’on voit qu’une seule putain de fois. Une seule !

Il porta une première bouchée à ses lèvres avant de fermer les yeux comme satisfait, inspirant doucement, une autre bouchée puis il eu un rire avant de regarder sa batte.

- Oh Fuck !, elle a faim elle aussi ! Elle va devenir aussi dure que moi, un putain d’orgasme culinaire tu sais ! Mais elle, elle … oh, elle, c’est autre chose qu’elle aime manger. Dommage pour moi qu’il n’y ait pas un cul avec toi, parce que j’ai une devise : un massacre une baise ; et vraiment ton cul ne me fait pas bander. Non, tu sais ce qui me fait bander aussi ? C’est la Fucking dette que tu as envers Monsieur Alvarez. Ca te dit quelque chose ?


Diego Arriaga
New-Yorkais
Célébrité : Alejandro Speitzer
DC : Matt Roja - Enzo Forzalli - Billie Davis - Elena Flores - Jackson Blake - Liam Keller
Crédits : Avatars : Eden Memories
Infos diverses : ❧ Il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol.

❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.

❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père, c'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.

❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.

❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.

❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !

❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !

❧ Très bon cuisinier, même en dehors de son Food/Drugs-Truck



Man, I love a gal who buys me dinner and doesn’t expect me to put out B2v4

Habitation : Son Food Truck dort dans un entrepôt de Jackson Heights. Lorsque Diego se réveille, il a une vue imprenable sur son outil de travail puisqu'il a aménagé un appartement en duplex de ce vieux hangar
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Infos diverses : ❧ Il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol.

❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.

❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père, c'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.

❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.

❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.

❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !

❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !

❧ Très bon cuisinier, même en dehors de son Food/Drugs-Truck



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Crédits : Avatars : Eden Memories
Infos diverses : ❧ Il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol.

❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.

❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père, c'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.

❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.

❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.

❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !

❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !

❧ Très bon cuisinier, même en dehors de son Food/Drugs-Truck



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Habitation : Son Food Truck dort dans un entrepôt de Jackson Heights. Lorsque Diego se réveille, il a une vue imprenable sur son outil de travail puisqu'il a aménagé un appartement en duplex de ce vieux hangar
# Mer 22 Nov 2023 - 17:49 • •
>> Diego Arriaga

Man, I love a gal who buys me dinner and doesn’t expect me to put out
 @Rafaele DiTomasso,  @James Trevino & Diego Arriaga


Diego, tu es fatigué. Ouai, c’est ça. C’est exactement le bon terme. Quoique, éreinté ou usé serait sûrement plus juste. Ça fait des mois que tu t’acharnes. Que tu t’épuises à cumuler les boulots en plus de celui que tu fais depuis toujours pour réussir à amasser suffisamment d’argent. Mais il n’y a rien à faire. Ce n’est jamais assez. La somme que tu dois rembourser est colossale. C’est un mastodonte pour un mec comme toi. Sans oublier que tu dois encore subvenir aux besoins de certains de tes frères et sœurs… Tu ne peux pas te permettre de donner l’intégralité de tes gains au cartel. Tu as des devoirs et des obligations, et ces derniers font que tu traînes. Même avec toutes la bonne volonté du monde, tu ne pourrais regrouper tout ce pognon plus rapidement. Tu le voudrais. Oh que oui, tu aimerais que cette dette soit derrière toi, qu’elle ne soit qu’un lointain souvenir, mais plus les jours passent, plus les mois s’égrainent, et plus tu as l’impression de sombrer.

