Arriaga, ce nom ne vous disait rien ? Eh bien à James non plus ! Il s’en fichait bien de qui était ce petit Diego Arriaga vivait dans un vieil entrepôt de Jackson Heights. D’après certaines rumeurs, lorsque le jeune homme se mettait à cuisiner, c’était le même effet qu’un bal d’anges à l’intérieur de votre bouche. Merde, qu’est-ce qu’il pouvait bien en foutre, les meilleurs enchiladas restaient ceux qu’il mangeait lorsqu’il retournait au Mexique, un petit cuisinier à la sauvette ne pouvait pas faire une aussi bonne cuisine que derrière un véritable four. Néanmoins, James restait pragmatique : si l’odeur était appétissante, il irait voir. Après tout c’était un peu comme pour le sexe d’une femme : si l’odeur est suspecte, alors n’y met pas la langue. La cuisine était un art de femme finalement.
James était avec Julian lorsque ce dernier lui annonça que le jeune homme semblait mettre un petit peu trop de temps, que le remboursement n’était toujours pas effectif après des mois de patience, mais également que cette putain de dette s’élevait à plus de 50 000$ ! Est-ce que ce petit fumier de cuisinier à la sauvette savait ce qu’on pouvait faire au Mexique avec 50 000$ ? Il n’y avait peut-être jamais mis les pieds ! Encore un de ces enfoirés d’américains qui se pensent Mexicain parce qu’un lointain grand-parent a engrossé ou s’est fait engrosser par un membre du pays voisin ! Lui ? Lui ce n’était pas un Mexicain, mais les Alvarez étaient sa famille, bien plus que les Forzalli ou bien que cet enfoiré de Mike.
Il avait donc hoché la tête, prenant sa batte sur son épaule, sifflant gaiement comme s’il allait faire du jardinage, pourtant les gens qui le connaissaient, eux, pouvaient savoir que l’activité qu’il s’apprêtait à accomplir n’était en rien du jardinage. Ou alors pour creuser le trou où Diego allait passer le restant de son éternité, c’était fort probable.
Quelques minutes avaient suffit pour que James arrive devant l’entrepôt que le jeune Ariagga avait réaménagé en magnifique duplex pour voir son Food-Truck. Quelques hommes gardaient la rue, toujours assurer ses arrières, James saurait si les flics arrivaient. Ces derniers n’étaient pas aussi corrompus qu’au Mexique, puis Julian ne voulait pas que le cartel de Las Chiapas fasse des vagues. Parfois, James devait ronger son frein, mais finalement le jeu en valait la chandelle.
Entrer par effraction dans l’entrepôt avait été un jeu d’enfant, ce n’est pas à un vieux singe qu’on apprend à faire des grimaces, et James avait avant tout arpenté les lieux. Diego semblait se trouver dans son appartement en duplex car les portes du food-trucks étaient ouvertes, une bonne odeur s’en dégageant, assez pour que James entre à l’intérieur.
Afin que le jeune Diego le remarque, il avait redressé l’ouverture, tel un commerçant attendant ses premiers clients, posant sa batte à côté de lieu – doucement pas bouger, le sang arrivera – et tournant avec une spatule ce qui était en train de doucement mijoter. Quelques secondes avaient été suffisantes pour qu’il entende du bruit, relevant son regard en direction du jeune homme, un sourire en coin, l’œil rieur d’un ami de longue date.
- Damn ! on m’avait dit que tu cuisinais bien, et putain c’est vrai que c’est bon ! J’en ai presque la trique !
James posa sa batte sur le comptoir avant de sortir une assiette et de se servir une part.
- J’imagine que tu ne sais pas qui je suis hein ? Merde, petit, je suis Pyrites. Je suis le gars qu’on voit qu’une seule putain de fois. Une seule !
Il porta une première bouchée à ses lèvres avant de fermer les yeux comme satisfait, inspirant doucement, une autre bouchée puis il eu un rire avant de regarder sa batte.
- Oh Fuck !, elle a faim elle aussi ! Elle va devenir aussi dure que moi, un putain d’orgasme culinaire tu sais ! Mais elle, elle … oh, elle, c’est autre chose qu’elle aime manger. Dommage pour moi qu’il n’y ait pas un cul avec toi, parce que j’ai une devise : un massacre une baise ; et vraiment ton cul ne me fait pas bander. Non, tu sais ce qui me fait bander aussi ? C’est la Fucking dette que tu as envers Monsieur Alvarez. Ca te dit quelque chose ?