C’est un sale cercle vicieux. Tu t’écroules chaque soir dans ton vieux lit, le sommeil te gagne rapidement et tu n’as pas le temps de penser à quoi que ce soit. La fatigue vient, elle te submerge, elle t’envoie tout droit dans les bras de Morphée après une énième longue journée passée derrière les fourneaux. Puis, une fois que tu as terminé de servir tes clients et de distribuer ta came, tu vas soit au Blue Moon quand c’est une soirée gogo, soit tu joues les hommes de sécurité dans n’importe quelle boite de la ville, soit… Soit tu fais un autre boulot trouvé au détour d’une rue. Tu ne lésines pas sur les efforts. Le hic, c’est que plus tu en fais, plus tu es fatigué et plus tu fais des boulettes. Et plus tu fais des boulettes, moins tes boulots sont rentables. Déjà que certains de tes boulots ne sont clairement pas ta tasse de thé… Sérieusement, te trémousser sur une scène, ce n’est pas ton truc. Le faire en devant te désaper devant un public, encore moins. Pourtant, tu le fais. Avec le sourire. Parce que les pourboires sont plus conséquents quand tu fais croire que tu es heureux d’être là, que tu te sens à ta place et parfaitement à l’aise. Alors que la seule chose que tu désires, c’est de te tirer d’ici. Tu détestes ça. Vraiment. Mais tu n’as pas le choix, alors tu continues. Inlassablement. Ta vie n’est qu’un perpétuel tas de crottes.

Et encore… La visite à venir ne va faire que rajouter un peu de merde à ton quotidien déjà laborieux. T’as la poisse. Y’a pas d’autre mot !

Ce matin, tu t’es levé aux aurores afin de préparer les ingrédients pour ton service du midi et faire mijoter le plat du jour. Depuis que tu es réveillé, tu fais en sorte de faire le moins de bruit possible. Tu n’es pas seul. Oh, n’allez pas vous faire des films ! C’est juste que Rafaele a dormi chez toi. Et avec cette fille… Non, avec cette fille, il n’y a rien du tout. En réalité, votre relation est un peu étrange. Tu ne cherches pas vraiment à la comprendre, tu as bien trop de choses en tête pour te la prendre sur ça. Bref. Le fait est que, après le coup de main qu’elle t’a donné, tu lui as proposé de rester squatter chez toi le temps qu’elle trouve où crécher. Un peu comme : un prêté pour un rendu quoi. Tu dors sur un fauteuil pendant qu’elle occupe le lit. Du coup, en plus de tous tes jobs et de ta fatigue, tu commences à te trimballer un mal de dos. Tout va bien dans le meilleur des mondes, Diego !

Alors que tu quittes ton studio pour aller voir où en est ta préparation, tu piles dans la descente d’escaliers. Le comptoir de ton food truck est ouvert. Or, tu ne l’as pas ouvert. Tu en es certain. Tu… Est-ce que tu perds la boule ? Ce serait possible. Tu reprends ta route, mais, à nouveau, tu te figes. Cette fois, c’est sûr, il y a un truc qui cloche. Tu entends du bruit venant de ta camionnette. Et ce ne sont certainement pas tes casseroles qui dansent la samba ensemble !

C’est doucement que tu t’approches. C’est quoi ce bordel ? Tu grimpes à l’arrière du véhicule et tes yeux peuvent enfin voir ce qui trame. Il y a un mec juste là, devant toi. Il touille tranquillement ton plat avant de te parler comme s’il te connaissait depuis toujours. On lui a dit que tu cuisinais bien. C’est qui ce on ? Évidemment, tu ne poses pas la question. Tes lèvres restent closes. Tu te contentes de le regarder avec un vent de panique dans les yeux.

Quand il te demande si tu sais qui il est, tu nies simplement du chef. Et à son nom, tu trésailles. Pyrites. Tu as déjà entendu parler de ce type au sein du cartel. Et ce que tu en as entendu ne te rassure absolument pas. Pas plus que la batte qu’il te désigne. Le couperet tombe. De façon assez grossière, mais avouons que tu n’y prêtes pas vraiment attention, il te balance être là pour ta dette.

« J’ai… J’ai fait un bon mois, je peux déjà vous donner ce que j’ai mis de côté. », ta voix est hésitante, Diego. Pourtant, tu as réellement récolté plus ce mois-ci que durant tous les précédents. Le retour sur les bancs de la fac des étudiants depuis plusieurs semaines joue pour beaucoup. Le stress se fait sentir et leur besoin d’oublier ou de booster leurs performances aussi. Et tu as pu multiplier tes boulots annexes sur novembre. La ville a été en ébullition.