DC : Matt Roja - Enzo Forzalli - Billie Davis - Elena Flores - Jackson Blake - Liam Keller
Crédits : Avatars : Eden Memories
Infos diverses : ❧ Il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol.
❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.
❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père, c'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.
❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.
❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.
❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !
❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !
❧ Très bon cuisinier, même en dehors de son Food/Drugs-Truck
Habitation : Son Food Truck dort dans un entrepôt de Jackson Heights. Lorsque Diego se réveille, il a une vue imprenable sur son outil de travail puisqu'il a aménagé un appartement en duplex de ce vieux hangar
Célébrité : Alejandro Speitzer
DC : Matt Roja - Enzo Forzalli - Billie Davis - Elena Flores - Jackson Blake - Liam Keller
Crédits : Avatars : Eden Memories
Infos diverses : ❧ Il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol.
❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.
❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père, c'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.
❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.
❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.
❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !
❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !
❧ Très bon cuisinier, même en dehors de son Food/Drugs-Truck
Habitation : Son Food Truck dort dans un entrepôt de Jackson Heights. Lorsque Diego se réveille, il a une vue imprenable sur son outil de travail puisqu'il a aménagé un appartement en duplex de ce vieux hangar
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Infos diverses : ❧ Il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol.
❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.
❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père, c'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.
❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.
❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.
❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !
❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !
❧ Très bon cuisinier, même en dehors de son Food/Drugs-Truck
Habitation : Son Food Truck dort dans un entrepôt de Jackson Heights. Lorsque Diego se réveille, il a une vue imprenable sur son outil de travail puisqu'il a aménagé un appartement en duplex de ce vieux hangar
James l’avait regardé comme étonné, les deux sourcils bien relevés sur son front, comme si la nouvelle venait de lui trouer le cul ! Il s’était même arrêté de faire ce dont il était occupé depuis quelques minutes, posant l’assiette sur le comptoir avant de s’essuyer les mains sur un torchon, comme soulagé.
- Alors l’affaire est dans le sac, non franchement je pensais que ce serait plus compliqué, que tu allais supplier, trouver une fausse excuse pour le retard, me dire que tu avais dû faire piquer ton poisson rouge ou bien que pour le commerce tu avais été contraint de faire des implants capillaire mais même pas ! Merde voilà que j’en suis sur le cul. Bon, j’imagine qu’on a plus qu’à se serrer la main et se quitter n bon copain c’est ça ?
Il avait pris sa batte, comme prêt à partir amorçant un pas en avant, mais il s’était arrêté et observait Diego droit dans les yeux. La colère se faisait sentir sur son visage, son regard devenait plus sombre alors qu’un muscle battait sur sa mâchoire.
- Really ? Tu pensais vraiment que ça allait se passer comme ça Diego ? Mais putain tu te fous de ma gueule c’est ça ? Tu penses que ton putain de bon mois va réussir à combler ta putain de dette ? Cinquante mille Dollars Diego ! Cinquante !
James tapa avec le bout de sa batte sur le comptoir, juste assez fort pour que l’homme en face de lui se ressaisisse, pas encore assez fort pour démonter le Food-Truck. Lorsqu’il avait dit que sa batte avait faim ce n’étaient pas des conneries, il refusait qu’un jeune homme tente de faire sa loi. Depuis quand Alvarez acceptait de faire travailler à crédit ? Il se fichait bien que Diego aille vendre son âme au Diable, qu’il aille même se prostituer auprès de vieilles riches dont les rides auraient tellement creusé leurs joues qu’il faudrait un aspirateur pour y aspirer les merdes accumulées !
Il se tenait face à Diego, et lentement il soupira avant de reposer sa batte et de reprendre son assiette, autant finir ce qu’il avait commencé. Une bouchée, deux, mais le regard de Diego l’interpella. Ce dernier observa l’escalier et James suivi le regard, avant d’avoir un grand sourire qui ne présageait de rien de bon, l’œil brillant d’une malice que lui seul pouvait posséder.
- Damn … y’a bien un cul avec toi là-haut … ou alors, c’est l’endroit où tu caches ton argent …
James termina l’assiette avant de prendre une serviette en papier et de s’essuyer les coins de la bouche, reposant sa main sur le manche de sa batte afin de la glisser à sa ceinture. Debout, il se rapprocha de la sortie du Food-Truck jusqu’à descendre et se retrouver face à face avec Diego. Il l’observa en silence, un sourire en coin. La voix était calme, mais tellement menaçante.