Cependant, bien qu’il t’ait parlé de la dette et que tu aies surenchéri à ce propos, tu te doutes que l’envoi d’un molosse comme lui n’est pas neutre. Ce Pyrite à sa réputation au sein du cartel, et tu aurais préféré ne pas le rencontrer. Tu jettes un coup d’œil par-dessus ton épaule, regardant l’escalier menant à ton studio en priant pour que Rafaele reste sagement là-haut. S’il est là, ce n’est pas que pour la thune… Tu savais bien que la raclée mise aux derniers sbires venus te faire la tête au carré ne passerait pas inaperçu. Alvarez a pris son temps, mais il est à présent l’heure pour toi de montrer patte blanche et de ne pas faire de vague !



En espagnol dans le texte.

code by bat'phanie




   
Drugs in Food
James Trevino
New-Yorkais
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DC : Charlie Cooper
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# Jeu 30 Nov 2023 - 10:20 • •
>> James Trevino
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- Non sérieux ? Tu as fais un bon mois ?

James l’avait regardé comme étonné, les deux sourcils bien relevés sur son front, comme si la nouvelle venait de lui trouer le cul ! Il s’était même arrêté de faire ce dont il était occupé depuis quelques minutes, posant l’assiette sur le comptoir avant de s’essuyer les mains sur un torchon, comme soulagé.

- Alors l’affaire est dans le sac, non franchement je pensais que ce serait plus compliqué, que tu allais supplier, trouver une fausse excuse pour le retard, me dire que tu avais dû faire piquer ton poisson rouge ou bien que pour le commerce tu avais été contraint de faire des implants capillaire mais même pas ! Merde voilà que j’en suis sur le cul. Bon, j’imagine qu’on a plus qu’à se serrer la main et se quitter n bon copain c’est ça ?

Il avait pris sa batte, comme prêt à partir amorçant un pas en avant, mais il s’était arrêté et observait Diego droit dans les yeux. La colère se faisait sentir sur son visage, son regard devenait plus sombre alors qu’un muscle battait sur sa mâchoire.

- Really ? Tu pensais vraiment que ça allait se passer comme ça Diego ? Mais putain tu te fous de ma gueule c’est ça ?  Tu penses que ton putain de bon mois va réussir à combler ta putain de dette ? Cinquante mille Dollars Diego ! Cinquante !

James tapa avec le bout de sa batte sur le comptoir, juste assez fort pour que l’homme en face de lui se ressaisisse, pas encore assez fort pour démonter le Food-Truck. Lorsqu’il avait dit que sa batte avait faim ce n’étaient pas des conneries, il refusait qu’un jeune homme tente de faire sa loi. Depuis quand Alvarez acceptait de faire travailler à crédit ? Il se fichait bien que Diego aille vendre son âme au Diable, qu’il aille même se prostituer auprès de vieilles riches dont les rides auraient tellement creusé leurs joues qu’il faudrait un aspirateur pour y aspirer les merdes accumulées !

Il se tenait face à Diego, et lentement il soupira avant de reposer sa batte et de reprendre son assiette, autant finir ce qu’il avait commencé. Une bouchée, deux, mais le regard de Diego l’interpella. Ce dernier observa l’escalier et James suivi le regard, avant d’avoir un grand sourire qui ne présageait de rien de bon, l’œil brillant d’une malice que lui seul pouvait posséder.

- Damn … y’a bien un cul avec toi là-haut … ou alors, c’est l’endroit où tu caches ton argent …

James termina l’assiette avant de prendre une serviette en papier et de s’essuyer les coins de la bouche, reposant sa main sur le manche de sa batte afin de la glisser à sa ceinture. Debout, il se rapprocha de la sortie du Food-Truck jusqu’à descendre et se retrouver face à face avec Diego. Il l’observa en silence, un sourire en coin. La voix était calme, mais tellement menaçante.

- Cinquante mille, tu te rends compte de tout ce que Monsieur Alvarez pourrait faire avec cet argent au Mexique ? Et toi, tu es là, face à moi, sans même un centime en poche. Alors, je vais t’expliquer quelque chose de très simple : les intérêts. Tu as dépassé le délai imparti, tu vas rembourser plus, mais Bingo ! c’est mon putain de jour de générosité ! Je t’ajoute seulement cinq mille ce qui fait cinquante cinq milles.

James mis sa main sur le torse de Diego pour le faire reculer d’un pas.