- Cinquante mille, tu te rends compte de tout ce que Monsieur Alvarez pourrait faire avec cet argent au Mexique ? Et toi, tu es là, face à moi, sans même un centime en poche. Alors, je vais t’expliquer quelque chose de très simple : les intérêts. Tu as dépassé le délai imparti, tu vas rembourser plus, mais Bingo ! c’est mon putain de jour de générosité ! Je t’ajoute seulement cinq mille ce qui fait cinquante cinq milles.
James mis sa main sur le torse de Diego pour le faire reculer d’un pas.
- Cinq mille … tu dois bien les avoir là-haut, sauf si tu es prêt à vendre le cul de ta nana pour ce tarif-là, dans ce cas-là, l’ardoise reste la même ! Mais il faudra passer à la caisse, et passer très vite. Alors, tu fais le deal ? Bien sûr, Daddy te laissera regarder quand ce Fucking Ass se fera démonter !
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❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.
❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père, c'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.
❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.
❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.
❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !
❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !
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Infos diverses : ❧ Il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol.
❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.
❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père, c'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.
❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.
❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.
❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !
❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !
❧ Très bon cuisinier, même en dehors de son Food/Drugs-Truck
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Infos diverses : ❧ Il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol.
❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.
❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père, c'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.
❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.
❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.
❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !
❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !
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Au moins ce petit con se rendait compte que James n’était pas là pour faire de la figuration mais bel et bien pour récupérer la dette que le portoricain avait envers Alvarez. 50 000$, ce n’était pas 10$ pour un sandwich avec une boisson ! Bien évidement qu’il fallait laisser de l’espoir aux gens, qu’ils aient la sensation qu’ils pourront se sortir de la situation, mais trop d’espoir n’était pas bénéfique, trop d’espoir était la possibilité d’avoir une rébellion sur le dos et ça, James ne le voulait aucunement. Bon, en l’occurrence, il faudrait bien des résistants pour tenter de faire reculer le cartel, mais ils pouvaient aussi laisser quelques plumes dans ce cas de figure là.
Jouant son rôle comme il l’entendait et parfaitement selon lui, James avait joué la carte de la surprise, comme s’il était ravi de voir que Diego avait fait un bon mois alors qu’il savait au fond de lui-même que ce ne serait jamais assez, alors, il lui avait fait comprendre. Après le côté gentil, la colère reprenait le dessus, emmenant avec elle l’envie de lui éclater le crane avec la batte parce qu’il détestait qu’on puisse se foutre de sa gueule. Connard. Le premier coup était pour le food truck, au moins le bruit pouvait rappeler Diego à la raison et le faire réagir.
- Alors si tu sais que ton putain de bon mois ne va pas rembourser ta dette, pourquoi ouvres tu ta putain de grande gueule ? Hein ? Tu veux m’énerver ? Tu veux que ça se passe mal entre nous deux ? Merde Diego, tu me fais chier, parce que tu cuisines bien mais que je sens – oh oui je le sens – que j’ai envie de te botter le cul, et que ma batte ce n’est pas du fer qu’elle veut, c’est ta gueule en décalqué ! Alors maintenant je me demande, comment comptes-tu t’y prendre pour payer ta putain de dette ? Accouche !
Prostitution ? Show ? Merde James s’en fichait bien, des petites vieilles étaient prête à donner des fortunes pour avoir un jeunot à leur service durant une soirée, et qu’importe s’il devait être emmené en laisse ou bien utilisé comme sextoy humain ou même s’il se prenait un doigt au cul, tant qu’au final l’argent revenait à Las Chiapas ! Est-ce qu’il voulait savoir les idées qu’avait Diego pour rembourser ? Bien évidemment, son esprit pervers avait envie d’en savoir plus ! Il voulait pouvoir se foutre de sa gueule voir même d’être présent pour lui rappeler qu’il savait ce qu’il avait été contraint de faire pour une satanée dette.
Tant que James parlait, il ne lui cassait pas la figure, alors Diego avait plutôt intérêt à lui trouver quelques arguments et quoi de mieux dans ce cas-là qu’un regard fuyant ? Un regard fuyant en direction de sa piaule ! Merde, du pain béni ! Voilà qui plaisait grandement à James qui avait terminé l’assiette, reprenant la batte pour la mettre à sa ceinture, jusqu’à descendre du camion pour faire face à Diego. James savait que ce dernier avait quelque chose qu’il voulait cacher, mais quoi ? Un cul ? Une caisse avec pas mal d’argent ? Après tout, le petit portoricain pouvait aussi préparer sa fuite ! Alors si cette idée lui venait en tête, James préférait le ramener à la réalité : 50 000$ c’était assez pour que James le traque même au fin fond de l’Ouzbékistan !