- Cinq mille … tu dois bien les avoir là-haut, sauf si tu es prêt à vendre le cul de ta nana pour ce tarif-là, dans ce cas-là, l’ardoise reste la même ! Mais il faudra passer à la caisse, et passer très vite. Alors, tu fais le deal ? Bien sûr, Daddy te laissera regarder quand ce Fucking Ass se fera démonter !


Diego Arriaga
New-Yorkais
Célébrité : Alejandro Speitzer
DC : Matt Roja - Enzo Forzalli - Billie Davis - Elena Flores - Jackson Blake - Liam Keller
Crédits : Avatars : Eden Memories
Infos diverses : ❧ Il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol.

❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.

❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père, c'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.

❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.

❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.

❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !

❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !

❧ Très bon cuisinier, même en dehors de son Food/Drugs-Truck



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Habitation : Son Food Truck dort dans un entrepôt de Jackson Heights. Lorsque Diego se réveille, il a une vue imprenable sur son outil de travail puisqu'il a aménagé un appartement en duplex de ce vieux hangar
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Crédits : Avatars : Eden Memories
Infos diverses : ❧ Il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol.

❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.

❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père, c'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.

❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.

❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.

❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !

❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !

❧ Très bon cuisinier, même en dehors de son Food/Drugs-Truck



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Habitation : Son Food Truck dort dans un entrepôt de Jackson Heights. Lorsque Diego se réveille, il a une vue imprenable sur son outil de travail puisqu'il a aménagé un appartement en duplex de ce vieux hangar
Célébrité : Alejandro Speitzer
DC : Matt Roja - Enzo Forzalli - Billie Davis - Elena Flores - Jackson Blake - Liam Keller
Crédits : Avatars : Eden Memories
Infos diverses : ❧ Il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol.

❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.

❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père, c'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.

❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.

❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.

❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !

❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !

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# Mar 16 Jan 2024 - 19:50 • •
>> Diego Arriaga

Man, I love a gal who buys me dinner and doesn’t expect me to put out
 @Rafaele DiTomasso,  @James Trevino & Diego Arriaga


Tu le regardes faire son monologue sans comprendre la totalité de ses paroles. Ton poisson rouge à des cheveux ? Non, évidemment, tu n’es pas aussi stupide et tu comprends parfaitement qu’il fait dans le sarcasme. Tu pourrais lui répondre un truc marrant, ou te prêter à son jeu en faisant le malin, lui serrant la main en ajoutant dans un sourire un, « On se voit le mois prochain pour le règlement mon pote ! ». Mais ce n’est pas ton genre Diego. Là, tu continues simplement à t’inquiéter et à ne rien dire. Tu le sais, si tu parles, tu vas empirer la situation. Et, franchement, cette dernière est déjà suffisamment catastrophique sans que tu n’ajoutes de l’huile sur le feu.

Tu sursautes alors que Pyrite hausse le ton et que sa batte s’abat sur le comptoir de ton food truck. Tes yeux s’écarquillent sous la violence du geste, puis tu te mets à baragouiner, « Non, ça… Ça ne remboursera pas tout, mais la somme est déjà conséquente et... ». Et quoi ? Et tu as besoin de tes dix doigts pour continuer à travailler. Tu as besoin de ta mâchoire pour dire les montants. Tu as besoin de tes jambes pour conduire ta camionnette et tu aimerais éviter de finir, une fois de plus, avec le visage tuméfié. C’est vrai que les bleus ornant régulièrement ton épiderme ne sont pas très bons pour le business. Ça a tendance à inquiéter les clients et tu commences à avoir du mal à trouver des excuses plausibles. Ton regard ne quitte plus cette batte qui annonce la terrible suite des opérations. Et oui, tu te vois déjà roué de coups sous la colère de l’homme venant réclamer le dû du cartel.

Dans un réflexe naturel de protection d’autrui, tu jettes un rapide coup d’œil en direction de ton studio en priant pour que Rafaële reste tranquillement à l’intérieur. Elle s’est déjà suffisamment mise en danger en venant te sauver les miches lors de votre rencontre, et il est hors de question qu’elle se prenne un coup supplémentaire par ta faute.

Rapidement, tes pupilles se focalisent à nouveau sur ton interlocuteur. Ta tête dodeline de gauche à droite pour lui faire comprendre que, non, il n’y a personne avec toi. Quand vient la question sur ce que pourrais faire Alvarez avec l’argent que tu lui dois, ta tête bat le mouvement inverse, de haut en bas. Oui, tu as conscience de la somme que représentent cinquante mille dollars. Tu galères tant à accumuler cette somme que tu ne peux qu’en avoir conscience !

« Les… Les intérêts ? »
, tu bafouilles. Comment peut-il imaginer qu’en ajouter des dollars à ta dette, tu pourras la rembourser plus rapidement ? C’est un raisonnement totalement stupide. Mais quand vient la suite de son explication, tu commences à piger à qui tu as à faire. Sa réputation n’est donc pas du flan. Il est réellement un gros porc répugnant.

Il te pousse du plat de la main en te faisant une proposition dégueulasse et il y a fort à parier pour que ton ressentiment se lise sur ton visage. Étrangement, tu ne baisses pas les yeux. Tu ne baisses pas la tête non plus et tes épaules restent droites alors que tu réponds sans réfléchir une seconde, « Cinquante-cinq mille, on fait comme ça. » Tu fais un pas supplémentaire en arrière pour te dégager de la proximité gênante d’avec cet homme qui te révulse de plus en plus, « Je n’ai aucun cul à te vendre alors je vais devoir... », tu réfléchis un instant, ne sachant pas réellement comment désigner la chose, « … Prendre les intérêts. Je te file ce que j’ai amassé ce mois-ci, et le mois prochain, je double. Ça conviendrait à Alvarez ? ». Tu t’étonnerais presque de ta propre éloquence et de ta capacité à garder ton sang-froid sans paniquer ou sans trop flipper. Disons plutôt que tu parviens à ne pas montrer à quel point tu flippes… Ce qui t’étonne le plus, c’est qu’il n’évoque pas une seule seconde les trois crétins que ton amie – si tu puis l’appeler ainsi – à quasi défigurer quelques jours auparavant. Las Chiapas ne s’intéresse donc qu’à son pognon, et se fout royalement des petites gens travaillant en son sein. Finalement, ce n’est pas si étonnant que cela pour un cartel de drogue de cette ampleur…


En espagnol dans le texte.

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Drugs in Food
James Trevino
New-Yorkais
Célébrité : Jeffrey Dean Morgan
DC : Charlie Cooper
Habitation : Rarement au même endroit, mais son pied à terre est au Mexique
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# Ven 2 Fév 2024 - 13:26 • •
>> James Trevino
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Au moins ce petit con se rendait compte que James n’était pas là pour faire de la figuration mais bel et bien pour récupérer la dette que le portoricain avait envers Alvarez. 50 000$, ce n’était pas 10$ pour un sandwich avec une boisson ! Bien évidement qu’il fallait laisser de l’espoir aux gens, qu’ils aient la sensation qu’ils pourront se sortir de la situation, mais trop d’espoir n’était pas bénéfique, trop d’espoir était la possibilité d’avoir une rébellion sur le dos et ça, James ne le voulait aucunement. Bon, en l’occurrence, il faudrait bien des résistants pour tenter de faire reculer le cartel, mais ils pouvaient aussi laisser quelques plumes dans ce cas de figure là.

Jouant son rôle comme il l’entendait et parfaitement selon lui, James avait joué la carte de la surprise, comme s’il était ravi de voir que Diego avait fait un bon mois alors qu’il savait au fond de lui-même que ce ne serait jamais assez, alors, il lui avait fait comprendre. Après le côté gentil, la colère reprenait le dessus, emmenant avec elle l’envie de lui éclater le crane avec la batte parce qu’il détestait qu’on puisse se foutre de sa gueule. Connard. Le premier coup était pour le food truck, au moins le bruit pouvait rappeler Diego à la raison et le faire réagir.

- Alors si tu sais que ton putain de bon mois ne va pas rembourser ta dette, pourquoi ouvres tu ta putain de grande gueule ? Hein ? Tu veux m’énerver ? Tu veux que ça se passe mal entre nous deux ? Merde Diego, tu me fais chier, parce que tu cuisines bien mais que je sens – oh oui je le sens – que j’ai envie de te botter le cul, et que ma batte ce n’est pas du fer qu’elle veut, c’est ta gueule en décalqué ! Alors maintenant je me demande, comment comptes-tu t’y prendre pour payer ta putain de dette ? Accouche !