- Oui fiston, les intérêts. Parce que tu as un putain de retard, et cet argent, c’est peut-être de l’argent qui manque au Mexique pour nourrir tout un village. Tu penses que la vie de ce village à moins d’importance que la tienne ?
Il l’avait fait reculer d’un pas, s’éloigner du food truck, Diego avait de la chance qu’il ne lui démolisse pas. Par contre démolir le petit cul de sa gonzesse devant lui pour le faire payer, James n’était pas contre et il savait que ces petites phrases faisaient souvent mouche dans l’esprit des hommes, surtout lorsqu’ils étaient jeunes et impulsifs. James gardait son sourire sur les lèvres, la tête légèrement relevé, avant qu’elle oscille de manière positive.
- Voila une information qui va grandement plaire à Monsieur Alvarez, et je ne doute pas qu’en gage de bonne foi, tu vas me donner ton « bon mois », tu as raison fiston, il sera content de voir que le mois prochain tu vas doubler. Et là …Damn ce n’est pas moi qui l’ait dit mais toi ! Donc le mois prochain si je n’ai pas le double eh bien … sache que je trouverais toutes les personnes de ton entourage
James avait fini en baissant la voix, signe de menace, il connaissait sa propre réputation.
- Mais comme je ne suis pas un enfoiré, promis, je te ferais des photos pour que tu sois bien sur de ce qui s’est passé. J’espère que tu les afficheras dans ton camion, un putain d’art la baise !
Il avait ri en croisant les doigts, comme si ce souhait avait une réelle importance à ses yeux.
DC : Matt Roja - Enzo Forzalli - Billie Davis - Elena Flores - Jackson Blake - Liam Keller
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❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.
❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père, c'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.
❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.
❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.
❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !
❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !
❧ Très bon cuisinier, même en dehors de son Food/Drugs-Truck
Habitation : Son Food Truck dort dans un entrepôt de Jackson Heights. Lorsque Diego se réveille, il a une vue imprenable sur son outil de travail puisqu'il a aménagé un appartement en duplex de ce vieux hangar
Célébrité : Alejandro Speitzer
DC : Matt Roja - Enzo Forzalli - Billie Davis - Elena Flores - Jackson Blake - Liam Keller
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Infos diverses : ❧ Il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol.
❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.
❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père, c'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.
❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.
❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.
❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !
❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !
❧ Très bon cuisinier, même en dehors de son Food/Drugs-Truck
Habitation : Son Food Truck dort dans un entrepôt de Jackson Heights. Lorsque Diego se réveille, il a une vue imprenable sur son outil de travail puisqu'il a aménagé un appartement en duplex de ce vieux hangar
Célébrité : Alejandro Speitzer
DC : Matt Roja - Enzo Forzalli - Billie Davis - Elena Flores - Jackson Blake - Liam Keller
Crédits : Avatars : Eden Memories
Infos diverses : ❧ Il n’a jamais perdu son accent et il lui arrive encore de chercher certains mots ou de se mettre à parler en espagnol.
❧ Il est rare de le voir frissonner. En effet, depuis un sombre après-midi rempli d'amour paternel, Diego ne ressent plus la morsure du froid. Vous le verrez donc souvent bras nu, l'unique preuve que son corps réagit tout de même aux températures étant sa peau se recouvrant de chair-de-poule sans qu'il n'en ait conscience.
❧ Différentes marques sont présentes sur son corps. Dans un premier temps, il y a celle, sur son omoplate gauche, qu'il a décidé de s'apposer lui-même : “Todo lo que se quiere debajo del Cielo tiene su hora.” (Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ; Ecclésiaste 3:1). Chaque petits tatouages parsemant ses bras ont une signification très personnelle, ils sont un ancrage afin de ne pas oublier d’où il vient, qui il est, ni comment il en est arrivé là. Et puis, il y a les traces non-encrées, celles dont il se passerait volontiers : Diego porte toujours les séquelles des sévices de son violent de père, c'est pourquoi son dos est haché de marques, tantôt linéaires pour les coups de ceinture, tantôt sous forme de petits ronds rappelant les brulures de cigarettes. On trouve également quelques malheureux souvenirs sur la peau de ses jambes et de ces bras, mais ceux-ci sont nettement plus discrets. Si vous êtes fin observateur, vous trouverez une empreinte de blessure de ceinturon sous son oeil droit.