Prostitution ? Show ? Merde James s’en fichait bien, des petites vieilles étaient prête à donner des fortunes pour avoir un jeunot à leur service durant une soirée, et qu’importe s’il devait être emmené en laisse ou bien utilisé comme sextoy humain ou même s’il se prenait un doigt au cul, tant qu’au final l’argent revenait à Las Chiapas ! Est-ce qu’il voulait savoir les idées qu’avait Diego pour rembourser ? Bien évidemment, son esprit pervers avait envie d’en savoir plus ! Il voulait pouvoir se foutre de sa gueule voir même d’être présent pour lui rappeler qu’il savait ce qu’il avait été contraint de faire pour une satanée dette.

Tant que James parlait, il ne lui cassait pas la figure, alors Diego avait plutôt intérêt à lui trouver quelques arguments et quoi de mieux dans ce cas-là qu’un regard fuyant ? Un regard fuyant en direction de sa piaule ! Merde, du pain béni ! Voilà qui plaisait grandement à James qui avait terminé l’assiette, reprenant la batte pour la mettre à sa ceinture, jusqu’à descendre du camion pour faire face à Diego. James savait que ce dernier avait quelque chose qu’il voulait cacher, mais quoi ? Un cul ? Une caisse avec pas mal d’argent ? Après tout, le petit portoricain pouvait aussi préparer sa fuite ! Alors si cette idée lui venait en tête, James préférait le ramener à la réalité : 50 000$ c’était assez pour que James le traque même au fin fond de l’Ouzbékistan !

- Oui fiston, les intérêts. Parce que tu as un putain de retard, et cet argent, c’est peut-être de l’argent qui manque au Mexique pour nourrir tout un village. Tu penses que la vie de ce village à moins d’importance que la tienne ?

Il l’avait fait reculer d’un pas, s’éloigner du food truck, Diego avait de la chance qu’il ne lui démolisse pas. Par contre démolir le petit cul de sa gonzesse devant lui pour le faire payer, James n’était pas contre et il savait que ces petites phrases faisaient souvent mouche dans l’esprit des hommes, surtout lorsqu’ils étaient jeunes et impulsifs. James gardait son sourire sur les lèvres, la tête légèrement relevé, avant qu’elle oscille de manière positive.

- Voila une information qui va grandement plaire à Monsieur Alvarez, et je ne doute pas qu’en gage de bonne foi, tu vas me donner ton « bon mois », tu as raison fiston, il sera content de voir que le mois prochain tu vas doubler. Et là …Damn ce n’est pas moi qui l’ait dit mais toi ! Donc le mois prochain si je n’ai pas le double eh bien … sache que je trouverais toutes les personnes de ton entourage

James avait fini en baissant la voix, signe de menace, il connaissait sa propre réputation.

- Mais comme je ne suis pas un enfoiré, promis, je te ferais des photos pour que tu sois bien sur de ce qui s’est passé. J’espère que tu les afficheras dans ton camion, un putain d’art la baise !

Il avait ri en croisant les doigts, comme si ce souhait avait une réelle importance à ses yeux.



Diego Arriaga
New-Yorkais
Célébrité : Alejandro Speitzer
DC : Matt Roja - Enzo Forzalli - Billie Davis - Elena Flores - Jackson Blake - Liam Keller
Crédits : Avatars : Eden Memories
Infos diverses : ❧ Il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol.

❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.

❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père, c'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.

❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.

❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.

❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !

❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !

❧ Très bon cuisinier, même en dehors de son Food/Drugs-Truck



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Habitation : Son Food Truck dort dans un entrepôt de Jackson Heights. Lorsque Diego se réveille, il a une vue imprenable sur son outil de travail puisqu'il a aménagé un appartement en duplex de ce vieux hangar
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❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.

❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père, c'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.

❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.

❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.

❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !

❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !

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❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.

❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père, c'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.

❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.

❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.

❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !

❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !

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# Mar 19 Mar 2024 - 20:41 • •
>> Diego Arriaga

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 @Rafaele DiTomasso,  @James Trevino & Diego Arriaga

Tu sursautes. Entre le coup de batte contre la carlingue de ta camionnette et la voix de ce gars qui s’élève, tu ne peux pas rester stoïque. Il te flanque une trouille monumentale. Tu essaies de ne pas le montrer, de rester digne et fier, mais n’était sans doute pas difficile de voir la panique s’infiltrer doucement, mais sûrement en toi. Comment comptes-tu réussir à amasser autant d’argent ? C’est la question que tu te poses depuis le début de toute cette histoire de merde !

« Je... », tu n’as aucune envie de lui révéler l’embauche que tu as faites pour te prêter main forte. Après tout, si tu as proposé ce job à la jeune Kelsey, c’est justement pour lui éviter les embrouilles ! « Je fais plus d’heures, je cherche et je trouve de nouveaux clients et... », puta*n, ça non plus, tu n’as aucune envie de le lui dire, mais tes quelques initiatives ne lui suffiront jamais, tu le sais, « J’ai un autre boulot qui rapporte pas trop mal. Ce n’est pas fixe, mais quand ça tombe, c’est intéressant et tout va directement pour Alvarez, je te le jure ! ». Si tu pouvais garder pour toi les petits shows que tu fais au Blue Moon quand l’occasion se présente, tu en serais plus que ravi.

Tu ne peux pas t’empêcher de jeter un coup d’œil en direction de ton studio en priant pour que le sommeil de Rafaele soit le plus lourd que la Terre n’ai porté. Évidemment, tu aurais dû t’abstenir. L’enflure vulgaire et insupportable se trouvant devant toi repère immédiatement ton inquiétude, et il en joue sans perdre une seconde. Toi, tu tentes de noyer le poisson en t’interrogeant sur les intérêts. Tu n’es pas totalement dupe Diego, tu te doutes très bien que le cartel ne va pas se contenter de la somme perdue en remboursement et que ta dette ne fait que s’alourdir de jour en jour. Pour autant, tu te dis que c’est un bon moyen pour détourner l’attention du vieux crevard.

Tu fais un simple de non de la tête à sa question quant à l’importance que tu te portes. Cette dernière est nulle. Rien de ce que tu fais n’est pour toi. Tous tes actes sont tournés vers ta famille et, en réalité, tu n’as pas une grande estime de ta propre carcasse. Si tu te bats si fort depuis toutes ces années, ce n’est que pour les tiens. Et à présent, si tu t’enfonces dans la merde en assénant que le mois suivant, le pognon sera en plus grande quantité, c’est également pour Rafaele. Parce que, mine de rien, cette grande gueule, tu la trouves attachante. À sa manière. Et puis, elle t’a aidé, sans rien demander en retour alors tu ne t’imagines pas une seule seconde ne pas lui rendre la pareille.

Ta proposition de créance plus importante est acceptée. Et les propos qui suivent te glacent le sang. Tu n’es pas quelqu’un de violent Diego. La violence, tu l’as trop subit pour la vouloir encore dans ta vie. Pourtant, tes poings se serrent alors qu’il menace posément tes proches, « Ils n’ont rien à voir là-dedans ! ». Tu connais la réputation de ce Pyrites, et rien que d’imaginer ce qu’il est capable de faire te donner la gerbe au coin des lèvres. Il continue, affirmant être un type bien, prouvant ses dires en te promettant d’avoir les images en plus de la conscience entachée. Clairement, si ta fratrie devient la cible de ce taré, tu ne t’en remettras jamais.

Le rire qui suit te fait voir rouge et tu fais un pas en avant. Qu’est-ce que tu comptes faire, Diego ? Face à ce gars, tu ne fais pas le poids. Tu ne sais pas te battre et tu vas simplement te prendre un coup de batte en pleine tronche avant d’embrasser le sol. Sûrement. C’est même certain, mais cette vérité absolue ne te fait pas redescendre. Tu fais un pas de plus, puis tu t’arrêtes. La mâchoire contractée, tu ne dis rien durant quelques secondes. Finalement, tes épaules s’affaissent. Tu le sais, tu ne fais pas le poids, sans compter que, si tu bronches, ce sera dix fois pire par la suite. Alors tu ravales ta colère pour te diriger vers l’arrière de ton food truck. Tu soulèves plusieurs grosses caisses trônant dans ton hangar avant de te baisser, d’ouvrir une petite trappe dans le sol et d’en sortir un sac en carton que tu lui jettes, « Voilà ma récolte pour ce mois-ci. On se voit dans trente jours, je n’ai pas besoin de te montrer la sortie. ».