❧ Il a un tatouage de bothrops, signe de son appartenance au cartel de Las Chiapas, tatoué sur les côtes gauche.
❧ Passionné par les astres, il aime s'éloigner de la ville pour observer le ciel et se perdre le temps d'une soirée dans les étoiles.
❧ Diego n’a jamais appris à nager alors la seule chose qu’il vous accordera, peut-être, c’est de tremper les pieds !
❧ N'ayant pas fréquenté les bancs de l'école de manière assidue et ayant arrêté son cursus très jeune, Diego écrit très mal et la lecture est un cauchemar. de toute façon il n'a pas besoin de diplôme pour sa profession !
❧ Très bon cuisinier, même en dehors de son Food/Drugs-Truck
Habitation : Son Food Truck dort dans un entrepôt de Jackson Heights. Lorsque Diego se réveille, il a une vue imprenable sur son outil de travail puisqu'il a aménagé un appartement en duplex de ce vieux hangar
Putain de merde qu’est ce qu’il aimait son moment ! C’était une histoire d’amour entre les deux, il avait vraiment de la chance d’avoir une telle bromance avec Diego, ce petit con était le client parfait pour que James laisse sa colère prendre le dessus. Merde qu’est ce qu’il avait envie de lui botter le cul pour ne pas avoir rendu les 50 000 qu’il devait, et en même temps il avait envie de lui en claquer cinq parce que sans lui, ce petit moment entre eux deux, ils n’auraient pas pu le vivre ! Etait-ce trop s’il lui frottait le sommet du crâne avec le poing comme un oncle un petit peu trop fier de son neveu ? Et malgré tout, Diego avait bien fait de sursauter.
Il avait bien fait, parce que le coup de batte aurait pu être pour sa petite gueule d’ange. Une bosse sur la carlingue ce n’était pas bien grave, le même coup dans la mâchoire aurait pu lui déchausser quelques dents, plus problématique. Quoique quelques vieilles aimaient bien la sensation des gencives sur le clito, alors pourquoi pas ! Diego était parfait pour faire un test ?
- Je Je ! Putain accouche Diego mon pote mon frangin mon poto parce que dans quelques secondes tu pourras plus parler !
James sentait la colère gronder de plus en plus, et en le voyant hésitant, cherchant quelques mots, cherchant à trouver une nouvelle pirouette, il était de plus en plus agacé. Puis au bout de quelques secondes, James inspira. Longuement. Brutalement. Comme pour montrer qu’il tentait de reprendre le dessus, de retrouver un putain de flegme anglais alors qu’il avait le sang aussi chaud qu’une putain de mexicaine !
- Et c’est quoi ce nouveau boulot qui rapporte pas trop mal fiston ? Tu fais quoi ? Tu vends ton cul ? Tu baises une mamie par-ci par-là ? Tu leurs sors pas leur chien quand même !
Quoiqu’au moins ce serait moins risqué pour lui, mais James aurait le cœur en miette s’il devait tabasser Diego devant un pauvre animal. Oh et puis merde, il ramènerait le chien à la propriétaire ! Le coup d’œil en direction du studio avait été annonciateur de bonnes nouvelles pour James, alors il s’était rapproché, descendant du camion. Il répondait bien, il fermait sa gueule et montrait qu’il avait peur, plaisant comme sensation pour James.
- Non il a pas plus d’importance ? Wahou ! Je ne te pensais pas aussi égoïste fiston ! C’est moche ! Je devrais te rajouter dix milles juste parce que c’est moche de penser ainsi !
Alors qu’il avait comprit que ce n’était pas le sens de son hochement de tête. Le double pour le mois prochain, bonne chose.
- Alors, fais en sorte qu’ils n’en sachent rien. Sinon, même quand tu seras mort, la tête dans le caniveau, tu auras encore les images en tête, c’est bien compris ? Je peux laisser un trou du cul à la taille d’une balle de tennis, c’est pas comme ça que tu veux voir le cul de tes proches, n’est pas ? Pourtant Diego s’était rapproché, et James n’attendait qu’un signe avant de lui éclater la gueule. Il restait silencieux avant de sourire, relevant le menton.
- Bon garçon
Il connaissait ses limites, c’était bien. James prit la récolte, avant de lui taper la joue comme on fait à un animal.