Son discours insupportable ne mérite aucune réponse. De toute façon, tu n’en as pas à lui donner à défaut de te retrouver dans un pétrin encore plus catastrophique que celui dans lequel tu es, alors tu préfères faire le mal élevé en expédiant cette entrevue non prévu. Plus vite il se cassera, plus vite tu pourras te remettre au boulot. Plus vite il se cassera, plus vite, tu pourras respirer normalement. Plus vite, il se cassera plus vite tes muscles se détendrons. Plus vite il se cassera, plus vite tu pourras laisser tes jambes se dérober.


En espagnol dans le texte.

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James Trevino
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# Ven 29 Mar 2024 - 12:28 • •
>> James Trevino
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Putain de merde qu’est ce qu’il aimait son moment ! C’était une histoire d’amour entre les deux, il avait vraiment de la chance d’avoir une telle bromance avec Diego, ce petit con était le client parfait pour que James laisse sa colère prendre le dessus. Merde qu’est ce qu’il avait envie de lui botter le cul pour ne pas avoir rendu les 50 000 qu’il devait, et en même temps il avait envie de lui en claquer cinq parce que sans lui, ce petit moment entre eux deux, ils n’auraient pas pu le vivre ! Etait-ce trop s’il lui frottait le sommet du crâne avec le poing comme un oncle un petit peu trop fier de son neveu ? Et malgré tout, Diego avait bien fait de sursauter.

Il avait bien fait, parce que le coup de batte aurait pu être pour sa petite gueule d’ange. Une bosse sur la carlingue ce n’était pas bien grave, le même coup dans la mâchoire aurait pu lui déchausser quelques dents, plus problématique. Quoique quelques vieilles aimaient bien la sensation des gencives sur le clito, alors pourquoi pas ! Diego était parfait pour faire un test ?

- Je Je ! Putain accouche Diego mon pote mon frangin mon poto parce que dans quelques secondes tu pourras plus parler !

James sentait la colère gronder de plus en plus, et en le voyant hésitant, cherchant quelques mots, cherchant à trouver une nouvelle pirouette, il était de plus en plus agacé. Puis au bout de quelques secondes, James inspira. Longuement. Brutalement. Comme pour montrer qu’il tentait de reprendre le dessus, de retrouver un putain de flegme anglais alors qu’il avait le sang aussi chaud qu’une putain de mexicaine !

- Et c’est quoi ce nouveau boulot qui rapporte pas trop mal fiston ? Tu fais quoi ? Tu vends ton cul ? Tu baises une mamie par-ci par-là ? Tu leurs sors pas leur chien quand même !

Quoiqu’au moins ce serait moins risqué pour lui, mais James aurait le cœur en miette s’il devait tabasser Diego devant un pauvre animal. Oh et puis merde, il ramènerait le chien à la propriétaire ! Le coup d’œil en direction du studio avait été annonciateur de bonnes nouvelles pour James, alors il s’était rapproché, descendant du camion. Il répondait bien, il fermait sa gueule et montrait qu’il avait peur, plaisant comme sensation pour James.

- Non il a pas plus d’importance ? Wahou ! Je ne te pensais pas aussi égoïste fiston ! C’est moche ! Je devrais te rajouter dix milles juste parce que c’est moche de penser ainsi !

Alors qu’il avait comprit que ce n’était pas le sens de son hochement de tête. Le double pour le mois prochain, bonne chose.

- Alors, fais en sorte qu’ils n’en sachent rien. Sinon, même quand tu seras mort, la tête dans le caniveau, tu auras encore les images en tête, c’est bien compris ? Je peux laisser un trou du cul à la taille d’une balle de tennis, c’est pas comme ça que tu veux voir le cul de tes proches, n’est pas ?
Pourtant Diego s’était rapproché, et James n’attendait qu’un signe avant de lui éclater la gueule. Il restait silencieux avant de sourire, relevant le menton.

- Bon garçon

Il connaissait ses limites, c’était bien. James prit la récolte, avant de lui taper la joue comme on fait à un animal.




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